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L’Histoire de Paris, 1900-25

L’Histoire de Paris, 1900-25. Thomas Rondet Hernández 1BACHF Pablo Campos Garzón Carlos Felipe González Moreno. Index. 1.Introduction de la premier quart du XXème siècle. 2.La Belle Époque: a. Les Années folles 1900-1914 b. L’Expo Universelle 1899-1900

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L’Histoire de Paris, 1900-25

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  1. L’Histoire de Paris, 1900-25 Thomas RondetHernández 1BACHF Pablo Campos Garzón Carlos Felipe González Moreno

  2. Index • 1.Introduction de la premier quart du XXème siècle. • 2.La Belle Époque: • a. Les Années folles 1900-1914 • b. L’Expo Universelle 1899-1900 • c. Évènements • i. La grande inondation de la Seine, 1910. • 3. Le première guerre mondiale • a. Le fin de la Grande Guerre • 4. Le période de l’entre-guerres jusqu’à 1925 • a. Crises économiques • i. Crise du logement Une cartepostale de l’époque

  3. 1.Introduction de la premier quart du XXème siècle. • Pendant la Belle Époque, l'expansion économique de la capitale est importante mais elle se déroule sur fond de tensions politiques dans la rue . Néanmoins, l'accueil de deux expositions universelles en 1889 et 1900, qui laissent une large empreinte dans la capitale, contribue à apaiser les tensions. La tour Eiffel est construite pour l'exposition de 1889 (centenaire de la Révolution française). Paris devient un important centre industriel, mais le centre de gravité de l'industrie se déplace progressivement en proche banlieue à la recherche de l'espace nécessaire. Les usines automobiles et aéronautiques par exemple s'implantent (Renault, Citroën, Aérospatiale) , dans les actuels Hauts-de-Seine. Cette migration est à l'origine de la forte concentration d'ouvriers en proche banlieue et de la « banlieue rouge » communiste qui se met en place à cette époque. • C'est à cette période, de la Belle Époque aux Années folles, que Paris connaît l'apogée de son influence culturelle sur le Monde. C'est en effet durant ces décennies que la ville lumière accueille de très nombreux artistes tels Picasso, Matisse, Braque ou Fernand Léger. • En 1910, une crue centennale de la Seine provoque l'une des plus graves inondations que la ville ait connue et fait pour trois milliards de francs de dégâts. L'expansion économique reprend rapidement mais le déclenchement de la Première Guerre mondiale met brutalement fin à cette époque de prospérité. Paris voit sa modernisation cesser durant les années de guerre, tous les chantiers sont alors arrêtés. Le rapprochement du front en 1914 provoque le départ du gouvernement pour Bordeaux de septembre à décembre, les troupes allemandes ayant atteint Luzarches, à moins de trente kilomètres au nord de la ville. Paris est épargnée par les combats, la progression des armées allemandes en France ayant été arrêtée sur la Marne. Le défilé de la victoire le 14 juillet 1919 marque la fin de plus de quatre années de cauchemar

  4. 2.La Belle Époque: a. Les Années folles, 1900-1914 • À Paris, pendant la Première Guerre mondiale, la population n'a pas perdu l'art de s'amuser. On fit la fête au début pour se moquer de l'ennemi et se donner du courage : il allait prendre une belle raclée qui laverait l'affront de 1870. On poursuivit la fête ensuite, pour distraire les permissionnaires. Puis, quand trop d'horreurs eurent enlevé aux « poilus » l'envie de rire, la fête continua pour se consoler. • Après la fin du conflit, une génération nouvelle rêve d'un monde nouveau et proclame « Plus jamais ça ! ». On s'empresse de lui proposer de nouvelles griseries sur fond de musique. Venu d'Amérique avec les Alliés, le jazz fait son apparition mais également la danse, la radio et les sports, les industries avec les électroménagers etc... • L'utopie positiviste du XIXe siècle et son crédo progressiste font place à un individualisme déchaîné et extravagant. André Gide et Marcel Proust donnent le ton littéraire de cette tendance qui s'exacerbe et croît avec le mouvement dada dont Tristan Tzara publie le manifeste. Le surréalisme d'André Breton n'est pas loin. L'Art nouveau foisonnant, fauché par la guerre, cède la place aux épures précieuses de l'Art déco. Raclée=Paliza

