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Enquête financière de 2007 sur les fermes Faits saillants

Enquête financière de 2007 sur les fermes Faits saillants. Enquête financière de 2007 sur les fermes - Faits saillants 2007.

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Enquête financière de 2007 sur les fermes Faits saillants

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  1. Enquête financière de 2007 sur les fermesFaits saillants

  2. Enquête financière de 2007 sur les fermes - Faits saillants 2007 Publication: 08-004F ISBN: 978-0-662-08107-4 Catalogue: A36-1/2-2007F-PDF Projet: 08-004-dpElectronic versions of Research and Analysis publications are available on the Internet at:http://www.agr.gc.ca/pol/index_f.phpAlso available in English under the title:2007 Farm Financial Survey - Highlights

  3. Introduction • L’Enquête Financière sur les Fermes (EFF) de 2007 a été menée par Statistique Canada et financée par Agriculture et Agroalimentaire Canada. • L’enquête a été menée en avril 2007 et les données recueillies sont celles de l’année de référence 2006. • Les résultats reposent sur un échantillon de 15 000 fermes de tous les types de fermes ayant un revenu brut d’au moins 10 000 $ et réparties dans toutes les provinces. • L’enquête a eu lieu pour la première fois en 1981 et est maintenant réalisée chaque année. • L’enquête recueille des données sur l’actif, le passif, les investissements, ainsi que sur le revenu de l’exploitation et du ménage agricole.

  4. La valeur de l’ actif agricole continue d’augmenter, hausse qui témoigne de l’optimisme général régnant au sein de l’économie canadienne 1 354 $ 1 283 $ 1 134 $ Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC. • L’actif agricole moyen est à la hausse, de façon constante, depuis 2004. • L’actif agricole moyen s’est établi à 1 354 000 $ en 2006. • L’actif a augmenté de 6 % par rapport à 2005. • En 2006, la valeur marchande moyenne des terres et des bâtiments agricoles (775 000 $), qui représentait 57 % de l’actif agricole, a connu une hausse de 8 % par rapport à 2005. • La valeur marchande de la machinerie est restée à peu près inchangée par rapport à 2005 tandis que la valeur du bétail sur le marché a baissé de 7 % en 2006. • Toutefois, en raison de la valeur plus élevée de l’actif, il est plus difficile pour les jeunes agriculteurs d’entrer dans l’industrie car l’actif agricole a généralement connu une hausse plus rapide que le revenu agricole. • Entre 1997 et 2006, l’actif agricole moyen a augmenté de 74 % tandis que le revenu d’exploitation net moyen augmentait de 4 %. • En ce qui concerne les fermes laitières, la valeur moyenne des contingents a bondi de 220 % entre 1997 et 2006 tandis que leur revenu d’exploitation net moyen augmentait de 88 %.

  5. L’actif agricole moyen a augmenté dans toutes les provinces mais à des rythmes différents • La valeur des terres et des bâtiments agricoles est corrélé à la croissance de l’économie générale. • Les provinces qui affichent la croissance la plus élevée du PIB ont aussi enregistré la croissance la plus élevée de la valeur de l’actif agricole. • C’est à Terre­Neuve que l’actif agricole a le plus augmenté (14 %). • La Colombie­Britannique et l’Alberta suivent avec des augmentations de 12 % et 9 % respectivement. • C’est en Colombie­Britannique que l’actif agricole moyen a été le plus élevé en 2006 (2 136 000 $). Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC.

  6. Le passif agricole continue de croître en raison de l’expansion des fermes, de l’investissement et des taux d’emprunt plus bas • En 2006, le passif agricole moyen s’est élevé à 253 000 $, une augmentation de 2 % par rapport à 2005. • Ce pourcentage d’augmentation est le plus bas enregistré depuis les 10 dernières années. • Les grosses fermes qui investissent et s’agrandissent détiennent la majorité de la dette agricole. • En 2006, 70 % de l’endettement agricole était le fait d’exploitations qui génèrent des revenus bruts d’au moins 250 000 $. • Depuis les 9 dernières années, ces fermes exploitaient en moyenne 10% de plus de terre agricole tandis que les plus petites fermes exploitaient 1% de moins de terre agricole. Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC.

