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Soins infirmiers aux parkinsoniens Gallaratto Ghislaine r f rente du module de neurologie

Rappels sur la maladie de Parkinson . Donnes pidmiologiques : Prvalence en France : 100 000 patientsIncidence en France : 10 000 nouveaux cas/an. Rappels sur la maladie de Parkinson. Les Facteurs de risque : ge avancSexe masculinRace blanche caucasienneHabitat en zone rurale de pays in

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Soins infirmiers aux parkinsoniens Gallaratto Ghislaine r f rente du module de neurologie

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Presentation Transcript


    1. Soins infirmiers aux parkinsoniens Gallaratto Ghislaine référente du module de neurologie

    2. Rappels sur la maladie de Parkinson Données épidémiologiques : Prévalence en France : 100 000 patients Incidence en France : 10 000 nouveaux cas/an Qui est concerné par la maladie de Parkinson ? La maladie de Parkinson touche une personne sur 100 chez les plus de 60 ans Qui est concerné par la maladie de Parkinson ? La maladie de Parkinson touche une personne sur 100 chez les plus de 60 ans

    3. Rappels sur la maladie de Parkinson Les Facteurs de risque : Âge avancé Sexe masculin Race blanche caucasienne Habitat en zone rurale de pays industrialisé Exposition aux insecticides, pesticides, herbicides Consommation d’eau de source Absence de tabagisme Présence de cas familiaux Y a-t-il des facteurs de risque qui prédisposent à la maladie de Parkinson ? On est d’autant plus exposé à la maladie de parkinson Si on a un age avancé Si on est du sexe masculin Et de race blanche caucasienne Si on habite en zone rurale de pays industrialisé ce qui prédispose notamment à l’exposition ou à l’utilisation des pesticides, aux insecticides, herbicides et à l’eau de source Et si on ne fume pas (Absence de tabagisme)?Y a-t-il des facteurs de risque qui prédisposent à la maladie de Parkinson ? On est d’autant plus exposé à la maladie de parkinson Si on a un age avancé Si on est du sexe masculin Et de race blanche caucasienne Si on habite en zone rurale de pays industrialisé ce qui prédispose notamment à l’exposition ou à l’utilisation des pesticides, aux insecticides, herbicides et à l’eau de source Et si on ne fume pas (Absence de tabagisme)?

    4. Rappels sur la maladie de Parkinson Les Facteurs génétiques Des formes familiales autosomiques 10 % à 25 % de cas familiaux La maladie de Parkinson n’est pas héréditaire Mais il peut exister une prédisposition génétique La maladie de Parkinson n’est pas héréditaire Mais il peut exister une prédisposition génétique

    5. Rappels sur la maladie de Parkinson La Physiopathologie Dégénérescence des cellules dopaminergiques Diminution de sécrétion de dopamine ciblée sur les noyaux gris centraux qui sont Impliqués dans le contrôle et l’exécution des mouvements On dit que la maladie de Parkinson est une maladie dégénérative du système nerveux central. Elle est liée directement à la dégénérescence des cellules dopaminergiques situées dans le locus niger (une substance noire du noyau) dans la partie haute du tronc cérébral. Cette dégénérescence dont on ne connaît pas la cause (étiologie inconnue) va entraîner une diminution de la sécrétion de dopamine qui est un neurotransmetteur. La dopamine a pour cible les noyaux gris centraux qui sont impliqués dans le contrôle et l’exécution des mouvements, et la diminution voire l’absence de dopamine par entraîner un défaut de participation des noyaux gris dans l’exécution des mouvements. En résumé : la substance noire qui est petit noyau du cerveau est défectueuse et le cerveau ne produit plus assez de dopamine cette molécule étant nécessaire au contrôle des mouvements ce qui explique en grande partie les signes cliniques principaux de la maladie de Parkinson. On dit que la maladie de Parkinson est une maladie dégénérative du système nerveux central. Elle est liée directement à la dégénérescence des cellules dopaminergiques situées dans le locus niger (une substance noire du noyau) dans la partie haute du tronc cérébral. Cette dégénérescence dont on ne connaît pas la cause (étiologie inconnue) va entraîner une diminution de la sécrétion de dopamine qui est un neurotransmetteur. La dopamine a pour cible les noyaux gris centraux qui sont impliqués dans le contrôle et l’exécution des mouvements, et la diminution voire l’absence de dopamine par entraîner un défaut de participation des noyaux gris dans l’exécution des mouvements. En résumé : la substance noire qui est petit noyau du cerveau est défectueuse et le cerveau ne produit plus assez de dopamine cette molécule étant nécessaire au contrôle des mouvements ce qui explique en grande partie les signes cliniques principaux de la maladie de Parkinson.

    6. Rappels sur la maladie de Parkinson Les signes Tremblement de repos Akinésie ou Bradykinésie (lenteur des mouvements)? Hypertonie (rigidité des membres)? Quand on découvre les premiers signes cela est évocateur. La dopamine baisse progressivement et les symptômes ne sont pas visibles tout de suite. Il s’agit de trois signes caractéristiques qui sont Le tremblement de repos L’akinésie ou la bradykinésie L’hypertonie on dit que La maladie de Parkinson est caractérisée par un syndrome extra pyramidal (et non pas pyramidal)., Quand on découvre les premiers signes cela est évocateur. La dopamine baisse progressivement et les symptômes ne sont pas visibles tout de suite. Il s’agit de trois signes caractéristiques qui sont Le tremblement de repos L’akinésie ou la bradykinésie L’hypertonie on dit que La maladie de Parkinson est caractérisée par un syndrome extra pyramidal (et non pas pyramidal).,

    7. Rappels sur la maladie de Parkinson Les signes Tremblement de repos S’atténue dans le geste Prédomine aux extrémités Ne touche pas la tête, mais la bouche Est intermittent Disparaît pendant le sommeil Le tremblement de repos C’est un tremblement qui disparaît ou s’atténue dans le geste, Il est surtout distal, c’est-à-dire qu’il prédomine aux extrémités main, pied, mais touche surtout les membres supérieurs Il s’agit d’un mouvement d’émiettement avec les doigts Le tremblement n e touche pas la tête, mais la bouche avec les muscles péribuccaux, Au début est intermittent Disparaît pendant le sommeil Le tremblement de repos C’est un tremblement qui disparaît ou s’atténue dans le geste, Il est surtout distal, c’est-à-dire qu’il prédomine aux extrémités main, pied, mais touche surtout les membres supérieurs Il s’agit d’un mouvement d’émiettement avec les doigts Le tremblement n e touche pas la tête, mais la bouche avec les muscles péribuccaux, Au début est intermittent Disparaît pendant le sommeil

    8. Rappels sur la maladie de Parkinson Les signes Akinésie ou Bradykinésie (lenteur des mouvements)? Un Ralentissement des mouvements Une rareté des mouvements Expression gestuelle appauvrie Maladresse Piétinement : le freezing amimie L’akinésie ou plutôt la bradykinésie c’est-à-dire la lenteur des mouvements est le 2ème signe. C’est un défaut d’initiation des mouvements automatiques et volontaires. On constate : Ralentissement des mouvements Rareté des mouvement, avec une expression gestuelle appauvrie Maladresse dans les mouvements  Un piétinement : le freezing (qui correspond à l’incapacité transitoire à passer le pas) Chaque acte, ou geste simple pose un problème au patient malgré sa volonté de le réaliser. Au niveau de la face, l’amimie est caractérisée par la rareté des clignements de paupières et la mimique d’expression. L’akinésie ou plutôt la bradykinésie c’est-à-dire la lenteur des mouvements est le 2ème signe. C’est un défaut d’initiation des mouvements automatiques et volontaires. On constate : Ralentissement des mouvements Rareté des mouvement, avec une expression gestuelle appauvrie Maladresse dans les mouvements  Un piétinement : le freezing (qui correspond à l’incapacité transitoire à passer le pas) Chaque acte, ou geste simple pose un problème au patient malgré sa volonté de le réaliser. Au niveau de la face, l’amimie est caractérisée par la rareté des clignements de paupières et la mimique d’expression.

