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Par les élèves de 5 ème D Année 2013

FABLIAUX. Par les élèves de 5 ème D Année 2013. C’est l’histoire d’un vilain qui veut faire cuire son pain dans le four du seigneur. Il le pose dedans et repart chez lui.

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Par les élèves de 5 ème D Année 2013

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Presentation Transcript


  1. FABLIAUX Par les élèves de 5ème DAnnée 2013

  2. C’est l’histoire d’un vilain qui veut faire cuire son pain dans le four du seigneur. Il le pose dedans et repart chez lui. Quelques heures plus tard il revient le chercher mais la galette de pain a disparu. Il interroge son voisin. Le vilain demande : << Avez-vous vu quelqu'un avec un pain sous le bras ? - Oui, j’ai vu une personne, elle allait en direction de la foire, lui dit-il. >> Le vilain part au marché et aperçoit le soupçonné voleur tenant la fameuse galette. Le paysan le rattrape et lui pose des questions : << Messire, s’exclame le vilain, c’est mon pain que vous tenez, j’en mets ma main à couper !. - Que dites-vous ? Je suis sûr que c’est le mien. - Comment pouvez-vous en être certain ? - Je viens de le sortir du four. Touchez-le, il est encore chaud. >> Le vilain pose sa main et répond : <<Ma parole ! Vous avez raison ! Je m’excuse de vous avoir accusé. -Vous avez mis votre main à couper ....>> L’homme s’approche du vilain et lui coupe la main. Telle est la leçon du fabliau : il ne faut jamais mettre sa main à couper. Molina Jacques Genty Arthur Une main vaut-elle un pain ?

  3. Ceci n’est pas un conte ni une fable Messires, c’est une histoire vraie. Figurez-vous qu’un paysan, un jour, affamé, apprit qu’il y avait un banquet organisé pour les bourgeois et leurs serviteurs, dans une grande demeure, non-loin de là. Il s’y rendit dans l’espoir de pouvoir manger. Arrivé à la maison, il regarda par une fenêtre et observa. Et je vous jure que vous en seriez ébahis : des tables à tréteaux garnies de viande de lapin, d’oie ou même de canard, de poissons comme des anguilles ou des carpes, de desserts gourmands : miel tourtes et tartes trônaient au centre de la pièce. Il y avait même du vin servi dans des timbales ! Les bourgeois et leurs domestiques s’attablaient, certains dévoraient déjà leur repas dans un plat d’étain. Le vilain alléché, décida d’essayer d’entrer. Il se dirigea vers la porte principale mais au moment où il allait pénétrer dans la pièce, un bourgeois qui surveillait le passage l’arrêta : « Où vas-tu paysan ? Ce repas est réservé aux bourgeois ! » Le vilain s’en alla, bredouille. Alors qu’il prenait le chemin du retour, il croisa un voisin : « Que fais-tu là ? s’exclama son ami. - Je voulais aller manger dans un banquet mais un homme m’en a empêché. De toute façon, je ne suis rien, même pas un serviteur de bourgeois. - Cesse de te lamenter ! Crois-moi, à force de bien lui casser les pieds, il te laissera entrer et tu verras que tu n’as pas besoin d’être un bourgeois pour pouvoir profiter de ce dîner. » Puis son ami continua son chemin. Le villageois, motivé par la faim, décida de suivre le conseil de son voisin. Il retourna à la demeure, mais cette fois-ci, croyez moi ou non, ce fut avec une pierre ! Il se dirigea vers l’homme qui surveillait le passage. Celui-ci le regarda sévèrement. Une fois devant lui, il lui jeta le rocher sur les pieds, lui brisant les os. Le garde, plié en deux de douleur, n’opposait plus aucune résistance et laissa entrer le vilain. Ainsi, il se fit passer pour un domestique et put profiter de ce merveilleux repas. Telle est la leçon de ce fabliau : l’important n’est pas d’être grand, mais d’être à la hauteur. GUILLOT Maureen et BALLEREAU Emma LE VILAIN QUI CASSAIT LES PIEDS

