1 / 20

Conférence de Montréal Forum international des Amériques 11 juin 2013

Infrastructures en Afrique Nouvelles perspectives de financement. Conférence de Montréal Forum international des Amériques 11 juin 2013. Le contexte. L’heure de l’Afrique semble avoir sonné. Les pays exportateurs de pétrole ont enregistré une croissance de 8,7 % en 2012.

chul
Download Presentation

Conférence de Montréal Forum international des Amériques 11 juin 2013

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Infrastructures en Afrique Nouvelles perspectives de financement Conférence de Montréal Forum international des Amériques 11 juin 2013

  2. Le contexte

  3. L’heure de l’Afrique semble avoir sonné • Les pays exportateurs de pétrole ont enregistré une croissance de 8,7 % en 2012 Une Afrique plus forte face aux défis Les flux extérieurs ont atteint un niveau record en 2012 Durant la période 2002-2012, 6 des 15 économies affichant la plus forte croissance au monde se trouvaient en Afrique Source : BAD et Perspectives économiques mondiales, avril 2013 *A l'exclusion de: l'Australie, la Corée, Hong-Kong, le Japon, la Nouvelle Zélande, Singapour et Taïwan

  4. Bien qu’aujourdhui l'Afrique est la deuxième région a forte croissance dans le monde…. …le déficit de financement pour les infrastructures, estimé entre 60-90 milliards USD par an, demeure obstinément élevé… Mais, malgré une croissance soutenue, les besoins de financement pour les infrastructures en Afrique reste primordial 5,3% en 2014 4,8% en 2013 Alors que les investissements en énergie, transport, eau et assainissement et technologies de l’information et de la communication (TIC) - les besoins prioritaires du continent – peuvent contribuer plus de 2% a la croissance continentale.

  5. 2. Les Activités de la BAD

  6. Croissance inclusive La BAD s’est spécialisé dans les solutions de financement aux problèmes du continent africain et renforce les infrastructures qui stimulent la croissance Transition vers la croissance verte Une stratégie basée sur cinq priorités opérationnelles essentielles Délivrée par un menu robuste d’instruments financiers • Prêts (souverains et au secteur prive) • Garanties • Produits pour la gestions des risques (intérêt, devises, commodités) • Programme du financement pour le commerce • Prises de participation • Fonds dédiés à l’assistance technique (bilatéraux and multilatéraux) • Participation dans les initiatives globales • Développement des infrastructures • Intégration régionale • Développement du secteur privé • Gouvernance et responsabilisation • Qualifications et technologies

  7. A travers des prêts classiques… • Lignes électriques transfrontalières Ethiopie - Kenya(341 millions d'USD) • Ligne de transport de 1 000 km, avec une capacité de 2 000 MW • Économie de 7 millions de tonnes de CO2 chaque année • 1,4 millions de ménages bénéficieront d’un accès fiable et à prix raisonnable à l’électricité d’ici 2022 • Initiative choisie par le G20 comme un projet régional exemplaire • Premier projet du genre à être enregistré comme projet MDP Ce qui génère des résultats enviables au service du peuple africain Prix d’honneur pour l’impact sur le développement du Trésor américain en juin 2012 « Projet d’amélioration du corridor routier Bamako-Dakar et de facilitation du transport » Facilité africaine de l’eau ..Ou partenariat et initiative bilatérale africaine… • Initiative du Conseil des ministres africains de l’Eau, administrée par la Banque • Créée pour aider les pays à atteindre les objectifs de la Vision africaine de l'eau 2025 • Approbation de 75 opérations se chiffrant à 118 millions d'USD depuis 2006 • Approbation de six projets en 2012, pour un financement total de 12 millions d'USD

  8. 2. L’Approche du futur

  9. Les modes traditionnels de financement sont-ils suffisants? • Les interventions traditionnelles des bailleurs de fonds sont insuffisantes pour combler les besoins de capital pour financer les infrastructures en Afrique. • Les moyens traditionnels de mobilisations de ressources au niveau des pays (i.e. la collection de taxes) souffrent aussi de défis particuliers. • Par conséquence, l’Afrique comme le reste du monde entier expérimente un changement de direction dans sa stratégie de mobilisation de fonds pour le développement. • Elle se tourne de plus en plus vers les marchés des capitaux locaux et globaux , pour accéder à de nouvelles ressources financières.

