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Evaluation externe indépendante de l’UNESCO

Evaluation externe indépendante de l’UNESCO. Présentation à la Réunion d’information 4 octobre 2010 Paris. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010. Objectif de cette présentation Vue d’ensemble de l’EEI: Termes de référence et Activités

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Evaluation externe indépendante de l’UNESCO

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Presentation Transcript


  1. Evaluation externe indépendante de l’UNESCO Présentation à la Réunion d’information 4 octobre 2010 Paris

  2. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Objectif de cette présentation • Vue d’ensemble de l’EEI: Termes de référence et Activités • Résultats et messages clés • Répondre à vos questions 2

  3. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 « Question globale » de l’évaluation: « Comment l’UNESCO devrait-elle se placer pour relever les défis du XXIe siècle et tirer le meilleur parti des perspectives qui lui sont ouvertes ? » 3

  4. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Activités: • Etude de documents y compris ceux du Conseil exécutif et d’évaluations d’IOS • Visites des Bureaux hors Siège, Instituts et Centres, Bureaux de Liaison, Agences des NU à New York et à Genève • Réunions et entretiens individuels avec les Délégations permanentes • Entretiens avec le personnel de l’UNESCO et la Direction • Participation aux consultations régionales du C/5 4

  5. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Limites de temps et des ressources, mais nous sommes confiants de tout ce que nous avons couvert dans cet exercice 5

  6. « L’espace d’opportunité » de l’UNESCO Positionnement de l’UNESCO Défis Besoins et objectifs aux niveaux national, régional et mondial Tendances mondiales Priorités Mandat et vision de l’UNESCO Architecture mondiale Modalités Ressources et capacités EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010Cadre d’analyse 6

  7. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Distinguer entre les « tendances mondiales » et « l’architecture mondiale » Nous avons conclu: • L’UNESCO s’est bien adaptée aux tendances qui ont été relativement stables ces dernières années • L’UNESCO s’est moins bien adaptée aux changements dans l’architecture mondiale 7

  8. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 • Les programmes sont alignés sur les tendances mondiales identifiées • Les priorités Afrique et Genre continuent d’être pertinents • Les situations de post-crise et de post-catastrophe (PCPD) prennent une importance accrueet • Les priorités liées à l’environnement étant donné les conséquences du changement climatique 8

  9. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Le problème n’est pas de « prévoir plus de défis » Face à l’évolution de l’architecture mondiale il y a un besoin de: • Plus d’adaptabilité et de flexibilité – plutôt que la bureaucratie et les structures en cloisonnement vertical et • Nouvelles capacités organisationnelles et culturelles: partenariats, coordination au Siège, prise de risques et innovation 9

  10. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Termes de référence demandent: « Comment l’action menée par l’UNESCO a-t-elle pesé sur les politiques et stratégies des Etats membres et quelle est sa pertinence pour les politiques de ces derniers ? » 10

  11. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 • L’UNESCO ne fait pas une différence toute seule – elle travaille avec d’autres • « Contribution » et non pas « Attribution » – importance de la collaboration et des partenariats 11

  12. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 • De manière générale l’UNESCO est pertinente vis-à-vis les Etats membres, mais la planification centrale met trop d’accent sur les objectifs institutionnels plutôt que sur les besoins spécifiques des pays et des sous-régions 12

  13. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Profil d’une présence « forte » sur le terrain – pas toujours • Bureaux bien gérés et dirigés • Bonne couverture des programmes / secteurs / disciplines • Personnel d’encadrement expérimenté – souvent des experts nationaux • Coopération de l’ensemble de l’équipe • Bien intégrés dans les structures régionales • Travaillant bien avec les partenaires des NU • Capables de mobiliser des fonds et des ressources • Ayant élaboré un plan national / multi-pays / sous-régional 13

  14. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Le contexte est important: • La position des gouvernements des Etats membres envers l’UNESCO • Le stade de développement et ses conséquences pour les « besoins » • Proximité d’autres institutions • La qualité et l’indépendance des Commissions nationales 14

  15. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Trois « discours » sur l’UNESCO : « Le legs historique » « la présence » « l’efficacité » Le premier a été cité souvent et le dernier plutôt rarement 15

