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LE COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR

LE COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR. LE COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR. De l ’importance de comprendre le consommateur Traitement de l ’information et processus de décision Attention et perception Mémorisation Attitudes et comportement Prise de décision

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LE COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR

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Presentation Transcript


  1. LE COMPORTEMENTDU CONSOMMATEUR

  2. LE COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR • De l ’importance de comprendre le consommateur • Traitement de l ’information et processus de décision • Attention et perception • Mémorisation • Attitudes et comportement • Prise de décision • Les variables internes et externes aux consommateurs • Les facteurs socio-démographiques • Les besoins et les motivations • La personnalité et le concept de soi • L ’implication • Les styles de vie • Les styles cognitifs

  3. Pourquoi est ce si important... • Pour la segmentation • Pour la cible • Pour le positionnement • réaction par rapport à la nouveauté • sensibilité au prix • fidélité à la marque • base line publicitaire et stratégie média

  4. PREF MAP : Cartographie de préférences des consommateursObjectifs :Expliquer les préférences des consommateursDéfinir sensoriellement le produit optimumIdentifier des segments de préférencesDes experts entraînés décrivent objectivement la nature et l’intensité d'un univers de produits (analyse sensorielle).Des consommateurs donnent leur appréciation des produits (test consommateur quantitatif).Des analyses statistiques corrèlent les données obtenues par ces deux types d’études

  5. CAPECO : Cartographie de perceptions des consommateursObjectifs :Connaître les perceptions d’un « univers – produit »Définir un lexique – consommateurDéterminer des segments de consommateursDes consommateurs testent puis regroupent les produits de façon spontanée, selon leur ressemblance (test de catégorisation).Ces mêmes consommateurs décrivent ensuite ces groupes de produits.Après une analyse des similitudes, ces données sont retranscrites sous forme de mapping perceptif

  6. Le Trade Off SensorielObjectifs :Connaître l’attribut du Mix-Produit le plus important selon les consommateursDéterminer le Mix-Produit « idéal » selon le consommateurEtablir une segmentation de préférencesDes consommateurs évaluent plusieurs combinaisons possibles du Mix-Produit (couleur, arôme, aspect, packaging, marque ...), pour choisir le « meilleur compromis » selon leurs attentes.Les attributs sont hiérarchisés selon leur importance perçue. L'Ethno-Marketing Objectifs :Comprendre le comportement du consommateur :- Immédiatement, à la prise de contact avec le produit- Dans le temps, à l’usage ou à la consommation Déceler de nouveaux besoins Le consommateur utilise le produit de façon naturelle, dans son contexte habituel.Les pratiques et gestuelles sont observées, en situation d’utilisation et en parallèle d’une description verbale.Les attitudes et les discours liés à l’utilisation du produit sont filmés, puis analysés.

  7. TRAITEMENT DE L ’INFORMATION ET PROCESSUS DE DECISION

  8. LA PERCEPTION COMME FRUIT D ’UN RAISONNEMENT

  9. La perception comme décryptage d’une forma globale (théorie de la Gestalt)

  10. LES SEUILS DE PERCEPTION • Le seuil minimum • combien de spots pour toucher n% de ma cible plusieurs fois (idéalement 3 fois) • Le seuil maximum • à partir de combien de spots, je n ’augmente plus la perception de ma publicité • Le seuil différentiel • dans quelle proportion peut-on augmenter un prix ou diminuer une quantité sans que cela ne soit perceptible

  11. LA MEMORISATION • Mémoire à court terme • rend disponible les données dont un individu a besoin pour accomplir une tâche • limitée en temps et quantité • Mémoire à long terme • limitée ni en quantité, ni en durée • données emmagasinées disponibles mais non accessibles (Madeleines de Proust) • Procédures d’étiquetage pour retrouver les données

  12. L’organisation hiérarchique de l ’information en mémoire Ensemble de considération • Dimension verticale • Comment comptez vous aller là bas ? • EN VOITURE ET PAS EN PETITE URBAINE • Pour un achat, descente au niveau 2 • Dimension horizontale • Peugeot 206 • Comparatif avec les autres petites urbaines • problème des produits nouveaux : cadre de référence nécessaire pour générer une attitude

