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L’ATHLETISME OU COMMENT DEVELOPPER LES RESSOURCES ENERGETIQUES

L’ATHLETISME OU COMMENT DEVELOPPER LES RESSOURCES ENERGETIQUES. En course courte Il s’agit de passer de jeux de poursuite qui supposent des changements fréquents de direction à des courses en ligne, chronométrées et jugées.

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L’ATHLETISME OU COMMENT DEVELOPPER LES RESSOURCES ENERGETIQUES

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Presentation Transcript


  1. L’ATHLETISMEOU COMMENT DEVELOPPER LES RESSOURCES ENERGETIQUES

  2. En course courte Il s’agit de passer de jeux de poursuite qui supposent des changements fréquents de direction à des courses en ligne, chronométrées et jugées.

  3. Le constat de ses propres capacités étant plus objectif à cet âge, il se rend compte plus facilement de ses progrès, d’où un renouvellement constant d’intérêt.

  4. Pour une course efficace, rechercher l’économie des forces . • Ne pas se contracter inutilement. • Trouver le bon rapport fréquence amplitude de la foulée.

  5. Procéder par méthode des contraires : • Parcours rapide en vélocité au dessus d’obstacles plats peu espacés (lattes, foulards, traits à la craie…) • Parcours en grandes foulées. L’exécuter avec le moins de foulées possibles pour une distance donnée.

  6. Dans un but de renforcement musculaire, il est intéressant de proposer des courses navettes entre deux plots placés à 20 mètres l’un de l’autre. • Si on procède sous forme de relais, la motivation est assurée.

  7. LE RELAI INFERNAL • Répartir les élèves de trois équipes (3X8=24, une classe) sur le pourtour d’une piste (suivant sa longueur, chacun aura 25 à 50 mètres à parcourir). • Faire réaliser la course relais d’une façon ininterrompue pendant une période de 3 à 5 minutes, les élèves repartant de l’endroit où ils sont arrivés.

  8. LA COURSE D’OBSTACLES • Il va s’agir d’amener les élèves à comprendre que la course d’obstacles n’est pas une suite de sauts, mais de foulées un peu plus longues et un peu plus hautes, avec prise d’appel loin de la haie. D’autres consignes sont importantes : • Un rythme régulier permet un bon équilibre en course, • Une bonne souplesse des hanches rend les passages plus faciles, • La cheville de la jambe qui prend contact au sol la première derrière la haie ne doit pas s’affaisser. • Proposer des parcours d’obstacles de hauteurs différentes et séparés par des intervalles différents (ceci pour solliciter les facultés d’adaptation des coureurs).

  9. Un jeu : LE LIEVRE CONTRE LE LAPIN • Sur une ligne droite de 30 ou 40 mètres, un lièvre (parcours avec trois ou quatre haies) est opposé à un lapin (parcours sans obstacles). On constate que le lièvre abaisse inconsciemment son centre de gravité au passage des haies pour ne pas être distancé par l’autre coureur. • La comparaison des temps réalisés au fil des essais permet aussi de constater des progrès de la part du lièvre.

  10. PARCOURS DE HAIES AVEC DIFFERENTES HAUTEURS • Un parcours de 30 mètres avec trois haies est propice à l’entraînement ; • Le découpage est le suivant : 10m/6m/6m/8m • Ne pas oublier de proposer deux ou trois parcours voisins dont les hauteurs de haies sont différentes. Le renforcement des chevilles est obtenu par : • des parcours de cloche-pied, • des parcours d’impulsion (haies basses rapprochées). Une rencontre inter-groupes ou inter-classes sur 40 mètres peut ainsi conclure cette unité d’apprentissage.

  11. LES ACTIVITES A CONTRACTION MUSCULAIRE EXPLOSIVE

  12. LE SAUT • Même si les efforts sont répétés pendant une séance, reconnaissons qu’ils sont brefs et intenses. • C’est le but recherché mais pas forcément atteint.

  13. SAUT EN HAUTEUR • Faire sauter de face, d’un côté et de l’autre par rapport à l’élastique placé à une hauteur obligeant les élèves à une véritable impulsion. • On favorise la détermination du pied d’appel. • On détermine ensuite le nombre de foulées en variant le sens de départ… • Afin de déterminer les différents niveaux, il est possible d’organiser un concours éliminatoire ; Plus facile pour le travail à suivre en atelier.

  14. On peut reprendre l’apprentissage par groupes de niveau en plaçant l’élastique muni d’un foulard ou ballon de baudruche 20 cm au dessus de la hauteur moyenne des élèves ; On obtient ainsi une impulsion verticale. • On peut alors matérialiser au sol le bon endroit de l’impulsion (pas trop près de la zone de réception).

  15. SAUT EN LONGUEUR • On peut faire sauter dans la fosse à partir d’une marque au sol, une planche ou encore un cerceau. Et varier avec ce différent matériel les distances par rapport à la fosse pour permettre à l’élève de connaître ses capacités. • On fait sauter avec un élan réduit afin de déterminer le bon pied d’appel. • Puis, pour coordonner l’impulsion avec une course rapide, on augmente progressivement la course d’élan. • On reprend ces exercices avec un obstacle bas (20 à 30 cm) placé dans la fosse pour obtenir une impulsion oblique vers le haut. • Monter des marches d’escalier tronc droit afin de sentir le mécanisme de l’impulsion.

  16. LE TRIPLE SAUT • Il faut avant tout sensibiliser l’élève à la phrase de sauts : DDG…PJ, GGD…PJ • Utiliser des cerceaux de différentes couleurs identifiant les deux pieds. • Progressivement on codifie, on supprime les repères cerceaux.

  17. LE LANCER C’est l’engin lancé qui va induire le geste efficace. Il ne faut donc pas procéder à l’inverse. On peut prévoir ainsi que : • Les objets légers (balles de tennis) seront lancés à bras cassé, • Les objets lourds (medicine-balls) en poussée, • Les objets de forme longue (cerceau, comètes, ballon filet) en rotation.

  18. Lancer léger Il est souhaitable d’insister sur les points suivants : • Placer le pied avant en opposition avec la main qui lance, • Faire partir la main qui lance de loin en arrière, • Faire monter le coude près de l’oreille au cours du lancer, • Respecter le rythme lent (en préparation), rapide (en finale) afin de faire apparaître le fouetté, • Lancer vers le haut et à l’oblique (pour aller loin), • Lancer vers des cibles en variant les hauteurs, les distances.

  19. Lancer lourd Lancer en poussant, pied décalés (pied gauche en avant pour un droitier). Insister successivement sur : • La participation des membres inférieurs dans la poussée, • Le respect du rythme : lent-rapide (et le verbaliser), • L’accompagnement en longueur de l’objet lancé, • Le lancer vers le haut et à l’oblique (placer un élastique à deux mètres de hauteur devant le lanceur, • Le lancer vers des cibles au sol, • Le lancer avec un élan simple (GDG pour un droitier), • Les consignes de sécurité.

  20. Les autres lancers • Des objets tels qu’anneaux de plage, cerceaux, comètes… peuvent être utilisées. Les façons de lancers les plus efficaces se résument à : • Lancer de bas en haut et en avant, • Lancer par rotation. On insistera sur les points suivants: • Les pieds décalés. Plier puis étendre les membres inférieurs, • Faire partir l’engin de loin derrière et l’accompagner loin devant, • Rythmer le lancer lent-rapide • Les consignes de sécurité.

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