1 / 63

Les approches thérapeutiques selon Winnicott

Les approches thérapeutiques selon Winnicott. Dr Nicolas de Coulon SPsyAJ Bienne 31 octobre et 14 novembre 2013. 4 thèmes :. 1. La relation mère – enfant comme paradigme 2. Le jeu et l’utilisation de l’objet 3. L’objet transitionnel et les phénomènes transitionnels

Download Presentation

Les approches thérapeutiques selon Winnicott

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Les approches thérapeutiques selon Winnicott Dr Nicolas de Coulon SPsyAJ Bienne 31 octobre et 14 novembre 2013

  2. 4 thèmes : • 1. La relation mère – enfant comme paradigme • 2. Le jeu et l’utilisation de l’objet • 3. L’objet transitionnel et les phénomènes transitionnels • 4. Les approches corporelles: holding et handling

  3. 31 octobre 2013 thèmes 1 et 2 : • 1. La relation mère – enfant comme paradigme • 2. Le jeu et l’utilisation de l’objet

  4. Déclinaison de chaque thème : • 1. Enjeu • 2. Connaître Winnicott • 3. Développement • 4. A retenir pour notre clinique • 5. Illustrations • 6. Pour en savoir plus

  5. Qui connaît déjà Winnicott ?

  6. Considérations préliminaires: • Ça a l’air simple mais c’est complexe • C’est un thérapeute (psychanalyste) d’adultes qui vous parle. • A nous de traduire dans notre langage, sachant que Winnicott a inventé son vocabulaire • Suivons sa créativité

  7. 1. La relation mère – enfant comme paradigme

  8. 1. Enjeu • Une « psychologie » à 2, et non à 1 • La dyade (en comparaison du triangle freudien), modèle d’une relation de type mère - enfant dans les soins psychiques • L’importance de l’environnement et des premières relations • La métaphore des soins maternels • La formule des soins : traumatisme=gel thérapie=dégel

  9. 2. Connaître Winnicott • Donald Woods Winnicott, pédiatre et psychanalyste anglais 1896 – 1971 • Enfance (très) heureuse à Plymouth, père notable, importance de l’environnement féminin : ses 2 sœurs aînées, Woods…, trace d’une dépression maternelle • Cambridge, fracture de la clavicule qui le décide à devenir médecin, 1ère guerre mondiale: chirurgien sur un destroyer • Une capacité incroyable à faire le clown et à « enchanter » les enfants (talent familial) l’oriente naturellement vers la pédiatrie. Il sera pédiatre à l’hôpital des enfants de Paddington Green de 1923 pendant…40 ans! • Incapable de se souvenir de ses rêves, il tombe sur l’Interprétation des rêves, grâce à un commentaire du suisse O.Pfister …

  10. 3. Développement • Importance de la préoccupation maternelle primaire • La mère suffisamment bonne (good inough) • Le rôle de l’environnement premier • Une théorie de la régression(cf. 4e thème) • L’enfant exerce une certaine destructivité que la mère supporte, intègre, transforme

  11. La préoccupation maternelle primaire • position psychique normale de la mère dans les semaines qui précèdent et suivent la naissance: la mère est centrée sur (préoccupée par) son enfant, dans un retrait bien tempéré par rapport aux autres soucis • La santé psychique et physique du bébé dépend de la capacité de la mère à endosser cette position pendant le temps de la dépendance absolue. Il peut alors développer un sentiment d’être soi (Self), un sentiment continu d’exister • Les auteurs post-winnicottiens insistent sur le rôle du père qui entoure la mère pour lui permettre d’occuper cette position psychique

  12. La mère suffisamment bonne • la mère suffisamment bonne est celle qui éprouve spontanément cette préoccupation primaire et peut accompagner l’enfant dans son évolution de la dépendance absolue à la dépendance relative, puis vers l’autonomie. Dans ce sens, elle est donc « relativement défaillante » et surtout pas « toute bonne » • Elle n’a pas la nécessité d’ « empiéter » sur la sphère de l’enfant pour assouvir ses propres besoins ou désirs. Au contraire, elle va à la rencontre des besoins de son bébé qu’elle devine • Il existe donc des pathologies de l’ « empiétement », formes de traumatisme précoce

  13. Le rôle de l’environnement premier • A la différence des psychanalystes qui l’ont précédé (S. Freud, M. Klein etc.), Winnicott a donné une importance fondamentale à l’environnement, dont font évidemment partie la mère, le père et les premiers objets d’amour dans leur implication physique et psychique. Leur comportement n’est pas indifférent • A partir de W., il est possible de donner de l’importance aux facteurs externes, tant bons que nocifs sans pour autant considérer le sujet comme simple victime • L’environnement est aussi bien physique que psychique Winnicott : le premier « écologiste » de la psychè !