    9. Rappels sur la maladie de Parkinson Les signes Hypertonie (rigidité des membres)? Est dite « Plastique » (roue dentée)? Le patient est figé Se déplace en bloc Flexion des avant-bras Antéflexion de la tête sur le tronc Le patient paraît figé Il se déplace en bloc Il a une attitude générale avec flexion des avant bras Antéflexion de la tête et du tronc Il existe une tendance à la rétropulsion (RPM) le patient à une attitude qui part vers l’arrière, il existe un risque de chute dans cette position Ces signes caractéristiques s’observent dans plusieurs circonstances : L’attitude debout, l’attitude en flexion du tronc, de la nuque et des membres La marche avec une difficulté de démarrage, marche à petits pas rapides, en déséquilibre, avec diminution du ballant du bras Modification de l’écriture : micrographie c’est à dire diminution progressive de la taille des lettres au fur et à mesure que le patient écrit La modification de la voix, dysarthrie avec voix monotone L’hypertonie que l’on qualifie de plastique qui résiste aux mouvements et cède par à-coups, on parle du signe de la roue dentée. Elle est différente de l’hypertonie élastique ou spastique du syndrome pyramidal dans les hémiplégie où le membre revient dans la position initiale une fois étiré. Elle se traduit par la rigidité des membres.Le patient paraît figé Il se déplace en bloc Il a une attitude générale avec flexion des avant bras Antéflexion de la tête et du tronc Il existe une tendance à la rétropulsion (RPM) le patient à une attitude qui part vers l’arrière, il existe un risque de chute dans cette position Ces signes caractéristiques s’observent dans plusieurs circonstances : L’attitude debout, l’attitude en flexion du tronc, de la nuque et des membres La marche avec une difficulté de démarrage, marche à petits pas rapides, en déséquilibre, avec diminution du ballant du bras Modification de l’écriture : micrographie c’est à dire diminution progressive de la taille des lettres au fur et à mesure que le patient écrit La modification de la voix, dysarthrie avec voix monotone L’hypertonie que l’on qualifie de plastique qui résiste aux mouvements et cède par à-coups, on parle du signe de la roue dentée. Elle est différente de l’hypertonie élastique ou spastique du syndrome pyramidal dans les hémiplégie où le membre revient dans la position initiale une fois étiré. Elle se traduit par la rigidité des membres.

    10. Rappels sur la maladie de Parkinson Les signes associés Hypersialorrhée Sécrétions sébacées augmentées Vessie hyperactive Humeur dépressive T.O.C. Désinhibition démence Des signes associés peuvent être observés : comme des Troubles de la salivation (hypersialorrhée)? une Augmentation des sécrétions sébacées des Troubles vésico-sphinctériens avec une vessie hyperactive Des Troubles neuropsychologiques : avec une Humeur souvent dépressive avec des capacités intellectuelles conservées (intelligence est concervée) sauf au stade tardif de la maladie qui est caractérisé essentiellement par un ralentissement psychique (bradypsychie). Des T.O.C. (troubles obessionnels compulsifs)? une Désinhibition Une démence d’Alzheimer peut être associée à la maladie de Parkinson dans un stade tardifDes signes associés peuvent être observés : comme des Troubles de la salivation (hypersialorrhée)? une Augmentation des sécrétions sébacées des Troubles vésico-sphinctériens avec une vessie hyperactive Des Troubles neuropsychologiques : avec une Humeur souvent dépressive avec des capacités intellectuelles conservées (intelligence est concervée) sauf au stade tardif de la maladie qui est caractérisé essentiellement par un ralentissement psychique (bradypsychie). Des T.O.C. (troubles obessionnels compulsifs)? une Désinhibition Une démence d’Alzheimer peut être associée à la maladie de Parkinson dans un stade tardif

    11. Objectif des soins infirmiers Soins de suppléance dans les A.V.Q soins éducatifs auprès du patient et de la famille Soins de soutien et d'écoute du patient et de la famille Mise en oeuvre, surveillance et éducation autour du traitement Dès lors on se rend bien compte que ces signes vont être à l'origine des problèmes rencontrés au quotidien par le parkinsonnien. et Les soins infirmiers auront pour but de prendre en charge, ou de limiter les effets des signes de la maladie de Parkinson. Il s'agira de : Mettre en œuvre des soins de suppléance au niveau des actes de la vie quotidienne de mettre en œuvre des soins éducatifs ainsi que des soins de soutien et d’écoute auprès de la famille et du patient Un axe important sera la surveillance du traitement , pour évaluer son efficacité, sa tolérance, repérer les troubles liés aux effets secondaires et éduquer le patient et l'entourage.Dès lors on se rend bien compte que ces signes vont être à l'origine des problèmes rencontrés au quotidien par le parkinsonnien.Dès lors on se rend bien compte que ces signes vont être à l'origine des problèmes rencontrés au quotidien par le parkinsonnien. et Les soins infirmiers auront pour but de prendre en charge, ou de limiter les effets des signes de la maladie de Parkinson. Il s'agira de : Mettre en œuvre des soins de suppléance au niveau des actes de la vie quotidienne de mettre en œuvre des soins éducatifs ainsi que des soins de soutien et d’écoute auprès de la famille et du patient Un axe important sera la surveillance du traitement , pour évaluer son efficacité, sa tolérance, repérer les troubles liés aux effets secondaires et éduquer le patient et l'entourage.Dès lors on se rend bien compte que ces signes vont être à l'origine des problèmes rencontrés au quotidien par le parkinsonnien.

