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URGENCE !. L’action Missionnaire a besoin de nous !. Elle n’est pas une entreprise qui a des fonds de réserve. Nos missionnaires, que ce soit pour leurs soutiens ou leurs budgets de fonctionnement, sont TOTALEMENT DEPENDANTS de nos offrandes ponctuelles ou durables à l’action missionnaire.
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URGENCE ! L’action Missionnaire a besoin de nous ! Elle n’est pas une entreprise qui a des fonds de réserve. Nos missionnaires, que ce soit pour leurs soutiens ou leurs budgets de fonctionnement, sont TOTALEMENT DEPENDANTS de nos offrandes ponctuelles ou durables à l’action missionnaire. • Recherche de l’équilibre budgétaire, • Révision des dépenses à la baisse (cet été, aucun missionnaire ou assistant ne pourra rentrer en France pour les vacances, ils ne le font en principe que tous les 2 ans…) • Regard de foi sur les entrées Telle est la tâche de l’équipe de Villenave, Pourtant les entrées restent terriblement inférieures aux prévisions les plus réalistes…
Au 31 mai 2006, les comptes de l’Action Missionnaire se soldent par un déficit de 160 000 euros !!! POURTANT cette situation n’est pas une fatalité: Nous pouvons nous impliquer dans le travail missionnaire : en nous mobilisant tous ensemble dans la prière eten nous engageant chacun pour notre part, à donner : 25 euros par mois(soit moins d’1 euro par jour)… Si chaque enfant de Dieu s’engage, l’Action Missionnaire pourra, grâce à notre collaboration, poursuivre l’œuvre de Notre Père Céleste : « aller par tout le monde et prêcher la bonne nouvelle à toute la création. » (Marc 16/15)
Ce mois-ci, nous partons pour Le Bénin !
Pour vous situer : Mali Bénin Gabon Nigéria En hiver, il n’y a pas de décalage horaire, mais actuellement lorsqu’il est 20h en France, il est 19h au Bénin.
Burkina Malanville Guéné Kandi Banikoara Segbana Gogounou Natitingou Dounkassa Birni Nikki BENIN Ndali Djougou Parakou Bétérou Tchaourou Nigéria Agoua Ghana Savalou Togo Abomey Pobé Cotonou Porto Novo
Ganvié Ici, les cases sont construites sur pilotis et l’on se déplace exclusivement en pirogue.
Le marché de Ganvié Ici, on vend et on achète mais exclusivement en pirogue !!!
Un peu de culture ! Population : 7 862 944 habitants Superficie : 112 620 km² (≈ le 5ème de la France ) Capitale : Porto Novo Langue Officielle : Français Monnaie : Franc CFA (XOF) Taux de change : 1 euro = 655,62 XOF Régime : République Chef de l’état : Président Yayi Boni Taux d’analphabètes adultes : 66 % Espérance de vie : 76 ans Religions : Chrétiens 26 % dont 4 % de protestants Musulmans 17 % Religions traditionnelles / Animisme 57 %
Situation sociale / Blvd St Michel à Cotonou Le Bénin, anciennement appelé Dahomey, pays d’Afrique de l’Ouest d’une superficie égale au cinquième de celle de la France, est peuplé de 7,8 millions d’habitants. Bien que la capitale officielle soit Porto-Novo, ville de 200.000 habitants, la ville la plus importante par sa population et son rôle politique et économique est en fait Cotonou, avec ses 750.000 habitants. La langue officielle est le français, mais une vingtaine de groupes ethniques parlent autant de langues sur tout le territoire.
La route des esclaves Cette route va de la ville de Ouidah à la plage où ils étaient embarqués.
La grande plage de Ouidah C’est d’ici que partaient les bateaux chargés d’esclaves.
