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PORTRAIT DES ENTREPRISES D’ÉCONOMIE SOCIALE

PORTRAIT DES ENTREPRISES D’ÉCONOMIE SOCIALE. CRDM/CRES FÉVRIER 2002. Introduction.

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PORTRAIT DES ENTREPRISES D’ÉCONOMIE SOCIALE

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  1. PORTRAIT DES ENTREPRISES D’ÉCONOMIE SOCIALE CRDM/CRES FÉVRIER 2002

  2. Introduction En guise d’introduction, d’abord il est important de faire quelques précisions de manière à réduire la prétention de présenter un réel portrait de l’économie sociale sur le territoire de la Mauricie. Loin en est ce document qui tout de même trace un portrait assez global de la situation sur le territoire. Un portrait complet ne pourrait à la limite jamais être tout à fait réalisé en raison de la mouvance de l’action, de la difficulté à répertorier les projets et entreprises, des disponibilités que les promoteurs peuvent accorder pour répondre souvent dans de courts délais à des entrevues. Ils existent plusieurs listes d’entreprises qui ne sont pas complètes. D’autres raisons empêchent de faire un portrait complet. D’abord, toutes les entreprises d’économie sociale ne sont pas financées par les fonds d’économie sociale. Il existe plusieurs sources de financement et plusieurs banque de données sur les projets. Ne serait-ce que de les faire concorder serait en soit un objectif. Ensuite, certaines entreprises ou organisations pourraient s’inscrire en économie sociale mais ne s’y reconnaissent pas alors que d’autres s’en disent et n’y sont pas reconnues. Qu’est-ce qui en est et qu’est-ce qui en est pas ? Nous n’avons toujours pas réglé cette question.

  3. Pour toutes ces raisons, nous vous invitons à prendre connaissance d’un certain portrait régional qui se veut le plus complet et inclusif possible en s’excusant dès le départ des lacunes qui pourraient s’y trouver. Le portrait inclut donc les entreprises OBNL et coopératives oeuvrant dans le secteur marchand. Nous n’avons pas inclus dans le portrait les coopératives d’usagers et d’usagères, les coopératives issues de la vieille économie sociale telle que les caisses populaires ni les coopératives de logements bien que pour ces dernières, nous les ayons dénombré. Nous avons répertoriées 98 entreprises incluant les 32 Centre de la petite enfance et 22 coopératives de logement qui n’ont cependant pas été comptabilisé dans les données présentés. Nous les indiquons à titre informatif. Outre les réseau des CPE, 66 entreprises ont été répertorié et nous avons les données complètes de 45 d’entre-elles, ce qui représente un échantillon représentatif.

  4. Nous vous présentons donc ce début de portrait des entreprises d’économie sociale en Mauricie en vous présentant les résultats de l’enquête qui a porté sur les dimensions suivantes de la réalité actuelle: • Les secteurs d’activités • Le nombre et les types d’entreprises • Le nombre d’emplois et le chiffre d’affaire • La réalité des réseaux sur le territoire • Le développement de l’économie sociale en Mauricie • L’impact économique de l’économie sociale • Les difficultés et les besoins des entreprises • L’impact social de l’économie sociale • Les questions et défis qui demeurent

  5. LES SECTEURS D’ACTIVITÉS • Les entreprises d’économie sociale du territoire de la Mauricie oeuvrent dans l’ensemble des secteurs d’activités économiques. Ainsi, on en retrouve dans le secteur primaire, celui de la transformation ainsi que dans le secteur des services. • Une tendance forte s’est cependant développée dans le secteur des services, surtout en milieu urbain. Les entreprises oeuvrent dans des secteurs très diversifiés tels; les services à la personne, à la famille, les services en santé et services sociaux, la culture, les loisirs, le secteur récréotouristique, l’éducation, l’environnement, les services de garde, les médias communautaires, l’habitation et l’insertion au travail. • Des tendances fortes ce sont cependant développées dans le secteur des service: • Les entreprises d’insertion et intégration au travail • Les services d’aide domestique • Les services à la personne • Le secteur récréotouristique

