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SHaSA GTS1 sur les statistiques de Gouvernance , de Paix et de Sécurité (GPS) Rapport d’Etape. 6ème Rencontre des CoDG 30 Nov. – 2 Déc. 2012 Yamoussoukro, Côte d’Ivoire. Contexte & Proposition.
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SHaSAGTS1 sur les statistiques de Gouvernance, de Paix et de Sécurité (GPS) Rapport d’Etape 6ème Rencontre des CoDG 30 Nov. – 2 Déc. 2012 Yamoussoukro, Côte d’Ivoire
Contexte & Proposition Les données GPS : une question centrale des réflexionsinternationalessur la mesure du développement Mesure du progrès des sociétés, engagements de l’UA, etc. Des données GPS produiteslocalement : un besoin pour l’Afrique conception, programmation, suivi/évaluation des politiques, alerteprécoce, “voice” Situation actuelle Manque de donnéesproduites au niveau national Prolifération des bases de données / indicateursinternationaux Pourtant les données de gouvernance= bien public (souveraineténationale) Proposition Harmonisation et institutionnalisation des statistiques GPS, coordonnées par les INS (avec des cellules GPS au sein des INS)
Pourquoi les INS ? institution publique légitimitéofficielle expertise dans le champ statistique existence de standards et procéduresagréés larges échantillonspermet la désagrégation des données pérennité des dispositif de collecte des données meilleur rapport coût-bénéfice des modules greffés expériencessolides en matières de statistiques GPS (exemples)
Perception des dysfonctionements de l’administration par la population (%) • Confiance dans les institutions par la population (%) Exemple 1: Bénin Sources: Enquêtes EMICoV, National, 2006-2011, INSAE.
Incidence de la petite corruption bureaucrautique, contexte politique et économique Exemple 2: Madagascar • Sources : Modules Gouvernance, Enquêtes 1-2-3, Antananarivo, 1995-2006, INSTAT.
Statistiques de criminalité tirées de sources administratives (2007-2011) Exemple 3: Kénya Sources: Kenya Police Department, Compilé par l’INS.
GTS1 sur les statistiques GPS Participants Co-direction : CUA & Kénya 16 pays Grouped’experts pivot (INS sélec, Afrobaromètre, DIAL, Mo Ibrahim, PNUD) Temps forts Avril 2012, Naïrobi : lancement du GTS1 Septembre 2012, Dakar : consultation des bénéficiaires et 1ersdéveloppementsméthodologiques Novembre 2012, Yam: consolidation (méthodologie & Plan d’Action)
Approche Cadres normatifs ChartreAfricainesur la Démocratie, les Elections et la Gouvernance ProtocoleAfricainsurl’établissement de la paix & de la Sécurité Council CharteAfricainesur la Statistique, SHaSAThèmesprioritaires et Programme de travail 4 instruments Indicateurs Factuels et attitude/opinion Donnéesharmonisées + donnéesspécifiques pays Utilisations Continentale (MAEP, systèmesd’alerteprécoce, PlatteformeAfricianesur la Gouvernance) Régionale (RECs) Nationale (plans, post OMD, Stratégies de gouvernance, prévention des conflits...)
Deuxième phase (2015-2016) • Extension à 10 pays supplémentaires • Renforcement des capacités • Développement de réseauxrégionaux • Consolidation, amélioration, diffusion et plaidoyerdans les pays de la 1ère phase • Troisièmephase (2017) • Extension à 15 pays supplémentaires • Institutionnalisation et pérennisation • Echanged’expérience et comparaison (international) Plan d’Action : feuille de route (2015-17)
Recommandations Validation de l’approche proposée 5 pays-pilotes : expression d’intérêt Mise en place d’Unités GPS dans les INS et à la Division Statistique de la commission de l’UA
Conclusion Des progrès décisifs du GTS1 (en 7 mois) Des résultats concrets attendus à court terme (2013) Une approche globale et flexible (à la carte) L’Afrique chef de file mondial coopération Sud-Sud transferts du Sud vers le Nord