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Marie de Magdala

Marie de Magdala. Bonjour les bien-aimés du Seigneur, Les quatre Évangiles nous racontent l’histoire d’une femme pécheresse qui oint Jésus d’un parfum de grand prix lors d’une fête dans la maison de Simon résidant dans le village de Béthanie.

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Marie de Magdala

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Presentation Transcript


  1. Marie de Magdala Bonjour les bien-aimés du Seigneur, Les quatre Évangiles nous racontent l’histoire d’une femme pécheresse qui oint Jésus d’un parfum de grand prix lors d’une fête dans la maison de Simon résidant dans le village de Béthanie. Aujourd’hui, nous allons mettre un peu de lumière sur cette femme que l’on surnomme « Marie la Magdaléenne » (qui viens de la ville de Magdala), ou plus communément appelée « Marie-Madeleine ». Cette méditation est inspirée du livre in tituté « Jésus-Christ ». Débutons avec la lecture de cette histoire dans l’Évangile de Marc au chapitre 14:3.

  2. Marc 14:3 3. Comme Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux, une femme entra, pendant qu’il se trouvait à table. Elle tenait un vase d’albâtre, qui renfermait un parfum de nard pur de grand prix; et, ayant rompu le vase, elle répandit le parfum sur la tête de Jésus. Dans cette histoire, commençons par enquêter sur ce Simon que Marc qualifie de lépreux. Il faut comprendre que Simon avait organisé un copieux repas entre amis et que Jésus était l’un de ses invités. Si ce lépreux a invité Jésus dans sa maison avec des amis, nous pouvons en déduire qu’il était, à ce moment, guéri de sa maladie. Car, au temps de Jésus, les lépreux ne vivaient pas dans des villages et encore moins faire des invitations à un repas. Curieusement, nous trouvons au chapitre 1:40 du même Évangile un lépreux qui a été guéri par Jésus

  3. Marc 1:40-42 40. Un lépreux vint à lui; et, se jetant à genoux, il lui dit d’un ton suppliant: Si tu le veux, tu peux me rendre pur. 41. Jésus, ému de compassion, étendit la main, le toucha, et dit: Je le veux, sois pur. 42. Aussitôt la lèpre le quitta, et il fut purifié. Parmi toutes les guérisons miraculeuses que Jésus opéra, Marc dans son Évangile, ne raconte la guérison que d’un seul lépreux. On peut facilement en déduire que ce lépreux était ce Simon le lépreux qui avait été auparavant guéri par Jésus. Plein de gratitude pour cette guérison miraculeuse, il est facile de penser que Simon se sentait redevable envers Jésus. Car nous n’aimons pas nous sentir redevables vis-à-vis quelqu’un, cela heurte notre orgueil. Alors, pour lui remettre la pareille, il organisa ce souper envers celui qui l’avait guéri de la lèpre. Continuons notre investigation sur ce personnage qu’était Simon en lisant la même histoire racontée par l’apôtre Luc au chapitre 7:36.

  4. Luc 7:36-37 36. Un pharisien pria Jésus de manger avec lui. Jésus entra dans la maison du pharisien, et se mit à table. 37. Et voici, une femme pécheresse qui se trouvait dans la ville, ayant su qu’il était à table dans la maison du pharisien, apporta un vase d’albâtre plein de parfum, Luc, dans son Évangile, nous précise que Simon était membre de l’ordre des pharisiens ! Étant pharisien, Simon avait des contacts privilégiés avec les chefs de l’organisation religieuse. Plusieurs gros bonnets étaient sûrement présents à sa petite fête. Mais, nous savons que ceux-ci n’aimaient pas Jésus. Il était donc difficile pour Simon de s’afficher ouvertement comme étant un fidèle disciple de Jésus. Cette fête se déroula 6 jours avant la pâque juive. Une grande foule se trouvait aux alentours de Jérusalem et Béthanie était une petite ville à quelques pas de Jérusalem. Beaucoup de monde se trouvait aussi réuni à l’occasion de ce banquet pour voir Lazare, celui que Jésus avait ressuscité! Mais, Simon avait-il foi en Jésus ? Lisons la suite de l’histoire dans Luc 7:38.