  4. Je vais vous conter l’histoire d’un vilain amoureux, confiant ses sentiments à son frère. « Frère, commence-t-il, je dois te dire un secret à propos de dame Isabelle. -Je t’entends, répond l’homme refermant la porte de la grange. -Je suis amoureux d’Isabelle, mon cœur ne cesse de s’accélérer en sa présence. » Le frère réfléchit quelques instants puis s’assoit dans l’herbe : « Alors si ton cœur est pris d’amour pour elle, mon frère, envoie-lui un poulet ! -Vraiment ? s’étonne-t-il. Je vais de ce pas en chercher un ! » Ce dernier, sur ce, coupe court à la conversation et retourne dans la grange. Il choisit le plus gros et le plus beau poulet parmi ses volailles. Il retourne ensuite voir son frère, tenant l’animal par les pattes. « Mon frère, crie-t-il en brandissant la bête au-dessus de sa tête, si dame Isabelle n’est point enchantée de cette offrande, je ne puis rien faire de plus, et espérer qu’elle tombe dans mes bras ne servirait à rien ! » Le frère soupire et lui explique le sens de la phrase : « Bon écoute-moi, envoyer un poulet signifie faire parvenir un mot d’amour. -Une lettre d’amour ? Mais je ne sais pas comment faire. - Je vais t’aider. » Le vilain prend un parchemin et une plume, et s’assoit sur le banc, en écoutant son frère lui dicter des mots d’amour.   « Quel poète ! s’écrie-t-il en lisant la lettre. Merci beaucoup, sans toi je n’aurai rien fait. » Puis le vilain envoie son frère lui porter la lettre. Il revient quelques minutes plus tard, et lui dit : « Elle viendra manger à la chaumière ce soir. » Ce fabliau montre qu’il faut toujours croire en ses rêves, et c’est ainsi que se termine mon histoire. LACHERY Emeline et TOUZET Bérénice. Le vilain amoureux

  5. C’est l’histoire d’un vilain assez pauvre qui vivait dans un petit village loin d’ici, il s’apprêter à aller prier comme tous les dimanches matins à l’église. Il prit sa veste, enfila ses chaussures et sortit … Une heure plus tard, à son retour, il découvrit qu’il s’était fait voler  ses deux poules ainsi que sa vache. C’était peu en effet mais pour le vieillard c’était tout. Il hurla de désespoir : «  Que vais-je devenir ! » En effet il vivait du lait de sa vache ainsi que des œufs de ses poules. Ses voisins qui s’étaient rendu compte de tout discutaient: « Le pauvre vieux, il faudrait peut - être songer à l’aider !? -Oui, viens, on va lui donner un coup de pouce. » Les deux voisins entrèrent chez le paysan : L’un deux s’approcha du vieux vilain, le frappa de son pouce. L’autre le reprit : «  Mais tu n’as rien compris enfin !Nous savons où sont votre vache et vos poules. -Vraiment, rétorqua le vilain. - Oui, c’est votre voisine qui est venue ce matin prendre vos animaux ! - Mais pourquoi ? - Je pense que c’est parce qu’elle est pauvre et qu’elle n’a pas beaucoup d’argent donc elle a profité de votre absence pour vous voler. » Le paysan alla voir la vieille et tout fut rapidement arrangé. La voisine lui redonna ses bêtes et lui expliqua qu’elle n’avait pas agi ainsi pour qu’il ne puisse pas manger. Au contraire, c’était qu’ elle avait très faim ! Le vilain avec bon cœur la pardonna et chaque jour lui donna un peu de lait et des œufs ! Tout est bien qui finit bien mais comme raconte cette histoire il vaut mieux demander de l’aide plutôt que de la voler. Jeanne CHARLUET et Hacer CELIK Le vilain volé

  6. Je vais vous raconter une histoire, celle d’une jeune mariée. Elle habite dans un petit village qui abrite des paysans, des bourgeois, des moines et des voleurs. La femme prépare à manger dans sa marmite pour son mari. Ils dînent et vont dormir sur la paille après leur prière. Au réveil, la jeune épouse veut aller au marché, car elle n’a plus de nourriture. Elle regarde dans sa bourse pour voir ce qu’il lui reste d’argent. Elle constate qu’elle n’a plus un sou. Elle tombe inconsciente. Son mari arrive et la réveille. La pauvre femme lui lance : << On nous a tout volé ! Dieu, pourquoi me donnes-tu tant de malchance ? Qu’ai-je fait ? Ne t’inquiète pas, il faut mettre du beurre dans les épinards ! >> La jeune femme ne comprend pas, elle se décide donc et elle se dirige vers sa marmite.. Au repas, elle prépare des épinards avec du beurre et sert son mari. Il pouffe de rire : << Pauvre femme, tu deviens folle ! Vois-tu que c’est une expression ? Mettre du beurre dans les épinards ne veut pas dire ce que tu penses ! cela signifie qu’il faut que tu gagnes de l’argent. >> Le lendemain, la jeune femme décide de trouver du travail. Elle fabrique du pain et e vend au marché. Ainsi se finit cette histoire. Pauvreté fait perdre la tête à plus d’un. BOULEUX Elisa & JACINTO Johanna La jeune mariée et les épinards