    12. Incapacité à effectuer ses soins d'hygiene liée au tremblement, à la rigidité, et la bradikynésie Suppléance totale ou partielle dans les soins d'hygiène Aide au rasage, maquillage Au brossage des dents Pour se laver le dos, les pieds.... pour s'habiller Proposer des habits adaptés (préhension fine atteinte)? Mais laisser le faire ce qu'il peut pour entrenir la gestualité Chez un parkinsonnien, les problèmes commencent par la difficulté à effectuer ses soins d’hygiène et à s’habiller car Il a des problèmes dans les gestes nécessitant une préhension fine, ou une certaine adresse : on peut donc poser le DI de Incapacité à effectuer ses soins d'hygiène liée au tremblement, à la rigidité et la bradikynésie et se manifestant par des difficultés à à se raser quand il s'agit d'un homme ou à A se maquiller quand c'est une femme A se brosser les dents Peut être à se laver les pieds Le dos il présentera des Difficultés à lacer ses chaussures Nouer une cravate Boutonner une chemise Soins  : conseils, aide et suppléance L’infirmière devra donc veiller avec l’aide soignante à ce que : Le patient soit aidé pour ces actes (rasage, maquillage, habillage), en tenant compte de ses possibilités Les soins d’hygiène ne sont pas à négliger en raison de la transpiration et l’hypersialorrhée importante donc toilette minutieuse il faudra lui proposer des habits adaptés comme des basket avec scratch, pull en V, vêtements amples, la préparation des chaussettes…….. Il faudra laisser le patient faire un peu dans le but d'entretenir sa gestualité L’infirmière devra l'encourager à pratiquer des mouvements d’entretien journalier, en travaillant en relais avec la kinésithérapeute et/ou l’ergothérapeute Chez un parkinsonnien, les problèmes commencent par la difficulté à effectuer ses soins d’hygiène et à s’habiller car Il a des problèmes dans les gestes nécessitant une préhension fine, ou une certaine adresse : on peut donc poser le DI de Incapacité à effectuer ses soins d'hygiène liée au tremblement, à la rigidité et la bradikynésie et se manifestant par des difficultés à à se raser quand il s'agit d'un homme ou à A se maquiller quand c'est une femme A se brosser les dents Peut être à se laver les pieds Le dos il présentera des Difficultés à lacer ses chaussures Nouer une cravate Boutonner une chemise Soins  : conseils, aide et suppléance L’infirmière devra donc veiller avec l’aide soignante à ce que : Le patient soit aidé pour ces actes (rasage, maquillage, habillage), en tenant compte de ses possibilités Les soins d’hygiène ne sont pas à négliger en raison de la transpiration et l’hypersialorrhée importante donc toilette minutieuse il faudra lui proposer des habits adaptés comme des basket avec scratch, pull en V, vêtements amples, la préparation des chaussettes…….. Il faudra laisser le patient faire un peu dans le but d'entretenir sa gestualité L’infirmière devra l'encourager à pratiquer des mouvements d’entretien journalier, en travaillant en relais avec la kinésithérapeute et/ou l’ergothérapeute

    13. Incapacité partielle à s'alimenter liée au tremblement, à la rigidité, et la bradikynésie entrainant un déficit nutritionnel Suppléance partielle ou totale pour l'alimentation Prévoir des repas enrichis, et des encas Favoriser les apports hydriques (verre avec paille)? Aider pour couper la viande ou pour servir l'eau Et pour manger en fin de repas Rechauffer le repas si besoin Pesée hebdomadaire Dédramatiser la situation Le patient présente souvent une incapacité à s’alimenter correctement Manifestations : en raison de ses dyskinésies l’action de porter une fourchette à la bouche présente une réelle difficulté il en est de même pour couper la viande se servir à boire maladroit il éprouve des difficultés à s’alimenter proprement la grande lenteur pour manger à comme conséquence l’anorexie qui conduit souvent à une dénutrition mais aussi au découragement à l’inconfort du au refroidissement des repas au bout du compte, cette lenteur à manger constitue un frein aux repas pris en société Soins : au cours de l’hospitalisation Prévoir des repas adaptés, (Intervention d’une diététicienne) et enrichis en fibres (le risque de constipation est quasi permanent), et plutôt hyper caloriques Prévoir des encas Eviter le risque de déshydratation en favorisant les apports hydriques, proposer une paille dans le verre pour que le patient ait une relative autonomie pour boire Le patient doit être aidé pour couper la viande, pour servir l’eau, ou même pour porter une fourchette ou une cueillere à la bouche en fin de repas Il est nécessaire de dédramatiser la situation Le repas sera réchauffé s’il y a lieu une Pesée hebdomadaire sera effectuée pour suivre l’évolution d’un amaigrissement, qui peut être majoré par les effets secondaires du traitement en particulier les nausées et ou vomissements. Le patient présente souvent une incapacité à s’alimenter correctement Manifestations : en raison de ses dyskinésies l’action de porter une fourchette à la bouche présente une réelle difficulté il en est de même pour couper la viande se servir à boire maladroit il éprouve des difficultés à s’alimenter proprement la grande lenteur pour manger à comme conséquence l’anorexie qui conduit souvent à une dénutrition mais aussi au découragement à l’inconfort du au refroidissement des repas au bout du compte, cette lenteur à manger constitue un frein aux repas pris en société Soins : au cours de l’hospitalisation Prévoir des repas adaptés, (Intervention d’une diététicienne) et enrichis en fibres (le risque de constipation est quasi permanent), et plutôt hyper caloriques Prévoir des encas Eviter le risque de déshydratation en favorisant les apports hydriques, proposer une paille dans le verre pour que le patient ait une relative autonomie pour boire Le patient doit être aidé pour couper la viande, pour servir l’eau, ou même pour porter une fourchette ou une cueillere à la bouche en fin de repas Il est nécessaire de dédramatiser la situation Le repas sera réchauffé s’il y a lieu une Pesée hebdomadaire sera effectuée pour suivre l’évolution d’un amaigrissement, qui peut être majoré par les effets secondaires du traitement en particulier les nausées et ou vomissements.

    14. Favoriser la prise en charge efficace du programme thérapeutique Soins éducatifs du patient et des proches concernant l'alimentation Couper la viande à l'avance Préchauffer les assiettes Menus hypercaloriques, en petite quantité Encas à base de laitage Favoriser l'hydratation Proposer l'intervention de la diététicienne Dans le but de préparer la sortie, et de favoriser une stratégie d’adaptation familiale efficace ainsi qu’une prise en charge efficace du programme thérapeutique par le patient. Soins : L’infirmière mettra en œuvre des soins éducatifs auprès du patient et la famille et visant tous les besoins perturbés et en particulier concernant l'alimentation Conseils concernant l’alimentation : A la sortie : Conseils au conjoint : Couper les viandes à l’avance Préchauffer les assiettes Composer des menus enrichis de façon à ne pas proposer de quantité trop importante : exemple soupe enrichie protéines, fromages, beurre etc…. Proposer des encas à base de laitage,… l'alimentation morcellée favorise la prise alimentaire, et permet moins de fatigue Favoriser l’hydratation du patient Proposer l’intervention d’une diététicienne pour conseils adaptés Dans le but de préparer la sortie, et de favoriser une stratégie d’adaptation familiale efficace ainsi qu’une prise en charge efficace du programme thérapeutique par le patient. Soins : L’infirmière mettra en œuvre des soins éducatifs auprès du patient et la famille et visant tous les besoins perturbés et en particulier concernant l'alimentation Conseils concernant l’alimentation : A la sortie : Conseils au conjoint : Couper les viandes à l’avance Préchauffer les assiettes Composer des menus enrichis de façon à ne pas proposer de quantité trop importante : exemple soupe enrichie protéines, fromages, beurre etc…. Proposer des encas à base de laitage,… l'alimentation morcellée favorise la prise alimentaire, et permet moins de fatigue Favoriser l’hydratation du patient Proposer l’intervention d’une diététicienne pour conseils adaptés

    15. Diagnostics, Soins infirmiers, surveillance et éducation Risque de constipation Surveiller les selles Donner des laxatifs doux Une alimentation riche en fibres Risque d'infection urinaire Veiller à l'hydratation (verre plein)? Noter polyuries, et pollakiuries Sonnette et urinal près du patient Le patient présente un risque de constipation quasi permanent qui est due au manque d’activité Aux effets secondaires du traitement Soins : il faut donc régulièrement contrôler la fonction intestinale Surveiller les selles donner au patient des laxatifs doux Une alimentation riche en fibre Le patient présente aussi un risque d’infection urinaire en raison des troubles vésicaux sphinctériens notamment une vessie hyperactive Il est donc important de veiller au risque de déshydratation Laisser toujours un verre plein avec une paille Noter les polyuries et pollakiuries Laisser à porter de main l’urinal et la sonnette pendant l'hospitalisation, les conseils d'hygiène de vie viseront les mêmes axes auprès du patient et des proches.Le patient présente un risque de constipation quasi permanent qui est due au manque d’activité Aux effets secondaires du traitement Soins : il faut donc régulièrement contrôler la fonction intestinale Surveiller les selles donner au patient des laxatifs doux Une alimentation riche en fibre Le patient présente aussi un risque d’infection urinaire en raison des troubles vésicaux sphinctériens notamment une vessie hyperactive Il est donc important de veiller au risque de déshydratation Laisser toujours un verre plein avec une paille Noter les polyuries et pollakiuries Laisser à porter de main l’urinal et la sonnette pendant l'hospitalisation, les conseils d'hygiène de vie viseront les mêmes axes auprès du patient et des proches.

