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Approche transversale – Enseignements et perspectives

Approche transversale – Enseignements et perspectives. Evaluation des effets, dans la durée, de six projets soutenus par l’axe «  Vivre ensemble dans son territoire : des habitants impliqués dans leurs lieux de vie  ». Acadie + Cerur groupeReflex_. Pérennité des projets et effets durables.

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Approche transversale – Enseignements et perspectives

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  1. Approche transversale – Enseignements et perspectives Evaluation des effets, dans la durée, de six projets soutenus par l’axe « Vivre ensemble dans son territoire : des habitants impliqués dans leurs lieux de vie » Acadie + Cerur groupeReflex_

  2. Pérennité des projets et effets durables • Des attentes en termes de production d’effets durables : • plus que de pérennité des projets • un projet ponctuel peut générer des effets durables • La plupart des actions engagées prennent du temps : • elles s’inscrivent généralement dans des logiques plus larges (comme les PRU) dont elles ne maitrisent pas le calendrier • le travail en direction et avec les habitants nécessite du temps • Au-delà des financements, ces projets ont besoin : • d’un accompagnement dans la durée ; • d’une veille et d’un repérage des « signaux faibles » de nouvelles dynamiques émergentes pour mieux les soutenir ; • d’un dialogue entre porteur de projet et référent « ancrage local »

  3. L’implication des habitants • Des attentes sur le registre du « collectif » : • Améliorer l’image ou favoriser l’appropriation (quartier, espace public, programme d’habitat) • Lutter contre l’isolement, favoriser les échanges dans des quartiers en mutation • Rechercher un apaisement dans un climat de tension • Des attentes sur le registre de  « l’individuel » : • Promotion individuelle à partir d’une meilleure estime de soi, • Autonomie, à partir d’une conscience de son utilité sociale • Dans une logique de citoyenneté • Les projets • N’émanent pas directement de volontés d’habitants, • Mais s’appuient sur une forte implication des habitants et tendent vers la coproduction une coproduction de l’action • Les projets peuvent générer des tensions ou frustrations : • Lorsque les règles de l’implication n’ont pas été suffisamment énoncées, partagées et appropriées. • Lorsque la participation au projet ne se traduit pas par des réalisations tangibles

  4. Le partenariat autour des projets • A l’origine du projet, le montage est essentiel, et en particulier l’identification de 3 rôles: • Le porteur de projet qui coordonne l’ensemble du projet et des acteurs qui y sont impliqués ; • Le prestataireou intervenantqui est engagé, notamment auprès des habitants, pour mettre en œuvre le projet ; • Le référent qui garantit un ancrage dans l’action publique locale, au-delà de l’apport de cofinancements • La prise de relais peut s’avérer nécessaire  • Concernant le projet lui-même  (changement de personnes, évolution du cadre d’inscription du projet) • Concernant les suivi des dynamiques initiées : soutenir ou accompagner les effets sur les habitants

  5. Le dispositif de soutien aux projets de la Fondation de France • Concernant les six projets évalués, le soutien de la fondation de France permet d’accompagner des projets déjà travaillés localement. • Comment concilier recherche d’effets durables et financement ponctuel ? • Quel rôle la Fondation peut-elle jouer alors même qu’elle n’est qu’un financeur parmi d’autres (et pas toujours le principal financeur) ? • L’identification du « P+ » semble très peu lisible pour les porteurs de projets • Quelle complémentarité réelle organiser entre l’appel à projet et le P+ sur cet axe ?

  6. Pistes d’évolution / sélection des projets • Les instructeurs : un rôle de conseil auprès des porteurs de projet sur les points de vigilance ou risques • Anticiper le besoin de prise de relais, et l’identifier comme un temps du projet, un moment à préciser dans le calendrier du projet. • S’assurer que les 3 « rôles » (porteur / intervenant / référent ancrage) sont effectivement occupés au démarrage du projet • Préciser les attentes en termes de réalisations tangibles • Préciser le lien avec la politique de la ville : • Les 6 projets évalués sont tous plus ou moins liés à une opération de rénovation urbaine. • Dans le cadre de la réforme de la politique de la ville en cours, la Fondation de France pourrait soutenir des projets s’inscrivant dans une démarche plus expérimentale d’une part et favorisant les liens entre projets sur différentes territoires d’autre part.

  7. Pistes d’évolution / suivi des projets >Définir un dispositif simple d’identification des actions complémentaires à soutenir : soit pour assurer le bon déroulement du projet soit pour apporter un soutien à des initiatives fragiles émanant du projet • Inciter et participer à un bilan partagé(partenaires et représentants des habitants impliqués), • être attentif aux effets émergents du projet • détecter les dynamiques nouvelles qu’il serait utile de soutenir (quel que soit le cadre de ce soutien). • Organiser un temps de réflexion stratégique à l’échelle des agglomérations • (tous les 1 ou 2 ans) concernant les actions soutenues par la Fondation sur le territoire de la collectivité. • identifier les relais à prendre les articulations entre les projets soutenus et d’autres initiatives engagées sur le territoire, • s’assurer de la pérennité des projets ou de la poursuite des dynamiques engagées.

  8. Pistes d’évolution / P+ • Plutôt qu’une demande supplémentaire à effectuer par le porteur de projet, le P+ pourrait se présenter comme une enveloppe à mobiliser par la Fondation : • En appui au projet (un besoin méthodologique d’accompagnement pour renforcer la participation des habitants, repéré au moment de l’instruction) • En secours, en cours de projet lorsque des blocages ou difficultés particulières apparaissent et qu’un appui méthodologique permettrait de les dépasser.

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