Situation politique et économique La majeure partie de la population vit de l’agriculture et de la pêche et ses revenus sont faibles. Les cultures commerciales (café, cacao, huile de palme, arachide) ne sont pas produites en assez grande quantité pour fournir au pays des ressources conséquentes. Les fonds envoyés à leurs familles par les Béninois travaillant à l’étranger sont donc d’une importance vitale. Quatorze ans après l’indépendance, obtenue en 1960, le président en place (Matthieu Kérékou) opta pour un régime marxiste-léniniste qui dura jusqu’en 1989. Le pays connut ensuite une période d’instabilité du fait de grèves et de manifestations, jusqu’à l’instauration d’une nouvelle Constitution et des élections en 1991. Le premier ministre, Nicéphore Soglo, battit Kérékou à l’élection présidentielle de mars 1991. Cependant, les ajustements structurels et la compression des dépenses publiques recommandées par le FMI ravivèrent le mécontentement de la population. Après avoir perdu sa majorité au sein de l’Assemblée législative, le président Soglo fut battu par Mathieu Kérékou qui revint au pouvoir lors de la présidentielle du 17 mars 1996. Après le multipartisme, ce fut ensuite l'alternance. En mars 2001, Mathieu Kérékou fut réélu président. À l'âge de 67 ans, il entamait donc un second mandat consécutif dans des conditions difficiles. En avril 2006, c’est Yayi Boni, qui lui a succédé. D’origine musulmane, il s’est converti au protestantisme et est aujourd’hui membre de l’Union des Eglises Evangéliques du Bénin ! Il est confronté à de nombreux défis : lutte contre la corruption (mal très profond au Bénin), développement de l’économie, réduction des inégalités…
C’est le moment de prier… pour le pays - Que le Président (Yayi Boni) puisse entretenir une relation intime avec le Seigneur et se laisser inspirer par le Saint-Esprit dans chacun de ses choix et chacune de ses décisions. - Pour la protection de Yayi Boni et qu’il puisse s’entourer de collaborateurs intègres et compétents (avec cette nouvelle politique beaucoup se trouvent menacés et ne veulent pas perdre leurs privilèges, c’est donc une mission très difficile et dangereuse). - Que les membres du gouvernement puissent également expérimenter la grâce de Dieu, s’attacher à Lui et qu’ainsi les béninois puissent voir de réels changements dans leur pays - Que les mauvaises influences liées au culte du vaudou puissent être chassées dans le nom de Jésus-Christ et qu’ainsi les béninois puissent se tourner vers Lui en toute liberté - Les Béninois vivant en France et ailleurs
Les Zémidjans de Cotonou Il s’agit des taxis motos reconnaissables à leur blouse jaune.
L’œuvre de Dieu au Bénin Connu pour être le berceau du vaudou, le Bénin est le pays le plus fétichiste d’Afrique de l’Ouest. L’animisme est de loin la religion la mieux implantée avec 60 % de pratiquants des religions traditionnelles et de l’occultisme. Le reste de la population se répartit entre 26 % de chrétiens et 14 % de musulmans. Dès 1938, les Assemblées de Dieu ont commencé une oeuvre d’évangélisation dans le nord du pays, avec des missionnaires américains oeuvrant depuis la Haute-Volta voisine (aujourd’hui Burkina). En 1945, une oeuvre commencée à Natitingou (nord-est), s’est étendue à tout le nord du pays. Progressivement, l’Evangile s’est répandu vers le sud au milieu d’une population liée par de fortes puissances occultes. Dans les années 80, on comptait à peine soixante prédicateurs et 2000 chrétiens dans l’ensemble du pays. L’école biblique de Dassa recevait moins de quinze étudiants. Treize ans plus tard, le nombre de pasteurs atteignait 150, celui des assemblées avait doublé, il y avait plus de 10.000 chrétiens et plus de trente étudiants fréquentaient l’école biblique. Ils sont aujourd’hui 54. Depuis 1985, le missionnaire Jacky Halépian a souvent collaboré à un vaste programme d’évangélisation et d’ouverture d’églises sur tout le territoire. Le Seigneur a multiplié les miracles en divers lieux, dont les plus récents sont Tanguiéta, Ouassa Péhunco et Bassila en 2003. Actuellement, les assemblées grandissent entre les mains des pasteurs béninois.
