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PLAN. 2. Qu’est-ce que la Francophonie ? L’importance de la Francophonie pour le Québec Les contributions du Québec en Francophonie Le Sommet de Montreux – 2010. Qu’est-ce que la Francophonie ?. 3. Qu’est-ce que la Francophonie ?. 4. La Francophonie est une réalité institutionnelle

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Presentation Transcript


  1. PLAN 2 • Qu’est-ce que la Francophonie ? • L’importance de la Francophonie pour le Québec • Les contributions du Québec en Francophonie • Le Sommet de Montreux – 2010

  2. Qu’est-ce que la Francophonie ? 3

  3. Qu’est-ce que la Francophonie ? 4 • La Francophonie est une réalité institutionnelle • 75 États et gouvernements issus des 5 continents réunis par le partage de la langue française et de valeurs communes

  4. La Francophonie dans le monde 5 • 220 millions de locuteurs francophones • Présence sur cinq continents :Amérique, Afrique et Proche-Orient, Europe, Asie, Océanie • 75 États et gouvernements, dont 56 membres et 19 observateurs • Élargissement dans les années depuis 1990 à plusieurs pays de l’Europe occidentale et centrale • Importance de la dimension Nord-Sud et du dialogue des cultures • Constitue un champ privilégié où le Québec peut démontrer sa solidarité à l’égard des pays du Sud • Espace de déploiement de son expertise francophone

  5. La carte ci-dessous apparaît sur le site Internet de l’OIF. À noter que, depuis le Sommet de Montreux, la Francophonie compte 19 observateurs 6

  6. Répartition de la Francophonie dans le monde Répartition de la Francophoniedans le monde 7 7 AFRIQUE ET PROCHE-ORIENT Bénin Burkina FasoBurundi Cameroun Cap-Vert Centrafrique Comores Congo Côte d’Ivoire Djibouti Égypte Gabon Ghana • Guinée Guinée-Bissau Guinée équatoriale Liban Madagascar Mali Maroc Maurice Mauritanie Mozambique * Niger République démocratique du Congo Rwanda São Tomé et Principe Sénégal Seychelles Tchad Togo Tunisie EUROPE Albanie Andorre Arménie * Autriche * Belgique Bosnie Herzégovine* Bulgarie Chypre • Communauté française de Belgique Croatie * Estonie * France Géorgie * Grèce Hongrie * Lettonie* Lituanie * Luxembourg Macédoine Moldavie, Monaco Monténégro* Pologne * République slovaque * République tchèque * Roumanie Serbie * Slovénie * Suisse Ukraine * AMÉRIQUES ASIE OCÉANIE Canada Dominique Haïti Nouveau-Brunswick Québec République dominicaine* Sainte-Lucie Cambodge Émirats arabes unis * Laos Thaïlande* Vietnam Vanuatu * Pays observateurs • Pays membres associés

  7. Origines de la Francophonie 8 • La Francophonie est issue du monde postcolonial, volonté du Sud • Fondée sur le partage d’une langue commune, la Francophonie institutionnelle est distincte du Commonwealth, qui regroupe les anciennes colonies britanniques Les pères fondateurs africains: • Léopold Sédar Senghor (Sénégal) (1906-2001) • Habib Bourguiba (Tunisie) (1903-2000) • Hamani Diori (Niger) (1916-1989)

  8. Organisation internationale de laFrancophonie 9

  9. Instances 10 La Francophonie est dotée d’instances auxquelles participent les représentants des États et gouvernements : • Conférence des Chefs d’État et de gouvernement des pays ayant le français en partage (connue aussi sous le nom de Sommet de la Francophonie • Conférence ministérielle de la Francophonie • Conseil permanent de la Francophonie

  10. Instances 11 • Sommet de la Francophonie (Sommet des chefs d’État et de gouvernement) • Instance suprême, où sont adoptées les grandesorientations de la Francophonie • Les Sommets ont doté la Francophonie institutionnelle d’une dimension politique s’ajoutant au volet coopération