  5. Luc 7:38 38. Elle se tint derrière, aux pieds de Jésus. Elle pleurait; et bientôt elle lui mouilla les pieds de ses larmes, puis les essuya avec ses cheveux, les baisa, et les oignit de parfum. 39. Le pharisien qui l’avait invité, voyant cela, dit en lui-même: Si cet homme était prophète, il connaîtrait qui et de quelle espèce est la femme qui le touche, il connaîtrait que c’est une pécheresse. Quoique Simon considérait Jésus comme un maître spirituel, il ne croyait pas que Jésus était le Christ, le Sauveur de l’humanité. Quand il vit Jésus acceptant l’offrande de cette femme pécheresse, il se félicita intérieurement de ne pas s’être trop avancé à le confesser ouvertement comme étant le Messie devant ses confrères pharisiens. Relisons le texte de Marc 14:3 et concentrons-nous maintenant sur cette femme au vase d’albâtre.

  6. Marc 14:3 3. Comme Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux, une femme entra, pendant qu’il se trouvait à table. Elle tenait un vase d’albâtre, qui renfermait un parfum de nard pur de grand prix; et, ayant rompu le vase, elle répandit le parfum sur la tête de Jésus. L’albâtre est une belle roche de calcaire de la famille des marbres, blanche ou d'un roux doré avec des parties translucides, qu'on utilise en sculpture depuis l'Antiquité. Mais, qui est cette femme riche et méprisée des pharisiens? L’Évangile de Jean au chapitre 8 nous décrit l’histoire d’une femme pécheresse très méprisée par les pharisiens. Lire dans la Bible: Jean 8:1

  7. Jean 8:2-11 2. Tout le peuple vint à lui. S’étant assis, il les enseignait. 3. Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère; 4. et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus: Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. 5. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes: toi donc, que dis-tu? 6. Ils disaient cela pour l’éprouver, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus, s’étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Suite…

  8. Jean 8:1-11 7. Comme ils continuaient à l’interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. 8. Et s’étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. 9. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu’aux derniers; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu.10. Alors s’étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit: Femme, où sont ceux qui t’accusaient? Personne ne t’a-t-il condamnée? 11. Elle répondit: Non, Seigneur. Et Jésus lui dit: Je ne te condamne pas non plus: va, et ne pèche plus. Il est bon de savoir que ce sont les péchés secrets des pharisiens que Jésus écrivait sur la terre et peut-être même leurs actes de fornications illicites avec cette femme, qu’ils auraient aimé faire terrent à jamais, en la lapidant. Quelle belle astuce de Jésus pour sauver cette pauvre femme pécheresse et la délivrer de cette impasse! Poursuivons notre investigation sur cette femme pécheresse au chapitre 11 du même Évangile de Jean, relatant la résurrection de Lazare. Cette femme pécheresse était sûrement le résultat d’une jeune fille de bonne famille qui a subi un viol dans sa jeunesse et que cette expérience humiliante l’a psychiquement ébranlée. Se sentant ainsi souillée, elle s’éloigna du milieu familial dans la ville de Magdala et désespérée, elle s’enfonça davantage dans l’abime du découragement. Ce péché de jeunesse avait laissé sur cette femme une profonde cicatrice dans son cœur. Par une ruse, les pharisiens (de la clique de Simon et peut-être recommandé par lui-même) la poussèrent à commettre une action condamnable d’adultère. Dans l’histoire du repas de Simon, cette femme, que Luc qualifie de pécheresse, démontre une grande gratitude pour Jésus. On peut croire que Jésus a fait beaucoup pour elle et peut-être même la sauvé d’une mort par lapidation. Suite…

