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Connaissance de l’entreprise

Connaissance de l’entreprise. Partie 1 Création d’entreprise : de l’idée au projet. Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble. La création d’entreprise.

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Connaissance de l’entreprise

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Presentation Transcript


  1. Connaissance de l’entreprise Partie 1 Création d’entreprise : de l’idée au projet Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  2. La création d’entreprise • Une aventure excitante mais risquée si elle n’est pas bien préparée • Taux moyen d ’échec des entreprises qui se créent : - 20% dès la première année- 30% pour la période des deux premières années - 40% pour les trois premières années - 50% pour les cinq premières années • 5 ans après la création, une entreprise sur deux a survécu ... Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  3. Les facteurs de succès pour la création d’entreprise • Quels sont les facteurs de succès pour la création d’entreprise ? • Le créateur : homme ou femme, motivations, qualités • Son idée : existence d ’un marché, possibilité d’exploiter ce marché avec succès • La conception et la mise en œuvre de son projet • La chance ou la bonne étoile Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  4. Le créateur • Bien qu’il n’y ait pas de profil type du créateur, les quatre qualités suivantes sont indispensables au candidat créateur : • être animé d’une volonté farouche de se dépasser et d’aller toujours plus loin • savoir faire face aux difficultés et ne jamais s’avouer vaincu • être capable de changer de cap à temps si l’idéen’est pas rentable et savoir retomber sur ses pieds • faire l’effort de bien se connaître Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  5. Le prix à payer pour créer • Créer son entreprise, c’est s’exposer à différentes difficultés à surmonter : • la solitude : le créateur est un être seul, souvent incompris. Son caractère novateur éveille le scepticisme de ses futurs clients, fournisseurs, financiers, son entourage. Il est seul à décider. • l’insécurité : perte de contrat, problème bancaire, concurrence nouvelle, accident de santé • la méfiance : patience et modestie sont des valeurs à cultiver par les futurs patrons en attendant la notoriété pour être considérés et respectés • le sacrifice familial : un équilibre important à gérer • le sacrifice financier : savoir commencer avec un salaire réduit Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  6. Quelques conseils pratiques aux futurs créateurs • Apprendre à vendre ses idées • Présenter ses idées de façon concise • Ne pas négliger les conseils • Accepter de démarrer petit • Pour convaincre, être convaincu soi-même • Réfléchir avant de s’associer • Ne jamais oublier les concurrents Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  7. Le projet • Quelques questions auxquelles il vous faut répondre : • Quels seront vos produits ou services principaux ? • Allez vous produire, vendre, réparer, livrer ? • Qui seront vos clients ? Où sont-ils localisés ? • Qui seront vos concurrents ? • Qu ’allez vous apporter de nouveau au marché ? • Quelle est l ’évolution du secteur d ’activité ? • Avez-vous une idée de votre lieu d ’implantation ? • Quel rapport votre projet a avec vos compétences professionnelles ? • De quels moyens financiers disposez-vous pour investir dans votre entreprise ? Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  8. Identification des facteurs clés de réussite • Marketing : • qualité des vendeurs, réseau de distribution, prix de vente, service après-vente • Recherche Développement • Introduction nouveaux produits • Production : • gestion approvisionnements, compétence acheteurs, gestion stocks, gestion fabrication • Gestion financière et comptable • Recherche capitaux, gestion trésorerie, relations banque, gestion comptable • Choix et gestion des hommes • Qualité du personnel, climat entreprise, aptitudes dirigeant Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  9. L’étude de marché • Quelques conseils pour réaliser une étude de marché • constituer un échantillon représentatif en nombre et qualité par rapport à l’activité envisagée • rédiger le questionnaire : besoins de la clientèle, caractéristiques idéales du produit, prix du produit, autres facteurs pouvant influencer l’achat du produit • savoir poser les bonnes questions claires et précises • ne pas anticiper les réponses qui feront plaisir • recueillir les informations (poste, téléphone, enquêteur) • dépouiller et analyser les informations Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  10. L ’exemple de l’innovation technologique • Créer une entreprise sur l’innovation technologique, c’est accepter de prendre un double risque : celui propre à la création et celui de la nouveauté. Quelques questions à se poser : • Quelle est la nature exacte de mon innovation ? • Le procédé fonctionne-t-il ? • Le marché est-il réceptif à mon idée ? • Quel est le coût de la mise en œuvre initial de l ’idée (investissements de départ) ? • Quelle est l’évaluation des besoins nécessaires à la croissance et au développement de l’entreprise ? Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  11. Elaboration du business plan • L ’élaboration du business plan est une des étapes essentielles dans la démarche de création d ’entreprise. Son contenu et sa qualité sont essentielles pour la suite des opérations, et en particulier la recherche de financement. Il doit comprendre : • les caractéristiques du marché exploité • les caractéristiques des services et des produits commercialisés • le marché potentiel du produit ou du service • la politique de prix, de vente, de distribution, de publicité, de promotion • la politique des stocks (matières premières, composants, semi-finis, finis) • la politique de fabrication, de sous-traitance • la politique du personnel (recrutement, salaire, formation) • la politique d ’investissement et de financement, le budget prévisionnel, le plan de trésorerie, les crédits • la structure juridique choisie • les sources de conseil • les formalités à exécuter pour lancer l ’entreprise Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  12. Connaissance de l ’entreprise Partie 2 Création d ’entreprise : du projet à la mise en oeuvre Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  13. Notions de gestion comptable • Posséder les qualités de créateur et trouver la bonne idée ne suffit pas. • Les principaux échecs des petites et moyennes entreprises résident dans le non-respect (ou la méconnaissance !) de quelques principes très simples de gestion comptable et financière. • Tout banquier contacté par un créateur va lui réclamer : • un bilan • un compte de résultat • un plan de financement • un budget prévisionnel de trésorerie Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  14. Le bilan • Le bilan est une « photographie » de la situation patrimoniale de l ’entreprise à un instant donné (par exemple la fin de l ’année). • Il se présente sous la forme d ’un tableau qui comprend deux parties : • l ’actif : détaille la valeur des différents biens dont l ’entreprise dispose (Emplois) • le passif : précise comment ces biens ont été financés ou encore détaille comment l ’entreprise utilise ces biens pour exercer son activité (Ressources) Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  15. Présentation simplifiée du bilan ACTIF PASSIF ACTIF IMMOBILISE (net) CAPITAUX PROPRES ACTIF CIRCULANT DETTES Utilisation des capitaux (Emplois) Origine des capitaux (Ressources) Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  16. L ’Actif Frais d ’établissement Immobilisations incorporelles Fonds de commerce, brevets, logiciels, ... Actif immobilisé Terrains Immobilisations corporelles Constructions Matériels et outillages - de marchandises CE QUE POSSEDE L ’ENTREPRISE Stocks - de matières premières - de produits semi-finis - de produits finis Actif circulant Créances Crédits accordés aux clients Autres créances - en banque Disponibilités - en caisse Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  17. Le Passif Capital personnel (entreprise individuelle) ou capital social (sociétés) Capitaux propres ou permanents Réserves (bénéfices non distribués) Résultat Subventions d ’investissement et provisions réglementées Fournisseurs A moins d ’un an Dettes fiscales et sociales Dettes Dettes bancaires (crédit, escompte, découvert) Autres dettes A plus d ’un an Dettes financières Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  18. La présentation officielle du bilan Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  19. Le compte de résultat • Le compte de résultat est un tableau qui regroupe l ’ensemble des produits et des charges de l ’entreprise. C ’est un « film » de l ’activité de l ’entreprise. • Il se décompose en trois niveaux : • opérations d ’exploitation • opérations financières • opérations exceptionnelles • La différence entre les produits et les charges constitue le résultat (bénéfice ou perte) Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  20. Présentation simplifiée du compte de résultat CHARGES EXPLOITATION PRODUITS EXPLOITATION CHARGES FINANCIERES PRODUITS FINANCIERS CHARGES EXCEPTIONNELLES PARTICIPATION PRODUITS EXCEPTIONNELS IMPOT SUR BENEFICES RESULTAT Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  21. Les opérations d ’exploitation CHARGES EXPLOITATION ACHATS CONSOMMES CHIFFRE D ’AFFAIRE PRODUITS EXPLOITATION AUTRES CHARGES EXTERNES PRODUCTION STOCKEE