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Attaque de Navire

120th Black Kite. Attaque de Navire. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion. La destruction de navires de guerre pose souvent problème pour plusieurs raisons :

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Attaque de Navire

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Presentation Transcript


  1. 120th Black Kite Attaque de Navire

  2. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion La destruction de navires de guerre pose souvent problème pour plusieurs raisons : • Par définition ils sont dans l’eau et si la destruction d’un char est quand même assurée lorsque la bombe tape au sol 5 ou 10m à coté, dans l’eau il en est tout autrement : si la bombe tape 1m à coté c’est raté. • Pour la même raison, la « topographie du terrain » empêche bien souvent une approche discrète de l’objectif. • Ils sont généralement bien défendus. Au moins par des mitrailleuses de gros calibre à haute cadence de tir (type Gatling) mais le plus souvent vient s’ajouter des missiles sol-air (toujours à guidage radar). Il faut donc larguer son armement à haute altitude. • Les bateaux sont rarement à l’arrêt à attendre qu’on les coule. Larguer une bombe à haute altitude sur une cible en mouvement sans avoir le droit de rater ne serait-ce que d’1m. Même Ethan Hunt n’accepterait pas la mission. Ce document a pour but l’enseignement d’une méthode d’attaque de bateaux de tous types avec destruction assurée. Nous ne parlerons que de bateaux en mouvement. Dans le cas de bateaux à l’arrêt, la technique de bombardement de précision à haute altitude reste applicable mais toujours difficile car la bombe n’a pas le droit de rater sa cible.

  3. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion Navires Russes Navires US Molniya (56m) Albatros (71m) Rezky (123m) Neustrashimy (131m) Pont Vert, petite taille Missiles de Croisières Plate forme Helico Pont Marron / Rouge Moscow (186m) Admiral Kuznetsov (302m) Missiles de Croisières Signes Distinctifs (sauf pour le Kuz)

  4. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion Navires Russes Navires US Partie arrière plus développée Oliver H Perry (138m) Compartiment missiles Ticonderoga (172m) Proue plus effilée CVN Carl Vinson (332m) Signes Distinctifs (sauf pour le CVN)

  5. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion IntroductionApproche Positionnement Tir Le bateau étant en mouvement, la difficulté va consister à évaluer le temps de plané de la bombe en fonction de la vitesse de l’appareil, de l’altitude de largage et de l’angle de piquer. Ce temps de plané, combiné avec la vitesse du navire devrait permettre de déterminer le point de visée pour un bombardement optimal. Evidement ce n’est pas sérieux. A moins d’être un géni doublé d’un as du pilotage, couler le bateau à chaque coup relève du miracle! Il faut trouver une autre solution. Larguer plus bas pour diminuer ainsi le temps de plané et donc réduire l’influence de la vitesse du navire ? Pourquoi pas mais les défenses Sol-Air pourraient bien détruire l’appareil. Il faut donc « contourner » les défenses du navire. Pour cela deux choses : • Tous les navires de Lock On ont un « trou » dans leur couverture mike-mike. • Tous les navires de Lock On sont incapables de tirer un missile sur un appareil volant à une altitude inférieure à 10m. La solution est donc toute trouvée : une attaque en raz motte (à moins de 10m de la surface de l’eau) et dans la zone non couverte par les Gatling du bateau. Armement utilisé : la S24.

  6. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion IntroductionApproche Positionnement Tir Dans la plupart des cas (voir détails dans la section « Technique »), la « zone faible » des navires sera la poupe (l’arrière). La manœuvre se déroule en deux étapes: • Reconnaissance: Il faudra d’abord effectuer un passage en visuel de la cible, pour évaluer au mieux son cap suivi. Selon les préférences, on pourra effectuer un passage vertical de l’objectif à haute altitude « en inversé » ou au contraire sur le coté de la cible. Si nécessaire, on pourra s’y prendre en plusieurs fois (pour affiner l’évaluation). C’est très important pour la suite. • Approche: On s’éloigne du navire du coté de sa zone faible, pour pouvoir effectuer sa descente vers une altitude de moins de 10m toujours hors de portée des missiles. Il faut alors prendre garde à ne pas perdre le visuel sur la cible mais en règle générale, plus on s’éloigne et plus la manœuvre sera sans danger. Nota: Pour plus de sécurité, dès qu’on entrera dans la zone d’engagement des navires et jusqu’à ce que ceux-ci soient détruits, on effectuera toute les manœuvres avec l’ECM enclenché.