    16. Altération de la mobilité physique et risque de chute liés à une mauvaise adaptation posturale et aux troubles de l'équilibre Relais avec le kinésithérapeute Encourager le patient à marcher Entretenir une activité physique régulière Limiter les risques avec la main courante S'adapter aux possibilités du patient, fauteuil à proximité Le patient présente une altération dela mobilité physique et il existe un risque de chute l lié à la mauvaise adaptation posturale et aux troubles de l’équilibre qui se manifeste par une Marche à petits pas, sans balancement des bras et déséquilibrée une tendance à partir vers l’arrière en marchant (rétropulsion)? ou au contraire un déséquilibre vers l’avant : (festination) on dit que le patient cours après son centre de gravité cela se manifeste aussi par une incapacité à ne pas effectuer totalement ses transferts, ou être gêné pour se lever d’un siège, ou sortir d’une voiture Tous les gestes doivent être précédés d’un effort important Le patient à des difficultés à « démarrer » on observe le phénomène du freezing qui correspond à l’incapacité transitoire de passer le pas. Soins : Il est important que l’infirmière travaille en relais avec la kinésithérapeute, pour encourager le patient à marcher, et à entretenir une certaine activité physique régulière et cela avec la famille et faire des exercices réguliers pour le souffle, la voix, les muscles du visage et les étirements apris en kinésithérapie il faudra limiter les risques de chutes en accompagnant le patient, en le faisant tenir à une main courante, voir si possibilité d’installation à domicile il faudra s’adapter à la fatigabilité, et aux possibilités du patient, le suivre avec un fauteuil roulant par exempleLe patient présente une altération dela mobilité physique et il existe un risque de chute l lié à la mauvaise adaptation posturale et aux troubles de l’équilibre qui se manifeste par une Marche à petits pas, sans balancement des bras et déséquilibrée une tendance à partir vers l’arrière en marchant (rétropulsion)? ou au contraire un déséquilibre vers l’avant : (festination) on dit que le patient cours après son centre de gravité cela se manifeste aussi par une incapacité à ne pas effectuer totalement ses transferts, ou être gêné pour se lever d’un siège, ou sortir d’une voiture Tous les gestes doivent être précédés d’un effort important Le patient à des difficultés à « démarrer » on observe le phénomène du freezing qui correspond à l’incapacité transitoire de passer le pas. Soins : Il est important que l’infirmière travaille en relais avec la kinésithérapeute, pour encourager le patient à marcher, et à entretenir une certaine activité physique régulière et cela avec la famille et faire des exercices réguliers pour le souffle, la voix, les muscles du visage et les étirements apris en kinésithérapie il faudra limiter les risques de chutes en accompagnant le patient, en le faisant tenir à une main courante, voir si possibilité d’installation à domicile il faudra s’adapter à la fatigabilité, et aux possibilités du patient, le suivre avec un fauteuil roulant par exemple

    17. Soins éducatifs : Organiser le domicile pour faciliter la vie courante et limiter le risque de chutes Cuisine : rangement accessible des ustensiles, vaisselle peu fragile et de prise aisée Salon : espace suffisant, rangement accessible et précis, fauteuil avec accoudoirs Chambre : armoire coulissante, large poignée, vétements rangés, pas de tapis Bureau : espace de travail et lumière suffisants Salle de bain : main courante et tapis antidérapant, armoire accessible Conseils concernant la mobilité physique il faudra donner des conseils éducatifs concernant la motricité en vue de la sortie pour organiser ou aménager le domicile afin de faciliter la vie courrante augmenter le confort au domicile et diminuer les chutes mais il s'agit aussi d'entretienir la mobilité physique pour limiter les ankyloses et favoriser l'autonomie organisation du domicile : Dans la cuisine conseiller le rangement d'ustensiles à usage fréquent de façon accessible, et l'utilisation d'une vaisselle peu fragile et de prise aisée par exemple des assiettes à large base, à bord hauts, de verres larges et lourds....)? Aménager le salon de façon à avoir un espace suffisant, des lieux de rangements accessibles, des rangements précis pour la télécommande par exemple qui doit être à grosses touches, prévoir un fauteuil avec accoudoirs et assez haut. Dans la chambre, une armoire coulissante, des poignées larges, des vêtements rangés pas de tapis car risque de chute Le bureau l'espace de travail doit être suffisant et bien éclairé La salle de bain doit comporter une main courante, un tapis anti dérapant dans la baignoire qui peut être aménagée avec une assise, une armoire accessible dans le champ de vision du patient Conseils concernant la mobilité physique il faudra donner des conseils éducatifs concernant la motricité en vue de la sortie pour organiser ou aménager le domicile afin de faciliter la vie courrante augmenter le confort au domicile et diminuer les chutes mais il s'agit aussi d'entretienir la mobilité physique pour limiter les ankyloses et favoriser l'autonomie organisation du domicile : Dans la cuisine conseiller le rangement d'ustensiles à usage fréquent de façon accessible, et l'utilisation d'une vaisselle peu fragile et de prise aisée par exemple des assiettes à large base, à bord hauts, de verres larges et lourds....)? Aménager le salon de façon à avoir un espace suffisant, des lieux de rangements accessibles, des rangements précis pour la télécommande par exemple qui doit être à grosses touches, prévoir un fauteuil avec accoudoirs et assez haut. Dans la chambre, une armoire coulissante, des poignées larges, des vêtements rangés pas de tapis car risque de chute Le bureau l'espace de travail doit être suffisant et bien éclairé La salle de bain doit comporter une main courante, un tapis anti dérapant dans la baignoire qui peut être aménagée avec une assise, une armoire accessible dans le champ de vision du patient

