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Contexte et objectifs 4 La méthodologie 6 Le profil des répondants 9

Sondage téléphonique sur la caractérisation de la clientèle agricole de la région du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud et ses besoins en formation Rapport pour approbation Québec, mars 2013 Dossier 71097-001. Contexte et objectifs 4 La méthodologie 6

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Contexte et objectifs 4 La méthodologie 6 Le profil des répondants 9

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Presentation Transcript


  1. Sondage téléphonique sur la caractérisation de la clientèle agricole de la région du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud et ses besoins en formation Rapport pour approbation Québec, mars 2013 Dossier 71097-001

  2. Contexte et objectifs 4 La méthodologie 6 Le profil des répondants 9 Faits saillants 13 L’analyse détaillée des résultats 18 1. L’intérêt envers les activités de formation continue 19 1.1 L’intérêt envers la formation continue en général 20 1.2 Le nombre de jours par année à consacrer à de la formation21 1.3 Les motifs à l’endroit des activités de formation continue 22 1.4 Les freins à l’endroit des activités de formation continue 23 1.5 Les critères les plus importants 24 2. Les sujets de formation continue 25 2.1 Les différents sujets de formation 26 2.2 Les sujets de formation en détail 27 2.3 Les produits de mise en marché 33 2.4 Les autres sujets de formation 34 2.5 L’intérêt envers une formation à temps partiel (6 mois à 1 an) 35 3. L’information en matière de formation continue 36 3.1 L’information sur la formation continue 37 3.2 Les sources d’information sur la formation continue 38 3.3 Le Collectif régional en formation agricole comme source 39 d’information Conclusion 40 Annexe 1 – Le questionnaire 43

  3. 5 Identifier les besoins en formation continue de la clientèle agricole du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud. • Depuis 1981, les Collectifs régionaux en formation agricole planifient, offrent et font la promotion de la formation de courte durée auprès de la relève, des travailleurs et des producteurs agricoles. • Relevant d’un plan d’action provincial de soutien en formation agricole, les Collectifs sont aux prises avec des changements organisationnels, technologiques et de marché. Les entreprises du secteur agricole développent de nouveaux besoins en formation afin de se tenir au fait et de s’adapter aux changements dans ce secteur d’activité. • Soumis à cette tendance, le Collectif régional en formation agricole du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud a mandaté Léger Marketing afin de sonder sa clientèle sur leurs besoins actuels en formation. • Plus précisément, la présente étude a pour objectif de : • cibler les besoins de formation afin de favoriser une meilleure adéquation entre l’offre et la demande de formation dans ce secteur; • mesurer l’intérêt des travailleurs agricoles à l’égard des formations continues offertes dans la région; • connaître les motifs et les freins à l’endroit des activités de formation continue; • déterminer l’intérêt des travailleurs agricoles envers de la formation à temps partiel; • identifier les principales sources d’information des travailleurs et des producteurs agricoles en matière de formation continue.

  4. 7 • Population et échantillonnage • La clientèle visée par le sondage est constituée de travailleurs et de producteurs agricoles, pouvant s’exprimer en français et accessibles via une ligne téléphonique filaire. • La méthode de collecte des données • La présente étude a été réalisée par le biais d’un sondage téléphonique auprès de 600 travailleurs et producteurs agricoles de la région du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud (BSLCDS). Les responsables du Collectif régional en formation du BSLCDS ont fourni une liste contenant 2 087 exploitations agricoles*. Une seule personne par entreprise a été interrogée. • La marge d’erreur • La marge d’erreur maximale pour un échantillon aléatoire de 600 répondants sur une population finie de 2 087 établissements agricoles est de +/- 3,38%. • L’instrument de mesure • Le questionnaire a été élaboré par Léger Marketing en collaboration avec les professionnels du Collectif régional en formation agricole et de ses partenaires. • Le prétest et la collecte de données • Le questionnaire a été prétesté auprès de 20 répondants le 12 février 2013. La collecte officielle des données a été réalisée du 13 au 20 février 2013. • Pondération et représentativité • Afin de redresser les déséquilibres et de rendre l’échantillon représentatif de la population étudiée, les données brutes de l’étude ont été pondérées selon les deux principales productions agricoles, conformément à la répartition de la production contenue dans les listes. Notre approche méthodologique Sondage téléphonique auprès de 600 travailleurs et producteurs agricoles. * Au départ, la liste contenait 2 146 entrées, dont 59 étaient des doublons.

