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Calendrier vaccinal 2011. Les points clés de la SEV2011

Calendrier vaccinal 2011. Les points clés de la SEV2011. Professeur Daniel Floret. INPES- SEV 2011- 28 mars 2011. Les nouveautés du calendrier vaccinal. Pas d’innovations majeures Le point le plus important concerne la rougeole:

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Calendrier vaccinal 2011. Les points clés de la SEV2011

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  1. Calendrier vaccinal 2011.Les points clés de la SEV2011 Professeur Daniel Floret INPES- SEV 2011- 28 mars 2011

  2. Les nouveautés du calendrier vaccinal • Pas d’innovations majeures • Le point le plus important concerne la rougeole: • 2 doses recommandées pour toutes les personnes nées depuis 1980 (au lieu d’une seule dose pour les personnes nées entre 1980 et 1992) • Extension de la recommandation aux professionnels de la petite enfance • Plus d’exigence de sérologie préalable pour les PS et petite enfance non au clair avec leur statut vis-à-vis de la rougeole

  3. Les nouveautés du calendrier vaccinal • La vaccination grippe saisonnière: mise à jour de la liste des personnes éligibles à la vaccination du fait des maladies sous-jacentes • La vaccination contre les papillomavirus humains: les 2 vaccins sont désormais considérés comme équivalents • Un nouveau vaccin méningococcique quadrivalent conjugué (A,C,Y,W135) avec une place très limitée • Fièvre jaune (Guyane): ne pas vacciner les femmes qui allaitent (sauf situation épidémique) avant que l’enfant ait atteint l’âge de 6 mois (transmission du virus vaccinal par l’allaitement avec risque d’encéphalite)

  4. SEV 2011: -les axes prioritaires de communication -ce qu’il ne faudra pas éviter -ce qu’on ne pourra pas éviter

  5. Priorité à la rougeole! Données InVS mars 2011 L’épidémie de rougeole explose en France: -plus de 7000 cas déclarés depuis 2008 - plus de 5000 cas déclarés en 2010 -plus de 3 400 cas déclarés en janvier- février 2011

  6. Des particularités épidémiologiques inquiétantes • Grandes disparités régionales: les régions du sud de la France (et notamment Rhône- Alpes) devront insister sur leur épidémiologie particulière • Les nourrissons < 1 an sont la tranche d’âge la plus touchée (8,3%) et 57% on moins de 9 mois alors qu’ils sont plus à risque de complications • La rougeole n’est plus une maladie de l’enfant: • Age médian des cas déclarés 14 ans • 34% des cas déclarés ont plus de 20 ans • La rougeole est plus grave chez les adultes

  7. La rougeole est une maladie grave Complications recensées chez les malades hospitalisés en 2010 • Environ 1/3 des cas déclarés ont été hospitalisés: • 38% des < 1 an • 42% des ≥ 20 ans • 5 décès depuis le début de l’épidémie (dont un récent chez une jeune femme sans FDR) • 8 encéphalites en 2010 (et au moins 2 en 2011) Données InVS mars 2011

  8. La plupart des cas ne sont pas ou pas correctement vaccinés En 2010: -82% non vaccinés -13% vaccinés à 1 dose -3% vaccinés à 2 doses -2% nombre de dose inconnu Données InVS

  9. Comment en sortir? • Les expériences internationales (OMS) montrent que 2 conditions sont requises pour arrêter une épidémie de rougeole: • Avoir un programme de vaccination de base cohérent • Être capable de faire des campagnes de rattrapage des non vaccinés

  10. Nous avons un programme de base cohérent • Vaccination recommandée chez tous les nourrissons • 1° dose à l’âge de 12 mois (9 mois pour les enfants en collectivité • 2° dose avant l’âge de 2 ans (intervalle d’au moins 1 mois entre les 2 doses) • La couverture vaccinale des enfants n’est pas si mauvaise

  11. Vaccine coverage according to age and school level (source : DREES, InVS, DESCO) 1st dose

  12. Notre programme de rattrapage vient d’être aménagé • 2 doses pour les sujets nés après 1980 (antérieurement 1 seule dose pour les sujets nés entre 1980 et 1992) • Les motivations (avis du HCSP 11/02/11): • 23% des cas déclarés dans la tranche d’âge 20- 29 ans dont 22% vaccinés à 1 dose • Enquête séro-inf (données préliminaires): 8% de réceptifs dans cette tranche d’âge • L’application de cette mesure pourrait éviter entre 203 et 724 cas de rougeole/an

  13. Passer à l’acte! • Depuis 2005 nous disons qu’il faut vacciner • Il serait temps de le faire! HCSP, avis du 11 février 2011