  5. b. L’Expo Universelle 1899-1900 • L'exposition universelle de 1900 est la cinquième exposition universelle organisée à Paris après celle de 1855, celle de 1867, celle de 1878 et celle de 1889. • Elle est inaugurée le 14 avril par le président Émile Loubet, puis elle ouvre au public le 15 avril. Elle se termine le 12 novembre, après 212 jours d'ouverture. Elle accueille plus de 50 millions de visiteurs. • Manifestation emblématique de la Belle Époque, dont le thème est « Le bilan d’un siècle », elle lègue à Paris plusieurs bâtiments dont le Petit Palais et le Grand Palais. • c. Événements • i. La grande innondation de la Seine, 1910 La crue de la Seine de 1910, souvent qualifiée de crue centennale, est le plus important débordement connu de la Seine. Il a touché la plus grande partie de sa vallée et, bien qu'il n'ait pas été très meurtrier, a causé d'importants dommages à l'économie régionale, en particulier à Paris. La Seine a atteint son niveau maximal, 8,62 mètres sur l'échelle hydrométrique du pont d'Austerlitz à Paris le28 janvier, mais a affecté de nombreux quartiers de la capitale et de nombreuses villes riveraines du fleuve pendant plusieurs semaines avant et après cette date, la montée des eaux s'étant faite en une dizaine de jours, tandis que la décrue a demandé environ 35 jours.  Lors de cette grande crue de 1910, les députés, pour réamorcer la reprise du travail, se rendent à l'Assemblée nationale en barque. Le zouave du pont de l'Alma, sur lequel les Parisiens ont l’habitude de mesurer la montée de la Seine, a de l’eau jusqu’aux épaules.

  6. 3. Le première guerre mondiale • Libérée à l'est par l'effondrement russe, l'Allemagne lance toutes ses forces sur le front ouest. C'est un assaut extraordinairement violent et dévastateur. Les alliés reculent profondément, puis lancent une contre-offensive victorieuse. Celle-ci annonce la fin pour l'Allemagne. Le front des Balkans cède aussi, en septembre 1918. L'armée française de  Franchet d'Espère y  pourchasse l'ennemi. La Tchécoslovaquie proclame son indépendance en juillet. La Bulgarie et la Turquie jettent l'éponge. L'Allemagne sait que la guerre est perdue : les grèves, mutineries, les émeutes se succèdent. Le 7 novembre, la Bavière fait sécession ; le 9 novembre, la république d'Allemagne est proclamée. Le 11 novembre, l'armistice est signé. • Le bilan humain (dressé par le rapport officiel du député Marin en 1921) est effroyable : 1,4 million de morts (900 par jour) ; 252 900 disparus ; 18 222 morts en captivité ; 145 000 morts de maladie. Près de 36 % de ceux qui avaient entre 19 et 22 ans en 1914 sont morts. Pour l'ouest de la France, on dispose d'un tableau par corps d'armée. • Le 3e corps d'armée (Caen, Le Havre, Rouen) : 298 000 mobilisés, 50 600 morts et disparus (17 %) • Le 4e corps d'armée (Le Mans) : 236 000 mobilisés, 47 200 morts et disparus (20 %) • Le 9e corps d'armée (Tours, Angers, Cholet, Saumur) : 333 000 mobilisés, 59 100 morts et disparus (17,7 %) • Le 10e corps d'armée (Rennes) : 318 000 mobilisés, 62 100 morts et disparus (19,5 %) • Le 11e corps d'armée (Nantes) : 470 000 mobilisés, 87 000 morts et disparus (18,6 %) • Il faut aussi compter les autres victimes : 3 594 900 blessés ; 600 000 invalides ; 300 000 mutilés et amputés. 42 000 aveugles, 15 000 gueules cassées. On compte environ 600 000 veuves et autant d'orphelins. Le poilu après cinq années de combats qui ont bouleversé sa foi et son être espère qu'il s'agit là de la der des Ders.