  7. Cependant, certaines types de ferme affichent en moyenne un passif relativement élevé comparativement à d’autres types de ferme • En 2006, les exploitations productrices de pommes de terre ont enregistré l’endettement agricole moyen le plus élevé (900 000 $). • Les fermes produisant des produits soumis à la gestion de l’offre ont enregistré le deuxième niveau moyen d’endettement agricole le plus élevé en 2006. • En 2006, les fermes bovines ont affiché l’endettement agricole moyen le plus bas, soit 146 000 $. • Les fermes laitières, les fermes productrices de fruits et de légumes ainsi que les serres et les pépinières ont affiché une diminution de l’endettement agricole tandis que tous les autres types de ferme ont augmenté leur endettement entre 2005 et 2006. • En 2006, les fermes porcines ont enregistré le ratio d’endettement le plus élevé (33 %) suivies des serres et des pépinières et des fermes bovines, soit 26 % et 25 % respectivement.

  8. Malgré l’augmentation du passif agricole, les dépenses d’intérêts exprimées en pourcentage des revenus sont demeurées relativement constantes au cours de la dernière décennie Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC et tableau CANSIM 002-0001, 002-0005. • La tendance à la baisse des taux d’intérêt a permis aux producteurs de s’endetter davantage sans pour autant augmenter leurs dépenses d’intérêts. • Les producteurs peuvent amortir davantage de dette avec le même revenu. • Les dépenses d’intérêts exprimées sous forme de pourcentage du revenu agricole représentent une mesure de la capacité des fermes d’amortir les dettes. • En moyenne, les dépenses d’intérêts ont été de 8 cents par dollar de revenu agricole en 2006. • Les fermes porcines ont enregistré les dépenses d’intérêts les plus élevées par dollar de revenu, soit 9 cents. • Les serres et les pépinières ont enregistré les dépenses les moins élevées par dollar de revenu, soit 4  cents.

  9. La valeur agricole nette a augmenté pour s’établir à plus de 1,1 million de dollars par ferme en 2006 • La valeur nette moyenne des fermes a augmenté de 6 % par rapport à 2005 pour s’établir à 1 103 000 $ en 2006. • Les exploitations productrices de pommes de terre, les fermes laitières ainsi que les exploitations de volailles et d’œufs ont enregistré une valeur nette moyenne de plus de 2 millions de dollars en 2006. • Les fermes porcines ont également enregistré une valeur nette moyenne élevée, soit 1,5 million de dollars en 2006. • Les fermes bovines ont enregistré la valeur nette moyenne la plus faible, soit 831 000 $ en 2006. • Les fermes bovines ont toutefois connu une augmentation de 10 % de leur valeur nette entre 2005 et 2006. Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC.

  10. Le revenu d’exploitation net varie selon le type de ferme et est fonction de la taille des opérations et des marges d’exploitation • Les producteurs de céréales et d’oléagineux ont enregistré une augmentation de 44 % de leur revenu d’exploitation net moyen entre 2005 et 2006. • La hausse est attribuable à l’augmentation des paiements de programme et des prix des grains. • Les exploitations de pommes de terre ont connu une autre bonne année en 2006 et enregistré une augmentation de 12 % par rapport à 2005. • Les exploitations de pommes de terre ont enregistré le revenu d’exploitation net moyen le plus élevé, soit 148 000 $. • La hausse des coûts des aliments du bétail attribuable à l’augmentation des prix des grains a entraîné une diminution du revenu agricole dans le secteur du bétail. • Le secteur porcin, par exemple, a enregistré une diminution de 34 % entre 2005 et 2006. • Le revenu d’exploitation net moyen de 2006 est de 58 000 $ pour les fermes porcines. Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC.