  14. Une théorie de la régression • La régression à un état de dépendance peut prendre place dans le cadre du traitement comme moyen de revivre un trauma que le patient n’a pas encore vraiment vécu car il n‘a pas pu en inscrire psychiquement l’expérience. Ce trauma a correspondu à une défaillance de l’environnement • La régression est la marque d’un retour à une ancienne étape de développement, revécu par exemple d’expériences précoces et non verbales • Le patient doit avoir suffisamment confiance dans son thérapeute ou analyste

  15. La destructivité de l’enfant • Dans sa description de l’agressivité primaire du nourrisson, W. utilise les termes d’agressivité instinctive et d’amour oral. Il souligne que l’on peut en observer (et la mère sentir) les aspects cruels, blessants, dangereux. Mais ceci survient (à la différence des théorie de M.Klein) sans intention, par hasard. Il soutient l’existence d’un « self primitif impitoyable (ruthless) » qui doit pouvoir s’exprimer pour évoluer vers le self capable de sollicitude • Si le bébé est obligé de dissimuler son self cruel parce que l’environnement ne peut pas tolérer son agressivité, il va devoir se dissocier – c’est-à-dire ni s’intégrer ni se reconnaître - et qu’il va se cliver • Cette constellation reprend corps dans le traitement analytique, par ex. sous la forme difficile pour le thérapeute de « la haine dans le contre-transfert »

  16. 4. A retenir pour notre clinique • Comme la mère: Importance d’un intérêt sincère (d’une préoccupation) pour le malade; le tact et la patience sont de mise. Les soins doivent aller à la rencontre des besoins du patient • Pas comme la mère: Même si le patient le pense, le thérapeute n’est pas la mère. La métaphore des soins maternels n’est pas applicable directement. Le dévouement sans limite n’est pas suffisamment bon, il veut être tout bon ou trop bon • L’environnement des soins est primordial; le thérapeute en est responsable : Tous les aménagements physiques en font partie • Les sentiments négatifs (la haine) font partie du traitement

  17. 5. Illustrations • Le cas classique de Margaret Little, patiente de Winnicott • Nos cas cliniques

  18. 6. Pour en savoir plus • Denys Ribas : Donald Woods Winnicott, coll Psychanalystes d’aujourd’hui, PUF, 2000 • Winnicott : La préoccupation maternelle primaire in De la pédiatrie à la psychanalyse, Payot, 1969 • W : La haine dans le contre-transfert, idem • W : Le passage de la dépendance à l’indépendance dans le développement de l’individu in Processus de maturation chez l’enfant Payot 1970 • Margaret Little : Mon analyse avec Winnicott (1985), Nouvelle revue de psychanalyse no 33, 1986

  19. 2. Le jeu et l’utilisation de l’objet

  20. 2. Le jeu et l’utilisation de l’objet

  21. 1. Enjeu • Freud disait « aimer et travailler »; Winnicott ajoute « jouer et créer » comme réalisation psychique de base, porteuse de sens et de vie. C’est devenu une idée très importante dans le domaine thérapeutique • Les thérapeutes d’enfants jouent mais les autres aussi veulent jouer. C’est à la mode mais attention: Il y a jouer et jouer : playing n’est pas game ! • Et s’il faut devenir « medium malléable », ce n’est pas facile!

  22. 2. Connaître Winnicott • Au Paddington Green, sa consultation du mercredi va évoluer d’une clinique pédiatrique à celle d’un psychiatre d’enfants rompu à la psychanalyse, son génie en plus. Voir la Consultation thérapeutique • En 1923, il commence aussi une psychanalyse (de 10 ans) avec J.Strachey, connu pour sa traduction complète de Freud en langue anglaise • En 1926, arrivée de M.Klein à Londres. Winnicott commence une supervision avec elle en 1935 et fait une 2e analyse avec une de ses disciples, J. Riviere • 1935 1er article important de Winnicott sur la défense maniaque où son originalité entre Freud et M.Klein commence déjà à se profiler

  23. 3. Développement • Le jeu en tant que porteur de sens : playing n’est pas game • Du jeu chez l’enfant au jeu chez l’adulte • Squiggles • Fonction clinique du jeu • L’utilisation de l’objet

  24. Playing n’est pas game ! • Winnicott ne valorise pas le jeu avec des règles rigides préexistantes (game). De plus, il établit une distinction marquante entre la signification du substantif « play » (le jeu) et la forme verbale « playing » (jouer, l’activité de jeu, le jeu en train de se faire) • C’est le playing qui a de la valeur et renforce le sentiment d’exister. Il permet la distinction entre jeu créatif et jeu compulsif. • Le plaisir de jouer est un signe de santé chez l’enfant qui grandit • W. met l’accent sur la manière dont un individu utilise le jeu afin de faire ses propres expérience et de les communiquer