  5. 8 • Dans les graphiques et les tableaux, le « n » représente le nombre réel de personnes interrogées. • Pour l’ensemble des graphiques et tableaux présentés dans ce rapport, les totaux différents de 100% peuvent être attribuables à l’arrondissement à l’entier des pourcentages indiqués. Quant aux totaux supérieurs à 100%, ils sont attribuables à la réponse multiple. • Afin de faire ressortir les écarts entre les sous-groupes à l’étude, certaines différences significatives pertinentes sont présentées. Ces différences sont calculées par rapport au complément et les proportions significativement supérieures sont présentées en rougedans les graphiques et les tableaux, alors que les proportions significativement inférieures sont présentées en bleu. • Les résultats des sous-groupes composés de moins de 30 répondants sont présentés à titre informatif seulement, étant donné le faible nombre d’individus que cela représente. • Toujours dans le but de simplifier la lecture du texte : • le « BSLCDS » fait référence à l’ensemble du territoire desservi par le Collectif régional en formation agricole du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud. • la « relève agricole » fait référence au groupe d’âge des 18 à 44 ans; • pour les secteurs de production, la catégorie « Autres » fait entre autres référence aux secteurs porcin et avicole, en plus d’inclure toutes les petites productions (gibiers, pisciculture, apiculture, etc.). • Les secteurs de production n’étaient pas mutuellement exclusifs dans l’étude, chaque producteur ayant dû identifier les deux principaux secteurs de production de sa ferme. Ainsi, un producteur ayant des activités variées peut se retrouver dans plusieurs sous-groupes. • La forme masculine utilisée dans le texte désigne aussi bien les femmes que les hommes. Elle n’est utilisée qu’à la seule fin d’alléger le texte et d’en faciliter la compréhension. Notre approche méthodologique Comment lire les résultats?

  6. 10 10 Le profil des répondants

  7. 11 11 Le profil des répondants

  8. 12 12 Le profil des répondants

  9. 14 • Au total, 48% des travailleurs agricoles du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud seraient « très » ou « assez » intéressés par de la formation continue en agriculture. • Cette proportion grimpe à 74% chez la relève agricole • Environ le quart des travailleurs agricoles (24%) seraient intéressés par une formation à temps partiel d’une durée de 6 mois ou 1 an. Toutefois, plusieurs répondants ont mentionné spontanément l’importance de la saison à laquelle se déroulerait une telle formation. • Les principales motivations pour suivre de la formation continue sont l’apprentissage de nouvelles techniques (34%) et la mise à jour des connaissances (28%). • Les travailleurs agricoles identifient deux principaux freins à suivre de la formation continue : l’âge (45%) et le manque de temps (24%). Q3. Personnellement, êtes-vous intéressé à suivre de la formation continue dans le domaine de l’agriculture ? (n=600) L’intérêtenvers la formation continue TOTAL : 48% Relève agricole : 74% 45 ans et plus : 37%

  10. 15 Les données recueillies montrent que le Collectif régional en formation agricole devrait orienter les formations offertes selon quatre critères principaux : le sujet de formation, la proximité, la durée de la formation et le moment de la formation. Q19. Parmi les choix suivants, dites-moi quel est, ou quel serait, le critère le plus important pour choisir une formation continue dans votre domaine? Quel est le deuxième plus important? Et le troisième? (n=600) L’offre de formation continue : les critèresprioritaires

  11. 16 Dans l’ensemble, les travailleurs agricoles du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud sont nombreux à être intéressés par des sujets connexes à l’agriculture, comme la comptabilité, la gestion ou l’informatique. Q7. Je vais vous lire différents sujets de formation. Dites-moi ceux qui vous intéressent personnellement. (n=600) La pertinence du sujet Plus de 40% d’intéressés

  12. 17 Le tableau suivant montre que lorsqu’étudiés par secteurs de production, les travailleurs et producteurs agricoles désirent recevoir de la formation continue dans des domaines connexes, mais également pour des sujets liés à leur domaine de production. Les producteurs de cultures commerciales constituent le groupe le plus intéressé par toute une gamme de formations. À l’inverse, certains secteurs, comme les secteurs ovins et caprins, montrent une tendance à préférer les sujets directement liés à leur activité de production. Note : Les données présentées incluent tous les sujets de formation qui ont recueilli l’intérêt d’au moins 50% des travailleurs de chacun des sous-groupes. La pertinence du sujet par secteur