  6. LES SECTEURS D’ACTIVITÉS • Dans les zones semi-rurales et rurales, les activités économiques sont réparties dans un moins grand nombre de secteurs mais ils sont cependant concentrés dans certains secteurs Des tendances fortes se sont là encore développées dans ces zones entre autres dans les secteurs d’activités suivants: • Industrie forestière • Industrie du vêtement • Industrie récréotouristique • Environnement

  7. Tableau sur la répartition des secteurs d’activités sur le territoire de la Mauricie 98 entreprises incluant les CPE

  8. Nombre d’entreprises selon le territoire (98 entreprises incluant les CPE)

  9. Les types d’entreprises dans les territoires de la Mauricie • Mise à part le réseau des CPE, nous avons dénombré un plus grand nombre de coopératives que d’entreprises sans but lucratif sur l’ensemble du territoire et cela, sans prendre en compte les coopératives d’habitation qui sont en grand nombre dans Francheville. • La tendance forte qui se dégage marque un développement plus grand des coopératives dans les territoires de Maskinongé, de Mékinak, du Haut-St-Maurice et du Centre Mauricie. • La présence des OBNL quant est d’avantage marquée dans la zone de Francheville et surtout dans le secteur des services.

  10. Les types d’entreprises dans les territoires de la Mauricie • On retrouve des coopératives dans presque tous les secteurs de développement et partout sur le territoire. • Certains secteurs se sont développés seulement sous la forme juridique coopérative. C’est le cas du secteur forestier, celui de l’industrie du vêtement, des services aux entreprises, des services à la personne, des services publics. Le secteur récréotouristique et celui de l’habitation est également marqué par une forte présence de coopératives Certains secteurs se sont quant à eux, développés exclusivement sous forme juridique à but non lucratif (OBNL). C’est le cas plus précisément des secteurs d’activités suivants: les médias communautaires, les services de gardes, les entreprises dont la vocation est l’insertion à l’emploi, les ressourceries, les entreprises de services à la famille, les services de loisirs, le dépannage alimentaire.

  11. Répartition du type d’entreprises en Mauricie (98 ENTREPRISES INCLUANT LES CPE)

  12. Répartition des entreprises selon leur longévité(données disponibles sur 75 entreprises ) • Entreprises moins de 3 ans 7 • Entreprises de de 3 à 5 ans 5 • Entreprises de 6 à 10 ans 16 • Entreprises de 11 à 15 ans 2 • Entreprises de 16 à 20 ans 7 • Entreprises de plus de 20 ans 6 Les entreprises manquantes dans les données étant presque tous des coopératives existantes depuis longtemps.

  13. NOMBRE D’ENTREPRISES SELON LEUR STATUT JURIDIQUE 1 OBNL 3 COOPÉRATIVES 3 OBNL 2 COOPÉRATIVES Il existe aussi 22 coopératives d’habitation 2 OBNL 6 COOPÉRATIVES 98 E.S. 28 OBNL 14 COOPÉRATIVES 2 OBNL 5 COOPÉRATIVES

  14. Les secteurs en réseau • Le réseau des entreprises d’économie sociale en aide domestique La Mauricie compte 7 entreprises d’économie sociale en aide domestique Parmi elles quatre ont la forme juridique OBNL et trois sont des coopératives de solidarité. Elles embauchent 336 personnes à temps plein et partiel dont 90 % sont des femmes. Elles ont un chiffre d’affaire global de 5 000 000 $ et elles offrent des services à plus de 3 700 ménages. Malgré le fait que les entreprises en aide domestique sont regroupés en réseau sectoriel et bénéficient du soutien de l’état, leur situation financière demeure précaire. La viabilité des entreprises est un enjeu majeur. Au fur et à mesure que les subventions diminuent la pression est forte pour aller vers un élargissement des services. Malgré tout, ce secteur permet à des centaines de femmes de trouver un emploi répondant à leur niveau de qualification tout en développant de nouvelles compétences.