    18. Soins éducatifs : Améliorer la motricité pour favoriser l'autonomie S'habiller : vêtements amples à fermetures faciles Pratiquer une activité physique plusieurs fois par semaine Prendre des pauses, et des temps de repos Marcher avec une canne en T pour initier le 1er pas Se lever et s'asseoir selon les techniques apprises Écrire sur du papier avec lignes, et gros stylos, s'arrêter après chaque phrase pour éviter la micrographie Bien dormir avec des vêtements et des draps glissants pour faciliter le mouvement, éviter les activités trop stimulantes justes avant le coucher Les conseils porteront aussi sur l'amélioration de la motricité concernant les actes de la vie quotidienne et ceci en relais avec le kinésithérapeute l'objectif est de limiter les ankyloses et de favoriser l'autonomie. Pour s'habiller, conseiller des vêtements amples, avecfermetures éclair et gros boutons, rappeler l'interêt de pratiquer une activité physique qui compense la réduction de la motricité causée par l'akinésie et la raideur. Cette activité physique est à répartir plusieurs fois par semaine. Il pourra s'agir de vélo quand les complications ne sont pas trop importantes, de natation, de marche à vitesse soutenue se faire accompagner pour garder le rythme mais il faudra aussi que le patient prenne des pauses en organisant son emploi du temps pour éviter la fatigue et le découragement, il devra prendre des temps de repos avec des sieste, des activités de détentes (lecture, musique) aprés chaque activité comme la toilette, l'habillage, le repas ou les courses. Pour marcher il devra utliser une canne en T pour initier le premier pas rappelez vous du freezing en cas de blocage au démarage ou franchir les obstacles commes les trottoirs, porter des chaussures antidérapantes. Pour les transfers lui recommander d'appliquer les techniques apprises avec le kiné pour se lever « propulser le corps en avant », pour s'assoir tourner entièrement le dos vers l'assise, s'aider des accoudoirs, se fléchir d'abord vers l'avant, puis fléchir les membres inférieurs pour descendre verticalement pour écrire, le faire sur du papier avec des lignes, avec des stylos à gros corps pour une meilleure lisibilité, s'arrêter après chaque phrase pour éviter la réduction progressive de l'écriture(rappeler vous un des signes associés qui est la micrographie)? enfin pour bien se mobiliser il faut bien dormir, et avoir une literie adapté des draps et des vêtements glissant pour faciliter le mouvement, juste avant le coucher éviter des activités trop stimulantes, éviter les films violentsLes conseils porteront aussi sur l'amélioration de la motricité concernant les actes de la vie quotidienne et ceci en relais avec le kinésithérapeute l'objectif est de limiter les ankyloses et de favoriser l'autonomie. Pour s'habiller, conseiller des vêtements amples, avecfermetures éclair et gros boutons, rappeler l'interêt de pratiquer une activité physique qui compense la réduction de la motricité causée par l'akinésie et la raideur. Cette activité physique est à répartir plusieurs fois par semaine. Il pourra s'agir de vélo quand les complications ne sont pas trop importantes, de natation, de marche à vitesse soutenue se faire accompagner pour garder le rythme mais il faudra aussi que le patient prenne des pauses en organisant son emploi du temps pour éviter la fatigue et le découragement, il devra prendre des temps de repos avec des sieste, des activités de détentes (lecture, musique) aprés chaque activité comme la toilette, l'habillage, le repas ou les courses. Pour marcher il devra utliser une canne en T pour initier le premier pas rappelez vous du freezing en cas de blocage au démarage ou franchir les obstacles commes les trottoirs, porter des chaussures antidérapantes. Pour les transfers lui recommander d'appliquer les techniques apprises avec le kiné pour se lever « propulser le corps en avant », pour s'assoir tourner entièrement le dos vers l'assise, s'aider des accoudoirs, se fléchir d'abord vers l'avant, puis fléchir les membres inférieurs pour descendre verticalement pour écrire, le faire sur du papier avec des lignes, avec des stylos à gros corps pour une meilleure lisibilité, s'arrêter après chaque phrase pour éviter la réduction progressive de l'écriture(rappeler vous un des signes associés qui est la micrographie)? enfin pour bien se mobiliser il faut bien dormir, et avoir une literie adapté des draps et des vêtements glissant pour faciliter le mouvement, juste avant le coucher éviter des activités trop stimulantes, éviter les films violents

    19. Perturbation des habitudes de sommeil Des soins de relaxation Des traitements médicamenteux Une mise en condition pour la nuit Quand le patient est couché veiller à ce que la tête touche l’oreiller (l’antéflexion de la tête)? En effetle patient peut présenter une perturbation des habitudes du sommeil liée à une humeur dépressive, à l'inconfort lié à la rigidité qui peut être prise en charge par des soins de relaxation des traitements médicamenteux une mise en condition pour la nuit Quand le patient est couché, l’antéflexion de la tête sur le tronc peut donner une impression de faux repos ; il faudra donc que l’infirmière veille à ce que la tête touche l’oreillerEn effetle patient peut présenter une perturbation des habitudes du sommeil liée à une humeur dépressive, à l'inconfort lié à la rigidité qui peut être prise en charge par des soins de relaxation des traitements médicamenteux une mise en condition pour la nuit Quand le patient est couché, l’antéflexion de la tête sur le tronc peut donner une impression de faux repos ; il faudra donc que l’infirmière veille à ce que la tête touche l’oreiller

    20. Soins de soutien et d'écoute Perte de l'estime de soi lié à l'incapacité à satisfaire ses besoins de base Dédramatiser, proposer des stratégies de PEC familiales Altération de la communication verbale liée à l'hypertonie faciale Prendre le temps pour laisser s'exprimer le patient Faire preuve d'attention pour le comprendre Encourager la famille pour faire de même Perte d'espoir ou sentiment d'impuissance lié à la progression inéluctable de la maladie Écoute du patient et ses proches, suivi d'un psychologue antidépresseurs Le patient peut présenter une perte de l’estime de soi lié a ses incapacités à satisfaire ses besoins de base (toilette, alimentation, marche) et se manifestant par un certain repli sur soi, le fait de ne plus vouloir prendre ses repas en société, de ne plus vouloir sortir pour ne pas gêner…… il est alors important de dédramatiser la situation et de proposer des stratégies de prise en charge familiale (il s’agit principalement de conseils d’éducation visant à faciliter la prise en charge et à améliorer le confort du patient, conseils alimentaires, pour la toilette une tierce personne….). le patient présente une altération de la communication verbale liée à l'hypertonie faciale manifestations l’hypertonie fait apparaître le patient comme figé, triste, donc peu engageant en société sa voix devient monocorde et faible, le débit est rapide, cela entrave la compréhension, et est peu agréable le mode d’expression écrit se modifie, jusqu’à devenir illisible ; c’est une micrographie Soins : L’infirmière devra prendre le temps pour laisser le patient s’exprimer Faire preuve d’attention pour le comprendre et encourager la famille à faire la même chose. Le patient peut présenter une perte d’espoirou un sentiment d'impuissance lié à la progression inéluctable de la maladie entraînant des chutes, une perte d’autonomie importante, à la diminution de l’efficacité du traitement se manifestant par un état dépressif majeur, par une perturbation de la qualité des relations familiales Soins : Le rôle d’écoute de l’infirmière est important au niveau du patient ou de la famille Un psychologue peut intervenir à ce stade pour aider patient et famille Des antidépresseurs peuvent être prescrits Le patient peut présenter une perte de l’estime de soi lié a ses incapacités à satisfaire ses besoins de base (toilette, alimentation, marche) et se manifestant par un certain repli sur soi, le fait de ne plus vouloir prendre ses repas en société, de ne plus vouloir sortir pour ne pas gêner…… il est alors important de dédramatiser la situation et de proposer des stratégies de prise en charge familiale (il s’agit principalement de conseils d’éducation visant à faciliter la prise en charge et à améliorer le confort du patient, conseils alimentaires, pour la toilette une tierce personne….). le patient présente une altération de la communication verbale liée à l'hypertonie faciale manifestations l’hypertonie fait apparaître le patient comme figé, triste, donc peu engageant en société sa voix devient monocorde et faible, le débit est rapide, cela entrave la compréhension, et est peu agréable le mode d’expression écrit se modifie, jusqu’à devenir illisible ; c’est une micrographie Soins : L’infirmière devra prendre le temps pour laisser le patient s’exprimer Faire preuve d’attention pour le comprendre et encourager la famille à faire la même chose. Le patient peut présenter une perte d’espoirou un sentiment d'impuissance lié à la progression inéluctable de la maladie entraînant des chutes, une perte d’autonomie importante, à la diminution de l’efficacité du traitement se manifestant par un état dépressif majeur, par une perturbation de la qualité des relations familiales Soins : Le rôle d’écoute de l’infirmière est important au niveau du patient ou de la famille Un psychologue peut intervenir à ce stade pour aider patient et famille Des antidépresseurs peuvent être prescrits

