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PROTECTION DE L’ENFANCE

PROTECTION DE L’ENFANCE. STAGE DES NOUVEAUX DIRECTEURS D’ECOLE ESPE LE 21 NOVEMBRE 2013. PROTECTION DE L’ENFANCE. Définitions Cadre législatif Les signes qui alertent. Les circuits Suites données Mesures. QUELQUES DEFINITIONS. LA PROTECTION DE L’ENFANCE

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PROTECTION DE L’ENFANCE

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Presentation Transcript


  1. PROTECTION DE L’ENFANCE STAGE DES NOUVEAUX DIRECTEURS D’ECOLE ESPE LE 21 NOVEMBRE 2013

  2. PROTECTION DE L’ENFANCE • Définitions • Cadre législatif • Les signes qui alertent • Les circuits • Suites données • Mesures

  3. QUELQUES DEFINITIONS • LA PROTECTION DE L’ENFANCE A pour but de prévenir les difficultés auxquelles les parents peuvent être confrontés dans l’exercice de leurs responsabilités éducatives, d’accompagner les familles et d’assurer, le cas échéant, selon les modalités adaptées à leurs besoins, une prise en charge partielle ou totale des mineurs .

  4. QUELQUES DEFINITIONS • L’ENFANT EN RISQUE Enfant qui connaît des conditions d’existence risquant de mettre en danger sa santé, sa sécurité, sa moralité, ou de compromettre, son éducation ou son développement physique, affectif, intellectuel et social mais qui n’est pas pour autant maltraité.

  5. DEFINITIONS(SUITE ) • L’ENFANT EN DANGER Enfant victime de violences physiques, d’actes de cruauté mentale, d’abus sexuels, de négligences lourdes ayant des conséquences graves sur son développement physique et psychologique.

  6. DEFINITIONS (SUITE ) L’INFORMATION PREOCCUPANTE On entend par information préoccupante tout élément d’information, y compris médical, susceptible de laisser craindre qu’un enfant se trouve en situation de danger ou risque de danger, puisse avoir besoin d’aide, et qui doit faire l’objet d’une transmission à la cellule départementale pour évaluation et suite à donner

  7. LE CADRE LEGISLATIF • LA LOI N° 2007-793 DU 5 MARS 2007 Elle renforce la responsabilité du Président du Conseil Général en matière de prévention et de protection • LA LOI N° 2004-1 DU 2 JANVIER 2004 Loirelative à l’accueil et à laprotection de l’enfance • LA CIRCULAIRE EDUCATION NATIONALE N° 2001- 044DU 15MARS 2001 relative à la lutte contre les violences sexuelles

  8. LE CADRE LEGISLATIF (SUITE) • LES TEXTES CONCERNANT L’OBLIGATION DE SIGNALER art 434 -1 du nouveau code pénal: non dénonciation de crime, art 434-3 du nouveau code pénal: non dénonciation de mauvais traitement art 223-6 du nouveau code pénal : non assistance à personne en péril art 40 du code de la procédure pénale concernant les obligations des fonctionnaires • LES TEXTES CONCERNANT LE SECRET PROFESSIONNEL ET SA LEVEE EVENTUELLE ART 226-13: la révélation d’une information à caractère secret est passible d’une peine d’emprisonnement ART 226-14: l’article précédent n’est pas applicable dans le cas ou la loi impose ou autorise la révélation du secret

  9. CADRE LEGISLATIF ( SUITE ) • SCHEMA DEPARTEMENTAL DE PROTECTION DE L’ENFANCE 2011-2015 DANS LE CADRE DU SHEMA DES SOLIDARITES Il est consultable sur le site du Conseil Général de l’Allier : http://www.allier.fr • PROTOCOLE DEPARTEMENTAL Révisé suite à la loi du 5 mars 2007, il date du 1er janvier 2010. SITE EDUSCOL DOSSIER « PROTECTION DE L’ENFANCE »

  10. LES SIGNES QUI DOIVENT M’ALERTER UN ENFANT PRESENTE : • Des difficultés scolaires (absentéisme récurrent, échec, désinvestissement) • Des troubles du comportement (tristesse, repli sur soi, anxiété, agitation, agressivité, demande affective exagérée, violence …) • Des malaises, des désordres alimentaires, des douleurs abdominales, des maux de tête à répétition, des troubles du sommeil, des manifestations régressives • Des marques corporelles ou des lésions traumatiques

  11. LES SIGNES QUI DOIVENT M’ALERTER UN ENFANT PRESENTE : • Des passages à l’acte, une mise en péril (fugue, tentative de suicide, alcoolémie, prise de toxiques, jeux dangereux …) • Des attitudes délictueuses (toxicomanie, vol …) • Des préoccupations sexuelles inadaptées à son âge

  12. LES SIGNES QUI DOIVENT M’ALERTER SON ENVIRONNEMENT FAMILIAL PRESENTE : • Des dysfonctionnements de la vie familiale (d’ordre médical, conjugal et/ou économique) • Une attitude inadaptée à l’égard de l’enfant (manque d’attention, manque d’hygiène, indifférence systématique, discours négatif, violence verbale, une absence ou un excès de limites, un refus de suivi médical, une inversion des rôles…)

