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Introduction à BUFR

Introduction à BUFR. FM 94 BUFR. Version française: Benjamin SACLIER (METEO-France- International) Gilles Gelly (METEO-France). Organisation Météorologique Mondiale. Qu’est-ce que BUFR?. B inary U niversal F orm for the R epresentation of Meteorological Data

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Presentation Transcript


  1. Introduction à BUFR FM 94 BUFR Version française: Benjamin SACLIER (METEO-France- International) Gilles Gelly (METEO-France) Organisation Météorologique Mondiale

  2. Qu’est-ce que BUFR? Binary Universal Form for the Representation of Meteorological Data Utilisé pour des données qui ne sont pas sur une grille régulière telles que les observations Conceptuellement équivalent à CREX, mais le format est binaire et non alphanumérique

  3. A quoi ressemble un message BUFR ? 01000010010101010100011001010010000000000000000000110100000000110000000000000000 00010010000000000000000000111000000000000000000000000000000000000000100100000001 00000001000001000001110100001100000000000000000000000000000000000000111000000000 00000000000000011000000000000001000000010000000100000010000011000000010000000000 00000000000000000000100000000000100100001111010111011100010000000011011100110111 0011011100110111 (En d’autres mots , juste une rangée de 0 et 1 distribués au hasard!?)

  4. Sections d’un message BUFR • 0 Section Indicatrice • 1 Section d’identification • 2 (Section facultative) • 3 Section de Description des données • 4 Section des données • 5 Section de fin Chaque section contient toujours un nombre pair d’octets, des bits mis à zéro étant ajoutés le cas échéant

  5. Section 0 – Section Indicatrice Cette section contient: • Le champ de caractères “BUFR” qui indique le début du message • La longueur totale du message • Le numéro de l’édition de BUFR utilisée (important si l’on veut traiter des archives)

  6. Section 0 - Détails • Longueur toujours de 8 octets (1 octet = 8 bits) • Octets 1-4 “BUFR” (en alphabet CCITT IA5) Binaire 01000010 01010101 01000110 01010010 • Octets 5-7 : Longueur totale du message en octets (y compris la section 0) 3octets : 224-1 = 16 777 215 octets • Octet 8 : Numéro d’édition BUFR (actuellement 3)

  7. Section 1 – section d’identification Cette section contient: • La version des tables (locales et OMM) utilisées dans le message. • D’autres descriptions sur le contenu du message : • Le centre d’origine et secondaire • La catégorie et la sous catégorie des données • Une date et une heure représentatives des données • Présence ou non de la section facultative.

  8. Section 1 - Détails Taille d’au moins 18 octets • Octets 1-3 Longueur de la section, en octets • Octet 4 Table principale du code BUFR (0=OMM) • Octet 5-6 Centre d’origine de production • Octet 7-8 Centre secondaire d’origine de production (défini si nécessaire par le centre principal) • Octet 9 Numéro de mis à jour du message • Octet 10 Flag. Bit 1 = 1 section 2 incluse • Octets 11 Catégorie des données (Table A) • Octets 12 Sous-catégorie internationale des données • Octets 13 Sous-catégorie locale des données • Octets 14-15 N° de version tables principales (3 actuellement ) et locales • Octets 16-22 Date et heure caractérisant le message • Octets 23-?? Réserve pour des besoins locaux

  9. Section 2 – section facultative Cette section est réservée et définie pour les besoins locaux des centres de traitement des données. • Un exemple type d’utilisation est celui du contexte d’une base de données. • Database keys, pour faciliter la recherche de données spécifiques sans décoder l’ensemble du message. • Domaine géographique des séries de données • Toute autre chose qu’ un centre de traitement peut trouver utile.

  10. Section 3 – Description des données Cette section contient: • Le nombre de sous-séries de données dans le message, chaque séries du message sont toutes du même format. Très utilisé. • Un Flag indiquant si les données sont codées en utilisant la compression ou non. • Un autre flag pour préciser si ce sont des données observées ou prévues. • Une liste de descripteur qui définissent la forme et le contenu de chaque sous-série de la section des données.