    21. Autre axe clé des soins infirmiers : le traitement antiparkinsonien administration rigoureuse, surveillance : évaluation de l'efficacité, de la tolérance, et repérage des troubles liés aux effets secondaires éducation du patient de l'entourage : Conseils pour la prise médicamenteuse Aide à la reconnaissance des fluctuations pour les traiter Après la mise en œuvre des soins de suppléance au niveau des actes de la vie quotidienne, celle des soins éducatifs, ainsi que celle des soins de soutien et d’écoute auprès de la famille et du patient Un axe importantdes soins infirmiers sera le traitement : avec une administration rigoureuse sa surveillance, pour évaluer son efficacité, sa tolérance, et repérer les troubles liés aux effets secondaires et enfin l' éducartion du patient et de l'entourage avec 2 objectifs: Les conseils de base pour la prise médicamenteuse La reconnaissance des fluctuations motrices(à savoirs akinésies et dyskinésies), ainsi que les fluctuations non motrices pour les traiter Après la mise en œuvre des soins de suppléance au niveau des actes de la vie quotidienne, celle des soins éducatifs, ainsi que celle des soins de soutien et d’écoute auprès de la famille et du patient Un axe importantdes soins infirmiers sera le traitement : avec une administration rigoureuse sa surveillance, pour évaluer son efficacité, sa tolérance, et repérer les troubles liés aux effets secondaires et enfin l' éducartion du patient et de l'entourage avec 2 objectifs: Les conseils de base pour la prise médicamenteuse La reconnaissance des fluctuations motrices(à savoirs akinésies et dyskinésies), ainsi que les fluctuations non motrices pour les traiter

    22. Autre axe clé des soins infirmiers : le traitement antiparkinsonien Le traitement : But : compenser le déficit en dopamine Ne limite pas l’évolution de la maladie Adaptation progressive des doses pour corriger la bradykinésie sans effets secondaires Efficace pendant la lune de miel Puis des complications apparaissent les troubles neurologiques au cours de la maladie de Parkinson sont radicalement modifiés par le traitement. Mias Il ne s’agit pas d’un traitement curatif de la maladie, mais de traitements substitutifs pour compenser le déficit en dopamine. Le traitement ne permet pas de limiter l’évolution de la maladie On ne peut pas donner directement de la dopamine car elle ne passe pas la barrière hémato-encéphalique. En revanche on peut administrer per os son précurseur la Ldopa ou lévodopa. Les médicaments principaux sont le sinemet et le modopar. On adaptera progressivement les doses afin de permettre la correction de l’akinésie sans apparition d’effets secondaires. Mais une perte de l’efficacité du traitement est observée après quelques années ? On parle alors de la « fin de la lune de miel » la lune de miel étant la période durant laquelle le traitement fait effet et où le parkinsonnien vit comme s'il n'était pas malade, à partir du moment où il est observant. À la fin de la lune de miel les complications apparaissent. Le délai moyen d'apparition des complications est de 6ans et demi après le début de la maladie ce sont des complications sévères, un bilan doit donc être fréquemment effectué et le traitement réadapté(visites chez le neurologue tous les 3 mois)? les troubles neurologiques au cours de la maladie de Parkinson sont radicalement modifiés par le traitement. Mias Il ne s’agit pas d’un traitement curatif de la maladie, mais de traitements substitutifs pour compenser le déficit en dopamine. Le traitement ne permet pas de limiter l’évolution de la maladie On ne peut pas donner directement de la dopamine car elle ne passe pas la barrière hémato-encéphalique. En revanche on peut administrer per os son précurseur la Ldopa ou lévodopa. Les médicaments principaux sont le sinemet et le modopar. On adaptera progressivement les doses afin de permettre la correction de l’akinésie sans apparition d’effets secondaires. Mais une perte de l’efficacité du traitement est observée après quelques années ? On parle alors de la « fin de la lune de miel » la lune de miel étant la période durant laquelle le traitement fait effet et où le parkinsonnien vit comme s'il n'était pas malade, à partir du moment où il est observant. À la fin de la lune de miel les complications apparaissent. Le délai moyen d'apparition des complications est de 6ans et demi après le début de la maladie ce sont des complications sévères, un bilan doit donc être fréquemment effectué et le traitement réadapté(visites chez le neurologue tous les 3 mois)?

    23. le traitement antiparkinsonien : obtenir un schéma thérapeutique régulier pour contrôler les symptômes Nécessité de prises pluriquotidiennes à horaires précis pour une activité dopaminergique constante S'organiser pour ne pas oublier les prises Identification claire des flacons Tenue du carnet de prise Respect rigoureux des horaires de prise Respect de la forme du médicament, et de la posologie Prendre le traitement avant le repas (interaction protéique)? Consommer les aliments protéïques le soir et les associer à des denrées sucrées Le traitement antiparkinsonien nécessite plusieurs prises quotidiennes, parfois en associations avec plusieurs médicaments, pour maintenir une activité dopaminergique constante. Ces prises doivent être prises au ¼ heures près. En effet toute variation de l'activité dopaminergique peut avoir des conséquences importantes sur la motricité. Toute la difficulté réside donc dans l'établissement d'un schéma thérapeutique régulier qui permet de contrôler des symptômes. La participation et l'attention du patient à son traitement sont alors essentielles pour obtenir le meilleur équilibre possible. Il faudra donc donner des conseils pour préserver l'efficacité du traitement: il faudra que le patient s'organise pour ne pas oublier ! En identifiant clairement les différents flacons, en tenant à jour son carnet de prise médicamenteuse, en programmant une sonnerie pour respecter les horaires de prises il faudra qu'il respecte la forme du médicament : ne pas ouvrir les gelules, ne pas couper les comprimés ne pas prendre de comprimés en plus pour prévenir ou diminuer une crise à type de blocage, mieux vaut en parler au médecin pour certains patients, la consommation de protéines peut diminuer l'efficacité d'un traitement à base de L-Dopa. Dans ce cas, il est conseillé de prendre les médicaments avant le repas, de consommer les aliments protéiques de préférence le soir et de les associer à des denrées sucrées. Le traitement antiparkinsonien nécessite plusieurs prises quotidiennes, parfois en associations avec plusieurs médicaments, pour maintenir une activité dopaminergique constante. Ces prises doivent être prises au ¼ heures près. En effet toute variation de l'activité dopaminergique peut avoir des conséquences importantes sur la motricité. Toute la difficulté réside donc dans l'établissement d'un schéma thérapeutique régulier qui permet de contrôler des symptômes. La participation et l'attention du patient à son traitement sont alors essentielles pour obtenir le meilleur équilibre possible. Il faudra donc donner des conseils pour préserver l'efficacité du traitement: il faudra que le patient s'organise pour ne pas oublier ! En identifiant clairement les différents flacons, en tenant à jour son carnet de prise médicamenteuse, en programmant une sonnerie pour respecter les horaires de prises il faudra qu'il respecte la forme du médicament : ne pas ouvrir les gelules, ne pas couper les comprimés ne pas prendre de comprimés en plus pour prévenir ou diminuer une crise à type de blocage, mieux vaut en parler au médecin pour certains patients, la consommation de protéines peut diminuer l'efficacité d'un traitement à base de L-Dopa. Dans ce cas, il est conseillé de prendre les médicaments avant le repas, de consommer les aliments protéiques de préférence le soir et de les associer à des denrées sucrées.

