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Les antibiotiques, c’est plus automatique?

Les antibiotiques, c’est plus automatique?. Pourquoi en prescrivons-nous toujours trop et comment moins les prescrire en médecine générale Audrey COLLOMB GERY, oct 2010. Consommation. La France en europe. Augmentation hivernale. Répartition par pathologies.

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Les antibiotiques, c’est plus automatique?

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Presentation Transcript


  1. Les antibiotiques, c’est plus automatique? Pourquoi en prescrivons-nous toujours trop et comment moins les prescrire en médecine générale Audrey COLLOMB GERY, oct 2010

  2. Consommation

  3. La France en europe

  4. Augmentation hivernale

  5. Répartition par pathologies

  6. Campagne de sensibilisation - 2002 « Les antibiotiques, c’est pas automatique » • Objectifs : • -25 % de prescriptions en 5 ans • Cible principale : - de 15 ans • Résultats : • -26.5 % de réduction des prescriptions en 5 ans • Tranches d’ âge • 0-6 ans : - 31 % • 6-15 ans : -36 % • -15% de pneumocoques résistants à la pénicilline et -24 % de pneumocoques résistants aux macrolides

  7. Reprise depuis 2007 +15 ans : +9.24 % entre hivers 2006 et 2007+4% en 2009 par rapport à 2008

  8. Comment moins les prescrire ? Etude PAAIR Prescription Ambulatoire d’Antibiotiques dans les Infections Respiratoires aigues

  9. But : • Rechercher les déterminants non médicaux de la prescription d’antibiotiques • Etablir des stratégies pour les contourner

  10. 11 situations critiques • Le patient souhaite des antibiotiques (pression professionnelle, familiale) • Le patient fait référence à des expériences passées • Le traitement est déjà commencé • Le patient se réfère à des épreuves personnelles ou familiales • La prescription n’est pas le principal problème de la consultation • Plusieurs médecins sont mis en concurrence • 2ème ou 3ème contact pour le même motif • Le patient parait fatigué ou très fatigué • Le malade est perçu fragile, à risque • Le médecin doute de l’origine virale de la maladie • La conviction du médecin est forte et opposée aux recommandations.

  11. stratégies • Indispensables à la non prescription • Ce qui ne marche pas • Pas de stratégie • Pas d’explication • Repérage tardif de l’incident critique • Ce qui marche • Repérage précoce de l’incident critique • Intention de prescrire précoce mais position ouverte et prescription négociée • Examen ritualisé et commenté dès le début, orienté vers la non prescription • Explication précise sur les virus et bactéries • Explication sur l’action et les effets nocifs des antibiotiques • Travail à partir des craintes/représentations du patient • Proposition de mise en place d’un suivi

  12. Conclusion • France : 1 des plus gros consommateurs • Campagne de 2002 efficace = -26.5% de réduction globale • Mais tendance à la reprise depuis 2007 => nouvelle campagne de la CNAM en 2010 • « Si on les utilise à tort, ils deviendront moins forts » • Connaissance des recommandations • INDISPENSABLE mais pas suffisante • Nécessité de mettre en place des stratégies pour contourner le « problème » que peuvent poser certaines consultations.

  13. MERCI

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