  9. Jean 11:1-2 1. Il y avait un homme malade, Lazare, de Béthanie, village de Marie et de Marthe, sa soeur. 2. C’était cette Marie qui oignit de parfum le Seigneur et qui lui essuya les pieds avec ses cheveux, et c’était son frère Lazare qui était malade. . Cette femme pécheresse s’appelait donc Marie et elle était la sœur de Marthe et Lazare ! Lazare était un ami de Jésus et dans cette famille près de Jérusalem, Jésus aimait se recueillir et se reposer. La famille de Marth et Lazare était située dans le village de Béthanie, le même village où Simon habitait. On peut croire que Simon avait passé son enfance près des agissements de Marie. Marie suivait Jésus partout où il allait. Voir Luc 8:1-3

  10. Luc 8:1-3 1. Ensuite, Jésus allait de ville en ville et de village en village, prêchant et annonçant la bonne nouvelle du royaume de Dieu. 2. Les douze étaient avec lui et quelques femmes qui avaient été guéries d’esprits malins et de maladies: Marie, dite de Magdala, de laquelle étaient sortis sept démons, 3. Jeanne, femme de Chuza, intendant d’Hérode, Susanne, et plusieurs autres, qui l’assistaient de leurs biens. On peut comprendre qu’à cause de son péché de jeunesse, pour ne pas déshonorer sa famille, Marie s’était réfugiée dans la ville de Magdala au nord, près de la mer de Galilée. Elle rencontra Jésus et fut guérie de plusieurs démons. Étonné d’un si grand pardon miséricordieux accordé à une femme si dépravée et méprisée par les hommes, ce fut alors pour elle le commencement d’une nouvelle vie consacré au service de son Seigneur. Elle devint l’un de ses plus fidèles disciples. Pas seulement une, deux ou trois fois, mais à sept reprises, Jésus a ouvert son âme en prière pour cette misérable épave humaine. Marie a sûrement entendu Jésus passer la nuit à prier pour elle avec des larmes et des supplications. Je crois que le septième démon qui fut finalement chassé était le ressentiment secret et profond qu’elle entretenait envers ce premier homme qui l’avait souillée dans sa jeunesse et qui avait ainsi ruiné sa vie. Marie était la femme au vase d’albâtre. Mais, combien valait ce vase d’albâtre? Poursuivons notre lecture du début, dans l’Évangile de Marc 14:4.

  11. Marc 14:4-5 4. Quelques-uns exprimèrent entre eux leur indignation: A quoi bon perdre ce parfum? 5. On aurait pu le vendre plus de trois cents deniers, et les donner aux pauvres. Et ils s’irritaient contre cette femme. 6. Mais Jésus dit: Laissez-la. Pourquoi lui faites-vous de la peine? Elle a fait une bonne action à mon égard; Ce vase d’albâtre valait plus de 300 deniers ! 1 denier = le salaire d’un jour de travail. 300 deniers = 1 année de salaire. (C’est plus qu’organiser une petite fête!) Les 12 ont tous crié « Amen! » à cette idée noble, logique et qui semblait en harmonie avec les principes divins de donner aux pauvres. Mais, Jésus lui, n’a pas crié « Amen! ». Le plus gros problème de Dieu aujourd’hui n’est pas avec les publicains et les prostituées de notre époque, mais avec les gens soi-disant religieux qui ne savent pas discerner et apprécier l’amour « agapè » quand ils en voient la manifestation. Comme pour plusieurs aujourd’hui, Jésus glissa dans le cœur de Judas un doux reproche qu’il n’a pas apprécié. Celui-ci quitta la soirée pour aller voir les prêtres qui étaient réunis spécialement à propos de Jésus afin de le faire mourir avec son ami Lazare, et il leur offrit de le livrer pour 30 sicles d’argent (près de 120 deniers). Une bonne différence de prix entre le flacon de parfum de Marie! Mais, qu’est-ce que Jésus a trouvé de si bon dans ce geste dérisoire de Marie ?