    24. le traitement antiparkinsonien : savoir reconnaitre les fluctuations Les fluctuations : ensemble des symptômes surgissant au cours de la maladie de Parkinson Des fluctuations motrices Résurgence de syndromes moteurs : tremblement, raideur, lenteur des mouvements (akinésie)? Apparition des dyskinésies : mouvements brusques et anormaux Des fluctuations non motrices : symptômes variables Les différentes manisfestations des fluctuations : les fluctuations désignent l'ensemble des symptômes qui surgissent au cours de la maladie de parkinson. On distingue les fluctuations motrices, qui correspondent à la résurgence des symptômes moteurs de la maladie de Parkinson (tremblement, lenteurs des mouvements, rigidité) et les mouvements brusques et anormaux appelés dyskinésies. D'autres fluctuations dites « non motrices », souvent moins connues, désignent des symptômes de nature variable qui affectent le transit, le psychisme, la respiration, la circulation sanguine. Les différentes manisfestations des fluctuations : les fluctuations désignent l'ensemble des symptômes qui surgissent au cours de la maladie de parkinson. On distingue les fluctuations motrices, qui correspondent à la résurgence des symptômes moteurs de la maladie de Parkinson (tremblement, lenteurs des mouvements, rigidité) et les mouvements brusques et anormaux appelés dyskinésies. D'autres fluctuations dites « non motrices », souvent moins connues, désignent des symptômes de nature variable qui affectent le transit, le psychisme, la respiration, la circulation sanguine.

    25. le traitement antiparkinsonien : savoir reconnaitre les fluctuations Les fluctuations motrices Alternance Des périodes « OFF » (traitement non actif)? Akinésie de fin de dose Akinésie nocturne et matinale Des périodes « ON » (pleine activité du traitement)? Dyskinésie en milieu de dose (surdosage ponctuel)? Les premières fluctuations les 1ères fluctuations apparaissent plus ou moint tôt (plusieurs mois ou années) après le début du traitement médicamenteux. Au cours de la journée, des périodes OFF où le traitement n'est plus actif vont alors succéder à des périodes ON de pleine efficacité du traitement. On distingue 2 catégories de fluctuations principales : « les akinésies qui se traduisent par un ralentissement voire un blocage des mouvements, et les dyskinésies qui désignent les mouvements anormaux du corps. Dans un premier temps, les fluctuations sont en général d'ordre moteur. Parmi elles, figurent les akinésies survenant suite au raccourcissement progressif de la durée d'action du traitement. L'akinésie de fin de dose : (blocage avant la prise suivante), l'akinésie nocturne et matinale : (tremblement, blocage et rigidité au réveil). A l'inverse, les dyskinésies sont retrouvées en milieu de dose, lorsque le traitement est au plus haut de son efficacité : elles correspondent à un surdosage ponctuel du traitement. Les premières fluctuations les 1ères fluctuations apparaissent plus ou moint tôt (plusieurs mois ou années) après le début du traitement médicamenteux. Au cours de la journée, des périodes OFF où le traitement n'est plus actif vont alors succéder à des périodes ON de pleine efficacité du traitement. On distingue 2 catégories de fluctuations principales : « les akinésies qui se traduisent par un ralentissement voire un blocage des mouvements, et les dyskinésies qui désignent les mouvements anormaux du corps. Dans un premier temps, les fluctuations sont en général d'ordre moteur. Parmi elles, figurent les akinésies survenant suite au raccourcissement progressif de la durée d'action du traitement. L'akinésie de fin de dose : (blocage avant la prise suivante), l'akinésie nocturne et matinale : (tremblement, blocage et rigidité au réveil). A l'inverse, les dyskinésies sont retrouvées en milieu de dose, lorsque le traitement est au plus haut de son efficacité : elles correspondent à un surdosage ponctuel du traitement.

    26. le traitement antiparkinsonien : dépister les fluctuations pour les traiter Éduquer pour apprendre à reconnaître les fluctuations Répertorier les fluctuations sur un agenda de suivi Les périodes « on », « off » et « int » (intermédiaire)? Fréquence, durée Horaires de prises médicamenteuses L'entourage aide à la reconnaissance des symptômes L'intérêt de bien détecter les fluctuations : les fluctuations sont principalement rencontrées en dehors de la consultation, il faudra donc expliquer au patient de s'attacher à les répertorier en tenant « un agenda de suivi » en récapitulant les horaires de prises, leur fréquence et leur durée. Il faudra bien différencier les périodes ON, OFF et INT intermédiaires pour les rapporter au médecin. Montrer la feuille de fluctuations motrices utilisée en neuro Pour cela il faut d'abord apprendre à les reconnaître ce qui fera l'objet d'une éducation. Le traitement efficace des fluctuations impose un dépistage précoce et le plus exhaustif possible. L'aide des proches, qui connaissent bien le patient sont enclins à remarquer certains de ces symptômes, sera utile au patient dans cette première étape. Ensuite, en fonction de l'étiologie des fluctuations rencontrées, le médecin va adapter, modifier le traitement actuel et prescrire un traitement symptômatique si nécessaire. Il conviendra donc de suivre scrupuleusement ce traitement pour retrouver l'équilibre. L'intérêt de bien détecter les fluctuations : les fluctuations sont principalement rencontrées en dehors de la consultation, il faudra donc expliquer au patient de s'attacher à les répertorier en tenant « un agenda de suivi » en récapitulant les horaires de prises, leur fréquence et leur durée. Il faudra bien différencier les périodes ON, OFF et INT intermédiaires pour les rapporter au médecin. Montrer la feuille de fluctuations motrices utilisée en neuro Pour cela il faut d'abord apprendre à les reconnaître ce qui fera l'objet d'une éducation. Le traitement efficace des fluctuations impose un dépistage précoce et le plus exhaustif possible. L'aide des proches, qui connaissent bien le patient sont enclins à remarquer certains de ces symptômes, sera utile au patient dans cette première étape. Ensuite, en fonction de l'étiologie des fluctuations rencontrées, le médecin va adapter, modifier le traitement actuel et prescrire un traitement symptômatique si nécessaire. Il conviendra donc de suivre scrupuleusement ce traitement pour retrouver l'équilibre.