  15. Les secteurs en réseau • Les Centres de la Petite enfances Le réseau est développé sur tout le territoire et compte 32 CPE qui embauchent à peu près 700 personnes majoritairement des femmes. Les CPE ont un chiffre d’affaire global de 26 millions. Malgré un financement plus soutenu de l’État et malgré une nette amélioration des conditions de travail en général, il reste que la situation financière des CPE demeure toujours précaires. Pour l’instant, l’entente sur trois ans assure une certaine pérénité qui pourrait être remise en question dans un prochain gouvernement. Le programme des place à contribution réduite à 5$ amenuise la mage de manœuvre du réseau car les Centres du réseau de la petite enfance ne peuvent exiger un montant supérieur à la contribution parentale fixée par le gouvernement et le financement de l’État quoique étant plus substantiel est fixé dans un cadre de réglementation très élaboré et restrictif. Également la jeune histoire de la dénomination des Centres de la petite enfance peut d’autant plus vivre une secousse quand il y aura la levée du moratoire retenant le développement des garderies à but lucratif. Secousse qui pourrait mettre en péril la notion même d’entreprises d’économie sociale.

  16. Les secteurs en réseau • Le réseau des ressourceries Le réseau des ressourcerie est un secteur qui s’est développé tout récemment dans notre région. 23 personnes y travaillent avec l’appui de 50 bénévoles. Les ressourceries travaillent dans le recyclage de produits domestiques et de produits dangereux, dans la récupération de vêtements et chiffons ainsi que dans la récupération de matière résiduelle. Le réseau des ressourceries intègre à leur mission la création et l’insertion à l’emploi. Ils ont un chiffre d’affaire global de près de 1 000 000$ et desservent près de 3 000 clients et clientes sur tout le territoire. Le défi de base du réseau outre la question du financement est celui de la formation de la main d’œuvre et de l’encadrement de la main d’œuvre. • Le groupe Concentra le Groupe Concentra regroupe 9 entreprises vouées à l’insertion et l’intégration travail des populations vivant des difficultés reliés à leur condition (handicap, déficience, santé mentale, etc). Le groupe CONCENTRA contribue au développement social et économique régional en fournissant du travail à plus de 300 personnes. Il génère un chiffre d’affaire global de plus de un million de dollars. Les entreprises oeuvrent dans plusieurs secteurs d’activité économique partout en mauricie.

  17. Une économie sociale en développement en Mauricie • UNE PROGRESSION DES ENTREPRISES ET DES SECTEURS Depuis la dernière enquête mené par le CRDM, on peut constater une économie sociale en développement sur le territoire. Une augmentation du nombre d’entreprises, une augmentation du nombre d’emplois, une augmentation du chiffre d’affaire et la présence de secteurs en développement. C’est le cas des ressourceries, des service de garde, des entreprises vouées à l’intégration et l’insertion au travail. • DES PROJETS EN ÉMERGENCE Le territoire couvre également des projets en latence et en émergence. À ce titre, notons le projet sur les « Emplois de solidarité » dans Francheville, les projets d’économie sociale qui sont à l’étape d’étude de marché dans le cadre les démarches de revitalisation des premiers quartiers de Trois-Rivières et Shawinigan, le développement des entreprises d’insertion ainsi que tous les projets d’expansion des entreprises actuelles. Le défi étant toujours le financement.

  18. IMPACT ÉCONOMIQUE SUR LE TERRITOIRE (données disponibles sur 77 entreprises ) 51 000 000 $ De revenus générés par les entreprises en économie sociales en Mauricie tous secteurs confondus. 1890 emplois dans les entreprises répondantes (dont 700 dans les CPE ) Dont 75% sont des emplois occupés par des femmes

  19. Répartition hommes femmes dans les emplois • Bien que la tendance forte pour les entreprises d’économie est de créer des emplois pour les femmes de la Mauricie, on peut constater que certains secteurs embauchent d’avantage d’hommes que de femmes . les secteur forestier et ces coopératives de travailleurs l’industrie du bois le secteur des ressourceries les entreprises d’insertion au travail les CPE les entreprises en aide domestique les loisirs la culture services santé et sociaux

  20. Impact économique des entreprises par secteurs d’activités • Certains secteurs génèrent plus de revenus que d’autres et ce pour plusieurs raisons dont le nombre, la taille des entreprises, le secteur d’activités. C’est le cas des Centre de la petite enfance, celui des entreprises en aide domestique, celui des entreprises d’insertion et celui des services à la personne, le secteur de l’industrie forestière. • Notons également que les revenus de certaines coopératives n’ont pas été comptabilisés par manque de données. C’est le cas de 16 d’entre-elles oeuvrant dans différents secteurs tels, le secteurs de l’industrie forestière et l’imprimerie, celui du service aux entreprises et du service à la personne, le secteur récréotouristique et l’insertion à l’emploi.