  14. La sécurité des vaccins: un sujet à ne pas éluder • Dans le contexte du Médiator, l’AFSSAPS a publié la liste des médicaments sous surveillance, présentés par la grande presse comme la liste des médicaments dangereux • Figurent dans la liste Gardasil®, Cervarix® et Prevenar13® • Après une période de communication calamiteuse l’AFSSAPS a publié un communiqué qui mérite d’être relayé

  15. Le communiqué de l’AFSSAPS Tous les médicaments mis sur le marché font l’objet d’une surveillance. Certains d'entre eux font l'objet d'une surveillance plus spécifique qui peut prendre la forme d’un plan de gestion des risques (PGR) ou d’une enquête de pharmacovigilance : soit parce qu'il s’agit d’une nouvelle substance active ou d’une nouvelle classe pharmacologique, soit parce que de nouveaux signaux ont été détectés pour un médicament déjà commercialisé et nécessitent un approfondissement La liste des médicaments publiée récemment sur le site de l’agence concerne des médicaments pour lesquels il a paru nécessaire de renforcer la surveillance, à titre préventif notamment lorsqu’il s’agissait de nouveaux principes actifs, tels que les vaccins Gardasil, Cervarix, Prevenar 13 (plan de gestion des risques).

  16. Le communiqué de l’AFSSAPS • Les vaccins indiqués contre les infections à papillomavirus humains (HPV), notamment le Gardasil et le Cervarix ont été mis sur le marché en 2006 et 2007. Quatre ans après leur arrivée sur le marché, il n’y a pas d’éléments remettant en cause leur bénéfice / risque et la recommandation de vacciner à partir de 14 ans. • Le vaccin Prevenar 13 a remplacé le vaccin Prevenar. Ce vaccin contre le pneumocoque a été mis sur le marché en juin 2010. Comme il s’agit d’un nouveau vaccin, l’Afssaps a souhaité assurer par précaution un suivi renforcé. Six mois après la mise sur le marché et 1,4 millions de doses distribuées à ce jour, aucune préoccupation n’a émergé

  17. Le communiqué de l’AFSSAPS • Les résultats des études de surveillance de ces vaccins ont permis de s’assurer de leur bonne tolérance, ne remettant pas en cause le bénéfice de ces vaccins. En conséquence, l’Afssaps considère que conformément aux recommandations du calendrier vaccinal en vigueur, les actions de vaccination et prévention peuvent être poursuivies en toute sécurité, dans le respect des indications et contre indications

  18. La grippe: avoir les idées claires • Le calendrier vaccinal 2011 a modifié la liste des personnes éligibles à la vaccination contre la grippe saisonnière • Vis-à-vis du virus A(H1N1)pdm09 les recommandations qui s’appliquent sont celles du 29 décembre 2010 intégrant • Les femmes enceintes • Les sujets obèses

  19. Les nouvelles recommandations(calendrier vaccinal 2011) • Personnes âgées de 65 ans et plus • Les personnes, y compris les enfants à partir de l’âge de 6 mois et les femmes enceintes, atteintes des pathologies suivantes : • affections broncho-pulmonaires chroniques répondant aux critères de l’ALD 14 (asthme et BPCO) • insuffisances respiratoires chroniques obstructives ou restrictives quelle que soit la cause, y compris les maladies neuromusculaires à risque de décompensation respiratoire, les malformations des voies aériennes supérieures ou inférieures, les malformations pulmonaires ou les malformations de la cage thoracique • maladies respiratoires chroniques ne remplissant pas les critères de l’ALD mais susceptibles d’être aggravées ou décompensées par une affection grippale, dont asthme, bronchite chronique, bronchiectasies, hyper réactivité bronchique • dysplasies broncho-pulmonaires • mucoviscidose

  20. Les nouvelles recommandations (calendrier vaccinal 2011) • Les personnes, y compris les enfants à partir de l’âge de 6 mois et les femmes enceintes, atteintes des pathologies suivantes : • cardiopathies congénitales cyanogènes ou avec une HTAP et/ou une insuffisance cardiaque • insuffisances cardiaques graves • valvulopathies graves • troubles du rythme graves justifiant un traitement au long cours • maladies des coronaires

  21. Les nouvelles recommandations (calendrier vaccinal 2011) • Les personnes, y compris les enfants à partir de l’âge de 6 mois et les femmes enceintes, atteintes des pathologies suivantes : • antécédents d’accident vasculaire cérébral • formes graves des affections neurologiques et musculaires (dont myopathie, poliomyélite, myasthénie, maladie de Charcot) • paraplégies et tétraplégies avec atteinte diaphragmatique • néphropathies chroniques graves • syndromes néphrotiques