  11. Les paiements de programme ont contribué à assurer la stabilité des revenus agricoles depuis quelques années • En 2006, l’augmentation de 8 % des paiements de programme a compensé partiellement la baisse du revenu marchand net moyen. • Le revenu marchand net de 12 302 $ est à la baisse en moyenne 2 000 $ par rapport à 2005. • Les paiements de programme s’élèvent en moyenne à 20 500$ en 2006 comparativement à 19 000 $ en 2005. Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC.

  12. Dans l’ensemble, les trois quarts des exploitations agricoles canadiennes affichaient une position financière solide à la fin de 2006 Stress financier important Stress financier moyen Aucun stress financier Estimé du nombre de fermes ( ) • Le stress financier est déterminé par les niveaux de liquidités et de capitaux propres. • Parmi les fermes canadiennes : • 7,6 % subissaient un stress financier important. • 17,1 % subissaient un stress financier moyen. • 75,3 % ne subissaient aucun stress financier. Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC.

  13. La majorité des fermes porcines ont commencé l’année 2007 dans une position financière solide même si, en 2006, 16,3 % des fermes subissaient un stress financier important Stress financier important Stress financier moyen Aucun stress financier Estimé du nombre de fermes ( ) • Le stress financier est déterminé par les niveaux de liquidités et de capitaux propres. • Parmi les fermes porcines : • 16,3 % subissaient un stress financier important. • 11,7 % subissaient un stress financier moyen. • 72 % ne subissaient aucun stress financier. • Un pourcentage relativement élevé des fermes porcines (28,2 %) affichait des niveaux de liquidités inférieurs à 50 % Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC.

  14. La majorité des exploitations de naissage-élevage était en bonne position financière à la fin de 2006 Stress financier important Stress financier moyen Aucun stress financier Estimé du nombre de fermes ( ) • Le stress financier est déterminé par les niveaux de liquidités et de capitaux propres. • Parmi les exploitations de naissage-élevage : • 6,7 % subissaient un stress financier important. • 22,2 % subissaient un stress financier moyen. • 77,1 % ne subissaient aucun stress financier. Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC.

  15. Le stress financier est déterminé par les niveaux de liquidités et de capitaux propres. Parmi les exploitations de céréales et d’oléagineux : 7,6 % subissaient un stress financier important. 16,2 % subissaient un stress financier moyen. 76,2 % ne subissaient aucun stress financier. Grâce à l’augmentation des prix des grains, plus des trois quarts des exploitations de céréales et d’oléagineux se trouvaient en bonne position financière à la fin de 2006 Stress financier important Stress financier moyen Aucun stress financier Estimé du nombre de fermes ( ) Source : Enquête financière sur les fermes, calculs d’AAC.

  16. Observations • La croissance soutenue de l’actif agricole et de la valeur nette peut témoigner de l’optimisme générale que l’on observe dans le secteur canadien à long terme. Cependant, la valeur élevée de l’actif agricole pourrait rendre plus difficile pour les jeunes d’entrer dans l’industrie étant donné que la valeur de l’actif agricole a augmenté plus rapidement que les revenus. • Les faibles taux d’intérêt ont permis aux producteurs de s’endetter davantage pour investir dans leur exploitation agricole et l’agrandir. Cependant, si les taux d’intérêts augmentent, l’endettement agricole pourrait augmenter la vulnérabilité de certains producteurs. • La grande majorité des exploitations canadiennes n’ont pas de problèmes avec le niveau de la dette. Toutefois, un quart des fermes canadiennes pourrait en avoir tandis que 8% des fermes canadiennes pourraient subir un stress financier important. • Le secteur porcin montre des indications de stress financier important et pourrait éprouver des difficultés à amortir la dette. • Les paiements de programme ont contribué à la stabilité du revenu agricole depuis quelques années.

  17. Pour de plus amples informations, contactez • Fabrice Nimpagaritse ànimpagaritsef@agr.gc.ca ou • John Caldwell à caldwellj@agr.gc.ca

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