  11. Instances 12 • Conférence ministérielle de la Francophonie • les ministres d’Affaires étrangères ou les ministres responsables de la Francophonie • Conseil permanent de la Francophonie • les représentants personnels des chefs d’État et de gouvernement

  12. Paris (Versailles) 1986 Québec 1987 Dakar 1989 Paris (Chaillot) 1991 Maurice (Port Louis)1993 Cotonou 1995 Hanoï 1997 Moncton 1999 Beyrouth 2002 Ouagadougou 2004 Bucarest 2006 Québec 2008 Montreux 2010 Les Sommets de la Francophonie 13

  13. Les Sommets de la Francophonie 14 1986 : Premier Sommet à Paris – France Sommet des retrouvailles des pays de langue française. Élaboration de 4 domaines stratégiques d’intervention (développement, culture et communication, industries de la langue, information scientifique et développement technologique) 1987 : Sommet à Québec – Québec Sommet de la programmation à long terme dans chacun des domaines d’intervention retenus par le Sommet de Paris. Création de l’UREF. Création de TV5 Québec-Canada. Création des Jeux de la Francophonie. Première manifestation du Forum francophone des affaires 1989 : Sommetde Dakar – Sénégal Sommet de l’éducation, de l’environnement et de la coopération juridique et judiciaire. Création de l’Université Senghor d’Alexandrie

  14. Les Sommets de la Francophonie 15 1991 : Sommet de Chaillot (Paris) – France Sommet de la démocratie et du développement. Volonté de créer un espace économique francophone. Les instances de la Francophonie sont instituées. 1993 : Sommet de Maurice – Maurice Sommet de l’affirmation de la dimension politique de la Francophonie et de sa présence sur la scène internationale. Détermination des secteurs à privilégier dans la coopération économique. Réflexion sur l’avenir de la Francophonie 1995 : Sommet de Cotonou – Bénin Sommet à forte teneur politique. Importance de l’éducation de base. Importance de la présence francophone sur l’autoroute de l’information

  15. Les Sommets de la Francophonie 16 1997 : Sommet de Hanoi — Vietnam Instauration d’unecoopération économique francophone. Élaboration de la Charte de la Francophonie.Création du poste de secrétaire général avec l’élection de Boutros Boutros-Ghali 1999 : Sommet de Moncton — Nouveau-Brunswick Thème jeunesse. Insistance sur la démocratie, l’état de droit et les droits de la personne ainsi que sur la diversité culturelle 2002 : Sommet de Beyrouth — Liban Thème : dialogue des cultures. Engagement en faveur d’une convention internationale sur la diversité culturelle. Promotion par le Québec de l’engagement da la Francophonie en faveur de la diversité culturelle. Élection d’Abdou Diouf au poste de secrétaire général

  16. Les Sommets de la Francophonie 17 2004 : Sommet de Ouagadougou — Burkina Faso Thème : développement durable et solidaire.Adoption d’un cadre stratégique décennal, réaffirmation de la mobilisation francophone dans le dossier de la diversité culturelle et de sa volonté de contribuer au règlement des crises ivoirienne, proche-orientale et de celle du coton, choix de Québec pour la tenue du XIIe Sommet de la Francophonie en 2008 2006 : Sommet de Bucarest — Roumanie Thème : « les technologies de l‘information dans l’Éducation » La Conférence a également adopté cinq résolutions dont l’une portait sur les changements climatiques. La crise libanaise y a soulevé l’attention. La Conférence ministérielle de la Francophonie qui avait précédé le Sommet avait adopté, le 26 septembre, un vade-mécum relatif à l’usage de la langue française dans les organisations internationales.