  7. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion IntroductionApproche Positionnement Tir Angle d’arrivée Diminution de l’erreur d’évaluation du cap Pour les besoins de l’illustration, ici la vitesse du MIG est proche de celle du navire ce qui accentue le phénomène… Angle de départ Une fois établi sur le cap supposé de la cible, on s’aligne sur la poupe du navire (« poursuite directe »). Comme ce dernier est en mouvement, l’appareil va « s’auto-aligner » et l’erreur d’évaluation du cap va se lisser. Plus on entame l’approche de loin et plus ce phénomène sera visible

  8. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion IntroductionApproche Positionnement Tir Le tir s’effectuera à « bout portant ». Explication: L’angle d’attaque variant avec la vitesse, la distance de tir de la S24 va diminuer d’autant plus que la vitesse augmentera. En effet, à faible vitesse l’angle d’attaque sera plus important et les roquettes vont avoir tendance à partir vers le ciel. On pourra donc tirer de plus loin mais ce sera au détriment de la précision. A haute vitesse, les roquettes vont au contraire partir vers le sol. Cela impliquera donc de tirer à bout portant puis de redresser immédiatement pour ne pas « harponner le navire ». Deux avantages de la haute vitesse: • En cas de ratage de l’approche et donc de tir mike-mike ou de départ missile, la haute vitesse sera la bienvenue car elle permettra d’esquiver d’autant mieux la menace. • Contrairement au tir à distance, le tir à bout portant présente l’avantage que manquer sa cible soit impossible (souvenez-vous: 1m à coté…). La sécurité et la recherche du pourcentage maximum de réussite au tir impliqueront donc qu’on privilégie la haute vitesse (gaz 100%).

  9. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion IntroductionApproche Positionnement Tir Démonstration

  10. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion 10m!Tirer et Redresser Particularités des navires La descente à une altitude inférieure à 10m n’est pas forcément chose facile. Deux instruments du MIG seront à l’honneur: l’altimètre et surtout le variomètre. Après quelques séances d’entrainement et avec une bonne utilisation du trim de profondeur et du stabilisateur d’altitude, l’opération sera un succès à chaque coup. La descente: Elle peut s’effectuer avec le taux de descente qui plaira à chacun, tant que l’on n’entre pas dans le zone d’engagement du navire avant d’être arrivé sous 10m. La stabilisation: Il faut venir « tangenter » le niveau de l’eau avec une vitesse de descente inférieure à 1m/s. l’appareil devra être parfaitement trimé à ce moment là. Lorsque l’altimètre indique 3m, enclencher le stabilisateur d’altitude. Ceci aura pour effet de stopper la légère descente de l’avion puis de le faire remonter et osciller jusqu’à se stabiliser à une altitude d’équilibre: environ 8m.

  11. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion 10m!Tirer et Redresser Particularités des navires Descente légère (<1m/s) 3m: enclenchement du « stab alti » Stoppage de la descente Remontée et oscillation autour d’une position d’équilibre: environ 8m

  12. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion 10m!Tirer et Redresser Particularités des navires Nota: Il est possible, lors de la phase d’oscillation, que l’appareil remonte temporairement au dessus de 10m. Un départ missile pourra alors se produire mais celui-ci explosera en vol une fois votre avion repassé sous les 10m. Attention! 10m affiché au HUD signifie que l’appareil est alors entre 10 et 11m. Si votre avion est stabilisé à cette altitude, il y a de très fortes chances d’être abattu par un missile: Il faut descendre…

  13. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion 10m!Tirer et Redresser Particularités des navires Le tir s’effectue de manière classique: lorsque le réticule est sur la poupe du navire. Une fois la (ou les) S24 tirée(s), il faut redresser pour éviter la collision avec la cible. Stabilisateur enclencher tant que toutes les roquettes n’on pas été tirées. On désactive le stabilisateur pour redresser.