  21. Impact économique des entreprises par secteurs d’activités • Nous pouvons constater un écart considérable entre les revenus générés par les entreprises. Les plus petits revenus étant de 25 000 $ et les plus gros pouvant aller jusqu’à 6 millions. • Des facteurs à considérer dans l’écart des revenus: • La nature des services et le secteur d’activité • Le nombre de clientèle desservie • L’impact de la tarification • Le nombre d’années d’existence de l’entreprise

  22. Secteur primaire Secteur de la transformation Vêtement Meuble Imprimerie et secteurs connexes Secteur des services Dépannage alimentaire et autres Entrepirses Culture Santé et services sociaux Services à la personne, à la famille Récréotouristique, loisir Formation Médias communautaire Insertion, services domestiques CPE Insertion et ressourceries E.S en aide domestique 1 000 000 $ 1 100 000 $ 16 300 000 $ 26 000 000 $ 1 160 000 $ 5 000 000 $ Chiffres d’affaire par secteur économique (données disponbiles sur 77 entreprises )

  23. Impact économique des entreprises d’économie sociale • Des secteurs plus en difficultés que d’autres En dépit d’une croissance et d’un développement qui s’est effectué globalement, certaines entreprises ont du fermé boutique. C’est le cas de 6 d’entres-elles. Ces entreprises oeuvraient dans les secteurs de la récupération, des services à la personne, de l’industrie du vêtement. D’autres bien qu’elles soient toujours en activités éprouvent des difficultés importantes en regard de leur viabilité. Le secteur de l’industrie du bois et celui de l’industrie du vêtement, entres autres sont particulièrement fragiles. Pour des raisons fort différentes, ces secteurs doivent faire face à des difficultés de productivité, de concurrence dans le marché, de liquidité, de formation de la main d’œuvre et de gestion de la production et des services.

  24. Des difficultés traversent l’action en économie sociale • Financement: Toutes les entreprises répertoriées ont souligné les problèmes liés au financement. Certaines entreprises sont affectées par les problèmes liés au fonds de roulement entre autre dans l’industrie du bois, des vêtements, ressourcerie et des entreprises d’ insertion. Le financement pour le développement est une préoccupation des entreprises qui oeuvrent depuis plus de 3 ans ainsi que le manque de financement pour l’achat d’équipement. Besoins: • fonds de roulement, financement pour développement et achat d’équipement • financement pour consolidation des emplois

  25. Des difficultés traversent l’action en économie sociale • Les difficultés liés à la gestion de la production et la gestion humaine Pour un certain nombre d’entreprises, la gestion de la croissance se manifeste de plusieurs façons. Concilier la gestion de la production, les délais et les ressources humaines apparaissent un difficulté majeure. S’ajoute à ce portrait les difficultés liés au manque de liquidité pour fonctionner. S’ajoute à ces difficultés le manque de personnel salarié en soutien technique comme les postes en secrétariat, administration comptabilité, réception. Plusieurs entreprises en sont privés par manque de revenus, ce qui s’ajoute à la poussée des difficultés. La question de l’organisation de la production pour certains secteurs d’activités est une difficulté plus frappante (vêtement, bois, insertion ). Cette difficulté devient encore plus éloquente quand l’équipement fait défaut ou est en carence. La situation est différentes pour d’autres secteurs d’avantage lié au service qui sont au prise avec des problèmes liés à la gestion humaine. Gestion de conflit, gestion de la vie associative, gestion des services à la clientèle ont plusieurs fois été mentionné dans l’enquête. Besoins: • formation en gestion de personnel, formation du personnel d’encadrement • formation en organisation de la production • ajout de personnels compétents

