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La cathédrale d’Amiens (Somme – 80 )

Et nous voilà repartis ! Nous allons une fois de plus sillonner la France dans tous les sens, à la recherche de la photo insolite, du point de vue inattendu… Accrochez-vous… On démarre !!!. La cathédrale d’Amiens (Somme – 80 )

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La cathédrale d’Amiens (Somme – 80 )

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Presentation Transcript


  1. Et nous voilà repartis ! Nous allons une fois de plus sillonner la France dans tous les sens, à la recherche de la photo insolite, du point de vue inattendu… Accrochez-vous… On démarre !!!

  2. La cathédrale d’Amiens (Somme – 80) Inscrite depuis 1981 au Patrimoine mondial de l'Unesco, la cathédrale d'Amiens est, avec son volume intérieur de 200 000 m3 le plus vaste édifice médiéval de France. Ses dimensions sont imposantes, mais leurs proportions sont telles que la cathédrale semble légère. Nul monument au monde ne révèle un architecte plus sûr de ses moyens ni plus habile à calculer son audace. La hauteur vertigineuse des voûtes, soutenues par 126 colonnes, en fit, dès 1288 et jusqu’à ce jour, l’édifice gothique le plus vaste de France et le plus audacieux de la chrétienté. Le bleu d’Amiens, colorant naturel, fit la fortune de la cité au Moyen Âge et permit de lancer le chantier de la cathédrale.

  3. Les étangs de la Dombes (Ain – 01) La Dombes, une terre historique proche de Lyon entre Rhône Alpes et Bourgogne, parsemée de plus de 1 000 étangs. Mais… des étangs ? des champs de céréales ? Mais oui, les deux, à tour de rôle : aménagés dès le douzième siècle, ces surfaces sont tour à tour mises en eau pour l’élevage de carpes et brochets, et mises à sec pour la culture des céréales ! Sur plus de 10 000 hectares, la Dombes offre toujours un paysage attrayant et inattendu aux nombreux touristes en quête d’insolite. Région très pittoresque et touristique, la Dombes est également la première région française productrice de poissons pêchés en étangs.

  4. Fèves en porcelaine (Nièvre – 58) La faïencerie Colas a été fondée en 1790 et, depuis cette date, de génération en génération, la famille continue la tradition, sans exclure les nouveautés ! C’est ainsi que, au début des années 1980, Jean François Colas, lassé de " tirer les rois " avec des fèves en plastique, a l’idée de produire des fèves traditionnelles en céramique pour les boulangers et pâtissiers : un savoir-faire commercialisé sous le nom " Les Fèves de Clamecy ".Chaque année, plusieurs collections voient le jour et on compte aujourd’hui plusieurs milliers de créations allant de la fève traditionnelle aux pièces de collections. Cette activité représente aujourd’hui une part importante de la production. Si la galette des rois symbolise le soleil, la fève, premier légume à pousser à printemps, symbolise la vie.

  5. Le Cirque de Consolation (Doubs – 25) Une atmosphère de forêt humide tropicale règle dans le Cirque de Consolation, près de Montbéliard. Ses éboulis de rochers sont jalonnés de cascades. Aussi appelé le Val de Consolation, il se trouve à la source du Dessoubre et du Lançot. L'endroit abrite un monastère, construit en 1670 par la veuve du marquis de Varambon. Le premier oratoire dédié à la Vierge a été édifié à Consolation en 1488. Le parc du séminaire est devenu un haut lieu de promenades, avec ses cascades, ses grottes, ses sentiers de randonnée pédestres ou équestres. Le point de vue de la Roche du Prêtre surplombe de 350 m le val et le canyon du Dessoubre. Le Cirque est aménagé par endroits comme un jardin japonais, avec des sentiers et des petits ponts.

  6. Pigeonnier (Lot-et-Garonne – 47) Il ne s’agit pas, dans ces régions du sud de la France, de pigeons voyageurs. Mais la fiente des pigeons était précieuse comme engrais naturel. Et c’est toujours le même cercle vicieux : plus le cultivateur était riche, plus il avait de pigeons ; et plus il avait de pigeons, plus il pouvait faire rapporter à ses terres. Au départ, seuls les seigneurs avaient des pigeons. Aussi les petits hobereaux de campagne soignaient particulièrement l’aspect de leur pigeonnier, pour se donner des airs de seigneur ! Ce pigeonnier, juché à 4 mètres du sol, repose sur des piles surmontées d’une collerette qui empêchait les rongeurs de grimper. Car rats ou même campagnols ne dédaignent pas de s’attaquer aux oisillons !

  7. Champs de lupins (Maine-et-Loire – 49) Non, ce n’est pas une jachère ensemencée de fleurs comme le font maintenant parfois les paysans. C’est réellement une culture ; je l’ai appris en préparant ce diaporama. Cette plante est aussi nourrissante que les pois ou les fèves ; résistante, elle n’a pas besoin de pesticides et ignore la maladie. La France en produit 20 000 tonnes par an. La graine, sous forme de semoule, permet de confectionner des galettes. Et ce n’est pas une découverte récente ! On a retrouvé des graines de lupin, vieilles de 4 000 ans, dans les pyramides d’Égypte ! C’est dire l’importance que leur donnaient les Égyptiens !