  17. Les Sommets de la Francophonie 18 2008 : Sommet de Québec — Canada La conférence s’est déroulée sur fond de crise financière, de crise alimentaire et de conflits dans l’espace francophone. La formule du Sommet a été renouvelée avec la désignation de quatre enjeux (démocratie et État de droit, environnement, gouvernance économique, langue française) - Les chefs d’État et de gouvernement ont rappelé leur attachement à la langue française et se sont engagés à promouvoir son utilisation dans les organisations internationales; - ils se sont engagés à œuvrer de façon plus vigoureuse en faveur de la paix, de la démocratie et des droits de l’Homme, notamment par la mise en œuvre des Déclarations de Bamako et de St-Boniface

  18. Les Sommets de la Francophonie 19 • ils se sont engagés à promouvoir la transparence, la responsabilité et la bonne gouvernance. Ils ont, entre autres, encouragé une adhésion plus large à l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) et à promouvoir la responsabilité sociale des entreprises (RSE); • - ils ont constaté que les changements climatiques constituaient un défi important et ont convenu de développer leur coopération. • 2010 : Sommet de Montreux (section spécifique)

  19. Le représentant légal de l’OIF Élu pour un mandat de 4 ans, par les chefs d’État et de gouvernement de la Francophonie Rôle diplomatique et politiqueimportant Secrétaire général 20

  20. L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) 21 • L’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT), ancêtre de l’OIF, est créée en 1970 à Niamey • En 1998, suite aux décisions du Sommet de Hanoï, l’ACCT devient l’Agence intergouvernementale de la Francophonie (AIF) et le poste de secrétaire général est créé • En 2005, par la «réforme de Madagascar», l’AIF est dissoute • L’OIF devient seule dépositaire du mandat et des responsabilités conférés depuis 1998 à l’AIF

  21. Les quatre missions de l’OIF 22 • Paix, démocratie et droits de l’Homme • Promotion de la langue française et de la diversité culturelle et linguistique • Éducation de base, formation professionnelle et technique • Coopération économique et sociale au service du développement durable et de la solidarité

  22. Opérateurs directs 23 • Agence universitaire de la Francophonie (AUF) • TV5 • Université Senghord’Alexandrie • Association internationaledes maires francophones (AIMF)

  23. Opérateurs directs L’Agence universitaire de la Francophonie 24 • Siège social àMontréal • 9 bureaux régionaux; 759 établissements d’enseignement supérieur membres ; présence dans 90 pays • Contribution au développement de l’enseignement supérieur et de la recherche en français • Soutien à la coopération et à la solidarité entre les institutions universitaires francophones • Toutes les universités francophones du Québec en sont membres

  24. Opérateurs directsTV5 25 • Créée en 1984 • Première chaîne mondiale de langue française et troisième chaîne internationale d’information après CNN et BBC • TV5 Québec-Canadadiffuse à partir de Montréal • Élément important de rayonnementinternational pour le Québec et de rayonnement de la Francophonie au Québec

  25. Opérateurs directsUniversité Senghor d’Alexandrie 26 Fondée en 1990 • Former / perfectionner cadres et formateurs de haut niveau. • Orienter leurs aptitudes vers l’action et l’exercice des responsabilités dans certains domaines prioritaires pour le développement africain

  26. Opérateurs directs Association internationale des maires francophones 27 • Créée à Québec, 1979. • Instauration d’une coopération étroite dans les domaines de la décentralisation et de la gouvernance locale et du développement socio-économique durable • 213 villes et regroupements municipaux rattachés à 48 États et gouvernements 8 membres québécois dont Montréal (1979), Québec (1979) et Gatineau (1991)

  27. Conférences ministérielles sectorielles permanentes 28 • Deux conférences ministérielles sectorielles permanentes : la CONFÉMEN(Éducation) et la CONFÉJES(Jeunesse et Sports): sont parties intégrantes de l’OIF depuis l’adoption à d’Antanarivo, en novembre 2005, de la nouvelle Charte de la Francophonie

  28. Assemblée consultative L’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) 29 Créée en 1967 • Forum parlementaire,l’Assemblée consultative de la Francophonie, participe aux travaux des Sommets comme observateur; • adopte des résolutions sur les sujets intéressant la communauté francophone dans les domaines politique économique, social et culturel; • adopte des avis et des recommandations destinés à la Conférence ministérielles de la Francophonie, au Conseil permanent de la Francophonie et aux chefs d’État et de gouvernement des pays ayant le français en partage.