  13. L’ENSEMBLE DE CONSIDERATION Marques disponibles Marques connues Ensemble de considération Choix IBM APPLE COMPAQ DELL HP IBM APPLE COMPAQ DELL HP PACKARD BELL IBM APPLE DELL ? Tiré du Mercator (8ième édition)

  14. Ensemble de considération : le cas Dove

  15. ATTITUDES ET COMPORTEMENTS • Les comportements ne sont pas des attitudes • les attitudes représentent ce que nous ressentons (déclaratif) • les comportements représentent ce que nous faisons La hiérarchie des effets Attitude Croyance (subjectif) Cognitif Affectif Conatif Affectif : j ’aime/J ’aime pas Conatif (intention d ’achat)

  16. LA RESISTANCE AU CHANGEMENT DES ATTITUDES De plus en plus difficile à modifier Stade 3 Conatif Stade 2 Affectif Stade 1 Cognitif Relativement facile à modifier L ’exemple du marketing politique

  17. RELATION ENTRE ATTITUDE ET COMPORTEMENT • L ’attitude précède le comportement • tête de gondole donc promotion (sans vérifier) donc j ’achète • Le comportement précède l’attitude • radars donc baisse de la vitesse donc prise de conscience de ses dangers • Théorie de l ’attribution : un individu ne peut accepter de réaliser un acte gratuit • Théorie de la dissonance cognitive (Festinger, 1957) : modifier son attitude pour qu ’elle coïncide avec ses actes Rationalisation a posteriori

  18. EXEMPLES DE DISSONANCE COGNITIVE • La cigarette : je ne veux pas arrêter (affectif), je trouve des pseudo-arguments scientifiques (cognitif) pour continuer (conatif) • Supporters d ’une équipe de foot déçus du résultat de leur équipe (affectif) pratiquent un dénigrement (cognitif) à la hauteur de leur déception

  19. LA PRISE DE DECISIONLes modèles multi-attributs Ordinateurs notés de 1 à 10 sur un certain nombre (4) d ’attributs Tiré du Mercator (8ième édition) Base théorique : modèle multi-attribut de Fishbein

  20. LA PRISE DE DECISIONLes modèles multi-attributs • Le modèle compensatoire linéaire • Pour notre client, la capacité compte pour 40% dans son choix, les graphiques pour 30%, les logiciels pour 20% et le prix pour 10% • A =0,4 (10)+0,3(8)+0,2(6)+0,1(4)=8 • C = 0,4(6)+0,3(8)+0,2(10)+0,1(5)=7,3 • B= 0,4(8)+0,3(6)+0,2(8)+0,1(3)=6,9 • D = 0,4(4)+0,3(3)+0,2(7)+0,1(8)=4,7 • Que pourrait faire un constructeur pour améliorer ses ventes ? • Modifier le produit pour qu ’il corresponde aux attributs importants du marché • Modifier l ’image des concurrents (publicité comparative sur un attribut sur lequel il est bien classé) • Modifier les pondérations des attributs (idem si dessus) • Faire émerger de nouveaux attributs ou modifier la configuration idéale d ’attributs (Trade off)

  21. LA PRISE DE DECISIONLes modèles multi-attributs • Les modèles non compensatoires • Modèle conjonctif • le consommateur fixe un niveau minimal pour chaque attribut et choisit le premier produit dont tous les attributs dépassent ce seuil. Si le consommateur fixe un seuil à 5…IL CHOISIRA C • Modèle lexicographique • le consommateur choisit le meilleur produit sur l ’attribut qu ’il juge le plus important…IL CHOISIRA A

  22. LA DECISION D ’ACHAT Influence d’autrui Attitude d’autrui Décisions d ’achat Évaluation des alternatives Intention d ’achat Facteurs situationnels imprévus Influence d’autrui BAO INFOMEDAIRE* LEADER D’OPINION Disponibilité produit risque perçu * site qui donne des conseils d ’achat sur Internet

