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Le dossier d’étude préalable Les choix d’informatisation

Le dossier d’étude préalable Les choix d’informatisation. L’étude préalable Menée par projet. Comporte une analyse critique du système existant (physique, organisationnel, conceptuel) : MCT/MCD existant

Rita
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Le dossier d’étude préalable Les choix d’informatisation

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  1. Le dossier d’étude préalableLes choix d’informatisation

  2. L’étude préalable • Menée par projet. • Comporte • une analyse critique du système existant (physique, organisationnel, conceptuel): MCT/MCD existant • les objectifs du nouveau système (conceptuel, organisationnel) : MCT/MOT solution, MCD solution • Le(s) scénario(s) d’informatisation (choix techniques), • une évaluation des coûts et moyens nécessaires, • un planning de réalisation. • Se traduit • par un dossier d'étude préalable ou dossier de choix.  • Aboutit • au choix d'une solution par la direction.

  3. Le dossier d’étude préalable • Contient toute l'information issue de l’étude préalable et se décompose souvent en trois parties : • dossier de choix pour les décideurs, contenant les différentes solutions avec • coûts, • avantages, • inconvénients. • dossier technique pour les informaticiens contenant l'ensemble des éléments élaborés durant l'étude (MCT, MOT, MCD); sert de point de départ pour l'étude détaillée et la réalisation. • cahier des charges pour appel d'offres matériel et logiciel.

  4. Les choix : limites de l’informatisation Tout n’est pas informatisé. Critères "théoriques" • il faut des données identifiables et codifiables • des traitements formulables sous forme d'algorithme Critères pratiques • critère de faisabilité technique : matériel, logiciel, charge des services de développement… • critères humains et organisationnels : adaptabilité du personnel, volonté de changement de la part des responsables… • Critères de coût : investissement, fonctionnement. Pas une décision purement technique.

  5. Les choix techniques (au-delà du choix batch/conversationnel du MOT) La fonction saisie des données • Mode et support de saisie des données. La fonction mémorisation • Supportde mémorisation et solutions de gestion des données. La fonction traitement • Mode de traitement, • Modèle d’architecture, La fonction diffusion • Mode et support de diffusion des informations vers l'extérieur.

  6. La fonction saisie • Saisie manuelle •  Choix fonctionnels • saisie immédiate ou différée (par lot), • saisie en ligne ou non (support intermédiaire), • saisie par utilisateur ou personnel spécialisé. •  Choix techniques • application de saisie, • application web (formulaires HTML), • technologies spécifiques : bornes interactives (billetterie)…

  7. Saisiedirecte • (supports utilisables par l'homme et par l'ordinateur) • reconnaissance de caractères dactylographiés (OCR), • reconnaissance de l’écriture manuscrite • ex : adresses, chèques, TIP (titre interbancaire de paiement)… • lecture de caractères magnétiques (CMC7 sur chèques), • lecture de codes à barre (optique), • cartes graphitées, • saisie vocale …

  8. La fonction mémorisation • Critères de choix : capacité, performances, coût, transportabilité ... • disques magnétiques fixes : support idéal pour fichiers et bases de données, plusieurs centaines de Go par disque + technos RAID (RAID1 mirroirs), NAS (serveurs de stockage) et SAN (réseau de stockage : DD distant DD local ex: iSCSI sur TCP/IP) • disques amovibles : support de stockage avec échange entre machines; lecteurs transportables; quelques dizaines/centaines Go. • cassettes DAT (accès séquentiel) : fonction de sauvegarde et archivage sur qq dizaines de Go (support de coût unitaire faible).

  9. clé USB : support de stockage et de transfert de données entre machines (qq Go) • cd-rom / Dvd-rom : autre support de stockage et de transfert de données, • CD : 600 Mo – DvD :  4,7 Go • DVD-HD (‘blue ray’) : 15-25 Go (1 film en HD = 18Go) • DVD-HD multi couches : 60-100 Go • disque holographique (HDV) 300Go – 1,6 To …

  10. La fonction traitement Traitement unitaire immédiat (‘conversationnel’) • Saisie, mémorisation, traitement des données dès leur apparition dans le système d'information.  • Programmes conversationnels (interactifs). Différents niveaux de traitement unitaire immédiat • Saisie immédiate des données Ex: saisie immédiate des commandes avec édition en fin de journée des bons de livraison. • Saisie, mise à jour, consultation immédiate de données Ex: saisie des E/S avec mise à jour immédiate du stock pour consultation. • Saisie, mise à jour, consultation et diffusion immédiate des résultats Ex: saisie, mise à jour et édition d'un billet de réservation.

  11. Traitement par lots différé (‘batch’) • Les données sont collectées pendant une période, puis traitées sous forme de lot de manière différée. • Convient aux éditions lourdes (paie, facturation). • Convient aux traitements non urgents : statistiques, historiques...

