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Sommaire CONTEXTE ET JUSTIFICATIONS OBJECTIFS PRESENTATION de la RIZICULTURE STRATEGIES

PROGRAMME NATIONAL D’AUTOSUFFISANCE EN RIZ. Sommaire CONTEXTE ET JUSTIFICATIONS OBJECTIFS PRESENTATION de la RIZICULTURE STRATEGIES. CONTEXTE ET JUSTIFICATIONS. PRECARITE DE L’OFFRE. SEULS 4 A 7 % DE LA PRODUCTION MONDIALE FONT L’OBJET DE COMMERCE INTERNATIONAL.

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Sommaire CONTEXTE ET JUSTIFICATIONS OBJECTIFS PRESENTATION de la RIZICULTURE STRATEGIES

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Presentation Transcript


  1. PROGRAMME NATIONAL D’AUTOSUFFISANCE EN RIZ Sommaire CONTEXTE ET JUSTIFICATIONS OBJECTIFS PRESENTATION de la RIZICULTURE STRATEGIES

  2. CONTEXTE ET JUSTIFICATIONS PRECARITE DE L’OFFRE

  3. SEULS 4 A 7 % DE LA PRODUCTION MONDIALE FONT L’OBJET DE COMMERCE INTERNATIONAL

  4. LA CHINE DEVIENT IMPORTATRICE…

  5. Part de la Chine et de la Thaïlande dans la production et la consommation mondiales de riz blanc (millions de T)

  6. …dépendance à hauteur de 75% de nos importations d’un seul pays (Thaïlande)…

  7. Evolution de nos importations (T)

  8. CONTEXTE et JUSTIFICATION (suite) L’option du Programme se justifie par : • Une dépendance par rapport à l’extérieur : • la production nationale couvre à peine 20 % de la consommation ; • une précarisation de l’offre mondiale. • Une forte saignée de devises : en 2005, 130 milliards de FCFA. • Une opportunité de création d’emplois et de richesses.

  9. LES OBJECTIFS Ils sont à la fois quantitatifs et qualitatifs • quantitatifs pour remédier aux importations selon un échéancier bien défini en vue d’assurer la sécurité alimentaire • qualitatifs pour satisfaire: - aux goûts et exigences des consommateurs ; - aux critères de compétitivité.

  10. OBJECTIFS QUANTITATIFS Réaliser l’Autosuffisance à l’horizon 2015 par la production de 1 million de tonnes de riz blanc correspondant à 1,5 millions de tonnes de paddy, pour la consommation d’une population estimée à 14 millions hbts.

  11. LA MARCHE VERS L’OBJECTIF… 350 000 T de riz blanc en 2008 556 000 T de riz blanc en 2010 825 000 T de riz blanc en 2012 1 000 000 T de riz blanc en 2015

  12. OBJECTIFS QUALITATIFS • Un riz brisé et un riz entier homogènes et en quantité suffisante, selon les marchés partout et toute l’année ; • Un riz compétitif parce que de bonne qualité, à des prix concurrentiels par rapport au riz importé, et rémunérateur pour tous les acteurs.

  13. PRESENTATION DE LA RIZICULTURE • En hivernage 2007, les superficies consacrées à la riziculture se sont chiffrées à 110 000 ha sur 2 000 000 ha, soit 6 % des emblavures ; • La riziculture irriguée a occupé 30 000 ha répartie entre la zone SAED (26 000 ha) et le Bassin de l’Anambé (4 200 ha) ; • La riziculture pluviale occupe 80 000 ha répartie entre la région naturelle de la Casamance, les régions de Tamba (Kédougou et Gouloumbou) et Fatick (Foundiougne et Fatick).

  14. PRESENTATION DE LA RIZICULTURE • Ces 2 types de riziculture sont distincts : - La riziculture irriguée dans la VFS (65 000 ha dont seuls 30 000 ha sont exploitables, 15 000 ha aménagés de façon précaire et 20 000 ha abandonnés) et à l’Anambé (4 200 ha). . Caractéristiques: maîtrise de l’eau, motorisation, hauts rdts (5-6T/ha), contribution à hauteur de 110 000 t/an de riz blanc pour une production nationale d’environ 150 000 t/an. . Contraintes : Foncier, Coût aménagement, Intrants, Transformation, Crédit, Oiseaux, Commercialisation.

  15. PRESENTATION DE LA RIZICULTURE • La riziculture pluviale (Ziguinchor, Kolda, Tambacounda et Fatick) : • Caractéristiques : opérations culturales manuelles, faible consommation en intrants, faibles rendements, prédominance des femmes, occupe 80 000 ha et contribue pour 40 000 t/an pour une production nationale de 150 000 t/an. • Contraintes : Salinisation, ensablement des vallées, déficit de mécanisation, de financement et d’encadrement, aléas climatiques, manque de semences de qualité, variétés inadaptées.