  26. Des difficultés traversent l’action en économie sociale • Difficultés liés aux stratégies de développement Pour les entreprises qui ont traversé la phase de démarrage, la question du développement est au centre des préoccupations. Les entreprises ont fait mention du manque de connaissance lié au stratégie de mise en marché, de marketing, de stratégie de développement. Elles ont fait également mention des faiblesses à utiliser efficacement l’informatique dans leur stratégie. Elles disent manquer d’information et de connaissance en informatique de manière générale. Besoins: • Soutien technique: comptabilité, demande financière, plan de développement, stratégie marketing • Développement de l’informatique, équipement, formation, utilisation

  27. Des difficultés traversent l’action en économie sociale • Formation: La question de la formation se pose différemment d’une entreprise à l’autre. Pour les entreprises dont la mission est l’insertion à l’emploi des populations plus loin du marché du travail, les difficultés liés au compétence de la main d’œuvre sont plus criants. Plusieurs de ces entreprises ont également de la difficulté à trouver du personnel d’encadrement qualifié. Certaines entreprises oeuvrant dans des secteurs nécessitant une expertise spécifique ont mentionné la difficulté lié au manque de formation des employés Besoin: • formation de la main d’œuvre spécifique au secteur d’activité et recrutement de main d’oeuvre • formation des intervenants et du personnel d’encadrement • formation spécialisée (programme de formation instauré dans des domaines précis selon le secteur d’activité de l’entreprise

  28. Des difficultés traversent l’action en économie sociale Quelques constats Pour le secteur primaire et celui de la transformation, c’est-à-dire, l’industrie de la forêt, du bois, du vêtement, de l’imprimerie: la gestion de la production, le développement des marché et l’important besoin de fond de roulement sont là des difficultés majeures Pour le secteur des services, les plus vieilles entreprises ont des difficultés liés : au développement, au renouvellement de l’équipement ainsi qu’en terme de formation technique (comptabilité, administration, informatique) Pour les plus jeunes entreprises les défis sont de l’ordre de: la formation de la main d’œuvre et du personnel, la gestion des ressources humaines, les besoins de personnels.

  29. Malgré tout, des projets d’expansion • Malgré les difficultés que les entreprises rencontres, malgré les limites financières qui diminuent le rythme de leur croissance, toutes les entreprises répertoriées ont des intentions d’expansion. Leur projet d’expansion prend plusieurs voies: • Agrandissement et rénovation de locaux • Développement de marché et de services • Projet d’échange et de réseautage • Mise en place de nouveaux projet, de points de services • Création de nouveaux emplois • Développement de clientèle • Perfectionnement et renouvellement d’équipement

  30. Impact social des entreprises d’économie sociale • Les entreprises d’économie sociale contribuent au développement social, à la lutte à la pauvreté et à l’exclusion en Mauricie par les missions qui les ont fait naître. À ce titre, les entreprises ont autant de mission que de réponse aux besoins exprimés par la population: • Création d’emplois durables; • Promotion de valeurs de solidarité, de justice, d’équité, de non violence, de démocratie, de respect de l’environnement; • Participation citoyenne; • Éducation , formation, sensibilisation , information • Accessibilité aux services (services domestiques, loisirs, consommation, à la culture, éducation, etc); • intégration à l’emploi des population en difficultés (personnes peu scolarisées, santé mentale, déficience , handicap, problèmes sociaux divers);

  31. Impact social des entreprises d’économie sociale • Les entreprises d’économie sociale contribuent au développement social, à la lutte à la pauvreté et à l’exclusion en Mauricie par la présence des centaines de personnes qui s’impliquent bénévolement et à titre d’administrateurs et administratrices dans les différentes entreprises. Sans leur présence, plusieurs organisations ne tiendra pas la route. • En Mauricie, cela représente pour les entreprises répertoriés, plus de 1000 personnes qui donnent temps, énergie, compétences au développement social et économique de notre région. • L’économie sociale est également un important levier d’action pour les femmes. Par le développement de l’économie sociale, les femmes ont montré leur capacité de développement entrepreunariale et l’importance de leur apport dans le développement social et économique de la Mauricie. Leur importante présence dans tous les secteurs en témoigne. Pour plusieurs d’entres-elles, l’économie sociale est une porte d’entrée sur le marché du travail, vers un réseau social, un projet de formation ou d’orientation professionnelle nouvelle.

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