  25. Du jeu chez l’enfant au jeu chez l’adulte • Le plaisir de jouer est un signe de santé chez l’enfant qui grandit • W. l’a repéré dans sa pratique, d’abord avec le jeu de la spatule puis avec le squiggle (gribouillis). Il l’observe puis le met en action dans ce qu’il appelle une situation établie qui deviendra le setting (ou le cadre) • Ceci est parfaitement valable avec les adultes sauf que « les choses sont plus difficiles à décrire quand le matériel apporté par le patient apparaît surtout en termes de communication verbale »

  26. Squiggles

  27. Fonction clinique du jeu • Transposée sur le plan thérapeutique, la capacité de jouer est à la fois un moyen et une réalisation; à travers le jeu, l’espace symbolique est atteint et peut se (re-)constituer. • « là où le jeu n’est pas possible, le travail du thérapeute vise à amener le patient d’un état où il n’est pas capable de jouer à un état où il est capable de le faire » • L’espace de jeu est plus important que l’interprétation

  28. L’utilisation de l’objet • Une des dernières idées de Winnicott : Une partie du « jeu » (de l’enfant) est véritablement agressive et destructrice. En attaquant, il va utiliser l’autre comme un objet. C’est pourquoi l’environnement doit survivre à la destructivité. • Ce faisant, il (la mère, les parents, le thérapeute) se laisse « utiliser ». Cela signifie qu’il reste plus ou moins le même et ne recours pas à la vengeance, il ne punit pas, il ne rejette pas. • La mère qui n’est pas suffisamment bonne ne survit pas ou se venge. Ceci entrave le développement émotionnel du bébé, c’est un empiétement avec les risques d’évolution vers un « faux self » ou une tendance anti-sociale

  29. 4. A retenir pour notre clinique • Jouer de façon créative n’est pas facile; certains patients n‘y arrive pas et c’est un des premiers objectifs que de le leur permettre ne serait-ce qu'à minima; c’est aussi le but le plus ambitieux. • Le véritable thérapeute est capable de se laisser utiliser à la façon d’un « medium malléable » qui sera chaque fois un peu différent en fonction des besoins de tel ou tel patient • Puis-je jouer? Pouvez-vous jouer?

  30. 5. Illustrations • Nos cas cliniques • Se cacher est un très grand plaisir mais ne pas être trouvé est une catastrophe

  31. 6. Pour en savoir plus • Winnicott : Jouer; proposition théorique in Jeu et réalité (1971),Gallimard 1975 • W: L’utilisation de l’objet et le mode de relation à l’objet au travers des identifications, Jeu et réalité • W: La consultation thérapeutique et l’enfant, Gallimard, 1971 • de Coulon Nicolas (2005): L’équation ludique in Tribune psychanalytique, no 6, Ed. de l’Aire

  32. Les approches thérapeutiques selon Winnicott Dr Nicolas de Coulon SPsyAJ Bienne 31 octobre et 14 novembre 2013

  33. 4 thèmes : • 1. La relation mère – enfant comme paradigme • 2. Le jeu et l’utilisation de l’objet • 3. L’objet transitionnel et les phénomènes transitionnels • 4. holding et handling

  34. 14 novembre 2013 Thèmes 3 et 4 : • 3. l’objet transitionnel et les phénomènes transitionnels • 4. holding et handling

  35. Déclinaison de chaque thème : • 1. Connaître Winnicott • 2. Enjeu • 3. Développement • 4. A retenir pour notre clinique • 5. Illustrations • 6. Pour en savoir plus

  36. 3. L’objet transitionnel et les phénomènes transitionnels

  37. 3. L’objet transitionnel et les phénomènes transitionnels

  38. 1. Connaître Winnicott • Pendant la 2e guerre mondiale, à Londres, au milieu des bombardements, les « Controverses » entre les partisans de Mélanie Klein et ceux de Anna Freud font rage. Winnicott se tient solidement à l’intersection, empêche une scission de la Société Britannique de Psychanalyse et représente ainsi le « Middle group » • Il devient aussi psychiatre consultant pour l’évacuation à la campagne des enfants de Londres menacés par les bombardements. Il observe ainsi les effets des séparations familiales et supervise les traitements de petits délinquants. Il peut alors développer ses idées sur la « tendance antisociale » • Il y travaille avec une assistante sociale psychiatrique qui deviendra sa seconde femme, Clare Britton

  39. 2. Enjeu • L’objet transitionnel est maintenant connu de tous alors qu’il était passé inaperçu (ou difficile à percevoir) pour des générations de parents (comme la sexualité infantile) ! • La véritable importance n’est toutefois pas dans le doudou mais bien dans l’espace transitionnel qui est fondamental pour l’autonomie psychique • Il se prolonge dans l’art et la culture dont nous avons tous un impérieux besoin. • Quelle est son importance thérapeutique?