  11. Section 3 - Détails • La taille est d’au moins 10 octets • Octets 1-3 Longueur de la section, octets • Octet 4 Mis à zéro • Octets 5-6 Nombre de sous-séries • Octet 7 Bit1 = 1 observées 0 autres Bit2 = 1 comprimées 0 non • Octets 8-?? Liste des descripteurs • Chaque descripteur 2 bits F, 6 bits X, 8 bits Y

  12. Section 4 – Section des données Cette section contient: • L’ensemble des données comme spécifiées dans la section 3. • Un des deux formats est utilisé: • Compressé • Non-compressé

  13. Section 4 - Détails • Octets 1-3 Longueur de la section • Octet 4 Mis à zéro • Octets 5-?? Données binaires telles qu’elles sont définies par les descripteurs de la section 3.

  14. Section 5 – section de fin Cette section contient: • La chaîne de caractère “7777” indiquant la fin du message. • La vérification de cet indicateur permet de détecter une erreur des données(en particulier octets absents dans le reste du message) en fonction de la taille totale connue dans la section 0.

  15. Maintenant, regardons encore le message BUFR! ‘B’ ‘U’ ‘F’ ‘R’ end of section 0  + octet number 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 1 | 2 | binary string 01000010010101010100011001010010000000000000000000110100000000110000000000000000 octet number 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | binary string 00010010000000000000000000111000000000000000000000000000000000000000100100000001   end of section 1  + octet number 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 1 | 2 | 3 | 4 | binary string 00000001000001000001110100001100000000000000000000000000000000000000111000000000   end of section 3  + octet number 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | binary string 00000000000000011000000000000001000000010000000100000010000011000000010000000000 end of section 4  + ‘7’ ‘7’ octet number 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 1 | 2 | binary string 00000000000000000000100000000000100100001111010111011100010000000011011100110111 ‘7’ ‘7’ +  end of section 5 octet number 3 | 4 | binary string 0011011100110111

  16. Exemple Section 0 OCTET NO. 1 2 3 4 5 6 7 8 BINARY 01000010 01010101 01000110 01010010 00000000 00000000 00110100 00000010 HEXADECIMAL 4 2 5 5 4 6 5 2 0 0 0 0 3 4 0 2 DECODED B U F R 52 2 Longueur du message en octets Bufr edition

  17. Exemple section 1(Edition 3) OCTET NO. 1 2 3 4 5 6 7 8 BINARY 00000000 00000000 00010010 00000000 00000000 00111000 00000000 00000000 HEXADECIMAL 0 0 0 0 1 2 0 0 0 0 3 A 0 0 DECODED 18 0 58 length of section standard BUFR tables originating center (US Navy - FNOC) Section 2 not included OCTET NO. 9 10 11 12 13 14 15 16 BINARY 00000010 00000000 00000010 00000001 01011101 00000100 00011101 00001100 HEXADECIMAL 0 2 0 0 0 2 0 1 5 D 0 4 1 D 0 C DECODED 2 0 2 1 94 4 29 12 data category data category sub-type version of master tables version of local tables year of century month day hour OCTET NO. 17 18 BINARY 00000000 00000000 HEXADECIMAL 0 0 0 0 DECODED 0 0 minute local use

  18. Exemple Section 3 O C T E T N O . 1 2 3 4 5 6 7 BINARY 00000000 00000000 00001110 00000000 00000000 00000001 10000000 HEXADECIMAL 0 0 0 0 0 E 0 0 0 0 0 1 DECODED 14 0 0 1 Longueur de la section En réserve Nombre de sous-séries de données flag d’indication de données observée Données non compressées OCTET NO. 8 9 10 11 12 13 14 BINARY 00000001 00000001 00000001 00000010 00001100 00000100 00000000 HEXADECIMAL 0 1 0 1 0 1 0 2 0 C 0 4 0 0 DECODED 0 01 001 0 01 002 0 12 004 0 descripteurs F X Y Une section est toujours constituée d’un nombre paire d’octets

  19. Descripteurs BUFR • Les descripteurs BUFR sont listés dans la section 3 • Ils décrivent la nature et la structure des données qui sont contenues dans la section 4. • Les descripteurs sont référencés dans les tables du Manuel: Tables BUFR B, C et D. • En utilisant la liste de descripteurs de la section 3, et les tables correspondantes du Manuel, il est alors possible de décoder les données de la section 4.