  12. La fonction diffusion des résultats Affichage écran • terminal alphanumérique, • terminal graphique couleur, • Web  Imprimantes • centrale à haut débit (ex: Chorégie, Brabois), • locale à un poste de travail, • ligne (jusqu'à 1200 l/min), • jet d'encre: noir/couleur, • laser (4ppm jusqu'à + de 100ppm): noir/couleur.

  13. Autres modes de diffusion • parole synthétisée (cartes son sur micros) Supports informatiques (transportables) • clés USB, cd-rom, dvd-rom

  14. Les choix d’architecture Distribution des 3 fonctions : • présentation (interaction avec utilisateurs), • logique applicative (« métier ») : traitements, • gestion des données. 1. Architecture centralisée Un ordinateur central qui assure les 3 fonctions + des terminaux passifs locaux ou distants. 2. Architectures client/serveur Un ou plusieurs serveurs et n clients qui se partagent les 3 fonctions. Plusieurs répartitions :

  15. 2.1. Présentation déportée(1ère génération) Le client se charge uniquement de la présentation (terminal ‘passif’ type client XWindow ou « Terminal X »). Événement interface client serveur Résultat à afficher Présentation Traitements + données Inconvénient majeur : charge du réseau et du serveur. Revient à la mode avec les « clients légers » pour des raisons de coût (LTSP, Citrix).

  16. 2.2. Client/Serveur à 2 niveaux (2ème génération) Clients « lourds » Serveur de données Requête SQL application Résultat client Interpréteur base de données Requête SQL SQL + moniteur transactionnel application [procédures Résultat client stockées] Présentation données + traitements Inconvénient majeur : difficulté de déploiement/maintenance

  17. base de données [procédures stockées] 2.3. Client/Serveur à 3 niveaux (3ème génération) Clients web Serveur Traitement Serveur Données demande Navigateur web (ex: Apache) pages HTML Requête SQL [scripts] serveur HTTP Interpréteur Résultat demande SQL Navigateur web interpréteur Script pages HTML (php, asp, java-servlets/jsp) (ex: Tomcat) Pages HTML Avantage : déploiement facilité

  18. A noter l’existence potentielle de traitements à tous les niveaux : sur le client (ex: JavaScript ou java – applets - interprété par le navigateur), sur le serveur d’application, et sur le serveurs de données (ex: procédures stockées sur Oracle et partagées par les applications). • Pb du rechargement de page : vers plus de réactivité AJAX : JavaScript + XMLHttpRequest + XML + DOM + CSS. Document Object Model (modif. structure/style page) 2.4.Architectures à n niveaux (4ème génération) On peut enfin définir des architectures client/serveur plus complexes où la partie applicative et/ou la partie données peut être distribuée sur plusieurs machines. Ex : architecture java J2EE

  19. J2EE = standard pour le développement d’applications web qui sépare présentation (servlet/JSP->création pages dynamiques) et logique de l’application (EJB : composants java réutilisables). n machines JAAS = authentification JTA = Transactions JCA = connector JMS = messages Servlets :classes java JSP : balises avec java Serveur d’application = environnement d’exécution avec des services (= APIs Java) : JBoss, Jonas, Websphere, WebLogic…

  20. 3. Architectures distribuées • Basées sur le concept d’applications distribuées sur le réseau (réseau local ou Internet). • Les machines sont indifféremment clientes ou serveurs. • Les objets invoquent des méthodes (services) à distance ou s’envoient des messages. • Les middleware assurent cette communication entre composants d’une application distribuée : • RMI (solution purement java), • CORBA (composants écrits dans des langages différents avec des interfaces spécifiés dans un langage IDL commun), • SOAP (dans le cas des services web XML). • Nécessitent une panoplie de services annexes (nommage, sécurité, persistance, transactions, etc.) fournis par les middleware

  21. Répertoire de services (UDDI) Univ.Descr.Discov. 2. requête 1. Description du service (WSDL : URL, port, paramètres, schémas XML réponses, descriptif, coût …) 3. Services possibles (WSDL) application Fournisseur de services 4. Utilisation du service (SOAP) Simple Object Access Protocol Services web (architectures « orientées services » - SOA) Applications avec des services potentiellement trouvés dynamiquement sur le Web. « Tout XML ». facultatif Ex: gestion des déplacements (interrogation des services web des compagnies aériennes, chaînes d’hôtels, loueurs voitures…). Peut être utilisé en interne (avec des services connus).

  22. Conclusions • Beaucoup d’architectures et de solutions techniques (métier d’“architecte de systèmes d’information”). • Connaissances empiriques (retours d’expériences) : • ne pas utiliser « trop » de technologies différentes (passerelles, changements de formats…) • ne pas distribuer les composants sur « trop » de serveurs différents (plus de composants = plus de points de fragilité, performance des réseaux…) • prendre en compte la « montée en charge » future du SI • optimiser les performances (requêtes optimisées, index, caches applicatifs, compression des transmissions, purge et archivage des données…). On est loin de Merise…

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