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Un système de référence et de contre-référence

Un système de référence et de contre-référence. Différentes structures qui offrent des prestations de prévention et de prise en charge qui vont orienter ou référer les personnes L’orientation est réalisée en fonction des compétences et des intervention des partenaires Exemple

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Un système de référence et de contre-référence

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Presentation Transcript


  1. Un système de référence et de contre-référence Différentes structures qui offrent des prestations de prévention et de prise en charge qui vont orienter ou référer les personnes • L’orientation est réalisée en fonction des compétences et des intervention des partenaires Exemple • Référence:    Un médecin qui traite une personne infectée à l’hôpital et se rend compte que cette personne est déprimée va l’orienter ou la référer vers un psychologue, une assistance sociale, ou une association qui fait du soutien psychologique, ou un groupe de parole, etc. suivant les prestations disponibles au niveau local. • Contre-référence :  Un volontaire d’association qui fait des visites à domicile découvre au cours d’une visite qu’une personne infectée a une candidose orale et ne peut plus s’alimenter. Il va la référer vers le médecin de l’hôpital qui l’avait orientée vers l’association à l’origine.

  2. Principes Le système de référence et de contre-référence s’inscrit dans : • le principe du continuum des soins ou de la chaîne des soins, et dans le cadre de la prise en charge globale des personnes infectées et affectées par le VIH/SIDA

  3. Principes • Le système de référence et contre-référence s’appuie sur plusieurs constats : • Les personnes infectées et affectées par le VIH/SIDA ont des besoins multiples et complexes en matière de prise en charge, à la fois médicale et psychosociale. • Aucune association n’est capable de répondre à tous les besoins, multiples parce qu’ils requièrent des compétences très larges et différentes, une disponibilité importante et des ressources énormes.

  4. Avantages d’un système de référence et contre-référence • Ilpermet d’utiliser toutes les compétences des prestataires de prise en charge disponibles sur le plan local et national. • Il encourage la collaboration et la coordination des efforts entre les différents prestataires de prise en charge • Il permet d’offrir une vaste gamme de services aux personnes infectées et affectées par le VIH/SIDA qui sont mieux en mesure de répondre à leurs besoins.(Par exemple, une organisation s’occupera plus de femmes séropositives, tandis qu’une autre se consacrera aux enfants.) • Il permet une plus grande accessibilité et disponibilité des services dans la mesure où les prestataires peuvent intervenir à des moments différents.    • Mieux une personne infectée ou affectée est informée des ressources disponibles, plus elle est à même de faire des choix éclairés sur les meilleures stratégies à adopter.

  5. Recommandations pour la référence • On ne réfère pas une personne simplement parce qu’on n’a pas le temps ou les moyens de s’en occuper. Il faut analyser et connaître ses besoins avant de l’orienter vers un autre prestataire. • Rien ne sert de référer une personne vers un autre prestataire pour un service dont elle n’a pas besoin ou pour des services qu’on peut offrir. • La référence doit intervenir au moment opportun, c’est-à-dire quand la personne référée en a besoin. • Bien référer suppose qu’on suive quelques règles

  6. L’information à donner aux consultants et aux autres prestataires • Le prestataire qui réfère doit informer la personne référée des éléments suivants : • Nom de l’institution ou organisation à laquelle la personne est référée. • Nom d’une personne dans cette institution ou organisation, si cela est possible. • Adresse de l’institution ou organisation et numéro de téléphone si cela est possible (au cas où la personne ne puisse pas se rendre à un rendez-vous fixé par exemple, et pour fixer un nouveau rendez-vous). • La raison pour laquelle le prestataire envoie la personne dans cette institution ou organisation et les services qu’elle peut attendre.

  7. Informer le prestataire • Nom de la personne, sauf si l’anonymat est la règle • Un historique de la prise en charge que le prestataire a déjà mise en œuvre, qui peut être très brève (exemple : Cette personne connaît sa séropositivité depuis 2 mois, elle a eu un certain nombre d’examens et sa santé est bonne, mais elle est dépressive) • La raison pour laquelle il la réfère. (exemple : Je pense qu’elle tirerait bénéfice d’un soutien psychologique)

  8. Respect des règles de confidentialité • Le contact avec la personne ou l’organisation à laquelle le consultant est référé peut se faire oralement (au cours d’un entretien ou par téléphone) ou par écrit. • Dans les deux cas, le prestataire qui réfère le consultant doit prendre garde à ce que des tiers n’aient pas accès à des informations confidentielles, surtout lorsque cette information est écrite. • L’information écrite doit être dans une enveloppe portant le nom du destinataire et portant la mention « confidentiel ». • Le consultant doit toutefois pouvoir avoir accès à toute l’information le concernant. (voir le module sur la gestion des données sur les personnes prises en charge).

  9. MECANISME ET OUTILS

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