  13. LES SIGNES QUI DOIVENT M’ALERTER • CONSTATATION D’ELEMENTS EVOCATEURS DE L’EXISTENCE D’UN OU PLUSIEURS RISQUES CONCERNANT la santé, la sécurité, la moralité, l’éducation ou le développement de l’enfant • A partir de la parole de l’enfant ou d’un tiers proche de l’enfant . • A partir d’observations de faits. • La fréquence d’un même signe et/ou l’accumulation de signes différents doivent amener à une vigilance accrue , voire alerter et à transmettre une information préoccupante

  14. Un signe est un signal d’alarme mais il ne suffit pas à affirmer l’existence de mauvais traitements ou de carences éducatives majeures. . Un ensemble de signes indique une éventualité de risque de danger . Un enfant peut être en risque de danger alors qu’aucun signe n’alerte (famille unie, situation professionnelle et/ou sociale stable …). ATTENTION AUX CLICHES ! Les enfants peuvent être en risque de danger dans tous les milieux . PAS D’INTERPRETATION TROP HÂTIVE ! JE DOIS RESTER VIGILANT MAIS ATTENTION !

  15. LA PROCEDURE A SUIVRE • Avant tout NE PAS RESTER SEUL • Penser à contacter, selon les cas , VOS PARTENAIRESINSTITUTIONNELS ET / OU EXTERIEURS • Ne communiquer que LES FAITSCONSTATESsans porter de jugement de valeur ou d’appréciation personnelle . • Recueillir par ECRIT la parole de l’enfant pour ne pas la déformer si besoin

  16. LA PROCEDURE A SUIVRE LA CONCERTATION entre les divers professionnels permet de croiser les informations sur l’enfant, de partager et de confronter les différentes approches pour une meilleure compréhension de la situation. Elle doit se faire dans LE RESPECT DE LA VIE PRIVEE de l’enfant et de sa famille et ne doit porter que sur les éléments qui peuvent caractériser un risque de danger.

  17. MODALITES CONCRETES (SUITE ) • Remplir le FORMULAIRE SPECIFIQUE que vous trouverez sur le SITE DE L’IA 03 + un écrit si vous le souhaitez . • A ENVOYER A LA CONSEILLERE TECHNIQUE DE SERVICE SOCIAL A L’INSPECTION ACADEMIQUE • APRES EVALUATION ET CONCERTATION AVEC LES SERVICES CONCERNES ELLE TRANSMETTRA A L’UTAS ATTENTION ! Gardez toujours une copie de vos écrits Dans cette procédure, les parents sont en principe avisés de l’écrit

  18. VERS LES UTAS( circuit administratif ) 247 IP en 202/13 chiffres EN département de l’Allier

  19. LES SUITES DONNEES AUX DEMARCHES Si une INFORMATION PREOCCUPANTE a été transmises aux UTAS: un courrier est adressé aux services de l’Inspection Académique ( service social en faveur des élèves ) qui vous tiendra au courant des suites données

  20. LESMESURES • ADMINISTRATIVES Toujours en accord avec la famille • Accompagnements par les travailleurs médico-sociaux des UTAS • Aides Educatives Budgétaires (AEB) • Aides en économies sociales et familiales (AESF) • Travailleurs d’Intervention Sociale et Familiale (TISF) • Aides Educatives à domicile (AED) • Accueil Provisoire

  21. VERS LE PROCUREUR ( circuit judiciaire ) 26 signalements en 2012/13 chiffres EN département de l’Allier

  22. SITUATION DE L’ENFANT EN DANGER • On se trouve dans LE CAS DE MAUVAIS TRAITEMENTS AVERES ETACTUELS OU SUSPICION FORTE (violences physiques, violences sexuelles, observation d’un type de comportement inadapté à l’âge de l’enfant, de traces visibles de coups …) • Ou dans le cas où la procédure administrative a échoué • Ou dans le cas où les parents s’opposent à une aide administrative • La CT assistante sociale ou/et la CT médecin ou/et la CT infirmière à l’IA EVALUENT la nécessité de solliciter UN MEDECIN ( scolaire ou PMI) pour CONSTAT DE COUPS et transmettent SANS TARDER les écrits au PROCUREUR • ON NE PREVIENT PAS LA FAMILLE si l’intérêt de l’enfant le justifie

  23. LESMESURES • JUDICIAIRES Imposées à la famille mais toujours plus productives si la famille accepte les aides • Investigations (Enquêtes sociales, Investigations et orientations éducatives (IOE), Recueils de renseignements sociaux éducatifs (RRSE) • Mesure Judiciaire d’Aide à la Gestion du Budget Familial (MJAGBF) • Aide en milieu ouvert (AEMO) • Placements judiciaires

  24. PERSONNES RESSOURCES SERVICE SOCIAL ET SANTE • Mme SORIANO 04 70 47 44 72 • Mme le Dr BEAUFRERE 04 70 47 44 74 • Mme MONNEY 04 70 47 44 71 • Fax 04 70 34 17 88 • UTAS de l’Allier ( site IA 1er degré , aspects administratifs , protection de l’enfance )

  25. PROTECTION DE L’ENFANCE MERCI DE VOTRE ATTENTION BRIGITTE SORIANO RESPONSABLE DEPARTEMENTALE CONSEILLERE TECHNIQUE DE SERVICE SOCIAL EN FAVEUR DES ELEVES NOVEMBRE 2013

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