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Sommaire. I/ L’EPS et ses objectifs jusqu’à 6/7 ans Programmes et programmation des activités (ex : courir vite, courir longtemps, lancer loin, lancer haut) Les séances d’athlétisme : démarche pour construire les savoirs

adamdaniel
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Presentation Transcript


  1. Sommaire I/ • L’EPS et ses objectifs jusqu’à 6/7 ans • Programmes et programmation des activités (ex : courir vite, courir longtemps, lancer loin, lancer haut) • Les séances d’athlétisme : démarche pour construire les savoirs • Logique interne des activités athlétiques et développement moteur: deux exemples - la course de vitesse - le lancer

  2. II/ • Identifier les domaines d’acquisitions et les compétences spécifiques à développer. Les répartir sur les 3 années afin de proposer une progression en athlétisme au cycle 1. • Repérer des observables en lien avec ces domaines d’acquisition pour évaluer et répondre aux besoins des élèves (choix d’activités en remédiation) • Proposer des outils de suivi et d’évaluation (fiches d’évaluation, documents support des niveaux d’acquisitions, brevet athlétique…). • Finalité : mise en place de rencontres « Olympiades » sur des critères communs à toutes les écoles.

  3. EP S et objectifs jusqu’à 6 / 7 ans • Prise de contact avec des activités sociales de référence qui ont du sens (APSA= patrimoine) • Santé et hygiène (pour aller au-delà du cadre scolaire) • Favoriser la résolution de problèmes moteurs dans une perspective de progrès évolutive. • Apprendre à l’élève à prendre des repères notamment pour évaluer sa pratique. • L’insérer progressivement dans un projet d’action.

  4. Compétences transversales Ce qui se traduit par : • S’engager dans l’action, • Faire un projet d’action en effectuant des choix le plus en adéquation avec ses capacités • Identifier et apprécier les effets de son activité pour ajuster… • Se conduire dans le groupe en fonction de règles et apprendre à les construire, à participer à leur élaboration pour favoriser le groupe tout en permettant l’expression optimale de l’individu.

  5. Agir et s’exprimer avec son corps.Activités athlétiques en maternelle. 2 compétences Adapter ses déplacements et ses mouvements. Réaliser une action que l’on peut mesurer. Pas de socle en maternelle mais palier 1 Maîtriser des conduites motrices : courir, sauter, lancer Participer à des jeux (collectifs) en respectant les règles

  6. Programmation et progression • Répartir les activités sur les 3 années du cycle. • Repérer les domaines d’acquisition et les compétences spécifiques. • Proposer une trame et des outils de suivi (élèves / enseignants). • (voir deux exemples : courir vite et lancer)

  7. Les séances d’athlétisme : • (voir aussi fiche 2 module d’apprentissage + schéma) • Éducation physique = concertation et programmation des compétences et des contenus. • Une séance quotidienne de 30 à 45 minutes. (36 semaines ouvrables X 4 jours = 144 séances d’EPS sur l’année = 12 modules de 10 à 12 séances. Un module = minimum 6 séances. Cela correspond à 2 UA d’EPS sur une période ce qui laisse 2UA d’athlétisme (2X12 séances ou 3X8 séances) dans l’année espacées d’au moins une période.

  8. Favoriser la travail en atelier permettant une évolution en autonomie dont les critères de réussite et d’évaluation sont connus et maîtrisables par les élèves (l’enfant est capable d’évaluer et situer son niveau). • Pour les situations collectives ludiques, faire participer les élèves à l’aménagement de règles qui vont entraîner un besoin d’adaptation motrice (résolution de problèmes) • Ne pas envisager que les aspects moteurs : alterner les séances où les élèves sont confrontés dans les autres rôles et les séances visant des acquisitions et des savoirs spécifiques nécessaires au progrès.

  9. Activités athlétiques : objet culturel et pratique sociale.

  10. Intérêt de ces activités en maternelle: • Développement affectif, moteur, perceptif et intellectuel. • Expériences psychomotrices nombreuses. • Développement d’actions motrices fondamentales (car à la base de nombreuses APSA) • Moyens d’exploration diversifiés. • Elles permettent une réelle programmation et progression.

  11. Pas de technicisme et de modélisme! Pas de pratique adulte mais on s’appuie sur un modèle expert pour extraire des contenus cohérents et adaptables aux possibilités : • d’organisation motrice, • d’investissement et de socialisation, • de connaissance et de méthode.

  12. Logique interne du domaine.(spécificité)

  13. Définition Ensemble des activités à performances motrices et à dominante énergétique en milieu aménagé stable, sollicitant les grandes fonctions physiologiques. Elles sont mesurables au regard du temps et de l’espace, elles incitent l’élève à rechercher une conduite de plus en plus efficace c’est-à-dire une recherche d’optimisation dans la réalisation.