  12. Marc 14:8 7. car vous avez toujours les pauvres avec vous, et vous pouvez leur faire du bien quand vous voulez, mais vous ne m’avez pas toujours. 8. Elle a fait ce qu’elle a pu; elle a d’avance embaumé mon corps pour la sépulture. Mieux que les 12 apôtres, cette femme méprisée avait compris que Jésus devait mourir pour le pardon de ses péchés à elle. Qu’il était l’agneau immolé pour la guérison qu’elle avait reçu. Jésus a vu dans le geste de Marie les emblèmes de son Évangile: Le vase d’albâtre brisé = Son corps brisé pour nous sauver. Le prix inestimable = Le don infini de sa vie, volontairement consenti pour nous. Le parfum répandu sur le sol = Son sang versé pour nous redonner la vie. L’arôme qui remplissait la maison = Son amour qui embaumerait l’humanité. Le mobile désintéressé de Marie = Son mobile d’amour en faveur de l’homme perdu. Ce geste qui semble fou et démesuré = Son geste fou et démesuré d’offrir sa vie divine en sacrifice pour nos péchés. Mais, qui est cet homme qui abusa le premier de Marie ? Un événement spécial à ce repas nous donne la réponse à cette énigme. Continuons notre lecture dans l’Évangile de Luc au chapitre 7:40

  13. Luc 7:40-47 40. Jésus prit la parole, et lui dit: Simon, j’ai quelque chose à te dire. - Maître, parle, répondit-il. - 41. Un créancier avait deux débiteurs: l’un devait cinq cents deniers, et l’autre cinquante. 42. Comme ils n’avaient pas de quoi payer, il leur remit à tous deux leur dette. Lequel l’aimera le plus? 43. Simon répondit: Celui, je pense, auquel il a le plus remis. Jésus lui dit: Tu as bien jugé. Suite…

  14. Luc 7:40-47 44. Puis, se tournant vers la femme, il dit à Simon: Vois-tu cette femme? Je suis entré dans ta maison, et tu ne m’as point donné d’eau pour laver mes pieds; mais elle, elle les a mouillés de ses larmes, et les a essuyés avec ses cheveux. 45. Tu ne m’as point donné de baiser; mais elle, depuis que je suis entré, elle n’a point cessé de me baiser les pieds. 46. Tu n’as point versé d’huile sur ma tête; mais elle, elle a versé du parfum sur mes pieds.… 47. C’est pourquoi, je te le dis, ses nombreux péchés ont été pardonnés: car elle a beaucoup aimé. Mais celui à qui on pardonne peu aime peu. Simon n’avait pas demandé pardon pour son péché envers cette femme qu’il méprisait et c’est pour cela que ses gestes envers Jésus démontraient moins d’amour que ceux de Marie. « Celui à qui on pardonne peu aime peu. » C’est Simon qui aurait dû exprimer plus de gratitude envers Jésus que ce que Marie a fait, car son péché d’avoir entraîné cette femme dans la débauche était beaucoup plus grand. Simon ne voyait pas l’énormité de son péché non confessé. Mais, avec tact, Jésus mit dans le cœur de Simon un profond remord, sans rendre la chose publique. Lisons maintenant un détail important au verset 38. Que veut dire cette parole de Jésus: « Mais celui à qui on pardonne peu aime peu. » Et qui est ce débiteur qui devait 500 deniers? Et l’autre qui en devait 50? Ciblait-il Marie ou Simon? Sans soulever les soupçons des invités présents et avec tact, Jésus a réussi à faire comprendre à Simon que ce débiteur ingrat qui devait le plus et avait beaucoup péché, c’était lui. Il nous est permis de croire que c’était lui, cet homme qui abusa de Marie dans son enfance. Car il a vécu dans le même village qu’elle, démontre qu’il connaissait bien cette femme, la qualifiant de pécheresse et que c’est vers elle que Jésus tourne son regard pour exprimer son reproche envers Simon. Suite…

