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Programme DéfiMonde. Par Thomas Genin- Brien. Moi, Thomas Genin- Brien.
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Programme DéfiMonde Par Thomas Genin-Brien
Moi, Thomas Genin-Brien • Je m’appelle Thomas Genin-Brien, j’ai douze ans et j’habite sur L’Île-Bizard, un milieu résidentiel où il fait bon vivre. Je suis allé au primaire à l’école Jonathan-Wilson qui se situe dans le même quartier que le mien. • Je suis né cadet d’un frère qui, malgré ses défauts, est apprécié par tout le monde. Ma mère, elle, est la doyenne de la maison et gère toute l’organisation de la famille. Finalement, mon père est un avocat qui se préoccupe beaucoup de la réussite de ses enfants et de leur sécurité. • Il y a beaucoup de choses que j’aime faire dans mes temps libres : lire, écrire, m’occuper de mon chien, jouer du piano, écouter des émissions avec ma famille, jouer à des jeux vidéos ou encore surfer sur Internet…
Pourquoi DéfiMonde? • Certains facteurs ont fait que j’ai été attiré vers le programme DéfiMonde. Je m’étais d’abord dit que c’était un bon moyen pour me faire des amis, des personnes ayant à peu près les mêmes intérêts que moi, mais aussi pour perfectionner ma méthode d’organisation. Je dois dire que la procrastination est mon plus grand défaut, enfin celui qui m’a été le plus néfaste. • Je me suis aussi toujours beaucoup intéressé aux cultures différentes de la mienne, j’ai toujours aimé voyager, découvrir de nouvelles contrées, et je crois que DéfiMonde peut m’aider à toucher à tout cela, lors de mon secondaire.
Matawinie • Le camp Matawinie était une superbe expérience de mon point de vue. Les activités et les jeux étaient en majorité très amusants et, personnellement, mon préféré était celui des handicaps, puisque tous les membres de l’équipe devaient coopérer pour résoudre des énigmes ou pour surmonter des épreuves plus physiques. • Les repas étaient bons. Sans plus. Par contre, même si la nourriture était ordinaire, je me dis que je suis dans un camp de vacances et non pas dans un restaurant prestigieux. • Une autre des choses que j’ai moins aimées était le Nordet, le logement des élèves de secondaire 1. L’eau n’était pas chaude, parfois ne coulait pas et les lits étaient inconfortables. Mais maintenant je me dis que j’ai été quelque peu égoïste en pensant cela puisque je sais que si je vais en Afrique pour un voyage humanitaire, les conditions seront bien pires que celles au Nordet.
Guidatour: Montréal multiethnique • Être touriste dans sa propre ville est vraiment intéressant, surtout quand on vit l’expérience avec ses copains. Je vais donc résumer mon voyage multiethnique. • Notre aventure débute dans le quartier portugais : Manon, notre guide, nous parle des mets traditionnels portugais comme le poulet rôti. Elle nous dit aussi que les Portugais sont très bons pour sculpter toutes sortes de matériaux et qu’ils travaillent plus communément en construction. Manon nous a aussi montré l’emblème du Portugal : le coq de Barcelos! • L’autobus continue à rouler jusqu’à un quartier de juifs hassidiques où Manon nous explique l’habillement des juifs et leurs coutumes traditionnelles. Ensuite, tout le monde descend du véhicule pour aller mordre dans un bagel moelleux et chaud de la boulangerie St-Viateur. • Après être remonté dans l’autobus, Manon indique au chauffeur de nous amener à la Petite Italie! Nous passons près de la fameuse épicerie Milano puis du meilleur restaurant italien en ville : Pizza Napoletana. Nous arrivons à destination au marché Jean-Talon, le plus beau, selon moi. En petits groupes, nous admirons les comptoirs colorés et les fruits de la nature qui y sont entassés. J’en profite pour m’acheter une petite gâterie à un kiosque proche-oriental! Et c’est très bon! • Puis finalement, nous virons jusqu’au Chinatown! L’on nous explique l’art sophistiqué du feng-shui, puis nous allons explorer un hôtel complètement feng-shui! Nous marchons dans un dédale de petites rues où le drapeau rouge et l’étoile jaune figure tout autour de nous. Manon nous dit la belle parabole de la fleur de lotus puis nous explique la signification du yin et du yang. On nous distribue finalement des biscuits chinois et Manon nous montre une usine de ces biscuits. • Bien qu’étant seulement la deuxième, cette sortie était de loin la meilleure!!!