IMPOTS, TAXES, VERSEMENTS ASSIMILES PRODUCTION IMMOBILISEE SALAIRES ET CHARGES SOCIALES AUTRES PRODUITS GESTION COURANTE AUTRES CHARGES GESTION COURANTE REPRISE SUR AMORTISSEMENT PROVISIONS EXPLOITATIONS DOTATIONS AMORTISSEMENT PROVISIONS EXPLOITATION Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  22. Les charges d ’exploitation Marchandise, variation stock (SI - SF) CHARGES EXPLOITATION ACHATS CONSOMMES Matières premières, variation stock Eau, électricité, téléphone, fournitures... Crédit-bail, loyer, entretien AUTRES CHARGES EXTERNES Assurance, interim, honoraires, publicité Transports, déplacements IMPOTS, TAXES, VERSEMENTS ASSIMILES Taxes sur salaire, taxe foncière, taxe professionnelle ... SALAIRES ET CHARGES SOCIALES Charges sociales : URSSAF, ASSEDIC, retraite, maladie ... AUTRES CHARGES GESTION COURANTE DOTATIONS AMORTISSEMENT PROVISIONS EXPLOITATION Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  23. Les produits d ’exploitation Ventes marchandises CHIFFRE D ’AFFAIRE PRODUITS EXPLOITATION Production vendue (biens et services) PRODUCTION STOCKEE Stock final - Stock initial PRODUCTION IMMOBILISEE AUTRES PRODUITS GESTION COURANTE REPRISE SUR AMORTISSEMENT PROVISIONS EXPLOITATIONS Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  24. Les opérations financières CHARGES FINANCIERES CHARGES FINANCIERES PRODUITS FINANCIERS PRODUITS FINANCIERS DOTATIONS AMORTISSEMENT PROVISIONS EXPLOITATION REPRISES SUR PROVISIONS FINANCIERES Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  25. Les opérations exceptionnelles CHARGES EXCEPTIONNELLES CHARGES EXCEPTIONNELLES SUR OPERATIONS GESTION PRODUITS EXCEPTIONNELS SUR OPERATIONS GESTION PRODUITS EXCEPTIONNELS CHARGES EXCEPTIONNELLES SUR OPERATIONS CAPITAL PRODUITS EXCEPTIONNELS SUR OPERATIONS CAPITAL DOTATIONS AMORTISSEMENT PROVISIONS EXCEPTIONNELLES REPRISES SUR PROVISIONS EXCEPTIONNELLES PARTICIPATION IMPOT SUR BENEFICES PERTES BENEFICES Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  26. Calcul du résultat PRODUITS EXPLOITATION PRODUITS FINANCIERS PRODUITS EXCEPTIONNELS - - - CHARGES EXPLOITATION CHARGES FINANCIERES CHARGES EXCEPTIONNELLES = = = RESULTAT EXPLOITATION RESULTAT FINANCIER RESULTAT EXCEPTIONNEL RESULTAT COURANT RESULTAT AVANT IMPOT ET PARTICIPATION - = IS ET PARTICIPATION RESULTAT NET Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  27. Présentation du compte de résultat Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  28. Le financement • Le financement des emplois et ressources se décompose en quatre parties : • cycle d ’investissement et de financement • cycle d ’exploitation • hors cycle • trésorerie • Une estimation des besoins de financement est à réaliser pour les immobilisations et le BFR (besoin en fond de roulement) • Différents capitaux (fonds propres, dettes à court terme, moyen terme et long terme) sont à trouver pour démarrer l ’activité Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  29. Le BFR (Besoin en Fond de Roulement) • Le financement des stocks et créances clients est un poste particulièrement à surveiller lors de la création d ’une entreprise. • La notion de BFR (Besoin en Fond de Roulement) permet de bien préciser ce type de financement. En première approximation, le BFR est égal à : BFR = STOCKS + CLIENTS - FOURNISSEURS • Le BFR augmente avec le chiffre d ’affaires • La négociation des délais de paiement permet d ’influer sur le BFR • Le Fond de Roulement FR correspond à la différence entre les capitaux permanents (capitaux propres, dettes LT et MT) avec les immobilisations. • La trésorerie est la différence entre FR et BFR Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  30. Exemple de tableau de financement Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  31. La recherche de fonds propres Capitaux personnels Fonds apportés par créateur Emprunts à titre personnel : prêt parents, prêt d ’honneur, prêt bancaire Dons Aide de l ’état, concours, ANCE ... Capitaux propres Prime régionale à la création d ’entreprise Primes et subventions Partenaires financiers : particuliers, sociétés financement, banques, entreprises Fonds apportés par associés Associés « actifs » Comptes courants d ’associés Quasi Fonds propres Prêts participatifs Sociétés de participation, banques, entreprises Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  32. La structure juridique de l ’entreprise • Le choix de la structure juridique de l ’entreprise est une décision importante qui conditionne différents aspects : • responsabilité du créateur • régime fiscal de l ’entreprise • couverture sociale du créateur • mode d ’imposition • Sur le plan juridique, le créateur doit aussi : • protéger le nom de son affaire • déposer les marques ou brevets d ’invention Pierre LE PARLOUËR - Université Joseph Fourier - Grenoble