  8. La Maison Picassiette (Eure-et-Loir – 28) En France, on n’a pas de pétrole, mais on a des idées, c’est bien connu. Et des talents insolites, des réalisations curieuses. Je ferai un jour un diaporama sur le Palais du Facteur Cheval, mais voici une autre réalisation insolite et surprenante : la Maison Picassiette. Génie solitaire, Raymond Isidore a construit de ses mains, avec des débris de vaisselle, un joyau de l’architecture " naïve " du vingtième siècle. Cette surprenante demeure de mosaïque, située dans la banlieue de Chartres, attire presque autant de visiteurs que la cathédrale. Isidore tapissait tout de faïence, y compris la machine à coudre de sa femme ! Je suppose que, lorsqu’il y avait une dispute et qu’ils se jetaient les assiettes à la tête, en son for intérieur, il pensait : « chic ! voilà du matériau ! »

  9. Les croix pattées (Val d’Oise – 95) Situées au coeur du Massif primaire de la Serre, ou dans les villages alentour, 43 croix ont été répertoriées. Leur nom est dû à leur forme particulière, le sommet et les deux bras allant s'évasant lorsqu'ils n'ont pas été retaillés. Elles sont toutes constituées, dans leur état original, d'une croix avec un fût assez long, monolithique, enchâssée dans une meule ronde d'environ un mètre de diamètre. L'ensemble peut atteindre une hauteur de 2,50 m. Le tout est presque toujours taillé dans l'arkose, grès tiré du massif primaire de la Serre. Beaucoup de ces croix ne sont sans doute plus à leur emplacement initial. Je dois reconnaître que celle de la photo suivante est encore plus spécifique que la plupart des autres croix répertoriées. Ces croix ornent aussi les blasons sur les cheminées ou les entrées de manoir.

  10. Cathédrale Saint-Front (Dordogne – 24) L'étrange et très particulière silhouette de la cathédrale Saint-Front est reconnaissable entre toutes. Dominant la ville de Périgueux, elle supporte fièrement ses cinq coupoles qui lui donnent une allure byzantine indéniable. D'abord sanctuaire au huitième siècle dédié à saint Front, évangélisateur de la ville, puis monastère dont on peut encore visiter le cloître qui date du douzième siècle, l'édifice ne deviendra cathédrale qu'en 1669. Établie sur le plan de la basilique St-Marc de Venise, ses coupoles sont encore plus vastes. Elle fut restaurée dans son style romano-byzantin par l’architecte Paul Abadie, proche de Violet-Le-Duc. Et elle servit de modèle pour la construction du Sacré-Cœur de Montmartre.

  11. Le phare de Tévennec (Finistère – 29) Le phare de Tévennec a été construit, en pleine mer, sur le modèle d'une maison-phare, à quelques encablures du phare de la Vieille, entre l'île de Sein et la pointe du Van. Les travaux s'étalèrent sur 5 ans, de 1869 à 1874. En septembre 1874, Henry Porsmoguer, est le premier nommé pour le poste de gardien. Natif de l'Île de Sein, il a participé aux travaux de construction des phares Ar-Men et Tévennec. Ce phare est célèbre pour ses feux bicolores (blancs et rouges) mais aussi pour les drames dont il fut le théâtre. Le feu est allumé le 15 mars 1875 et Henry Porsmoguer doit se charger seul de son entretien. Il ne peut rentrer auprès de sa famille qu'après de longs mois passés sur l'îlot de Tévennec. Il mourra fou. Les suivants périrent de mort violente. Ce phare maudit fut automatisé dès 1905.

  12. La Chaîne des Pyrénées (Hautes-Pyrénées – 65) Les Pyrénées, vous connaissez. Je vous en parle souvent, je vous les présente souvent. Mais plutôt sous leur aspect estival. Voici la chaîne des Pyrénées à l’entrée de l’hiver. Car en hiver, les Pyrénées françaises offrent des paysages d’une blancheur immaculée. Avec des sommets culminant à 2 875 m, ce massif de 430 km de long a su tirer profit, après les Alpes, de l’or blanc. La neige fait vivre 29 stations de ski, pour la plupart familiales. Certaines sont spécialisées pour les handicapés, avec du personnel spécialement formé, et du matériel spécifique. Malheureusement, il y a de moins en moins de neige… Du côté des Pyrénées Espagnoles, Andorre-la-vieille, communauté autonome des Pyrénées, est la plus haute capitale d’Europe.

  13. Le palais des Beaux - Arts de Lille (nord) Le Pala is des Beaux-Arts constitue l'un premiers musées français en dehors de Paris, grâce à ses collections de tout premier ordre. Le musée abrite dans un somptueux bâtiment de la fin du dixième siècle, entièrement rénové entre 1991 et 1997, de prestigieuses collections de peintures, sculptures, dessins, céramiques et plans-reliefs (plans-reliefs des villes du Nord fortifiées par Vauban.). En 1990, les architectes Ibos et Vitart ont été choisis pour leur projet d'ouvrir le musée sur la ville et d'en permettre l'extension tout en respectant l'architecture du bâtiment . Ces travaux d'agrandissement (d'une surface de 15 000 m2, le musée est passé à 22 000 m2) et de rénovation ont permis un aménagement des sous-sols où sont aujourd'hui installées les galeries consacrées au Moyen Âge et à la Renaissance et la salle des plans-reliefs. Y prennent place également une salle d'expositions temporaires, un auditorium, une bibliothèque, des ateliers pédagogiques. C’est le plus important musée français après le Louvre.

  14. Photos extraites de l’un de ces merveilleux calendriers que nous offre Géo : " La France en 365 photos " . Vous y trouverez bien d’autres merveilles ! Musique : Le cor des Alpes, musique offerte par Marité que je remercie. Texte de diverses sources, notamment Google. jacky.questel@gmail.com

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