  20. Types de descripteurs BUFR • Descripteur d’élément (définis dans la Table B) • Descripteur de répétition • Descripteur d’opération (définis dans la Table C) • Descripteur de séquence (définis dans la Table D) • Un descripteur se représente de la manière suivante, 3 chiffres sur 16 bits (2 octets) : • F: 2 bits 0-3 • X: 6 bits 0-63 • Y: 8 bits 0-255

  21. Descripteur d’élément • Il est défini par une entrée dans la Table B du Manuel. • F = 0 • Chaque descripteur d’élément décrit la manière de coder une valeur : • La valeur d’un paramètre météorologique: température, pression niveau mer, humidité … • Le type d’un instrument • Des informations sur la position et la date de la mesure • Des informations sur les contrôles de qualité

  22. Descripteur de répétition (1) • Il définit la répétition d’un seul ou d’un groupe de descripteurs un certains nombre de fois. • Les descripteurs répétés peuvent être des descripteurs d’élément, d’opération, de séquence ou même de répétition • Comme dans un message TEMP où un groupe de paramètres est répété pour chaque niveau • Il peut être de 2 types: • Fixe – le nombre de répétitions est pré-déterminé et sera le même pour toutes les séries de données • Variable – le nombre de répétitions varie d’une série a l’autre , on parle de répétition différée

  23. Descripteur de répétition (2) • F = 1 • X est un entier entre 1 et 63, il indique le nombre de descripteurs à répéter • Y est un entier entre 0 et 255; il indique le nombre total de répétitions des X descripteurs Ex : 101010 012001 Si Y = 0, il s’agit d’une répétition différée, le descripteur d’élément suivant indique alors le nombre de répétitions (stocké dans la section des données 4) Ex: 101000 031001 012001 Le nombre de répétition peut donc changer d’une série à l’autre.

  24. Descripteur d’opération • Le descripteur d’opération est défini dans la Table C • F = 2 • La valeur de X indique un type d’opération • La valeur de Y dépend de l’opération • Permet de modifier les caractéristiques d’un descripteur • Différents type d’opérations existent: • Changer l’échelle et/ou le champ de données • Ajouter des informations sur la qualité ou des champs associés • Ajouter des valeurs substituées tout en gardant la valeur d’origine

  25. Descripteur de séquence • Renvoie à une des entrées de la Table D • F = 3 • Énumère une série de descripteurs d’élément, d’opération, et /ou de séquences • Son utilisation permet de réduire la taille de la section 3, contribuant ainsi beaucoup à l’efficacité du code BUFR • Un seul descripteur de séquence peut être présent dans la section 3 pour d écrire un type d’observation (même complexe)

  26. Revue des Tables BUFR dans le Manuel Le code BUFR utilise plusieurs types de tables: • Table A • Catégories des données utilisées dans la section 1 (octet 9) • Table B • Descripteurs d’élément, utilisés dans la section 3 • Table C • Descripteurs d’opération, utilisés dans la section 3 • Table D • Descripteurs de séquence, utilisés dans la section 3 • Tables de Code et d’Indicateurs • Il faut alors se reporter à la table de code correspondante pour connaître la signification du champ numérique codé. • Utilisés dans la section 4

  27. Table A • Définition du type de données représentées dans le message BUFR • Encodé dans la section 1 (octet 9) • Examples of typical entries: Code figureMeaning 0 Surface data – land 1 Surface data – sea 2 Vertical soundings (non-satellite) 3 Vertical soundings (satellite) … … 6 Radar data … … 10 Radiological data 12 Surface data (satellite) … … 31 Oceanographic data

  28. Table B Classification des éléments • Décrit de quelle manière est codée le paramètre • Les colonnes sont: • Descripteur • Nom de l’élément • Unité • Échelle • Valeur de référence • Champ de données (en bits) • L’échelle et le champ de données sont déterminées en fonction des valeurs possibles du paramètre pour qu’il puisse être stocké dans le BUFR en entier positif. • Le BUFR est ainsi indépendant de la machine

  29. Table B • Décrit comment chaque valeur doit être encodée • Les descripteurs d’élément sont groupes en classes (i.e. la valeur X) Class NumberClass NameClass NumberClass Name 01 Identification 12 Temperature 02 Instrumentation 13 Hydrological … … 14 Radiation and radiance 04 Location (time) … … 05 Location (horizontal-1) 19 Synoptic features 06 Location (horizontal-2) 20 Observed phenomena 07 Location (vertical) 21 Radar data … … … … 11 Wind and turbulence 33 Quality information