  16. STRATEGIES Face aux problèmes identifiés, des stratégies spécifiques à chaque zone ou type de riziculture sont élaborées et appliquées aux composantes suivantes : • Aménagements des terres ; • Equipement en matériel d’Irrigation ; • Financement de la production, matériel de production et de post - récolte ; • Commercialisation.

  17. RIZICULTURE IRRIGUEE

  18. REHABILITATION & NOUVEAUX AMENAGEMENTS • Réhabiliter 15 000 ha et récupérer les 20 000 ha abandonnés, soit 35 000 ha, en plus des 30 000 ha exploitables dans la VFS ; • Réfectionner 4 200 ha dans le bassin de l’Anambé ; • Assurer une intensité culturale de 1,5 • Poursuivre les aménagements selon le rythme suivant:

  19. …pour porter, à l’horizon 2015, les superficies aménagées pour le riz à 130 720 ha dont Vallée du Fleuve Sénégal 115 720 ha et Anambé 15 000 ha …

  20. EQUIPEMENT EN MATERIEL AGRICOLE • Développement de l’utilisation de la batteuse ASI au titre du programme d’équipement du monde rural ; • Promotion de la motorisation intermédiaire de récolte : motofaucheuses (ISA) en phase expérimentale ; • Remise en état du parc actuel de tracteurs et son augmentation ; • Equipement en matériel d’irrigation, en cours d’exécution : 2194 GMP de surface, 4 Pompes monobloc électriques de 5500 m3/h, 2 postes transformateurs, 338 Bacs, 337 Chariots.

  21. MATERIEL DE TRANSFORMATION • La réhabilitation des rizeries abandonnées en fonction des besoins dans les zones de production; • La mise en place d’équipements complémentaires pour le triage, le calibrage et le blanchiment dans l’optique d’un label de qualité ; • La création de nouvelles rizeries dans les zones dépourvues ; • La facilitation de l’accès au crédit en faveur des riziers.

  22. RIZICULTURE PLUVIALE : AXES STRATEGIQUES

  23. Lutte contre la salinisation et l’ensablement des Bas – Fonds ; • Développement d’une politique appropriée de mécanisation ; • Renforcement de l’encadrement ; • Introduction de variétés adaptées ; • Aménagement et protection des terres ; • Mécanismes appropriés de financement (micro crédit) ; • Réhabilitation de la station ISRA Djibélor.

  24. COMMERCIALISATION • La création d’un organisme chargé de la commercialisation de la production ; • Mise en place d’un fonds de commercialisation ; • L’implication des acteurs privés dans le programme de commercialisation.

  25. MESURES D’ACCOMPAGNEMENT • Poursuite de la politique de subvention des intrants ; développement d’une politique semencière adaptée ; • Suppression de la prime fixe de l’électricité ; • Appui à la valorisation des sous-produits pour la fabrication d’aliment de bétail (paille et son) et de production d’énergie (balle) ; • Facilitations de l’accès au crédit : • Dispositif approprié pour l’acquisition de matériel agricole et la réalisation d’infrastructures d’irrigation ; • Déconnection des crédits de campagnes ; • Lutte anti - aviaire selon les axes suivants :

  26. Interventions du 1er octobre au 15 décembre ;- Reprise des opérations à partir du 15 janvier pour sécuriser les cultures de décrue et prévenir la prolifération du ravageur ;- Démarrages des opérations de protection de la riziculture de CSC le 1er juin ;- Renforcement de la coopération avec la Mauritanie.

  27. VALORISATION DES SOUS PRODUITS • Un million de tonnes de riz blanc correspond à : • 1 275 000 tonnes de paille (aliment de bétail); • 300 000 tonnes de son (bétail et volaille); • 180 000 tonnes de balles (combustible). • Le son et la paille permettraient ainsi de nourrir un troupeau de 1 million de bovins pendant 6 mois.

  28. FILIERE RIZ: PUISSANT LEVIER DU DEVELOPPEMENT • En 2005: • Importations : 800 000 tonnes • Coût en devises : 130 milliards • Si le Sénégal avait produit tout le riz qu’il a consommé : • Le taux de croissance du PIB réel n’aurait pas été de 5,5% mais de 8%; • Il aurait réduit le déficit de sa balance commerciale de 16%; • En zone irriguée, 200 000 emplois auraient été créés.

  29. CONCLUSION • L’autosuffisance en riz est un enjeu : • de souveraineté alimentaire ; • de croissance ; • de création d’emplois ; • de réduction du déficit de la balance commerciale ; • Les sous-produits (paille, son et balle) constituent : • des aliments de bétail et de volaille ; • une source d’énergie.

  30. FINALEMENT !!!! LE SENEGAL NE DOIT - IL PAS, EN PARTIE, SA CELEBRITE A NOTRE PLAT NATIONAL : LE CEEBU JEN ?

  31. Fin • Merci de votre aimable attention

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