  16. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Positionnement pour un impact? • Améliorer les effectifs, les ressources, la planification et le leadership • Commissions nationales fortes et indépendantes • Partenariats renforcés • Présence dans des « plaques tournantes » hébergeant d’autres organismes des NU et des organisations régionales • Travail stratégique sur un « discours d’efficacité » 16

  17. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Le rôle de l’UNESCO dans le système des NU? – sa « niche » et « l’avantage comparatif »? Les NU sont devenues de plus en plus importantes pour l’UNESCO avec la « réforme » des NU et le Groupe de haut niveau sur la « cohérence de l'action du système » 17

  18. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 L’UNESCO est bien positionnée pour de nouvelles opportunités: • Partenariats avec d’autres agences des NU • Nouvelles possibilités de financement • Révision des règles du PNUAD pour y intégrer le travail de l'UNESCO • Début d'harmonisation des pratiques de fonctionnement • Reconnaissance du statut d'« agence non résidente » • L’UNESCO vue comme un bon partenaire des NU – plus près des institutions spécialisées 18

  19. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Cependant il y a des faiblesses « sur le terrain », par exemple: • Exécution de son mandat et son rôle de leader • Capacités de partenariats sont limitées • Mauvaise coordination au Siège, ainsi qu'entre le Siège et les bureaux hors Siège et les Instituts • Travail indépendant et non d’équipe • Poursuite de financements 19

  20. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Difficile d’envisager les « scénarios » futurs des NU, mais il existe des dynamiques importantes qui soulignent les besoins suivants: • Nombre plus restreint de bureaux plus compétents • Plus de personnel hors Siège et moins à Paris • Capacité de démontrer que le conseil en matière de normes et de la politique marche en pratique • Pratiques des ressources humaines appuient les programmes • Mobilisation des capacités des pays émergents à revenu intermédiaire 20

  21. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Les Termes de référence de l’EEI demandent si la « répartition des compétences entre les organes directeurs et le Secrétariat » est optimale L’EEI a compris que cela englobe la division de compétences au sein et entre les organes directeurs et le Secrétariat 21

  22. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Trois problèmes dans la « répartition des compétences » • « Chevauchement d’activités » • « Déconnexion » • « Glissement de responsabilité » • Nécessité pour les organes directeurs et le Secrétariat de se concentrer sur leurs responsabilités clé respectives 22

  23. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 L’EEI a localisé l’UNESCO dans les cadres développés pour d’autres évaluations des NU. Ceux-ci distinguent entre: • « Déléguer et contrôler » – un Conseil exécutif restreint qui exerce un contrôle étroit sur les activités institutionnelles • « Représentation directe » – un Conseil exécutif plus grand avec un rôle stratégique « Supervision par les mandants » – délégation aux mandataires par région géographique, forces démocratiques 23

  24. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 • Chaque modèle a ses forces et ses faiblesses: Choix entre renforcer le modèle actuel ou tenter de le changer radicalement • L’EEI a conclu que des changements constitutionnels radicaux n’étaient ni pratiques ni nécessaires si le modèle actuel peut être rationalisé et renforcé • Besoin de renforcer l’élaboration des politiques et la définition des priorités assez en avance dans le cycle politique et une supervision stratégique – éviter la microgestion 24

  25. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 • Pas d’accord sur la responsabilité et l’insatisfaction avec l’information fournie renforce les perceptions de microgestion • Recommande un cadre de responsabilité plus clair 25

  26. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Une gouvernance très dispersée: • Comités intergouvernementaux, Conventions, Instituts • Comités d’experts • Ressources extrabudgétaires Et • Un « réseau » de l’UNESCO plus étendu 26

  27. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 • Atouts importants de ce système, mais l’UNESCO a négligé la « gouvernance du réseau » en faveur d’une « gouvernance institutionnelle » • Nécessité de plus de coordination et de partage d’expertise au lieu de la centralisation • Les faiblesses actuelles de la « gouvernance scientifique / d’expertise » • Meilleure utilisation des sous-comités pourrait réduire la charge de travail du Conseil exécutif 27