  13. 1. L’intérêt envers les activités de formation continue

  14. 20 Près de la moitié (48%) des travailleurs agricoles du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud se disent « très » ou « assez » intéressés par de la formation continue en agriculture. Chez les travailleurs de la relève agricole, ce sont près des trois quarts d’entre eux (74%) qui seraient intéressés par de la formation continue en agriculture, tandis qu’en fonction des secteurs de production, on remarque que les horticulteurs (66%) et les producteurs d’autres cultures (61%) sont ceux qui se sont montrés intéressés dans une proportion plus importante. 1.1 L’intérêt envers la formation continue en général

  15. 21 En moyenne, les travailleurs agricoles du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud seraient prêts à consacrer neuf jours par année à de la formation continue. Ceux qui sont très intéressés y consacreraient en moyenne 11 journées annuellement. 1.2 Le nombre de jours par année à consacrer à de la formation Q5. Combien de jours par année êtes-vous prêt à consacrer à de la formation continue dans le domaine de l'agriculture? Base : ceux qui sont très, assez ou peu intéressés par de la formation (Q3) (n=444) Moyenne : 9 jours

  16. 22 Les travailleurs agricoles sont avant tout intéressés par des formations où ils vont apprendre les plus récents développements techniques agricoles, mettre à jour leurs connaissances et perfectionner leur métier, tout en en retirant des avantages du point de vue de la productivité et de la rentabilité et leur entreprise. 1.3 Les motifs à l’endroit des activités de formation continue * Les mentions inférieures à 2% ne sont pas présentées dans le tableau. Elles comprennent : que le métier soit plus payant, que j’obtienne de l’information sur la production animale, que la formation soit disponible à proximité, la durée et les dates de formation, si j’avais plus de temps, les nouveautés et les orientations du marché, la gestion de la finance, avoir une relève et que les formations soient subventionnées ou payées.

  17. 23 L’âge, le manque de temps et la croyance en une compétence suffisante sont les principaux freins à l’endroit des activités de formation continue. 1.4 Les freins à l’endroit des activités de formation continue * Les mentions inférieures à 2% ne sont pas présentées dans le tableau. Elles comprennent : j’ai des problèmes de santé, j’ai d’autres sources d’information (pairs, collègues), il y a trop de documents à remplir pour s’inscrire, l’éloignement (je n’ai pas de véhicule) et je n’en ai pas besoin.

  18. 24 Parmi les différents critères de choix d’une formation continue, la proximité (52%) est importante pour une majorité des travailleurs agricoles. Le sujet (45%), la durée de formation (43%) et le moment de la formation (41%) suivent non loin derrière. 1.5 Les critères les plus importants Q19. Parmi les choix suivants, dites-moi quel est, ou quel serait, le critère le plus important pour choisir une formation continue dans votre domaine? Quel est le deuxième plus important? Et le troisième? (n=600)

  19. 2. Les sujets de formation continue

  20. 26 Q7A à K. Je vais vous lire différents sujets de formation. Dites-moi ceux qui vous intéressent personnellement. % OUI (n=600) L’intérêt envers la formation continue est surtout concentré dans les domaines connexes (comptabilité, informatique, mécanique, etc.) et en production animale. 2.1 Les différentssujets de formation

  21. 27 Q7D et E. Je vais vous lire différents sujets de formation. Dites-moi ceux qui vous intéressent personnellement. Q8D et E. Lesquelles de ces formations vous intéressent concernant… % OUI (n=600) Un peu plus de la moitié des travailleurs agricoles sont intéressés par de la formation en comptabilité et gestion (54%) et en informatique (53%). Parmi les producteurs laitiers, 60% seraient intéressés par de la formation en informatique. 2.2 Les sujets de formation en détail LA COMPTABILITÉ ET LA GESTION Relève agricole : 68% 45 ans et plus : 48% L’INFORMATIQUE

  22. 28 Dans l’ensemble, 51% des travailleurs agricoles Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud sont intéressés par de la formation en production animale et 49% à de la formation en mécanique et équipements. Ceux qui sont davantage intéressés par de la formation en production animale sont les producteurs laitiers (74%), bovins (73%), ovins ou caprins (72%) et de cultures commerciales (64%). Q7B et G. Je vais vous lire différents sujets de formation. Dites-moi ceux qui vous intéressent personnellement. Q8B et G. Lesquelles de ces formations vous intéressent concernant… % OUI (n=600) 2.2 Les sujets de formation en détail - suite LA PRODUCTION ANIMALE Relève agricole : 61% 45 ans et plus : 46% LA MÉCANIQUE ET LES ÉQUIPEMENTS Relève agricole : 57% 45 ans et plus : 45%