  14. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion 10m!Tirer et Redresser Particularités des navires Chaque navire, de part sa taille et sa conception , nécessitera plus ou moins de roquettes pour être mis hors d’état de combattre. « Etre mis hors d’état de combattre » signifie ici que le navire ne tirera plus (que ce soit mike-mike ou missiles). Dans Lock On, cet état est signalé par l’apparition de flammes sur le navire qui coulera après seulement plusieurs minutes. Les caractéristiques des navires de Lock On sont donc les suivantes:

  15. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion Deux restrictions notables découlent directement de la présentation des caractéristiques de navires vue précédemment. L’engagement des Albatros, Oliver H Perry et CVN Carl Vinson: Ces navires sont ceux qui ont leur « zone faible » sur l’avant du navire. On les attaquera donc par la proue. De ce fait, l’effet « d’auto-alignement » présenté au début de ce document sera alors annihilé et même inversé! Il faudra donc être le plus précis possible dans la phase d’évaluation du cap du navire. (la tolérance se situe entre ±5° et ±10°). L’engagement du Moscow, du Oliver H Perry et du Ticonderoga: Ces trois navires ont un portée d’engagement extrêmement importante. Par conséquent, il sera impossible de faire un passage d’évaluation du cap sur ces navires. On pourra donc se diriger sur eux en TBA (en se navigant grâce au SPO), mais l’exposition aux mike-mike est presque certaine et les risques seront grands de ne pas rentrer entier. Pour cette raison et tant que ce sera possible, la destruction de ces trois navires restera exclusivement dans les attributions de la 279th et de son missile antinavire.

  16. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion Le MIG-29 ne pouvant embarquer que quatre S-24 maximum, la destruction de navires nécessitant plus de roquettes pour être mis hors d’état de combattre se fera à deux voir trois. La procédure sera alors la suivante: Approche au trail. La difficulté consistera à avoir le bon écartement dans le temps pour éviter les deux cas suivants: • Trop rapprochés: L’appareil de tête n’a pas le temps de faire sa ressource et sera alors endommagé voir détruit par les roquettes du suiveur. • Trop éloignés: L’appareil de tête fera sa ressource mais le navire n’aura pas été mis hors d’’état de nuire suffisamment vite après. Le Leader risque d’être détruit par le navire.  L’entrainement permettra de déterminer le bon écartement. 5 à 6 secondes parait un bon compromis.

  17. Introduction Les navires dans Lock On Armement et Profile d’attaque Technique Restrictions Conclusion Il est pratiquement impossible de rater sa cible avec une telle méthode. En revanche, il est tout le même possible de mourir car trois difficultés importantes sont à surmonter (ce qui vient avec l’entrainement) : • Il est possible de s’écraser du fait de la très faible altitude requise. • Il est possible de se retrouver encastrer dans le navire car les choses vont très vite. • Il est possible de mal évaluer le cap du navire et de se retrouver sous le feu des mitrailleuses du navire. Il faut donc pas mal s’entrainer pour que cette méthode fonctionne à chaque coup. Les pièges à éviter sont nombreux : mal évaluer la distance de l’eau, oublier d’enlever le stabilisateur d’altitude lors de la ressource etc…. Par ailleurs, la difficulté augmente encore s’il y a plusieurs navires à couler. L’attaque simultanée sera alors plus que conseillée car les tirs de mike-mike des bateaux voisins de la cible ne sont pas exclus si les cibles sont groupées. Il est à noter que cette technique est applicable sur des navires immobiles mais le bombardement classique fera prendre moins de risque et restera donc conseillé.

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