  7. Ecoutez l’histoire qui est arrivée jadis à Roger, un vilain de la campagne, comme je l’ai lue dans un fabliau : Roger est un paysan très croyant depuis qu’il est devenu veuf. Un jour, Roger commet le péché de la gourmandise car il mange les prunes du jardin voisin sans cesse. Il veut aller à l’église pour se faire pardonner mais celle-ci est fermée à cause des prévôts de la ville voisine car ils ont peur de ne plus avoir de chrétiens dans leur monument. Roger organise alors une réunion. Il va chez son ami germain et lui dit : « Ah!! mon vieil ami Germain, comment vas-tu depuis tout ce temps ? -Si tu savais ce que je vis tout au long de l’année avec le loyer à payer, la taxe sur le sel et la ferme qui demande du temps!!!! Je n’en peux plus moi !   Roger rétorque : « Donc si je te demande de me rendre un service tu ne pourras pas, c’est cela ? -C’est cela, mais ne désespère pas, tu n’as pas besoin de moi prends le taureau par les cornes !!! Roger d’un air étonné lui répond : « Es - tu sûr de toi, penses – tu que prendre le taureau par les cornes m’aidera ? - mais oui !!! »  Roger se met aussitôt sur le chemin de l’étable, il y trouve entre toutes les vaches un taureau bien robuste. Il se dit : « Mais je ne peux pas prendre cet animal par les cornes tout seul, il me faut de l’aide. » Il fait alors appel aux villageois qui peuvent se montrer très efficaces. Ayant compris ce qui s’était passé, ils expliquent à Roger qu’il s’est mépris. Puis, tous ensemble, ils interviennent auprès du prévôt pour que l’église soit rouverte. Ainsi se termine mon fabliau mais n’oubliez pas, il ne faut pas prendre toutes les expressions au sens propre ni les cornes du taureau d’ailleurs. Jouhannin Christopher Roger, un vilain pas très malin

  8. Ecoutez l’histoire qui est arrivée jadis. Un vilain part à son potager cultiver ses légumes. Il prend son cheval et se met en chemin quand quelqu’un l’interpelle, c’est sa voisine. Elle prend la parole : << Bonjour monsieur, puis-je monter sur votre cheval ? -Bonjour à vous, savez-vous combien de personnes peuvent monter sur un cheval ? -Je ne sais point, je donne ma langue au chat ! -Ah ! et bien je vais vous chercher une hache ! -Oh non pas du tout ! Je crois que vous ne m’avez pas compris. -Dans ce cas, je ne vois pas bien ce que vous voulez dire. -Voyons monsieur, si vous préférez je peux vous le dire comme cela : Je ne connais pas la réponse. -Ah, d’accord ! Nous ne pouvons monter à plus de deux personnes. -Bien ! Nous sommes juste assez pour monter dessus. >> La voisine monte sur le cheval mais tombe au sol en raison de sa maladresse. Le vilain descend vite de sa bête et relève sa voisine. Cette dernière rentre chez elle tandis que le vilain poursuit sa route avec son cheval. Olivia Mathilde Le vilain et son cheval

  9. C’est l’histoire d’un vilain qui, un soir, subit un terrible orage. La violence est telle qu’elle détruit la clôture de l’enclos de ses chèvres. Quand le paysan s’en rend compte, il n’a plus aucun espoir de revoir ses bêtes. Il va donc en demander de nouvelles au seigneur Barrule. Il entre dans la salle d’audience et clame haut et fort : « Sire, j’ai perdu mes chèvres pendant l’orage de la nuit dernière et je suis donc venu vous en demander de nouvelles. -Tu es sot, crie Barrule! Tu crois que je peux donner du bétail à quiconque vient m’en demander! Il faut le payer! « Que me demandez - vous? -Quelque chose que tu n’as pas! Et maintenant, hors de ma vue! Le vilain va donc tout raconter à sa voisine qui s’exclame : « Cela ne m’étonne pas ! Ces gens - là ont tous une araignée au plafond ! » Le vilain va chercher un balai, se rend chez le seigneur et lui propose de nettoyer son château afin qu’il soit débarrassé de l’araignée. Mais le seigneur, touché par le geste du vilain et pris de pitié par son ignorance donne quatre chèvres au paysan : deux mâles et deux femelles. Telle est la leçon du fabliau : les innocents finissent toujours par obtenir gain de cause. Nathan Le vilain qui voulait nettoyer le château de son seigneur

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