  7. a. Le fin de la Grande Guerre • En 1919, le traité de Versailles pose les conditions de la paix. Politiquement, les dynasties s’effondrent, c’est le succès de la démocratie naissante en Allemagne, Hongrie ou en Turquie. Sur une idée du président américain Wilson, La Société Des Nations, l'ancêtre de l'ONU, est créée en 1919 et se veut alors être la garante d’une paix mondiale.  • Sur le plan géographique, l’Europe est découpée : l’Alsace-Lorraine revient à la France, l’empire Austro-hongrois est disloqué en plusieurs états, Autriche, Hongrie, Tchécoslovaquie, Yougoslavie. Mais les alliés, agissant pourtant au nom du droit des peuples à disposer d’eux mêmes, trahissent ce principe en laissant des Allemands incorporés à la Tchécoslovaquie. L’Allemagne perd à l’est une grande partie de son territoire et est coupée en deux par la Pologne à qui les alliés donnent un accès à la mer. Une telle disposition laisse les Allemands profondément insatisfaits. 

  8. 4. Le période de l’entre-guerres jusqu’à 1925 • Crises économiques • Crise du logement • Clemenceau conduit la politique française jusqu'en 1920, quand il a été battu aux élections. La politique étrangère française a été battu par les Allemands, qui ont soutenu les Britanniques, qui avaient besoin d'une économie forte en Europe centrale », se moque" des réparations de guerre et les paiements ont cessé. Pour aggraver les choses, la France ne pouvait pas compter sur l'aide américaine en cas de guerre avec l'Allemagne. La devise politique était «safety first», de sorte que la Petite Entente a été formé, composé de la France, la Pologne, la Tchécoslovaquie, la Roumanie et la Yougoslavie. Le nouveau chef de la France, le général de Poincaré, les Allemands forcées aux termes de Versailles, en raison de la cessation des paiements a décidé l'invasion de la Ruhr, qui a été condamnée par l'Angleterre en 1923. Les socialistes sont venus occuper le gouvernement pour une courte période, mais la lutte entre les communistes et produit un grand mécontentement. • La France a voulu régler leurs dettes aux États-Unis dans la collection des réparations de guerre que l'Allemagne élevés espérait recevoir. Tout au long de la décennie a exercé une pression constante sur lui pour le forcer à répondre à des quantités que certains économistes (Keynes) considéré comme excessif. • Après la guerre, les anciens participants a entrepris la reconstruction de leurs économies. 1919 fut une année de croissance de la demande relative due à des biens de consommation domestiques et l'effet positif exercé par des crédits américains. Mais le lendemain de la guerre (l'inflation, la démobilisation des troupes, le manque d'emplois, la dette, la dislocation financière, etc) conduit à une récession qui a débuté en 1920 et n'a pas été dépassé qu'en 1924. Cette baisse était due à des causes liées à des difficultés dans la conversion d'une économie de guerre à la paix et l'inadéquation des autres entre l'offre et la demande. Celui-ci a stagné après le retrait momentané qui portait sur l'acquisition des effets mobiliers, reportée à la réalisation de la paix. Alimentée les deux problèmes fondamentaux: la crise des dettes contractées pendant la guerre, et les réparations de guerre que l'Allemagne a été forcés de payer pour les vainqueurs (Versailles). Leur relation était étroite, et le rôle joué par les crédits américains à votre solution, fondamentales.

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