1 / 14

L’atome hydrogénoïde relativiste : un laboratoire théorique pour les fonctions de structure

Xavier Artru, Institut de Physique Nucléaire de Lyon, France Rencontre des Karima Benhizia, Mentouri University, Constantine, Algeria particules 2006. L’atome hydrogénoïde relativiste : un laboratoire théorique pour les fonctions de structure. i. i. i. Cadre théorique.

yosefu
Download Presentation

L’atome hydrogénoïde relativiste : un laboratoire théorique pour les fonctions de structure

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Xavier Artru,Institut de Physique Nucléaire de Lyon, FranceRencontre des Karima Benhizia,Mentouri University, Constantine, Algeriaparticules 2006 L’atome hydrogénoïde relativiste :un laboratoire théorique pour les fonctions de structure i i i

  2. Cadre théorique • Physique atomique, QED • Z grand (uranium,…) : Za ~ 1  état lié relativiste • Equation de Dirac  fonction d’onde exacte • On néglige : • les interactions e- - e- • le recul du noyau : MN >> me • le spin du noyau • le Lamb shift :a (Za)4 << 1

  3. Objectif • Tester, en QED, le « deep inelastic scattering » • en traitant l’électron comme un « parton » : • scaling de Björken • mer électron-positron • polarisation longitudinal ou transverse de l’électron • règles de somme de Björken, Cortès-Pire-Ralstone-Jaffe-Ji • effet Sivers (asymétrie en kT intrinsèque dans un H polarisé) • Nous n’avons • ni confinement • ni limite xBj  1

  4. Réactions inélastiques profondes Compton : g + e- lié  g + e- libre ( s, t, u >> m2 ) annihilation : e+ + e- lié  g + g e- e- i i g g g g inclusif mesure k+ = k0 + kz exclusif mesure aussi kT

  5. Variable de scaling k+ = k0 + kz k = 4-impulsion de l’électron dans le référentiel de l’atome. Typiquement, |k+- m| ~ (Za) m (variable de Björken x = k+/P+Atome ~ 10-6 = peu commode) q(k+) = distribution d’électron Cas polarisé : Dq(k+) = distribution d’hélicité dq(k+) = distribution de transversité

  6. Distribution jointe en k+et paramètre d’impact b i i i i b q( k+, |b| ) peut être mesuré dans les collisions atomiques relativistes doubles :

  7. Distribution jointe en k+ et kT e- i g g q( k+, | kT| ) peut être mesuré dans les réactions semi-inclusives : kT intrinsèque est ambigu (jauge, non-commutation avec k+) On peut définir un kT expérimental: kT = k’T + pT(g) = -P’T(noyau) sensible à l’interaction coulombienne noyau-e- final (Compton) ou noyau-e+ initial (annihilation)

  8. Formules de base Fonction d’onde sur le plan nul : lien de jauge • rend compte de l’interaction coulombienne finale (Compton) ou initiale (annihilation) Densité d’électron en ( k+, b) : Densité de spin : Pour q( k+, kT ) , prendreF( k+, kT ) = transformée de Fourier deF( k+, b)

  9. Règles de somme Charge électrique : Charge axiale (Björken) : Charge tenseur (Cortes-Pire-Ralstone-Jaffe-Ji) : où La borne de Soffer 2|dq| < q + Dq est saturée (un seul état du spectateur) Cas Za = 1 : Dq = 1/3 (crise du spin !) , dq = 2/3

  10. Relation de Burkardt Effet relativiste classique : Particule au repos après un boost Spin J perp. figure G = centre d’énergie C = centre de charge .C,G .G bG = vJ/M .C bC= vm • e bC = m = m0 +mamoment magnétique • e bG = m0 = e J / M moment magnétique normal • e (bC-bG) = m - m0 =ma moment magnétique anormal • Pour l’atome d’hydrogène, bG = 0 , ma = m = -e (1+2g) / (6m)

  11. d kT i i Effet Sivers (expliqué par Burkardt) L’attraction coulombienne finale (Compton) donne un supplément de kT dans le sens opposé à b. Dans le cas ou le spin de l’atome est transverse, <b> est non nul, donc < kT> l’est aussi.

  12. kT Courbes de niveau avec effet Sivers

  13. mer électrons-positons • q( k+, b) = est positif pour k+ >0 et k+ <0 • Qu’est-ce que q( k+) pour k+ négatif ? • Pourquoi ? Réponse en seconde quantification ou avec la mer de Dirac: Pour k+ positif, q( k+) = (densité d’e- dans l’atome) - (densité d’e-autour du noyau seul) Pour k+ négatif, q( k+) = (densité d’e+autour du noyau seul ) - (densité d’e+ dans l’atome) Interprétation de la règle de somme de charge : ( Ne- - Ne+ )_atome – ( Ne- - Ne+ )_noyau = 1

  14. Conclusions • L’atome hydrogénoïde à grand Z partage de nombreuses propriétés • avec les hadrons. Il peut tester certains modèles pour les distributions • de quarks. • Le rôle du lien de jauge (= interaction dans l’état initial ou final) • est manifeste dans l’effet Sivers • La mer électrons-positons apparaît comme une déformation de la • mer de Dirac par le potentiel coulombien. • La charge électronique de l’atome ne vaut pas 1. Seule la différence • de charge électronique entre l’atome et le noyau seul vaut 1.

More Related