  40. 3. Développement • L’objet transitionnel • L’espace potentiel • Les phénomènes transitionnels • Le paradoxe du trouvé-créé

  41. L’objet transitionnel • L’objet auquel l’enfant s’attache au point d’en avoir besoin pour se calmer (la poupée spéciale, le chiffon, la couverture, le pouce, la mère…) • Permet la distinction entre le dedans et le dehors, en étant justement ni dedans (me) ni dehors (not me) • Qualifiée donc de 1ère possession non-moi = à moi mais pas de moi

  42. L’espace potentiel • L’aire hypothétique (appelée aussi aire intermédiaire) qui existe (mais ne peut pas exister) entre le bébé et l’objet (primaire = la mère) • Elle émerge à la sortie de la fusion avec l’objet (un bébé, ça n’existe pas!), pendant la phase de répudiation (séparation) de l’objet (comme n’étant pas moi) • Cet espace potentiel n’est ni dedans (dans la réalité psychique) ni dehors (dans le monde extérieur, en dehors du contrôle magique) • En font partie : jouer (le jeu en train de se faire), créer (la créativité à l’œuvre), l’expérience culturelle (plus que la culture en soi), l’expérience de la psychothérapie ou psychanalyse

  43. Les phénomènes transitionnels • Définition encore plus globale : Ces phénomènes portent sur une dimension vitale qui n’appartient ni à la réalité interne ni à la réalité externe et qui aboutira à la symbolisation • Les phénomènes transitionnels sont porteurs du jeu et de la créativité • Ils permettent de passer du stade de la dépendance absolue à la dépendance relative en s’appuyant sur l’illusion, la proto-symbolisation, l’utilisation de l’objet • Ils ouvrent sur l’expérience culturelle

  44. Le paradoxe du trouvé-créé • Le bébé crée l’objet (primaire = la mère) mais l’objet était là en attendant d’être créé • Ceci signifie que, dans son omnipotence, le bébé peut sentir/croire qu’il a lui créé la mère; la mère doit maintenir l’illusion et ne jamais lui demander: l’as-tu crée ou l’as-tu trouvé? • Il faut accepter que ce paradoxe demeure non résolu, ce qui permet le maintien de l’aire d’illusion qui est justement la précondition de la transitionnalité

  45. 4. A retenir pour notre clinique • Le parent, la mère suffisamment bonne, respecte l’objet transitionnel, ne le perd pas, ne le lave pas (trop souvent), n’interroge pas sa nécessité • Le thérapeute va chercher ce qui fonctionne comme objet, aire, phénomènes transitionnels avec son patient et le respecter, tant que c’est nécessaire puisqu’il perd son utilité concrète pour être relayé par des éléments de plus en plus symboliques • L’utilisation des médiums divers dans les soins qui peuvent prendre une grande valeur transitionnelle: approches corporelles, activités créatrices…tout ce qui est bon pour la symbolisation

  46. 6. Pour en savoir plus • Winnicott : Objets transitionnels et phénomènes transitionnels. Une étude de la première possession non-moi (1951) in De la pédiatrie à la psychanalyse, Payot, 1969 • Winnicott : Jouer; proposition théorique in Jeu et réalité (1971),Gallimard 1975

  47. 4. Holding et Handling

  48. 1. Connaître Winnicott • Winnicott prend comme psychanalyste de plus en plus d’adultes en traitement. Il ne se contente pas de cas faciles mais va ouvrir là-aussi une voie de pionnier en proposant des cures à des patients très perturbés que nous appelons maintenant borderline ou états-limites • Il parle et écrit beaucoup, dans un style inimitable, ce qui permet une confrontation avec ses contemporains (qui n’étaient pas toujours d’accord avec lui, loin s’en faut) ,et surtout une reprise de ses propositions dans la psychanalyse contemporaine et les thérapies qui en découlent. Aucun auteur anglo-saxon n’a autant influencé la psychanalyse française par exemple (actuellement rattrapé par Bion!)

  49. 2. Enjeu • Winnicott a aussi créé-trouvé le terme de holding pour décrire la façon dont une mère – suffisamment bonne - tient (bien, fermement et doucement à la fois) son bébé et de handling pour la façon dont elle le manipule. • Nous l’utilisons de plus en plus pour parler de la façon de nous occuper (bien) de nos patients, en particulier les plus démunis, ceux qui ont besoin d’être « portés » • Ce thème nous conduit aussi à revisiter la question de la régression à la dépendance dans la psychanalyse. Aucun progrès décisif n’est possible sans ce passage douloureux pour patient et thérapeute • Les approches corporelles s’en inspirent souvent : packs, massages relaxants, relaxation…

More Related