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Traitement chirurgical de la maladie hémorroïdaire : quoi de neuf ?

Traitement chirurgical de la maladie hémorroïdaire : quoi de neuf ?. 25 ème Journée de la Société de Médecine de Douai. Dr J.Brame - Service de Chirurgie Générale et Digestive - CH Douai. Rappels. Maladie fréquente , mais ≈ 10% chirurgicale

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Traitement chirurgical de la maladie hémorroïdaire : quoi de neuf ?

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  1. Traitement chirurgical de la maladie hémorroïdaire : quoi de neuf ? 25ème Journée de la Société de Médecine de Douai Dr J.Brame - Service de Chirurgie Générale et Digestive - CH Douai

  2. Rappels • Maladie fréquente, mais ≈ 10% chirurgicale • Chir indiquée si échec / impossibilité TT médical et instrumental. • Hémorroïdes => composants physiologiques du canal anal, participent à la continence. • Maladie hémorroïdaire : Hémorroïdes physiopathologiques: Gêne, douleurs, rectorragies, prolapsus… aspécifique!

  3. Classification maladie hémorroïdaire (hémorroïdes internes) • Stade 1 : congestives ou hémorragiques, ∅ prolapsus • Stade 2 : prolapsus à l’exonération, réintégration spontanée • Stade 3 : prolapsus à l’exonération, réintégration manuelle • Stade 4 : prolapsus permanent, non réintégrable manuellement.

  4. Principes du traitement • Médical : toujours, ∀stade de la maladie • Instrumental : Stade 1 en échec du tt médical Stades 2 et 3 • Chir : classiquement, échec des précédents pour stade 3, d’emblée pour le stade 4, ou en cas de lésion associée nécessitant un geste.

  5. Chirurgie : choix de la technique 2 principes : • Exérèse directe des paquets hémorroïdaires : Milligan et Morgan (1937) => hémorroïdectomie pédiculaire ouverte. • Diminution de l’afflux sanguin : • Hémorroïdopexie : Longo (1998) => agrafage transanal circulaire • Ligature des artères hémorroïdales sous contrôle doppler (1995, Morinaga, Japon)

  6. Milligan-Morgan

  7. LONGO

  8. HAL : HemorrhoidalArteryLigation • Hémorroïdes = coussinets constitués de lacs artério-veineux, irrigués par les artères hémorroïdaires. • Ligature simple, pas de résection => technique mini-invasive. • Compatible avec l’ambulatoire. • Antalgiques pallier 1. • Prise en charge des récidives de toute technique. • Pas de soin post-opératoire spécifique. • Pas ou peu d’arrêt de travail. • Pas de risque de sténose. • Grades 2, 3 et 4.

  9. HAL-RAR • Recto Anal Reparation • Pour les grades IV • Permet un « lifting » du paquet prolabé • Améliore les résultats dans cette indication

  10. Complications potentielles • Milligan-Morgan : Hémorragie, incontinence anale (2-10%), retards de cicatrisation, sténose anale cicatricielle (8%): 10-15% de morbidité • Hémorroïdopexie : Hémorragie, sténose, douleurs-ténesme, et des complications très graves décrites dans la littérature. • HAL : Hémorragie dans les 15 j (médicale), douleurs anales (fissure), thrombose.

  11. Efficacité • Milligan-Morgan : récidives rares (1,7%), gold standard • Longo : surtout pour les prolapsus de stade 3 circulaires. + de récidives sur le long terme • HAL : 12% de récidive = principale complication, délai de 7,5 mois. MAIS => seconde manche facilement envisageable, peu de risques.

  12. Données de la littérature

  13. Données de la littérature Équipe de Grenoble (Pr Faucheron) : • 100 patients grade IV suivis sur du long terme (suivi moyen de 34 mois) • 19 patients déjà opérés par le passé • 4% de complications tardives traitées médicalement avec succès • 9% de récidive • 84% d’ambulatoire J-L.Faucheron, G.Poncet, D.Voirin, B.Badic, Y.Gangner. Doppler-GuidedHemorrhoidalArteryLigation and RectoanalRepair (HAL-RAR) for the Treatment of Grade IV Hemorrhoids: Long-TermResults in 100 Consecutive Patients. Dis Colon Rectum 2010; 54: 000-000.

  14. Conclusion • Technique nouvelle, d’apprentissage aisé • A considérer dans l’arsenal thérapeutique • Peu de complications • Peu de douleurs • Reprise rapide des activités • Etudes en cours pour déterminer l’impact économique • Plus de récidives, mais moins d’appréhension pour une reprise…

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