  10. Bilan contrasté dans la réalisation des émissions obligataires en monnaie locale pour les infrastructures en Afrique, LES EMISSIONS D’OBLIGATIONS SOUVERAINS POUR L’INSTRUCTURE LES EMISSIONS DU DIASPORA Objet: Ethiopian Electric Power Corporation (2008) & le grand barrage Renaissance (2011) Objet: Une portefeuille d’investissement dans les secteur de l’énergie du transport , et de l’ eau • Aspets positif: • Premier émetteur sur le continent africain • Résultats: 400 million en 2008 • Aspets positifs: • Approche programmatique • Un élément diaspora: ventes spontanées de l’obligation permettait la souscription des émigrés au delà de la période initiale définie • Collaboration avec le secteur privé pour le marketing et placement (i.e. Homestrings) • Contrainte au succès de la souscriptions: • Manque de transparence • Manque de marché de capitaux • Marketing insuffisant a l’ étranger • Discompte patriotique trop profond vis a vis autres investissements complémentaires • Considérations à pondéré: • Comment assurer que les produits iront au financement des projets sous jacents et non aux autres priorités des gouvernements? • Est ce qu’une émission régionale est probable dans le future?

  11. Les émissions obligataires en devises pour les infrastructures • Emissions souveraines Africaines sur le marche international en devises (USD) • Pricing lié a la perception du risque du souverains et non aux projets sous jacents • Pour des maturités a longue terme, généralement de 7 a 12 ans • Avec le but de développer l’appétit des investisseurs et les parties prenantes locales pour une transition éventuel aux émissions de projets • La Banque a publié en 2013 un livreintitulé« Financements structurés: Conditions pour le financement des projets d’infrastructure par les marchés obligataires africains ».

  12. Les migrants: un énorme potentiel pour l’Afrique • Il est estimé que les ressources financières des migrants africains peuvent contribuer 40 milliards USD par année au continent (2,6% du PIB du continent) • La Banque a publié en décembre 2012 une note économique sur le sujet: « Emissions obligataires diaspora: quelques leçons a retenir pour les pays africains » QUEL EST LE POTENTIEL? COMMENT LE FAIRE?

  13. 2. La finance innovante – Que fait la BAD?

  14. La Banque offre une la Garantie Partielle de Crédit (GPCs): • Cela couvre une partie des remboursements prévus de prêts ou d'obligations contre le risque de non-paiement par le débiteur Plus de marketing des produits financiers existants qui favorisent la hausse de crédit d’un projet ou d’un émetteur obligataire • Restructuration de dette de Seychelles • Une garantie qui couvre jusqu’à 10 millions de dollars au titre du paiement d’intérêt sur une émission obligataire du gouvernement des Seychelles en 2010 pour restructurer sa dette qui s’élevait à 320 millions de dollars • La garantie était essentielle a rendre soutenable la dette souveraine des Seychelles Présentation des produits financiers - 2012

  15. . MISE EN ŒUVRE ACTIVITIÉS/ SERVICES UNIVERS DES INVESTISSEURS Fond Afrique 50: Une proposition de financement de l’Afrique pour l’Afrique Marchés financiers internationaux et fonds souverains CRÉDIT Banques centrales/ Marchés financiers d’Afrique Flexibilité et aptitude à répondre en temps utile aux promoteurs Appui et influence politiques requis pour faire avancer les projets et surmonter les obstacles politiques Coordination des parties prenantes africaines : Conseil, parrainage et relations étroites de travail avec la BAD Large appui des pays africains sous forme de participation et/ou d’investissement Mobilisation de ressources sur les marchés financiers et auprès des banques centrales d’Afrique Fourniture de ressources financières et techniques substantielles Expertise requise pour interagir efficacement avec des promoteurs de calibre mondial de projets du secteur privé PRISES DE PARTICI-PATION Secteur privé/ Institutions financières d’Afrique BAD et autres partenaires au développement SERVICES-CONSEILS

