Les SIG (systèmes d’information géographiques) : « Une nouvelle manière de voir le monde ».

1. Les SIG (systèmes d’information géographiques) : « Une nouvelle manière de voir le monde ». Éric MATHELIN Académie de la Réunion Novembre 2008. Eric.Mathelin@ac-reunion.fr

2. Quelques exemples d’apports : Donner une dimension concrète à des phénomènes théoriques (étude de cas). Travail à différentes échelles géographiques (mondial, local). Possibilité de réaliser facilement ses propres cartes. Utilisation des TICE en cours à différents moments de l’année. Facilite la validation du B2i. Sensibilisation à des notions très techniques (télédétection). Les SIG, outil pédagogique. « Les systèmes d’information géographiques (SIG) sont désormais d’une utilisation courante (carte routière en ligne, systèmes de positionnement, images satellitaires…). Les élèves doivent en apprendre l’usage et en acquérir l’intelligence. Ils constituent des outils privilégiés tant au service de l’acquisition de connaissances que de la pratique del’approche géographique. » (extrait des nouveaux programmes 2008). Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008

3. Couche « plan prévention des risques (PPR) » Couche « habitations » Couche « zones inondables » Couche « rivière » Données référencées dans l’espace Altitude Longitude Latitude Les SIG (systèmes d’information géographiques) : Objectif :Croisement de données cartographiques pour caractériser un phénomène géographique. Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008

4. SIG SIG Mesure et observation Réalité Données CAO Logiciel de cartographie assisté par ordinateur SGBD Système de gestionnaire de bases de données Analyse Action Cartographie Modélisation Simulation Communication Décision Information Les SIG de la réalité à la décision.(Source : Carlini) Les SIG, principes de construction : Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008

5.  Développement des SIG dans différents domaines (mairies, DDAF, DIREN, DRIRE…).  Création de laboratoires de recherche spécialisés (Orléans, Paris…)  Développement des GPS.  Mise au point de SIG grand public (Google Earth, Carto exploreur, Géoportail…)  Intégration dans les outils pédagogiques (cf BO) L’évolution des SIG. Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008

6. Les SIG automatisés: Les SIG professionnels: Les SIG, diversité des outils. Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008

7. Géoportail Google Earth Carto exploreur « SIG nomade » Les SIG automatisés, exemples de travaux. Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008

8. Les SIG automatisés, principes. Principes :  Bases de données avec différents supports (cartes, images aériennes, images satellites…).  Bases de données constituées de différents objets.  Informations ciblées selon le type de SIG. Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008

9. Les SIG automatisés, limites. Limites :  Des supports verrouillés et peu exploitables en dehors du SIG.  Bases de données constituées d’objets verrouillés.  Bases limitées et impossible à enrichir soi-même instantanément. Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008

10. Les SIG professionnels, exemples de travaux. Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008

11. Les SIG professionnels, principes. Principes :  Bases de données avec différents supports (cartes, images aériennes, images satellites…).  Bases de données constituées de différents objets.  Informations illimitées selon les choix de l’utilisateur.  Possibilité de création et de mise à jour instantanée. Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008

12. Les SIG professionnels, limites. Limites :  Complexité de la prise en main.  Difficulté à trouver des données prêtes à l’utilisation.  Coût des logiciels. Éric MATHELIN, Académie de la Réunion, 2008