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l’hospitalisation chez l’enfant drépanocytaire

l’hospitalisation chez l’enfant drépanocytaire. Auteur : Docteur Corinne Pondarre. Le Globule Rouge sert de transporteur d’oxygène:. Pourquoi l’hospitalisation?. Anémie profonde = manque de globules rouges transfusion Infection chez un nourrisson = fièvre antibiotiques

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l’hospitalisation chez l’enfant drépanocytaire

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Presentation Transcript


  1. l’hospitalisation chez l’enfant drépanocytaire Auteur : Docteur Corinne Pondarre

  2. Le Globule Rouge sert de transporteur d’oxygène:

  3. Pourquoi l’hospitalisation?

  4. Anémie profonde = manque de globules rouges transfusion Infection chez un nourrisson = fièvre antibiotiques Douleur = crise vaso occlusive Hydratation Médicaments contre la douleur

  5. Les globules rouges drépanocytaires sont déformés et ne parviennent pas à circuler normalement: * Ils bouchent les petits vaisseaux. * Par conséquence, l’oxygène arrive mal aux organes, ce qui se traduit par des crises douloureuses, appelées crises vaso-occlusives

  6. Facteurs déclenchants des crises douloureuses - Tout ralentissement de circulation *Froid *La déshydratation (faire boire l’enfant régulièrement, surtout si il fait chaud ou si il a de la fièvre) - Les changements brutaux de température - Tout manque d’oxygène *Altitude, apnée *La mauvaise respiration la nuit (ronflements importants) -Toute demande accrue d’oxygène (Les efforts physiques trop intenses)

  7. Quelques règles de prévention lors du sport: -Augmenter l’hydratation (boire avant, pendant et après l’effort) -Respecter l’essoufflement (périodes de repos obligatoires) -Éviter les changements brutaux de température -Pratiquer le sport dans un environnement ni trop chaud, ni trop froid -Se méfier de la natation: aller progressivement dans l’eau, sortir dès la sensation de froid, se sécher rapidement -Renoncer à tout effort en cas de crise douloureuse récente, de fatigue ou d’ictère importants -Arrêter l’effort dès que la douleur apparaît

  8. A proscrire: -Activité sportive en compétition -Effort résistif prolongé ou effort violent (sprint) -Activité sous-marine (plongée) -Altitude (> 1500m)

  9. Comment évaluer la douleur chez l’enfant?

  10. L’ évaluation de la douleur repose sur • Le dialogue avec l’enfant : douceur, lenteur, empathie • Le dialogue avec les parents • L’observation du comportement : plaintes, grimace, cris…ou silence…, agitation, ou repli, • L’observation des attitudes corporelles antalgiques • L ’examen clinique

  11. AUTOEVALUATION 2 à 5 ANS

  12. AUTOEVALUATION après 5 ans • EVA 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

  13. Difficultés : -enfant replié sur lui-même -crise récidivantes : évaluations répétées +++ ,« raz le bol »  -fatigue  évaluation par les soignants indispensable -minoration /majoration de la douleur par l’enfant ?? -peur de la prise de sang (difficile) -désir de ne pas inquiéter, de ne pas déranger

  14. Evaluation de la douleur des petits par les soignants et les parents • Echelle OPS : pleurs, mouvements, comportement, plaintes, positions… • Echelle DEGR : repli, position, inertie • Echelle EDIN : visage, corps, sommeil, relation, réconfort • Echelle pour les parents : « plus que d’habitude », « moins que d’habitude » • Se référer aux  activités habituelles de l’enfant : bouger, jouer, parler ou communiquer, apprendre, manger, dormir… Toute perturbation peut indiquer une douleur

  15. Traitement par paliers Palier 3 Douleur forte (7-10) Morphine Intraveineuse Palier 2 Douleur modérée (4-6) Codenfan Efferalgan codéiné Paracétamol = Doliprane Efferalgan Advil, Nureflex Palier 1 Douleur légère (1-3)

  16. Les crises modérées :la douleur à la maison Douleur légère à moyenne • Enquêtes par agenda 5 à 30 % de jours avec douleur ignorés des médecins EVA moyenne 3/10 si école absenteïsme scolaire 41% des jours avec douleur, avec EVA moyenne 5.5/10

  17. La douleur à la maisonComment la prendre en charge ? • Objectifs : • Protéger la qualité de vie • Favoriser la bonne insertion à l’école puis dans le monde professionnel • Favoriser le coping, l’adaptation, « vivre avec »

  18. Rôle des parents très important • Moyens • Apprendre l’utilisation des antalgiques de niveau 1 et 2 : paracétamol, AINS, codeïne, tramadol, dextropropoxyphène : gestion par les parents  gestion par l’adolescent puis l’adulte • Utiliser les massages, la chaleur • Utiliser la distraction, la relaxation, l’hypnose • Intérêt d’un agenda par périodes ?

  19. Les crises sévèresla douleur à l ’hôpital • Douleur « tenaillante, broyante, rongeante » • Les évaluations sont entre 7 et 10/10

  20. Morphine réservoir bouton-poussoir pompe / pousse-seringue avec clavier et écran

  21. O2 N2O Entonox (MEOPA) Manodétendeur Valve de Ruben Ballon Sifflet Filtre Masque facial à coussinet Chariot

  22. Objectifs du traitement antalgique Diminuer l’intensité de la douleur à un niveau acceptable pour l’enfant • lui demander son avis • Évaluation sur EVA < ou = 4 sur 10 • Ce n’est pas toujours possible …

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