  16. Approche focalisée sur le développement des marchés financiers africains • Création de programmes d’émission d’obligations nationales • Ciblage de quelques marchés financiers africains Emetteur récurrent sur le marche africain – L’exemple de l’Ouganda Désignation du shilling ougandais (UGX) comme devise de prêt de la Banque en septembre 2011 Établissement d’un programme de d’émission à moyen terme de 125 milliards d’UGX Émission d’obligations de maturité 10 ans pour 12,5 milliards d’UGX en juillet 2012, le coupon étant lié à 85 % du rendement des bons à deux ans du Trésor ougandais avec révision du taux toutes les 2 années. La deuxième émission libellé en Ush a été lance le 30 mai. Le produit de l’émission est conservé en monnaie du pays pour financer un prêteur hypothécaire local Placement intégral dans le pays avec une sursouscription de 50% • Bénéfices: atténuation du risque de change, diversifications d’instruments disponibles au investisseur locaux, le développement des marchés des capitaux africains…

  17. Appui continue sur les données statistiques et les infrastructures des marchés financiers Réalisationsrécentes Initiative des marchés financiers africains (IRMA) Fonds d’investissement des obligations d’Afrique Base de données des marchés financiers d’Afrique Renforcement des capacités des Banques Centrales et collaboration avec les officiers de liaison dans la collecte des données sur les marchés financiers africains S’emploie avec les partenaires et les banques centrales d’Afrique à développer les marchés de la dette sur le continent Améliore la disponibilité, la qualité et l’utilité des informations sur les marchés africains de la dette Création et lancement de la base de données sur les marchés financiers africains qui couvre les billets de trésorerie et les obligations de 40 pays Finance le renforcement de l’infrastructure des marchés obligataires nationaux Renforce les capacités de collecte et de gestion des données Création et lancement du site internet de l’AFMI – un outil de gestion de connaissance qui apporte visibilité et prise de conscience sur les marchés africains de la dette Réduit la dépendance envers les créances libellées en devises étrangères et élargitla base d’investisseurs Publie des mises à jour régulières, fournissant ainsi des informations pertinentes et actuelles La Banque accueille un groupe de travail pan-africain des parties prenantes aux émissions obligataires en monnaies africaines Site internet de l’AFMI: www.africanbondmarkets.orgUn outil de connaissance à guichet unique qui permet de fournir des informations sur les marchés africains de la dette

  18. 7. Conclusions

  19. Messages clés sur le financement innovant de l’infrastructure en Afrique • Il existe beaucoup d’euphorie sur les financements innovants pour les infrastructures en Afrique • Deux grands axes sur lequel ce potentiel réside (i) le développement des marches des capitaux et (ii) les ressources des migrants africains • Mais nous sommes encore aux premières étapes de recherche et d’implémentation. Les pays doivent: • Investir davantage dans la recherche de leur diaspora • Maintenir la bonne gouvernance et la bonne performance des indices macroéconomiques pour diminuer la perception des risques des investisseurs et profiter de l’intérêt qu’ils portent à l’Afrique • Se concentrer sur le développement du système financier interne en particulier les marchés de capitaux • Mobiliser et utiliser les instruments de rehaussement de crédit offerts par les  partenaires de développement  traditionnels et  les acteurs du secteur privé

  20. « L’Afrique représente désormais un nouveau champ de développement, un important pôle de croissance pour la reprise économique et une destination attrayante pour les capitaux. La différence de perception s’amenuise et il y a des investisseurs sérieux qui sont véritablement intéressés par l’Afrique. L’heure de l’Afrique a sonné ! » • NgoziOkonjo-Iweala • Ministre des Finances du Nigéria, 2011 • Merci

More Related