  23. LES VARIABLES INTERNES AU CONSOMMATEURLes théories de la motivation • La motivation essai de définition • état psychologique de tension qui conduit à un comportement dont l’objet est de réduire ou d ’éliminer cette tension • Motivation de caractère hédoniste • Exemple le plaisir esthétique d ’un beau meuble • Motivation de caractère rationnel ou utilitaire • produits light, carburant… • Motivation éthique • entreprise et développement durable Rocheetbobois La santé par les plantes

  24. LES VARIABLES INTERNES AU CONSOMMATEURLes théories de la motivation • La théorie situationniste : • influences extèrieures à l’individu qui peuvent être classées en deux catégories • les contraintes matérielles • les contraintes sociales normatives • Contraintes matérielles : disponibilité du produit en magasin • Contraintes normatives : achat d’une marque prestigieuse

  25. LES VARIABLES INTERNES AU CONSOMMATEURLes théories de la motivation • Théorie interactionniste • influence de l’environnement comme un système de force auquel l’individu associe une valence plus ou moins élevée (positive) ou négative (frein) • Communication d’une entreprise de crédit : lever un frein (la peur du crédit) • les King size au cinéma

  26. Exemple d’études de motivationle lancement du café soluble aux Etats Unis: motivation et freins Échantillon 2 50 ménagères sélection aléatoire Échantillon 1 50 ménagères sélection aléatoire Liste d’achat comprenant du café en grains Liste d’achat comprenant du café instantané Paresseuse : 4% ne planifie pas ses achats : 12% Bonne épouse : 16% Paresseuse : 48% ne planifie pas ses achats : 48% Bonne épouse : 4%

  27. Le concept de soi • L’individu adopte un comportement qui lui permet de préserver la cohérence de l’image qu’il se fait de lui même • concept de soi idéal • concept de soi effectif (estime de soi) • concept de soi : tel que l’individu pense que son entourage le perçoit • Parfums et concept de soi

  28. L ’image de soi • Flatter l ’acheteur pour mieux lui vendre son produit • Narta • Gillette : image virile de l ’homme • Mais on y revient • Diesel

  29. Les théories de la personnalité Karen Horney • Théorie psychanalytique : ça, moi et surmoi • Théorie psychosociale :le modèle Cad (complacent, aggressive, detached) • accomodation : les individus accommodants ont besoin de l’affection des autres et cherchent à se rapprocher d’eux • agressivité : à la recherche du pouvoir et du contrôle des autres • détachement : individus autonomes , indépendants qui s’éloignent des autres Marque de déodorant, publicité sur les rapports interpersonnels a été préféré aux individus de type 2 75% des individus de type 2 préfèrent utiliser un rasoir à lame qu ’un rasoir électrique

  30. Les théories de la personnalitéapplication à l’échelle de la personnalité de la marque • La théorie des traits et facteurs • différents individus auront en commun les mêmes traits. Mais l’intensité de ces traits varie entre les individus. • Le modèle des cinq facteurs ou modèle Océan : application à la personnalité de la marque • ouverture • consciencieux • extraversion • amabilité • neurotisme Culture collective marques qui permettent de se fondre dans le groupe Culture individualiste marques qui permettent de se distinguer

  31. Les valeurs sociales du début du siècle perfectibilité de la nature humaine à la fois bonne ou mauvaise La nature doit être contrôlée Croyance dans le progrès technique Respect de l’autorité Les valeurs sociales contemporaines vie en harmonie avec la nature profiter du présent crainte inspirée par l’avenir et la technique primauté des relations avec les pairs et individualisme Les valeurs socialesd’après Mucchielli Traduction dans la publicité

  32. Les valeurs terminales et instrumentalespar Rokeach • Valeurs terminales • une vie confortable, une existence passionnante, le sentiment d’accomplissement, la paix dans le monde…. • Valeurs instrumentales • l’ambition, l’ouverture d’esprit, la compétence, l’enthousiasme, la propreté, le courage, la capacité à pardonner, à venir en aide...