  23. 29 Les producteurs de cultures commerciales sont ceux qui ont démontré le plus d’intérêt envers de la formation en agroenvironnement, avec 52% d’entre eux ayant affirmé être intéressés. Par rapport à la transformation des produits à la ferme, les acériculteurs (48%) sont ceux qui se sont montrés intéressés dans une plus grande proportion. Q7H et I. Je vais vous lire différents sujets de formation. Dites-moi ceux qui vous intéressent personnellement. Q8H et I. Lesquelles de ces formations vous intéressent concernant… % OUI (n=600) 2.2 Les sujets de formation en détail - suite L’AGROENVIRONNEMENT Relève agricole : 55% 45 ans et plus : 41% LA TRANSFORMATION DES PRODUITS À LA FERME Relève agricole : 47% 45 ans et plus : 38%

  24. 30 L’intérêt envers le transfert de ferme et d’établissement est plus marqué chez les producteurs laitiers (46%). Quant à eux, les producteurs de cultures commerciales (66%) et les producteurs laitiers (49%) sont proportionnellement plus nombreux à être intéressés par de la formation en grandes cultures. Q7J et K. Je vais vous lire différents sujets de formation. Dites-moi ceux qui vous intéressent personnellement. Q8J et K. Lesquelles de ces formations vous intéressent concernant… % OUI (n=600) 2.2 Les sujets de formation en détail - suite LE TRANSFERT DE FERME ET D’ÉTABLISSEMENT Relève agricole : 29% 45 ans et plus : 44% Relève agricole : 44% 45 ans et plus : 34% LES GRANDES CULTURES

  25. 31 Les producteurs acéricoles (88%) et les producteurs de bois (62%) sont proportionnellement plus nombreux à être intéressés par de la formation en acériculture. Les producteurs horticoles (72%) sont ceux qui semblent être les plus intéressés par de la formation en marketing et mise en marché. Q7A et F. Je vais vous lire différents sujets de formation. Dites-moi ceux qui vous intéressent personnellement. Q8A et F. Lesquelles de ces formations vous intéressent concernant… % OUI (n=600) 2.2 Les sujets de formation en détail - suite L’ACÉRICULTURE LE MARKETING ET LA MISE EN MARCHÉ Relève agricole : 45% 45 ans et plus : 30%

  26. 32 Les producteurs horticoles (77%) et les producteurs d’autres cultures (37%) sont ceux qui ont été plus nombreux, en proportion, à démontrer de l’intérêt envers de la formation dans ce domaine. Q7A et J. Je vais vous lire différents sujets de formation. Dites-moi ceux qui vous intéressent personnellement. Q8A et J. Lesquelles de ces formations vous intéressent concernant… % OUI (n=600) 2.2 Les sujets de formation en détail - suite LA PRODUCTION HORTICOLE ET MARAÎCHÈRE

  27. 33 Le sirop d’érable est le produit pour lequel une formation de mise en marché serait la plus en demande (9% des producteurs du Bas-St-Laurent et de la Côte-du-Sud). On remarque toutefois que les producteurs désirent suivre une formation qui concerne leur propre production : les producteurs bovins veulent de la formation sur la viande, les producteurs horticoles sur les légumes, et ainsi de suite. Q8I2. Pour la mise en marché avec quels produits souhaiteriez-vous suivre une formation? (n=600) 2.3 Les produits de mise en marché N’est intéressé par aucune formation en marketing et mise en marché : 63%

  28. 34 De manière spontanée, les travailleurs agricoles ont démontré de l’intérêt pour de la formation à propos des cultures (6%), de l’élevage (4%) ou encore envers un coaching d’affaires (4%). 2.4 Les autres sujets de formation

  29. 35 Près du quart des travailleurs agricoles (24%) seraient intéressés à suivre une formation à temps partiel en agriculture, d’une durée de 6 mois à 1 an. Les sujets les plus en demande seraient la gestion financière (7%) et l’acériculture (6%). 2.5 L’intérêt envers une formation à temps partiel (6 mois à 1 an) * Du 24% des travailleurs qui ont répondu OUI, 7% ont mentionné spontanément qu’ils ne seraient ouverts à une telle formation qu’en fonction de la saison à laquelle elle serait offerte. Cette information suggère que les formations d’une durée de 6 mois placées stratégiquement selon les saisons seraient probablement plus populaires que les formations échelonnées sur toute une année.