  30. Table B référence • Les descripteurs sont toujours exprimés sous la forme F X Y (2 bits 6 bits 8 bits) • F = 0 pour un descripteur d’élément • X est compris entre 0 et 63 qui correspond à une classe d’élément Ex: classe 12 – classe des températures • Y est compris entre 0 et 255 qui correspond au numéro du descripteur dans la classe Ex: 0 12 003 Température du point de rosée

  31. Class 01 – Identification(extrait)

  32. Class 11 – vent et turbulence(extrait)

  33. Table B nom de l’élément • Commentaire décrivant la signification de la valeur • Par exemple: • Précipitation totale sur les 3 dernières heures • Vitesse du vent à 10 mètres

  34. Table B unité • Unités utilisées pour les valeurs: • Dans la plupart des cas, des unités de base en SI (mètre, Pa, Kelvin …) • “CCITT IA5” (the international version of ASCII) est utilisé pour les caractères tel que les indicatifs (nom d’un navire, nom d’un aéronef) • “Table de Code” utilisé pour la communication des informations qualitatives où seulement une valeur est possible • “Table d’indicateurs” utilisé pour la communication des informations qualitatives où plusieurs valeurs sont possibles

  35. Exemple table de code et d’indicateur 0 20 025 Obscurcissement Numéro de bit • 1 Brouillard • 2 Brouillard glacé • 3 Brouillard d’évaporation • 4-6 En réserve • 7 Brume • 8 Brume sèche • 9 Fumée • 10 Cendre volcanique • 11 Poussière • 12 Sable • 13 Neige • 14-20 En réserve • 21 Valeur manquante 0 20 024 Intensité du phénomène Chiffre Du code • 0 Pas de phénomène • 1 Léger • 2 Modéré • 3 Fort • 4 Violent • 5-6 En réserve • 7 Valeur manquante

  36. Table B échelle • Échelle • Avant le codage on multiplie la valeur de la donnée par 10 échelle • Elle permet de conserver la précision souhaitée de la donnée transmise • Une échelle de 2 signifie 2 décimales de précision (ex: T° = 273.16 température transmise de l’ordre du centième) • En revanche, certaines unités (Pa) entraînent la transmission de chiffres d’une précision inutile • On utilise alors une valeur d’échelle négative (ex: échelle –1 ce qui donne une valeur arrondie au multiple de 10)

  37. Table B Valeur de référence • La valeur de référence est un nombre qui doit être soustrait à la donnée, après multiplication par le facteur d’échelle, afin que la valeur ne soit en aucun cas NEGATIVE • Exemple, échelle=2, valeur de référence = -9000 valeur à coder latitude = -35.50: -35.50*102 = -3550 -3550 – (-9000) = 5450 sera la valeur chiffrée dans la section 4 • Lors du décodage on retrouve la valeur originale en faisant le calcul inverse

  38. Table B champ de données • Nombre de bits utilisés pour encoder la valeur après multiplication par le facteur d’échelle et soustraction de la valeur de référence • Par convention si tous les bits sont positionnés à 1, cela doit être interprété comme valeur manquante Valeur de (2n-1) lorsque n est le champ de donnée • Si l’échelle est s, la valeur de référence r, le champ de donnée n, alors la plage de valeur est: • Minimum (10-s  r) • Maximum (10-s  (2n-2+r)) et (10-s  (2n-1+r)) pour la valeur manquante.