  14. Faire de l’athlétisme c’est : • Dépasser et déplacer ses limites pour aller jusqu’au bout, pour se surpasser, ce qui passe, après l’exploration, par la répétition dans l’apprentissage. • C’est aussi se réaliser en respectant un code, un règlement et se situer dans un groupe pour assumer des tâches propres à l’activité.

  15. En maternelle : Cela passera par une expérimentation variée où l’élève apprend à résoudre des problèmes de coordination d’actions motrices pour progressivement enchaîner les actions avec efficacité. La pratique de ces activités invite l’apprenant, en éprouvant ses capacités d’effort, à se connaître et à connaître ses propres performances.

  16. Exemple 1 : Course de vitesse • Réagir vite à un signal. • Enchaîner une course droite et continue. • Courir d’un point à un autre sans s’arrêter. • Conserver un équilibre en mouvement. • Maintenir sa vitesse sans rupture sur la distance et jusqu’à l’arrivée. • La course est caractérisée par le mode de succession des appuis et non par la vitesse de déplacement (temps de suspension)

  17. Course et développement moteur • Ne pas confondre la course avec fréquence de succession des appuis. • D’abord, l’enfant « court après son équilibre » (sorte de trottinement). • Les bras ne sont que « équilibrateurs ». • Vers trois ans, début de course (mouvement continu et succession d’appuis et de suspensions). • Mais la course est une manifestation explosive qui va poser des difficultés car mal contrôlée :

  18. Difficulté à s’arrêter brusquement • À éviter un obstacle • À changer de direction • À enchaîner avec une autre action Après 4 ans, l’enfant est capable de passer de la course à la marche et inversement sans temps d’arrêt et sans rupture, les bras servent à l’impulsion. En GS, l’enfant utilise plus les repères, se représente mieux l’espace couru. Il pourra se lancer des défis, contrôler ses résultats et situer ses progrès (voir projet d’action)

  19. Des situations d’exploration particulières sont à prévoir allant de la course d’adaptation chez les plus jeunes (pour palier les différentes difficultés rencontrées dans le cadre de résolution de problèmes moteurs) pour se différencier progressivement en course rapide avec enchaînement des actions.

  20. Course : conclusion • Le tout petit a du mal à courir vite car il est à la recherche d’un équilibre mal maîtrisé remis en cause par tout obstacle rencontré (matériel ou autre) • En GS, l’équilibre est davantage maîtrisé notamment par une prise d’informations accrue et l’utilisation adéquate de ses membres. Il pourra alors maintenir une direction en conservant davantage sa vitesse.

  21. En fin de cycle 1: Courir vite en ligne droite pendant 4 à 5 secondes sur une courte distance (15 mètres environ) En fin de cycle 2 : partir vite à un signal et maintenir sa vitesse pendant 6 à 7 secondes pour franchir la ligne d’arrivée sans ralentir.

  22. Exemple 2 : le lancer • Adapter son geste aux contraintes. • Orienter la trajectoire du lancer. • Rechercher la meilleure trajectoire. • Mobiliser les appuis pour lancer lourd. • Adapter son geste pour lancer précis. • Savoir différencier les espaces de lancer et s’orienter vers le but à atteindre. • Construire la phase d’élan. • Construire le geste à bras cassé. • Donner une direction à l’engin vers une zone définie, puis la plus éloignée possible.

  23. Lancer et développement moteur • Dès que l’enfant peut attraper, apparaissent des tentatives de lancers : ouvertures de la main et projections vers le sol. • Vers 2 / 3 ans : geste de lancer reconnaissable, mais désordonné. • Puis, Recherche progressive de cibles avec souci de direction mais imprécis et de faible amplitude. Le corps semble « projeté en avant » avec le projectile. • Après 4 ans : diversification avec d’abord gain en précision puis en distance. • Enfin, coordination avec un élan pour lancer encore plus loin.

  24. Varier les expériences : • Types de projectiles (forme, poids, encombrement et pas uniquement des balles et des ballons = objets longs..) • Les cibles, leur distance, leur taille, leur placement (au niveau du regard, au sol, en hauteur, au dessus de la tête, en contrebas..) • Moyens de vérifier les résultats : cibles sonores, accrochant le projectile, laissant une marque…)

  25. Conclusion : lancer Le petit doit distinguer « lâcher », « jeter » et « lancer » ce qui prendra du sens si il y a une cible et donc quelque chose à viser. En GS, il cherche à lancer loin, il va moins expérimenter les objets et davantage les types de lancers pour lancer loin (besoin de performance). On l’aidera à comprendre que lancer loin c’est lancer précis mais aussi vite (zone d’élan), avec un geste plus adapté que les autres.

  26. Programmation et module d’apprentissage Point de départ. Fiche 2 a/ Fiche 2 b/

  27. Observables et situation de référence. Fiche 1 Fiche 3 a/

  28. Les élèves sont observés / évalués • La logique de l’activité et les domaines d’acquisitions motrices sont repérés. Choisir des (quelques) situations pédagogiques pour construire les apprentissages et remédier.

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