1 / 18

Le partage de la ligne

Le partage de la ligne. Intérêt du partage. Pour des raisons de coûts De topologie De performances du réseau Gain de temps Stabilité fiabilité. Les méthodes pour partager. Les méthodes statiques Les méthodes dynamiques Les méthodes aléatoires. Les méthodes statiques.

temima
Download Presentation

Le partage de la ligne

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Le partage de la ligne

  2. Intérêt du partage • Pour des raisons de coûts • De topologie • De performances du réseau • Gain de temps • Stabilité • fiabilité

  3. Les méthodes pour partager • Les méthodes statiques • Les méthodes dynamiques • Les méthodes aléatoires

  4. Les méthodes statiques • Définition: ce sont des méthodes invariables dans le temps • Deux méthodes, suivant si on partage : • La bande passante => AMRF • Du temps => AMRT

  5. Les méthodes statiques • AMRF : accès multiple avec répartition en fréquence. Pour chaque émetteur, on fait un partage de bande passante pour éviter les collisions. En anglais FDMA

  6. Les méthodes statiques • AMRT : En anglais TDMA .Accès multiple avec répartition dans le temps. A chaque station, on attribue un temps d’émission et de réception. Cela implique que la nécessité d’une enquête de besoin de chaque station. Cette méthode est valable pour les émissions à trafic régulier. En revanche, totalement inadaptée au trafic irrégulier car laps de temps inutilisés et inutilisables => perte de temps

  7. Les méthodes dynamiques • Définition : ce sont des méthodes qui vont s’adapter aux besoins de chaque station et à ses variations. Sera mis en œuvre avec un protocole d’accès au média. • On distingue : • Les méthodes par scrutation (ou polling) • Les méthodes à jeton

  8. Les méthodes dynamiques • Méthodes par scrutation • Une station centrale (nommée superviseur ou moniteur) tient le rôle d’arbitre en scrutant les autres stations afin de fixer les durées et les instants d’émission de chaque station. • On distingue 3 types de polling en fonction de l’algorithme de scrutation: • Le polling centralisé • Le polling décentralisé • Le polling adaptatif (probing)

  9. Les méthodes dynamiques • Les méthodes par scrutation • Le polling centralisé : c’est la station centrale qui défini l’ordre de scrutation, donc l’attribution des tranches d’émission.

  10. Les méthodes dynamiques • Les méthodes par scrutation • Le polling décentralisé : la station centrale définie l’ordre de scrutation mais pas l’ordre de passage; elle définie la première station à émettre, celle-ci passant ensuite la main à une autre, sans passer par la station centrale. Il faut donc attendre un cycle pour que le superviseur reprenne le contrôle.

  11. Les méthodes dynamiques • Les méthodes par scrutation • Le polling adaptatif (probing) • Définition : c’est un mélange de méthodes statiques et dynamiques • Le temps est divisé par tranches égales. On a des tranches d’émission et de scrutation. • La tranche de scrutation est sous-divisée en autant de tranches qu’il y a de stations. La station centrale va leur attribuer des instants d’émission et des durées d’émission

  12. Les méthodes dynamiques • Les techniques à jeton (ou méthode par élection) • Surtout utilisées dans les réseaux locaux • Jeton => droit d’émission unique • Cela implique un protocole avec un bit dédié au jeton dans la trame.

  13. Les méthodes dynamiques • Les techniques à jeton • Principe : c’est le superviseur qui distribue le jeton sur le support, le jeton ayant deux états possibles (libre ou occupé). La station qui prend le jeton libre a le droit d’émettre. En fin d’émission, le jeton est redistribué. Le superviseur doit vérifier en permanence l’unicité du jeton.

  14. Les méthodes aléatoires • But : répondre aux exigences des méthodes dynamiques. • Dans cette méthode, les stations sont autonomes (pas de superviseur). Les algorithmes d’accès sont implantés dans les stations. On nomme ces méthodes, méthodes par compétition

  15. Les méthodes aléatoires • On distingue diverses méthodes: • La méthode Aloha • La méthode aloha en tranche • La méthode CSMA

  16. Les méthodes aléatoires • La méthode Aloha • Nom d’un réseau (1970) • Quand une station souhaite, elle émet, ce qui implique une probabilité de collision élevée. • Nécessite un algorithme afin de gérer les collisions et déclencher une réémission. • Méthode valable pour des réseaux à faible trafic.

  17. Les méthodes aléatoires • La méthode aloha en tranche • Identique à la précédente, mais avec une contrainte supplémentaire: on découpe le temps en tranche. Lorsqu’une station doit émettre, elle attend le début de la tranche suivante; cela implique que certaine collisions seront évitées, mais d’autres ne pourront l’être (deux stations peuvent débuter leurs émissions au début de la même tranche) • Probabilité de collision plus faible • Plus lent car émission différée.

  18. Les méthodes aléatoires • La méthode CSMA • CSMA : Carrier Sense Multiple Acces, soit méthode d’accès multiple à écoute de porteuse • Principe :une station qui doit émettre se met à l’écoute du canal; si le canal est libre, elle émet, sinon, l’émission est différée. Lors de l’émission, elle écoute également pour détecter une collision. Dans ce cas, cela déclenchera également une réémission.

More Related