  39. Table B De toute évidence sans table B à jour, impossible de décoder le contenu d’un BUFR

  40. Table B exemples – (1) • 0 11 012 – vitesse du vent à 10m • Échelle = 1, Référence = 0, Champ = 12 • Précision au dixième (ie. 0.1 m s-1) • Valeur Minimum représentable : (10-1×0) = 0.0 m s-1 • Valeur Maximum représentable : (10-1×(212-2+0)) = 409.4 m s-1 • Valeur manquante “Missing” : (10-1×(212-1+0)) = 409.5 m s-1

  41. Table B exemples – (2) • 0 13 020 – Précipitation totale sur 3 heures • Échelle=1, Référence =-1, Champ=14 • Précision en dixième (ie. 0.1 kg m-2) • Pour ce descripteur, -0.1 kg m-2 est une valeur spéciale pour indiquer les « traces » (voir note dans la Table B) • Valeur Minimum : (10-1×-1) = -0.1 kg m-2 (= trace) • Valeur Maximum : (10-1×(214-2-1)) = 1638.1 kg m-2 • Valeur manquante “Missing”: (10-1×(214-1-1)) = 1638.2 kg m-2

  42. Table B exemples – (3) • 0 20 003 – Temps présent • Échelle=0, Référence =0, Champ=9 bits • Les valeurs codées sont entières: Échelle=0 • Valeur Minimum : (100×0) = 0 • Valeur Maximum : (100×(29-2+0)) = 510 • Valeur manquante “Missing” : (100×(29-1+0)) = 511 • Il faut alors se référer à la table de Code 0 20 003 pour connaître le type de temps présent correspondant à la valeur codée.

  43. Table C • Descripteurs d’opérations • Utilisée pour redéfinir temporairement les caractéristiques de la tables B, ou ajouter des champs associés, ou ajouter des chaînes de caractères • F = 2 • X = un entier entre 0 et 63 • Y = Opérande, un entier entre 0 et 255 • Nom de l’opérateur: décrivant le type d’opération • Définition de l’opération: description détaillée de l’opération et de ses effets

  44. Table C exemple (1) • Référence F=2 X=01 • Opérande, dans ce cas représentée par Y • Nom de l’Opérateur “Changer de champ de données” • Définition: « Ajouter (Y-128) bits au champ de données indiqué pour chaque élément de données de la table B, autre que des données CCITT IA5 , une table de code ou une table d’indicateurs » • Pour supprimer la valeur redéfinie on inclus l’opérande appropriée avec Y = 000 ou à la fin de chaque sous-série de données. Ex : 2 01 000

  45. Table C exemple – (2) • L’opérateur “Changer de champ de données” (2 01 Y) permet de coder des valeurs sur un plage de bits plus grande (ou plus petite) que celle qui est donnée par défaut dans la table B: • Encoder des valeurs trop grandes pour être représentées avec le nombre de bits usuel (table B) et éviter ainsi de créer une nouvelle entrée dans la table B. • Dans ce cas Y > 128 • Réduire le champ de données (réduire ainsi la taille du BUFR) pour coder des valeurs plus petites et pour lesquelles on sait qu’on n’utilisera jamais la totalité du champ défini dans la table B • Dans ce cas Y < 128

  46. Table C exemple – (3) Un descripteur classique pour coder la hauteur est le 0 07 007 avec unité= m, échelle=0, référence=-1000 et champ de donnée =17, permet de coder des valeurs comprises entre –1000 m et 130070 m. Si on veut coder une valeur plus grande que 130070 m (ex: hauteur d’un satellite) il faudra utiliser le descripteur d’opération 2 01 Y pour augmenter le nombre de bits du champ de données. Ex: descripteur d’opération 2 01 130 suivi de 0 07 007 pour augmenter le champ de données de 2 bits, ainsi on pourra coder des valeurs sur un champ de 19 bits (soit la valeur maximum de 523286 m).

  47. Table C • This is just an excerpt – there are many other (even more complicated!) operators in Table C. • There are also many important notes to Table C describing, e.g. how to cancel an operator.

  48. Table D • Descripteurs de séquences • F = 3 • X = un entier compris entre 0 et 63 (classe) • Y = un entier compris entre 0 et 255 • Séquence de descripteurs • La liste des descripteurs, pouvant être des descripteurs d’élément (table B), des descripteurs de répétition, des descripteurs d’opération (table C) et aussi des descripteurs de séquences (table D) • Nom de l’élément • Description sur le type de paramètre

  49. Table D exemple

  50. Table D exemple – (1) • Dans cet exemple la séquence comporte 5 descripteurs • Deux sont des descripteurs d’élément (table B) • Les 3 autres sont des descripteurs de séquences (table D) qui représentent eux-même une liste d’éléments • Toutefois ce n’est pas récursif ! Un descripteur de séquence ne peut pas faire référence à lui-même.

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