  30. 3. L’information en matière de formation continue

  31. 37 Plus de la moitié (53%) des travailleurs agricoles s’informent de la formation continue dans leur domaine. Par contre, cette proportion s’élève à 61% chez les travailleurs de la relève agricole. Les travailleurs des cultures commerciales sont proportionnellement plus nombreux à s’en informer, avec 60% d’entre eux l’ayant affirmé. 3.1 L’information sur la formation continue Q17. Est-ce qu’il vous arrive de vous informer de la formation continue dans votre domaine ? (n=600) Relève agricole

  32. 38 • Les travailleurs agricoles qui se sont informés de la formation continue sont plus nombreux que les autres à l’avoir fait grâce aux envois postaux du MAPAQ (84%), au journal Vision Terre et Forêt (77%), aux courriers envoyés par l’UPA à tous ses membres (76%) et au bulletin de l’UPA (74%). Notons également que la relève agricole qui s’informe est proportionnellement plus nombreuse à le faire par le biais des maisons d’enseignement (74%). 3.2 Les sources d’information sur la formation continue

  33. 39 Au total, le Collectif régional en formation agricole du BSLCDS est plus connu que son site internet, 36% des répondants ont affirmé le connaître avant le sondage (question 23), alors que seulement 20% des répondants connaissent le site formationagricole.com. Soulignons que la notoriété du Collectif est plus élevée chez les travailleurs très intéressés par de la formation continue (47%), mais que la notoriété du site internet est toutefois plus faible chez les travailleurs de la relève agricole (15% contre 23% pour les travailleurs plus âgés). Dans le Bas-St-Laurent et la Côte-du-Sud, le site internet du Collectif régional en formation agricole est méconnu. 3.3 Le Collectif régional en formation agricole comme source d’information Taux de notoriété = 20% Taux de fréquentation : 7% Moyenne de visites : 3,1 fois Q23. Avant ce sondage, aviez-vous déjà entendu parler du Collectif régional en formation agricole ?

  34. 41 • L’intérêt pour de la formation continue en agriculture est relativement élevé dans le Bas-St-Laurent et sur la Côte-du-Sud. Toutefois, on remarque une différence très importante entre les travailleurs agricoles de la relève (18 à 44 ans) et ceux plus âgés. En effet, les travailleurs de la relève sont proportionnellement deux fois plus nombreux à être intéressés (74% contre 37%)! À court terme, cibler les travailleurs agricoles de la relève semblerait donc être une bonne stratégie pour atteindre une masse critique de travailleurs suivant des activités de formation. • Une autre caractéristique des travailleurs agricoles du BSLCDS est qu’ils sont nombreux à être intéressés par de la formation dans des domaines connexes. Bien entendu, pour chaque producteur, la formation dans son propre domaine de production est pertinente. Toutefois, dans l’ensemble, nous remarquons un intérêt marqué envers les domaines comme la comptabilité, la gestion ou encore l’informatique. Bref, les travailleurs agricoles du BSLCDS démontrent un intérêt envers des domaines qui représenteraient une valeur ajoutée à leur production. • Toujours dans le but d’apprendre de nouvelles techniques et de mettre à jour leurs connaissances, environ le quart des travailleurs agricoles du BSLCDS pourraient être intéressés par de la formation à temps partiel, sur des sujets comme la gestion financière par exemple et qui s’échelonnerait sur 6 mois ou un an. Cependant, plusieurs d’entre eux ont souligné spontanément que le moment de l’année a un impact important sur cet intérêt. Les travailleurs agricoles sont donc intéressés à approfondir leurs connaissances par le biais d’une formation plus complète, à temps partiel, tant et aussi longtemps que la planification de ces formations tient compte du rythme saisonnier de toute activité agricole. Toutefois, la formule précise d’une telle formation demeure à valider. • Le site internet du Collectif régional en formation agricole du BSLCDS a été visité par un travailleur sur dix avant cette étude. Les principales sources d’information sur la formation continue semblent être les envois postaux du MAPAQ et les divers bulletins de l’UPA. Soulignons que plus du tiers des travailleurs avait déjà entendu parler du Collectif, mais que la connaissance de son site internet est inférieure. Puisqu’un tiers des travailleurs connaissent le Collectif régional en formation agricole et que le taux d’intérêt envers la formation continue est relativement élevé sur son territoire, il aurait intérêt à déployer des actions pour se faire connaître et s’imposer en tant que source privilégiée en ce qui concerne la formation continue. En conclusion

  35. 43

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