    27. le traitement antiparkinsonien : connaitre les fluctuations pour les reconnaitre Les fluctuations motrices Akinésie des périodes « OFF » des difficultés à parler un torticolis un tremblement et une lenteur des mouvements des contractures importantes des contractions douloureuses des chevilles et des pieds une immobilité soudaine et brève des difficultés à marcher, et parfois des chutes Connaître les fluctuations pour les reconnaître : le patient devra apprendre à reconnaitre les fluctuations motrices et une éducation le lui permettra les fluctuations motrices : en période OFF (où le traitement n'est plus actif) peuvent se traduire par des akinésies de fin de dose (blocage avant la prise suivante) ou des akinésies nocturnes ou matinales (tremblement, blocage et rigidité au réveil) : il s'agit de : des difficultés à parler un torticolis un tremblement et une lenteur des mouvements des contractures importantes des contractions douloureuses des chevilles et des pieds une immobilité soudaine et brève des difficultés à marcher, et parfois des chutes Connaître les fluctuations pour les reconnaître : le patient devra apprendre à reconnaitre les fluctuations motrices et une éducation le lui permettra les fluctuations motrices : en période OFF (où le traitement n'est plus actif) peuvent se traduire par des akinésies de fin de dose (blocage avant la prise suivante) ou des akinésies nocturnes ou matinales (tremblement, blocage et rigidité au réveil) : il s'agit de : des difficultés à parler un torticolis un tremblement et une lenteur des mouvements des contractures importantes des contractions douloureuses des chevilles et des pieds une immobilité soudaine et brève des difficultés à marcher, et parfois des chutes

    28. le traitement antiparkinsonien : connaitre les fluctuations pour les reconnaitre Les fluctuations motrices Dyskinésie des périodes « ON » : mouvement anormaux et involontaires dyskinésies bucco-faciales dyskinésies du tronc et du cou Bonne mobilité Quelques fois des mouvements hyperkinétiques (syndrome choréïque) Il existe aussi des fluctuations motrices en période ON (où le traitement est au plus haut de son efficacité). Ces fluctuations sont des dyskinésies retrouvées en milieu de dose elles correspondent à un surdosage ponctuel du traitement. Pendant cette période ON, les dyskinésies se traduisent par des mouvements anormaux involontaires de la face (dyskinésies bucco-faciales) du tronc et du cou. La mobilité est bonne même si parfois il existe des mouvements hyperkinétiques (syndrome choréïque) Il existe aussi des fluctuations motrices en période ON (où le traitement est au plus haut de son efficacité). Ces fluctuations sont des dyskinésies retrouvées en milieu de dose elles correspondent à un surdosage ponctuel du traitement. Pendant cette période ON, les dyskinésies se traduisent par des mouvements anormaux involontaires de la face (dyskinésies bucco-faciales) du tronc et du cou. La mobilité est bonne même si parfois il existe des mouvements hyperkinétiques (syndrome choréïque)

    29. le traitement antiparkinsonien : connaitre les fluctuations pour les reconnaitre Les fluctuations non motrices Les troubles psychiques et du comportement Désinhibition, hyperactivité sexuelle ou impuissance Troubles de l'humeur Confusion, hallucinations, TOC Affaiblissement intellectuel Les troubles des sens Douleur, crampes, engourdissement, jambes sans repos Vision double Les troubles divers : Sueurs, paleur, rougeur, dyspnée, rétention urinaire il existe aussi des fluctuations non motrices : Se traduisant par des troubles psychiques et du comportement avec des difficultés à rester assis, une impuissance ou une hyperactivité sexuelle, une certaine désinhibition, des changements brusques d'humeur, des pleurs, un état dépressisf ou mélancolique, une angoisse voir même des attaques de panique, la stimulation de certains récepteurs dopaminergiques avec la Ldopa entraîne des effets psychiatriques comme de la confusion, des halucinations le patient voit plutôt des bêtes comme dans le délirium trémens, il existe une majoration des TOC, un affaiblissement intellectuel, avec une grande lenteur dans l’idéation, la réflexion, la concentration, une perte d’intérêt, une de l’initiative et une tendance au repli sur soi une hypersalivation, L’infirmière aura recours à : l’Ecoute, à la participation du réseau familial, elle proposera l’intervention d’un psychologue. Elle participera au réajustement du traitement médical en relatant au médecin les troubles psychiques observés (antidépresseurs)? au niveau des sens et en particulier au niveau de la sensibilité, il existe des douleurs et des crampes des engourdissements, le syndrome des jambes sans repos, et aussi une vision double on retrouve aussi des sueurs de la paleur ou une rougeur au visage, et quelques fois un essoufflement (dyspnée) des difficultés à uriner(rétention urinaire) et des accès de transpiration dus aux anticholinergiques (artane et lepticur)? il existe aussi des fluctuations non motrices : Se traduisant par des troubles psychiques et du comportement avec des difficultés à rester assis, une impuissance ou une hyperactivité sexuelle, une certaine désinhibition, des changements brusques d'humeur, des pleurs, un état dépressisf ou mélancolique, une angoisse voir même des attaques de panique, la stimulation de certains récepteurs dopaminergiques avec la Ldopa entraîne des effets psychiatriques comme de la confusion, des halucinations le patient voit plutôt des bêtes comme dans le délirium trémens, il existe une majoration des TOC, un affaiblissement intellectuel, avec une grande lenteur dans l’idéation, la réflexion, la concentration, une perte d’intérêt, une de l’initiative et une tendance au repli sur soi une hypersalivation, L’infirmière aura recours à : l’Ecoute, à la participation du réseau familial, elle proposera l’intervention d’un psychologue. Elle participera au réajustement du traitement médical en relatant au médecin les troubles psychiques observés (antidépresseurs)? au niveau des sens et en particulier au niveau de la sensibilité, il existe des douleurs et des crampes des engourdissements, le syndrome des jambes sans repos, et aussi une vision double on retrouve aussi des sueurs de la paleur ou une rougeur au visage, et quelques fois un essoufflement (dyspnée) des difficultés à uriner(rétention urinaire) et des accès de transpiration dus aux anticholinergiques (artane et lepticur)?

    30. le traitement antiparkinsonien : connaitre les fluctuations pour les reconnaitre Les fluctuations non motrices Les troubles digestifs Nausées, vomissements Ballonnements, douleurs abdominales Anorexie constipation Les troubles cardio-vasculaires Hypotension orthostatique Troubles du rythme : tachycardie

    31. Conclusion Préter une attention particulière au conjoint Prévenir le risque de défaillance dans l'exercice du rôle de l'aidant naturel Le conseiller, le déculpabiliser Tous ces soins, conseils éducatifs, surveillance de traitement et les aides diverses apportées par le conjoint, l'aidant naturel constituent pour lui en particulier une très lourde charge qui peut entraîner : « une défaillance dans l’exercice du rôle de l’aidant naturel ». il est donc important que cet « aidant naturel », sache se préserver, s’entourer et prendre du recul. Le soignant là aussi aura un rôle de conseiller, en expliquant l’importance de se ménager des moments de liberté 2 à 3 fois par semaine pour pratiquer des activités personnelles tout en étant tranquille. Il faudra peut être s’adjoindre alors « une auxiliaire de vie » qui prendra le relais pendant les absences du conjoint. Tous ces soins, conseils éducatifs, surveillance de traitement et les aides diverses apportées par le conjoint, l'aidant naturel constituent pour lui en particulier une très lourde charge qui peut entraîner : « une défaillance dans l’exercice du rôle de l’aidant naturel ». il est donc important que cet « aidant naturel », sache se préserver, s’entourer et prendre du recul. Le soignant là aussi aura un rôle de conseiller, en expliquant l’importance de se ménager des moments de liberté 2 à 3 fois par semaine pour pratiquer des activités personnelles tout en étant tranquille. Il faudra peut être s’adjoindre alors « une auxiliaire de vie » qui prendra le relais pendant les absences du conjoint.

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