  29. L’importance de la Francophonie pour le Québec 30

  30. L’importance de la Francophonie pour le Québec 31 La Francophonie permet au Québecd’affirmer sa personnalité internationale : • Statut officiel de gouvernement participant au sein de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) • Il s’y exprime de sa propre voix • Participe à l’avancement des grands débats de société (Convention internationale sur la diversité culturelle/UNESCO, développement durable, paix et démocratie) • Accès privilégié à 74 autres membres de la Francophonie

  31. Objectifs du Québec 32 • Le Québec favorise l’appui à des projets destinés aux populations locales du Sud

  32. Objectifs du Québec 33 Objectifs prioritaires : • Promotion et rayonnement international de la langue française (220 millions de locuteurs, langue officielle et de travail à l’ONU et à l’Union européenne) • Droit des cultures à l’existence (Convention sur la diversité de l’UNESCO) • Affirmation des principes de la démocratie • Promotion de la modernité

  33. Les contributions du Québec en Francophonie 34

  34. Contributions du Québec 35 • Quelques exemples des contributions du Québec à la construction de la Francophonie 1961 : • Création de l’Association des universités partiellement ou entièrement de langue française (AUPELF), aujourd’hui AUF

  35. Contributions du Québec 36 • Participe à la création de la Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports des États et gouvernements ayant le français en partage (CONFÉJES)en 1969

  36. Contributions du Québec 37 • Deux Québécois ont occupé la fonction de secrétaire général de l’ACCT : - Jean-Marc Léger (1970–1973) - Jean-Louis Roy (1990-1997) • Un Québécois devient, en janvier 2005, le premier Administrateur de l’OIF réformée : - Clément Duhaime

  37. Contributions du Québec 38 • En 1979, le maire de Québec, M. Jean Pelletier, et le maire de Paris, M. Jacques Chirac, créent l’Association internationale des maires francophones

  38. Contributions du Québec 39 1987 : le siège de l’IEPF(l’Institut de l ’énergie et de l’environnement de la Francophonie) s’installe au Québec en 1987. 1988 : • Création de TV5 Québec-Canada

  39. 40 Le Sommet de Montreux

  40. Principales décisions du Sommet de Montreux 41 - Les adhésions Le Sommet a accepté les demandes d’adhésion des pays suivants en qualité d’observateurs : • la Bosnie Herzégovine, • les Émirats Arabes Unis, • l’Estonie, • le Monténégro, • la République Dominicaine.

  41. Principales décisions du Sommet de Montreux 42 - Adoption de la Déclaration de Montreux qui : • affirme que la promotion du français est au cœur des missions de l’OIF; • réitère la volonté de promouvoir la diversité culturelle et linguistique; • réaffirme la primauté des valeurs de paix, de démocratie, d’État de droit, des droits de l’Homme et de l’égalité entre les hommes et les femmes; • renforce les solidarités et concertations francophones nécessaires pour relever ces défis

  42. Principales décisions du Sommet de Montreux 43 - Reconnaissance dans la Déclaration du rôle des entités fédérées, des régions et des collectivités territoriales dans la mise en œuvre des engagements internationaux touchant leurs secteurs de compétence - Réélection pour un mandat de quatre ans de Abdou Diouf au poste de secrétaire général - Signature en marge du Sommet de trois pactes linguistiques avec le Liban, les Seychelles et Sainte-Lucie

  43. Principales décisions du Sommet de Montreux 44 - Organisation au printemps 2012 par l’OIF, avec le collaboration du gouvernement du Québec, du 1er Forum mondial de la langue française

  44. 45 Sommet de la Francophoniede 2012 : Kinshasa,République démocratique du Congo

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