  33. I – LE DECOUPAGE DU SYSTEME PRODUCTIF Quels sont les 3 critères qui permettent de classer les entreprises ? • Les entreprises se différencient : par leur taille, • leur forme juridique, • ou l’activité qu’elles exercent.

  34. A/ SELON LA TAILLE Quels critères retient-on pour mesurer la taille d’une entreprise ? • Effectif, • chiffre d’affaires, • valeur ajoutée, • bénéfices, • capitaux propres, • part de production exportée.

  35. Quels sont les 2 critères les plus utilisés ? • Effectif, • chiffre d’affaires

  36. Comment classe-t-on les entreprises selon l’effectif ? • Micro-entreprise : 0 salarié • Très petite entreprise (TPE) : 1 à 9 salariés • Petite entreprise (PE) : 10 à 49 • Entreprise moyenne (PME) : 50 à 499 • Grande entreprise (GE) : 500 à 999 • Très grande entreprise (TGE) : + de 1 000

  37. B/ SELON L’ACTIVITE EXERCEE 1/ LE SECTEUR D’ACTIVITE

  38. Quels sont les 3 secteurs économiques selon J. FOURASTIE ? • Secteur primaire : agriculture, pêche, activités extractives (mines…) • Secteur secondaire : activités de transformation des matières premières en biens de production (machines…) ou en biens de consommation (automobile…) • Secteur tertiaire : activités produisant des services

  39. Nouveau secteur d’activité : • Secteur quaternaire : TIC

  40. 2/ LE SECTEUR D’ENTREPRISE, LA BRANCHE D’ACTIVITE ET LA FILIERE SELON L’INSEE Comment définir la notion de secteur selon l’INSEE ? • Un secteur regroupe des entreprises qui ont la même activité principale • ex. Carrefour, Intermarché, Cora secteur « commerce-distribution »

  41. Comment définir la notion de branche d’activité ? • Une branche regroupe des entreprises fabricant les mêmes produits : ex Vivendiet orange pour les télécommunications • une entreprise qui produit plusieurs produits est donc classée dans plusieurs branches

  42. Qu’est-ce qu’une filière ? • Représente une chaîne d’activités qui se complètent, liées entre elles par des opérations d’achat et de vente. • Elle regroupe toutes les branches qui participent à l’élaboration d’un produit final

  43. C’est donc l’ensemble des entreprises qui mettent un produit à la disposition du consommateur final grâce à une succession d’opérations réalisées par des entreprises différentes qui se complètent. Ex : la filière livre imprimerie, imprimeurs

  44. C/ SELON LE STATUT JURIDIQUE Qu’est-ce que le secteur privé ? • Entreprises individuelles • et entreprises sociétaires (société de personnes, de capitaux…) Quels critères retenir ? Présentation 1 exemple de bilan d’entreprise

  45. EI : Entreprise individuelle • EIRL : Entreprise individuelle à responsabilité limitée Présentation • EURL : Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (SARL unipersonnelle) • SARL : Société à responsabilité limitée • SA : Société anonyme • SAS : Société par actions simplifiée • SASU : Société par actions simplifiée unipersonnelle • SNC : Société en nom collectif

  46. Quel est le nombre d’associés requis ? Elle se compose uniquement de l'entrepreneur individuel (Celui-ci peut, bien évidemment, embaucher des salariés). EURL 1 seul associé SARL 2 associés minimum - 100 maximum Entreprise Individuelle

  47. 7 associés minimum - pas de maximum SAS / SASU 1 associé minimum - pas de maximum SNC 2 associés minimum - pas de maximum SA (forme classique)

  48. Quel est le montant minimal du capital social ? Il n'y a pas de notion de capital social, l'entreprise et l'entrepreneur ne formant juridiquement q'une seule et  même personne. EURL Pas de minimum obligatoire. SARL Pas de minimum obligatoire. Entreprise individuelle

  49. Qui dirige l’entreprise ? L'entrepreneur individuel est le seul "maître à bord ". EURL L'EURL est dirigée par un gérant (obligatoirement personne physique) qui peut être soit l'associé unique, soit un tiers. SARL La SARL est dirigée par un ou plusieurs gérant(s), obligatoirement personne(s) physique(s). Entreprise individuelle

  50. La SA est dirigée par un Conseil d'administration, comprenant 3 à 18 membres, obligatoirement actionnaires. SAS / SASU Les associés déterminent librement dans les statuts les règles d'organisation de la société SNC La SNC est dirigée par un ou plusieurs gérant(s), personne physique ou morale. SA (forme classique)

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