  28. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Les Termes de référence demandent d’examiner la contribution de la société civile et du secteur privé Emergence de nouvelles entités de la société civile et du secteur privé Partie de la « gouvernance mondiale » (rapport Cardoso) « Nouvelle philanthropie » et des partenariats publics/privés 28

  29. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Le choix potentiel comprend: Guider les choix politiques Soutien des valeurs de l’UNESCO Accroissement de la légitimité de l’UNESCO Ainsi que Mobilisation des ressources ou amélioration de la mise en œuvre des programmes 29

  30. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 L’UNESCO reste exclusivement et traditionnellement « intergouvernementale » Trop concentrée dans le Nord Liée avec les ONG traditionnelles et le secteur privé Pratique actuelle n’est pas adaptée aux nouvelles configurations de la société civile et du secteur privé Vue comme « instrumentale » et « aide à mettre en œuvre nos programmes » 30

  31. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Longue histoire de la société civile à l’UNESCO Réputation forte avec un potentiel important – surtout auprès des réseaux de l’UNESCO, Instituts et Centres, Chaires, Ecoles, Clubs, Commissions nationales Exemples individuels des pratiques innovatrices, mais pas régulières Faiblesses des Commissions nationales Besoin de stratégies globales 31

  32. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Recentrage stratégique: Contribuer aux objectifs de l’UNESCO plutôt qu’aux instruments pour l’exécution de programmes Rendre l’UNESCO plus accessible et moins bureaucratique, surtout important pour les ONG Renouveler avec les réseaux qui peuvent renforcer les liens avec les scientifiques, les chercheurs et les communautés de pratique d’un même domaine Ouvrir les organes directeurs à la contribution de la société civile et du secteur privé et à leurs représentants Renforcement des capacités des Commissions nationales surtout à travers la coopération Sud-Sud 32

  33. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Les Termes de référence demandent d’examiner « la cohérence entre secteurs du Secrétariat » Tirer profit de la « complémentarité » - profiter de l’avantage des compétences et des disciplines de l’UNESCO Le contexte de défis mondiaux exige une réponse holistique multidisciplinaire 33

  34. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 De nombreux efforts dans le passé pour promouvoir le « travail intersectoriel »: Thèmes transversaux, « propositions de la base vers le sommet » et financés ont connu un succès modéré Plateformes intersectorielles n’ont pas eu de succès – manque de financement et d’appui de la part des Directions des secteurs Cloisonnement vertical des secteurs et monopole des financements décourage la coopération 34

  35. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Besoins différents pour la coopération: Entre les secteurs Au sein des secteurs Entre les disciplines Entre les programmes Dans l’ensemble du réseau UNESCO Le « problème » n’est pas dans les secteurs: il faut créer un environnement propice à la coopération à l’UNESCO 35

  36. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Qu’est-ce qui est nécessaire? Lever les obstacles à la coopération Encourager les initiatives à la coopération Identifier quelques thèmes transversaux Renforcer le management transversal Mettre en œuvre des études de programmes réguliers parce que les programmes sont les unités principales d’opérations 36

  37. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 L’EEI doit formuler des « recommandations opportunes » Cinq « Directions stratégiques » sont recommandées: Recentrer l’action de l’UNESCO Rapprocher l’UNESCO des réalités du terrain Renforcer la participation au système des NU Renforcer la gouvernance Elaborer une stratégie de partenariat 37

  38. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 Ce processus de « renouvellement » N’A PAS de solution rapide et doit comprendre: Changement culturel: une organisation plus confiante, ouverte sur l’extérieur et innovatrice Renforcement des réseaux de l’UNESCO Développement de capacités et de stratégies de partenariats Décentralisation afin d’avoir une présence plus forte et compétente sur le terrain Mise en place de politiques organisationnelles, de direction et de ressources humaines qui rendront le renouveau de l’Organisation plus durable 38

  39. EEI Présentation à la Réunion d’information de l’UNESCO – octobre 2010 La façon dont les recommandations sont mises en œuvre sera déterminante à leur succès Le processus de mise en œuvre devra développer la confiance et l’adhésion ainsi qu’encourager la coopération et l’engagement L’équipe de l’EEI est convaincue que l’importance du travail de l’UNESCO justifie les efforts qui seront requis MERCI! 39

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