  22. Les nouvelles recommandations (calendrier vaccinal 2011) • Les personnes, y compris les enfants à partir de l’âge de 6 mois et les femmes enceintes, atteintes des pathologies suivantes : • drépanocytoses, homozygotes et doubles hétérozygotes S/C, thalasso drépanocytose • diabètes de type 1 et de type 2 • déficits immunitaires primitifs ou acquis (pathologies oncologiques et hématologiques, transplantations d’organe et de cellules souches hématopoïétiques, déficits immunitaires héréditaires, maladies inflammatoires et/ou auto immunes recevant un traitement immunosuppresseur), excepté les personnes qui reçoivent un traitement régulier par immunoglobulines, personnes infectées par le VIH quel que soit leur âge et leur statut immunovirologique

  23. Les nouvelles recommandations (calendrier vaccinal 2011) • Les personnes séjournant dans un établissement de soins de suite ainsi que dans un établissement médico-social d’hébergement quel que soit leur âge • L’entourage familial des nourrissons de moins de 6 mois présentant des facteurs de risque de grippe grave ainsi définis : prématurés, notamment ceux porteurs de séquelles à type de bronchodysplasie, et enfants atteints de cardiopathie congénitale, de déficit immunitaire congénital, de pathologie pulmonaire, neurologique ou neuromusculaire ou d’une affection longue durée • Cadre professionnel: • professionnels de santé et tout professionnel en contact régulier et prolongé avec des sujets à risque • Personnel naviguant des bateaux de croisière et des avions, personnel de l’industrie des voyages accompagnant les voyageurs (guides)

  24. Et la grippe A(H1N1)? • En 2010- 2011 le virus A(H1N1)pdm09 a co-circulé avec A (H3N2) et B mais a conservé (contrairement aux attentes) les caractéristiques du virus pandémique (InVs point au 23/03/11): • Formes graves chez les personnes 15- 64 ans (70% des formes graves), y compris sans FDR (36%) • Complications respiratoires graves de type SDRA (497 cas à ce jour, dont 69 ECMO), 132 décès • Formes graves chez les femmes enceintes (31 cas à ce jour) et les personnes obèses (90 cas à ce jour) • D’où l’avis du 29 décembre 2010

  25. Et après? • Les recommandations du 29 décembre 2010 (intégrant les femmes enceintes et les obèses) s’appliquent aux territoires français de l’hémisphère sud (Réunion) • Les recommandations concernant la campagne 2011-2012 seront réexaminées en fonction de l’évolution des caractéristiques du virus A(H1N1) notamment durant l’hiver austral

  26. La vaccination contre le méningocoque de sérogroupe C • …le Haut Conseil de la santé publique recommande la vaccination systématique des nourrissons âgés de 12 à 24 mois avec une seule dose de vaccin méningococcique C conjugué. • Par ailleurs, durant la période initiale de mise en place de cette stratégie et en attendant son impact optimal par la création d’une immunité de groupe, le Haut Conseil de la santé publique recommande l’extension de cette vaccination systématique jusqu’à l’âge de 24 ans révolus selon le même schéma vaccinal à une dose. • Cette stratégie et la nécessité éventuelle d’un rappel à l’adolescence seront réévaluées en fonction des données de surveillance en France et dans les autres pays ayant introduit cette vaccination. Haut Conseil de la santé publique: avis du 24 avril et 26 juin 2009

  27. Qu’en est-il? • Vaccination inscrite au calendrier vaccinal 2010 • Le recul est faible mais les informations (officieuses) inquiétantes: • Démarrage lent de la vaccination des nourrissons • Pratiquement pas de vaccinations dans le cadre du rattrapage • Les pédiatres se sont approprié les recommandations • Les généralistes les ignorent

  28. Les recommandations additionnelles • Le Haut Conseil de la santé publique demande que, pour l’obtention rapide d’une couverture vaccinale élevée, soient prises les mesures suivantes : • Mise en place d’actions de communication institutionnelle soulignant notamment les points suivants : • La vaccination par le vaccin méningococcique conjugué de sérogroupe C protège contre les infections invasives à méningocoque de sérogroupe C mais non contre celles liées aux méningocoques des autres sérogroupes • Cette stratégie vaccinale comporte une composante de protection individuelle mais également une composante de protection collective • L’obtention rapide d’une couverture vaccinale élevée conditionne l’efficacité de ce programme de vaccination Haut Conseil de la santé publique: avis du 24 avril et 26 juin 2009

  29. Impact des différentes stratégies Grands nourrissons sans IG Petits nourrissons sans Ig Grands nourrissons+ Ig Petits nourrissons + Ig Modélisation CRESGE/InVS. D’après B.Dervaux

  30. Justification de la cible Incidence annuelle moyenne des infections à méningocoques de type C par âge pour 100 000 habitants, DO 2003-2007 Source : I Parent du Chatelet, InVS

  31. Les conséquences • Il n’y aura pas d’immunité de groupe • L’impact de la vaccination sur l’épidémiologie de la maladie sera faible • L’intérêt de la vaccination sera la protection individuelle mais • Les sujets les plus à risque (0-1an) ne seront pas protégés

