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Les accidents bio-chimiques ou les effets toxiques des gaz en hyperbarie dans la plongée à l’air

Les accidents bio-chimiques ou les effets toxiques des gaz en hyperbarie dans la plongée à l’air.

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Les accidents bio-chimiques ou les effets toxiques des gaz en hyperbarie dans la plongée à l’air

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Presentation Transcript


  1. Les accidents bio-chimiquesou les effets toxiques des gaz en hyperbarie dans la plongée à l’air

  2. Un gaz parfaitement toléré à sa pression partielle atmosphérique peut devenirtoxique pour l’organisme lorsquela pression d’utilisation est plus élevée et que cette élévation se maintient un certain temps C’est le cas des 3 principaux gaz CO2, O2, N2 que nous respirons. Introduction

  3. Dalton plus connu pour son travail sur le Daltonisme a démontré que La pression d’un mélange gazeux est égale à la somme des pressions qu’aurait chacun des gaz s’ils occupaient seuls le volume. Pp gaz = Pabs x % gaz PpN2 à 4OM? 5bars x 0,8 = 4bars Loi de Dalton

  4. Définition: C’est une Pp supérieure à 0,21 bar supérieur à unePp de 1,6 bar l’02; effet Paul Bert À 100%; limiter à 6m À 21%; limiter à 66m La toxicité de l’O2« Hyperoxie »

  5. Des effets toniques apparaissent Cardio-vasculaire: Diminution de la fréquence cardiaque Diminution du débit cardiaque Augmentation de la tension artérielle Vasoconstriction périphérique Débit cérébral réduit Mécanisme

  6. Pulmonaires: Uniquement à une Pp élevée ou pur Modification de l’activité du surfactant, pouvant aller jusqu’à l’œdème Entre la 6e et la 30e heure; effet de Lorrain Smith (dans le cas de traitement) Attention traitement ADD en caisson (table thérapeutique) Neurologiques: Abaissement du seuil épileptique du cerveau Mécanisme: suite

  7. Gène respiratoire, anxiété, petites secousses musculaires, crampes, tachycardie, vision en tunnel. Contracture généralisée de tous les muscles avec blocage respiratoire. Contraction et décontraction des muscles de type épileptique. Symptômes

  8. Retour à la conscience confus et agité avec, 15mn après, un endormissement pour quelques heures. Pas de souvenir de la crise, mais des instants qui l’on précédée. Surveillance et évacuation vers un groupe médicalisé. Attention : à la remontée, suite à l’apnée tonique; risque desurpression pulmonaire Conduite à tenir

  9. Plongée à l’air zone des 60m fortement déconseillé. Tolérance à l’O2 différente selon les individus. Pas de signes avant coureur, une crise démarrée, ne s’arrête pas. Attention au palier à 6m avec de l’oxygène pur. Attention aux profondeurs limites : plongée Nitrox Prévention

  10. Introduction : Lorsque sa Pp de l’azote N2 augmente, il se révèle toxique pour le système nerveux central selon un processus encore mal connu. Les troubles apparaissent à une PpN2 de 3,6 bars ou plus selon son entraînement. Personne n’y échappe, même contrôler, il faut rester vigilant, car le risque d’accident demeure. La toxicité du N2« Narcose »

  11. L’N2 se dissout 5 fois plus dans les graisses que dans l’eau. Le système nerveux est constitué de neurones dont l’enveloppe tissulaire est formée de graisse (phospholipides) L’N2 se dissout au niveau des graisses des neurones (gaine de Myéline) ce qui provoque des perturbations. La diffusion des neurotransmetteurs est ralentie, d’où un ralentissement de certaines fonctions Mécanisme

  12. Rarement brutal mais progressif. Les signes vont en s’aggravant en fonction de la profondeur. Dialogue intérieur, anxiété. Impression de bien-être, de confiance en soi excessive, euphorie. Troubles de la mémoire Manifestations subjectives: Acouphènes Hyper réceptivité sensorielle Incoordination motrice Voir jusqu’à perte de conscience et noyade Symptômes

  13. Zone d’apparition de

  14. Analyser la situation pour alerter ou intervenir immédiatement. Remonter en tenant le plongeur jusqu’à disparition des symptômes. Selon symptômes: assistance oùsauvetage Ne pas hésiter à mettre fin à la plongée. Le plongeur narcosé ne se souvient de rien. Conduite à tenir

  15. Connaître sa limite de conscience. Vigilance accrue au-delà de 30 mètres. Consignes claires en surface, ex: double signe « ok ». Pas de descente en pleine eau rapide et de retournement brusque Prévention

  16. Le manque d’expérience. La visibilité qui augmente l’anxiété. La profondeur. Le froid. Les conditions de plongée. L’essoufflement, car nous allons le voir le CO2 serait un facteur aggravant. Facteurs favorisants

  17. Introduction: la survenue d’un essoufflement est une éventualité grave. Il est fréquent chez le débutant. La profondeur est un facteur aggravant. Il peut favoriser d’autres accidents. Toxicité du CO2« L’essoufflement »

  18. Air vicié dans la bouteille Mauvais réglage du détendeur Matériel non adapté; combinaison trop serrée Mauvaises conditions physique Activité musculaire importante (courant etc..) Lutte contre le froid ( fréquence ventilatoire) stress Causes

  19. L’organisme grâce aubulberachidien régule la ventilation à partir d’infos captées par différents récepteurs: Chémorécepteurs; variations de CO2 et O2 dans le sang;augmentation du PH Thermorécepteurs; température diminue, la fréquence ventilatoire augmente Tenso-récepteurs; étirement des muscles de la cage thoracique Mécanisme

  20. Augmentation de la densité de l’air et de la Pp du CO2 avec la profondeur. Air plus lourd = contrainte vitesse de flux gazeux La position du corps : pression hydrostatique bouche poumons ; contrainte inspiratoire. Espace mort: détendeur, tubas etc… Mécanisme: suite

  21. Vous: Premiers signes: apnée de 3s non tenues Anxiété, angoisse L’intervenant: Bullage important Position verticale Gestes désordonnés Un essoufflement important: pas le temps de faire signe Symptômes

  22. Arrêt du palmage Remontée en assistance Regard sur la tenue du détendeur Respect des vitesses de remonté Palier(s) ou non selon état Signe de détresse (face à l’embarcation) Rassurer + inhalation O2 Paramètres de la plongée Surveillance du suraccident SP ou ADD Procédure d’évacuation si besoin Conduite à tenir

  23. Cas rare: qualité de l’air respiré Courant, houle, début essoufflement surface Mal de mer Combinaison trop serrée, détendeur mal réglé Plombage important Conditions physique, inexpérience Stress, turbidité Profondeur et narcose Efforts importants Facteurs favorisants

  24. Conseils quand il y a du courant: Ligne de vie: travail avec les bras en expiration. Mouillage: ne pas rester en surface. Descente: à cheval sur le mouillage en forçant sur l’expiration; en se servant de ces bras. Commencer la plongée face au courant pour un retour au bateau facilité. Utiliser le profil du fond, le long du tombant, l’abri d’une roche, toujours en prolongeant l’expiration Se servir de ses mains; les roches, les laminaires Attention: consommation double ou triple: réserve pour palier dans de bonnes conditions de ventilation. Prévention

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