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La pathologie

La pathologie. Pathologie infectieuse : la pyélonéphrite Pathologie vasculaire : l'hypertension réno-vasculaire Pathologie obstructive "haute" : Syndrome de la jonction pyélo-uretérale, mégauretère. Les méthodes d'exploration. Imagerie statique : le DMSA

yvonne
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Presentation Transcript


  1. La pathologie • Pathologie infectieuse : la pyélonéphrite • Pathologie vasculaire : l'hypertension réno-vasculaire • Pathologie obstructive "haute" : Syndrome de la jonction pyélo-uretérale, mégauretère

  2. Les méthodes d'exploration • Imagerie statique : le DMSA • Imagerie dynamique : le néphrogramme isotopique au DTPA ou au MAG3 • Tests pharmacologiques : néphrogramme sous Captopril, néphrogramme sous lasilix (= test de vidange) • Explorations vésicales : cystographie isotopique

  3. Anatomie rénale • A : rein • C : artère rénale • D : veine rénale • G : bassinet • F : uretère • I : jonction pyélo-uretérale d'après l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert

  4. d'après l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert Anatomie rénale (2)

  5. Principaux composants du rein glomérule tubule glomérule anse de Henlé NEPHRON = glomérule + "tubule"

  6. Scintigraphie au DMSA • DMSA : traceur "cortical" , qui se fixe sur les tubules. (pas de fix° si atteinte tubulaire) • Reflet de la "masse corticale fonctionnelle". • Fixation progressive avec un plateau au bout de 12h environ : environ 45% de la dose injectée chez l'adulte, rapport G/D proportionnel à la fonction rénale séparée • la fixation augmente chez l'enfant au fur et à mesure de la croissance rénale.

  7. Technique • Injection IV du DMSA : 50 µCi/kg • Images statiques :18 h après : • face postérieure(coll // ± pinhole) • éventuellement obliques postérieures • peu d'intérêt de la tomographie • Quantification relative (G-D) ± absolue (% de fixation de la dose injectée). Incidences antérieure et postérieure avec caméra 2 têtes pour la correction de profondeur

  8. Fixation du DMSA plateau Images planes

  9. Résultats • Fixation homogène sur le cortex, en forme de "haricot". • Taux de fixation absolu ( 45% ± 7) • Fixation relative (symétrique) • En cas de pyélonéphrite : hypofixation corticale, souvent polaire, pouvant être multiple, avec éventuelle diminution de la fixation totale et asymétrie fonctionnelle.

  10. Scintigraphie au DMSA normale fixation homogène zones d'interêt quantificationrelative quantificationabsolue

  11. La pyélonéphrite aiguë • Atteinte bactérienne interstitielle, de la médullaire et du bassinet • Sémiologie d'une infection urinaire fébrile • pathologie fréquente chez l'enfant, en particulier chez les filles (sex ratio : 10). • Fréquence des récidives (50 à 80% des cas) • Risque de séquelles graves : HTA sévères, insuffisance rénale

  12. Lesfacteursfavorisants • Uropathie : reflux vésico-uretéral • Dysplasie rénale <=> Uropathie • Virulence du germe • Qualité de la réponse immunitaire

  13. TDM : PNA

  14. Aspects Scintigraphiques des Pyélonéphrites aigues Focale localisée Focale étendue Diffuse

  15. Pyélonéphrite sévère

  16. PNA bifocale sévère

  17. Pyélonéphrite pluri focale

  18. Performances d'après Bouissou & coll

  19. Pyélonéphrite aiguë chez un nourrisson de un an Scintigraphies au DMSA et valeurs de fixation absolue 21% 14% 16% 8% 9 mois plus tard Phase aiguë Pas de séquelles

  20. PNA avec séquelles

  21. Autres applications du DMSA • Évaluation précise de la fonction rénale séparée(pour indication de néphrectomie) • Suivi de la fonction compensatrice controlatérale après ablation • L'imagerie des tumeurs ou autres masses est abandonnée au profit des US, TDM et IRM

  22. Conclusion • Technique performante(meilleure sensibilité dans la PNA) • Technique peu irradiante(vs UIV ou TDM) • Technique reproductible et quantifiable • Seule méthode de quantification de la fonction rénale séparée NON INVASIVE • ABSENCE d'injection d'iode(pas d'allergie ni de néphrotoxicité)

  23. Données de radioprotection r e i n v e s s i e o v a i r e t e s t i c u l e U I V 1 8 7 5 4 3 5 0 3 0 5 5 7 8 D M S A 1 4 6 0 3 6 0 4 0 2 1 ( 2 m C i ) ( - 2 2 % ) ( - 9 2 % ) ( - 9 9 % ) ( - 7 3 % ) D T P A 2 4 7 1 7 1 3 6 7 5 0 ( 5 m C i ) ( - 8 7 % ) ( - 6 1 % ) ( - 9 8 % ) ( - 3 6 % ) Les techniques isotopiques sont moins irradiantes

  24. Cystographie isotopique • Exploration de la vessie après remplissage par du Tc 99m • Remplissage physiologique ou actif (sonde) • clichés statiques séquentiels + dynamique per mictionnel • manoeuvres de provocation • méthode sensible et peu irradiante • permet de détecter le reflux (gradation ?)

  25. Gradation des reflux

  26. Cystographie rétrograde

  27. Cystographie isotopique positive a 1h30 per mictionnel

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