60 millions de filles • « 60 millions de filles » est un organisme dont le principal objectif est d’aider les 60 millions de filles de la planète ne pouvant pas apprendre, à aller à l’école. En effet, ce sont généralement plus les filles que Wanda Bédard, la présidente de l’organisme, a dans sa mire. Les garçons ont normalement plus de chances d’aller à l’école, tandis que les filles, elles, restent à la maison, préparent le souper, s’occupent de leurs plus petits frères ou plus petites sœur et… n’apprennent pas… Wanda Bédard et son équipe recueillent des fonds pour pouvoir construire des écoles, aussi des latrines, puis pour acheter de la nourriture et de l’eau. • Wanda Bédard est donc venue à l’un de nos cours DéfiMonde pour nous parler de « 60 millions de filles » et expliquer ce qu’elle prévoit faire dans d’autres pays pour donner à des jeunes filles l’accès à la connaissance. C’était une conférence qui nous faisait beaucoup réfléchir, et même si l’on nous dit souvent : « Pense aux p’tits enfants, en Afrique », et que l’on répond : « Oui oui, je le sais, arrête de me répéter ça », MmeBédard nous a montré des statistiques plus qu’alarmantes, et l’on changeait immédiatement d’avis.
Mon bénévolat • J’ai rapidement fait toutes mes heures de bénévolat cette année et j’ai fait trois différents travaux. • Premièrement, j’ai été à la journée portes ouvertes du Collège Sainte-Anne et j’ai animé un quizz, dans la classe de géographie de M. Brosseau. C’était très amusant au début, mais je mentirais si je disais que j’avais toujours le même plaisir après cinq heures. • Ensuite, je suis allé travailler à la bibliothèque municipale de L’Île-Bizardpour deux blocs de trois heures chacun. En premier, je devais nettoyer des bandes dessinées. Je crois que ce travail était VRAIMENT ennuyeux, surtout pendant trois heures. Mais pour mon deuxième bloc, j’ai placé des livres sur des étagères en les regroupant, bien sûr, par collection. Ce travail était bien plus intéressant, puisque j’ai trouvé qu’il faisait appel à mon sens de l’organisation. • Et finalement, pour ma troisième et dernière job, j’ai participé à la Guignolée, organisée par le Club Optimiste de L’Île-Bizard. Encore une fois, il y avait deux blocs : le premier de trois heures et le deuxième, de deux heures. Dans le premier, j’allais récolter des fonds, de la nourriture, des jouets et des vêtement dans les rues de mon quartier. Tout cela servait à faire des paniers de Noël pour les moins nantis n’ayant pas les moyens de s’acheter tout cela. Ensuite, pour mes dernières deux heures, j’ai été carrément bouleversé, lorsque je distribuais les paniers de Noël. Je ne m’étais jamais rendu compte à quel point des gens aussi désespérés, vivant parfois quatre dans un minuscule appartement, pouvaient vivre si près de chez moi. C’est le genre d’expérience qui « ouvre les yeux ».
Le Club Soda Le Match de la LNI • La sortie DéfiMonde au Club Soda était vraiment cool! J’ai adoré aller voir ce match de la Ligue nationale d’improvisation, puisque c’était à la fois drôle et interactif. Je n’étais jamais allé voir un match d’improvisation et j’ai beaucoup aimé le concept des votes avec des cartons colorés. • Ce que j’ai le plus aimé, par contre, était d’aller voir cette joute entre deux équipes, au Club Soda. Cet endroit me donnait l’impression d’être plus vieux, libre et indépendant, je ne sais pas trop pourquoi! J’ai beaucoup apprécié y aller avec mes amis et commenter le jeu formidable des improvisateurs. C’était dans ma tête comme une sortie entre amis du cégep dont le but principal était de s’amuser et de discuter (bizarre, n’est-ce pas?)! • Ce fut une superbe expérience que je serais prêt à recommencer… n’importe quand!