Les Kluitos ou revenants… Les Kluitos sont la réincarnation des morts…
C’est le moment de prier… pour l’église - Que les chrétiens puissent être renouvelés, remplis du Saint-Esprit et qu’ainsi ils puissent témoigner autour d’eux avec amour, force et sagesse. - Pour une plus grande influence des églises et pour l’accroissement du nombre de chrétiens sincères et véritables (beaucoup croient tout en continuant leurs pratiques vaudou…) - Que les puissances occultes reculent face à une Eglise unie et qui annonce la Parole avec assurance et que Dieu confirme sa Parole par des signes, des prodiges et des miracles. - Que les pasteurs (malgré leurs études faites en français) aient à cœur de prêcher dans la langue locale afin que les chrétiens s’affermissent dans la connaissance de la Parole de Dieu et fassent chaque jour des expériences nouvelles avec le Seigneur
Vue des environs de Dassa, la « capitale des collines » en plein cœur de la brousse Le Bénin se situe dans une zone intertropicale avec un climat chaud et humide. De décembre à janvier, il se caractérise par l'Harmattan, un vent sec et desséchant venu du Sahara. Traditionnellement trois zones climatiques sont à distinguer : Au sud, le climat subéquatorial (type guinéen) se caractérise par une forte humidité et par deux saisons pluvieuses (avril à juillet et septembre à octobre). La température moyenne oscille de 25 à 28° C.
Savane du nord Au nord, le climat tropical (type soudanien) est marqué par des températures plus élevée, des précipitations annuelles plus faibles et l'alternance de deux saisons, l'une sèche (novembre à début mai) l'autre pluvieuse (mai à octobre).
Les chaînes de l’Atacora La partie nord-ouest du pays, occupée par la chaîne de l'Atacora, bénéficie d'un climat tropical particulier, appelé climat atacorien. Les températures sont en effet plus fraîches et les précipitations plus élevées que dans le reste du pays.
Notre équipe Jacques et Karine AKPLOGAN travaillent à la traduction de la Parole avec la SIL (ils sont au Bénin depuis mars 2005), chacun dans son domaine de compétence : Jacques est en charge de la maintenance informatique et de l’administration réseau et il forme les membres et le personnel SIL sur les logiciels Microsoft ; quant à Karine, elle a créé le service communication afin de promouvoir le travail de SIL sur le terrain (SIL Togo – Bénin a beaucoup d’atouts en tant qu’ONG mais est très peu connue du public).
C’est le moment de prier… pour notre équipe • Leur santé physique (cela va mieux mais ils ont été malades les 6 premiers mois), morale et spirituelle (les luttes spirituelles sont incessantes en raison du vaudou) ainsi que leur protection et celle de leurs enfants • Que leurs enfants (Annaëlle a 9 ans et Sarah, 6 ans) donnent très tôt leur cœur au Seigneur, et qu’elles puissent s’épanouir au Bénin et que chaque membre de la famille puisse réussir son intégration au Bénin • Que le Seigneur les inspire dans leur travail et renouvelle leur intelligence afin d’être des instruments de bénédiction autant pour la SIL que pour leur église locale (Gbédegbé) • Que l’accouchement de Karine (prévu pour le 5 septembre à Cotonou) se fasse dans les meilleures conditions, sans complication, et que la mère et l’enfant soient en parfaite santé.
Poisson braisé Tout comme le peuple, la cuisine locale varie beaucoup d’une région à une autre. Au Sud, le maïs constitue le principal aliment de base. On s’en sert le plus souvent pour la fabrication de différentes sortes de pâtes servies généralement avec une sauce d’arachides ou de tomate. Le poisson et le poulet sont le plus habituellement consommés au Sud et sont généralement frits à l’huile de palme ou d’arachide. Comme autres viandes, on consomme la viande de mouton, le lapin, le bœuf et le rat de brousse. Le riz, le couscous et le haricot sont également très répandus. Les fruits de saison sont très abondants au Sud et comprennent les oranges, les bananes, les ananas, les papayes et les mangues.
Riz à la béninoise… Au Nord, l’igname constitue l’aliment de base. L’igname pilée se mange avec la sauce d’arachides ou de tomate. Les viandes de bœuf, de porc et de poulet sont les plus consommées et sont généralement frites ou préparées à la sauce. Le fromage est une spécialité du Nord. Le riz, le couscous et le haricot sont également consommés. Selon la saison, on trouve en abondance les mangues fraîches et d’autres fruits. Gbékoui sauce légume Avlan au poisson
