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La géothermie en région Centre. La géologie de la région Centre. Les aquifères supérieurs. Légende des niveaux géologiques. Les aquifères inférieurs. Résultats de la recherche. Les débits de production. La profondeur des nappes.
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La géothermie en région Centre La géologie de la région Centre Les aquifères supérieurs Légende des niveaux géologiques. Les aquifères inférieurs Résultats de la recherche Les débits de production La profondeur des nappes Le potentiel géothermique Le forage d’exploitation Les rejets d’eau Le doublet de forage La température des eaux La chimie des eaux Les puissances thermiques par forage La typologie des bâtiments concernés La législation L’esquisse de la carte géologique de la région Centre (D. Vaslet - BRGM, 2001), présentée en page d’accueil, met en évidence la succession des formations géologiques, principalement sédimentaires, avec les principales régions géographiques de la région. Les niveaux géologiques sédimentaires de la région Centre appartiennent à l’ensemble des formations du Bassin parisien, et forment un empilement plus ou moins régulier qui s'appuie sur les terrains anciens du Massif central. Dans la région Centre, ces terrains dessinent des arcs successifs depuis les terrains les plus récents du Plio-Quaternaire sous la Sologne et la forêt d’Orléans, jusqu'aux couches les plus anciennes du Trias au sud. Ces terrains s’appuient au Sud sur la bordure du socle cristallin et métamorphique du Massif central. À cet empilement, se superposent les alluvions récentes des cours d'eau. Au sein de cet ensemble sédimentaire, allant du Trias jusqu’aux terrains les plus récents des alluvions des rivières qui traversent cette région, plusieurs couches géologiques constituent des réservoirs aquifères superficiels qui sont représentés sur le fond géologique de la carte suivante. Ces formations aquifères peuvent être classées en deux catégories : les réservoirs « continus » : ce sont les formations sableuses relativement régulières ; les réservoirs « discontinus » : ce sont les formations calcaires, intrinsèquement compactes, où l'eau n’est présente que dans les fractures du terrain.