  15. Luc 7:38 38. Elle se tint derrière, aux pieds de Jésus. Elle pleurait; Pourquoi Marie pleurait-elle ? Depuis longtemps, Marie écoutait les discours de Jésus. Elle avait entendu les paroles de celui qui devait être immolé pour le pardon de ses misérables péchés. Aussi, elle savait que Jésus connaissait toute son histoire. Et, elle a vu combien Jésus aimait Simon et lui avait pardonné. La beauté immaculée du caractère de Jésus remplissait son âme d’admiration. Sa haine envers Simon, qu’elle entretenait depuis si longtemps, s’estompa et avait maintenant disparu. Ce miracle d’amour était si grand dans son cœur, qu’elle s’est sentie en paix avec Dieu et maintenant agréable à ses yeux. Un sentiment qu’elle croyait avoir perdu pour toujours. Elle savait que les effets de ce miracle étaient dus au futur sacrifice de la vie de son Seigneur et cela la rendait pleine d’admiration au point d’en pleurer. Poursuivons notre lecture de cette histoire au verset 48.

  16. Luc 7:48-50 48. Et il dit à la femme: Tes péchés sont pardonnés. 49. Ceux qui étaient à table avec lui se mirent à dire en eux-mêmes: Qui est celui-ci, qui pardonne même les péchés? 50. Mais Jésus dit à la femme: Ta foi t’a sauvée, va en paix. Quand Jésus prononça ces paroles: « Tes péchés sont pardonnés », il le fit pour ceux qui étaient présents à cette fête. Ces paroles n’étaient pas pour Marie. Jésus en profita pour exprimer aux autres qu’il est le Sauveur de l’humanité, celui qui pardonne tous les péchés. Puis, Jésus loua la foi de cette femme. Car la foi de Marie s’exprimait par une expression profonde de l’appréciation du cœur de l’amour incommensurable de Dieu envers elle. Parmi les 12 apôtres, aucun n’avait cette foi qui sauve. Quel détail pouvons-nous encore trouver sur cette femme exceptionnelle? Lisons Matthieu 27:55

  17. Matthieu 27:55 55. Il y avait là plusieurs femmes qui regardaient de loin; qui avaient accompagné Jésus depuis la Galilée, pour le servir. 56. Parmi elles étaient Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques et de Joseph, et la mère des fils de Zébédée. Marie de Magdala était là lors de la crucifixion de Jésus. Rejeter de tous, elle n’a jamais détourné son regard envers son Seigneur. Elle était là, toujours présente auprès de lui, même dans les moments les plus difficiles. Lisons Jean 20:1.

  18. Jean 20:1 1. Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rendit au sépulcre dès le matin, comme il faisait encore obscur; et elle vit que la pierre était ôtée du sépulcre. Marie de Magdala fut la première à se rendre au tombeau de Jésus. Contrairement à tous les apôtres, la crainte de la mort ne l’avait pas envahi. Même après la crucifixion du Maître, elle croyait encore à lui ! Lisons maintenant Marc 16:9.

  19. Marc 16:9 9. Jésus, étant ressuscité le matin du premier jour de la semaine, apparut d’abord à Marie de Magdala, de laquelle il avait chassé sept démons. 10. Elle alla en porter la nouvelle à ceux qui avaient été avec lui, et qui s’affligeaient et pleuraient. Marie de Magdala fut la première à qui Jésus dévoila sa résurrection. Car, elle était la seule qui pouvait y croire sans crainte. Elle fut aussi la première à proclamer que Jésus était ressuscité. Pouvons-nous aujourd’hui avoir cette foi pure? Une foi à travers laquelle Dieu se révèle plus qu’à tous les autres. Terminons en finissant cette histoire racontée dans l’Évangile de Marc 14:9

  20. Marc 14:9 9. Je vous le dis en vérité, partout où la bonne nouvelle sera prêchée, dans le monde entier, on racontera aussi en mémoire de cette femme ce qu’elle a fait. L’expression de foi de cette femme sera pour toujours un exemple puissant de l’amour de Dieu qui transforme les cœurs. Indépendamment jusqu’où vous êtes tombé dans le péché, ou jusqu’où le pardon vous semble impossible à celui qui a détruit votre vie, je prie que Dieu touche vos cœurs comme il a touché celui de Marie de Magdala. Amen !

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