  33. LES STYLES DE VIE DES ANNEES 2000selon Bernard Cathelat l'autoconnexionOn cherche le sens de sa vie en soi même:on ne va plus chercher ses valeurs ni sa morale dans le regard des autres et dans des normes collectives, mais en soi. On se ressource en famille et entre amis:La réussite aujourd'hui? Ni l'argent ni la carrière, mais l'épanouissement personnel et le temps libre. On a besoin d'un espace de vie privé :Dans cette vie sous pression, il faut avoir un territoire privé, un jardin secret : c'est à la fois moi, les miens, ma maison, mais surtout mon intériorité, mon corps. On aspire à la vitalité :C'est auprès de mère Nature que l'on cherche à la fois la santé physique, psychologique et spirituelle

  34. STYLE de VIE Notre priorité de Style de vie :la bulle personnelle et familiale 1980 : c'est la crise et la déprime collective. 1990 : le cocooning passif et protecteur. 2000 : l'autoconnexion,un retour à soi optimiste et dynamique. Selon le célèbre météorologue nous avons décidé de prendre notre bonheur en main. Docteur en psychologie sociale, Bernard Cathelat prend le pouls de la société et étudie ses modes d'être. II guide (équipe du CCA (Centre de communication avancée) depuis plus de vingt-cinq ans et partage son temps entre l'analyse des « Socio- Styles de vie », la détection des grandes tendances sociales, et enseignement. II a publié, en 1990, "Socio-Styles système : les styles de vie, théorie, méthodes, applications" (Éditions d'Organisation)

  35. Les styles de vieles mesures AIO • Regrouper les consommateurs par groupes distincts en fonction de trois dimensions • Activités : travail, passe-temps, activités sociales, vacances, distractions, clubs • Intérêts : famille, logement, profession, vie locale, loisirs • Opinions : soi même, thèmes sociaux, politique

  36. Les styles de vie européens • Opposition entre stabilité et aventurisme, sensualisme et ascétisme Des outils de segmentation • Le segment des habitudes alimentaires Les célibataires campeurs : en majorité citadins, jeunes, plats cuisinés, biscuits apéritifs, chips, chocolat Les urbains modernes : jeunes couples sans enfant, citadins entre 30 ans et 35 ans, revenus moyens élevés, potage en brique, salade en sachet Les moraux domestiques : famille nombreuse, ouvriers, agriculteurs, produits frais du jardin, viande surgelée Les familiaux: couple avec deux enfants, revenus moyens, femme au foyer : beurre, yaourts aromatisés, lait Les bien installés : couple avec enfants en bas âge, poisson frais, surgelés, vins de qualité Les traditionnels : âgés, couple ou personne seule, jambon à la coupe, biscottes

  37. LES CLASSIFICATIONS SOCIO-DEMOGRAPHIQUES

  38. LES ACHETEURS NE SONT PAS LES PRESCRIPTEURS ET INVERSEMENT Leaders d ’opinion Les enfants prescripteurs

  39. LES LIMITES DE CES APPROCHES • Manque de cadre conceptuel pour les styles de vie, faible pouvoir prédictif, instabilité des résultats • Critères simplificateurs pour les classes socio-démographiques • Difficile à opérationnaliser pour le concept de soi ou la personnalité

  40. LE PROCESSUS DE DECISION • Risque perçu • Implication • Apprentissage • Facteurs situationnels

  41. LES DIFFERENTS RISQUES PERCUS

  42. L’implication • Implication, état non observable de motivation , d’excitation ou d’intérêt .Elle est créée par un objet ou une situation spécifiques • Elle varie dans sa durée, dans son intensité , dans son contenu (cognitif versus affectif) • Difficulté de la mesurer en aval • Mesure en amont (causes de l’implication) : • l’intérêt du consommateur pour la catégorie de produit • le risque perçu associé à l’achat de ce produit • La valeur de signe du produit • La valeur émotionnelle ou hédonique (plaisir que procure le produit)

  43. Ressort marketing pour déclencher l ’achat

  44. L’implicationGilles et Kapferer : les profils d’implication

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