  32. Nouvelle recommandation

  33. I.Parent du Chatelet et al. Les infections invasives à méningocoque en France en 2007. BEH 2008; 51-52: 498-503

  34. Les vaccins méningococciques tétravalents A,C,Y,W135 • Deux vaccins: • Non conjugué: Mencevax® • Conjugué: Menvéo® • Avantage du vaccin conjugué • Meilleure immunogénicité • Protection espérée plus longue • Pas de problème d’hypo réactivité • Inconvénient actuel du vaccin conjugué: AMM à 11 ans

  35. La stratégie vaccinale contre le méningocoque C repose sur l’utilisation du vaccin monovalent • Raison: il n’existe pas à ce jour d’étude publiée démontrant l’équivalence en matière d’immunogénicité du vaccin monovalent et du quadrivalent sur la valence C • Les enfants de 2 à 11 ans porteurs de FDR: déficit en fraction terminale du complément ou traitement anti-C5A, déficit en properdine, ou asplénie anatomique ou fonctionnelle doivent être vaccinés avec le vaccin tetravalent conjugué ACYW135 • Utilisation préférentielle du vaccin tétravalent conjugué chez les personnes ≥ 11ans: • Labos de recherche sur le méningocoque • En post exposition aux méningocoques A,Y,W135 • Voyageurs: Afrique sub saharienne, La Mecque

  36. La vaccination HPV (avis du 17 décembre 2010) Le HCSP

  37. La vaccination HPV: couverture vaccinale à 3 doses Analyse InVS (annexe 3 avis du HCSP 17 décembre 2010

  38. Vaccination contre le pneumocoque (vaccin conjugué) • Introduite aux USA en 2000 • Introduite en France • En 2003 (premier pays d’Europe): nourrissons à risque d’infections invasives • En 2007: généralisation à tous les enfants < 2 ans et extension enfants à risque < 5 ans • Vaccin conjugué (Prevenar®) contenant les 7 sérotypes les plus impliqués dans les infections invasives (méningites et bactériémies) chez les nourrissons

  39. In Whitney CG & al. Direct and indirect effectiveness and safety of pneumococcal conjugate vaccine en practice. Pneumococcal Vaccine. Siber G, Klugman KP, Mäkelä PH Ed. Washington 2008

  40. Impact aux USA: effet indirect In Whitney CG & al. Direct and indirect effectiveness and safety of pneumococcal conjugate vaccine en practice. Pneumococcal Vaccine. Siber G, Klugman KP, Mäkelä PH Ed. Washington 2008

  41. Incidence des méningites à pneumocoques chez les nourrissons de 0-23 mois2001- 2008 Réduction de 32% -84,7% + 92,2% Source InVS-CNR

  42. Incidence des IIP par tranche d’âge2001- 2008 +89,4% -50,2% -65,5% +124,1% Enfants de 2- 14 ans Sujets de 15- 64 ans Source: InVS- EPIBAC- CNR

  43. Incidence des IIP chez les sujets≥ 65 ans- 2001-2008 +71,6% -22,8% Source InVS- EPIBAC- CNR

  44. Impact sur les sérotypes Emprunté à Emmanuelle Varon

  45. Comment l’expliquer? • La couverture des souches circulantes par le vaccin PnC7 était meilleure aux USA qu’en Europe • Forte émergence en France de sérotypes non vaccinaux (19A, 7F, 1) peut être favorisée par la mise en place très progressive de la vaccination • Mauvaise application des recommandations: • Couverture insuffisante • Retard à l’administration de la 1° dose • Retard à l’administration/ absence de rappel

  46. Couverture vaccinale PnC7(Données JP Guthmann- InVS) CV 3 doses CV 3 doses + rappel

  47. Nouveautés concernant la vaccination anti pneumoccique • Prévenar 13® ajoutant notamment les valences 19A, 7F et 1 • Recommandation HCSP du 11-12-2009 (www.hcsp.fr ) • Inscrit au calendrier vaccinal 2010 (BEH 22 avril 2010) • Disponible depuis juin 2010 • Schéma vaccinal identique: 2 injections (2 mois, 4 mois) et un rappel (12 mois)

  48. Couverture sérotypique des vaccins pneumocoque conjugués

  49. Conditions du succès • Éviter de reproduire les erreurs qui ont conduit au succès mitigé de la vaccination anti-pneumococcique • Nécessité: • D’obtenir un CV rapidement élevée • De commencer dès 2 mois • D’administrer le rappel à 12 mois  • D’administrer une dose de PCV13 aux nourrissons ayant reçu 3 doses de PCV7: en 2008, PCV7 ne couvrait que 18% des souches responsables de méningite (tout âge confondu)

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