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Congrès International 2014 En orientation et développement de carrière – Québec

Accompagner des personnes en situation de vulnérabilité : Pour une approche inclusive des personnes à risque d’exclusion. Congrès International 2014 En orientation et développement de carrière – Québec. Geneviève Brisebois, c.o., Alain Dubois, c.o . Et des collaborateurs très spéciaux….

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Congrès International 2014 En orientation et développement de carrière – Québec

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Presentation Transcript


  1. Accompagner des personnes en situation de vulnérabilité : Pour une approche inclusive des personnes à risque d’exclusion Congrès International 2014En orientation et développement de carrière – Québec Geneviève Brisebois, c.o., Alain Dubois, c.o. Et des collaborateurs très spéciaux…

  2. Déroulement du symposium • Introduction • Présentation des collaborateurs • Hugues Villeneuve,c.o. - IRDPQ • Émilie Bégin, c.o. - IUSMM • Marie Ducharme,c.o. - UQAM • Lynda Tessier, c.o. - SDEM-SEMO • Résumé et échanges avec le panel • Mot de clôture

  3. L’identité du conseiller d’orientation au cœur de l’intervention : Hugues Villeneuve, c.o. Institut de réadaptation en déficience physique de Québec

  4. Objectif de la présentation • L’objectif de la présentation est de faire ressortir les facteurs d’une intervention en orientation et en réadaptation professionnelle qui favorisent l’insertion socioprofessionnelle et qui protègent les clientèles à risque d’exclusion et en situation de vulnérabilité et ce, sans égard au mandat octroyé, au contexte de l’intervention et à l’environnement de travail.

  5. Parcours professionnel • 1997-2003 : - Relais La Chaumine - Intervenant en santé mentale - Milieu communautaire Intervention individuelle, intervention de crise auprès de personnes atteintes de problèmes de santé mentale.

  6. 2003-2011 : - La Croisée - Conseiller en emploi et conseiller d’orientation - SEMO Orientation, démarches de subvention et d’insertion en emploi, aide à la recherche d’emploi auprès de personnes atteintes de déficiences physiques. Clientèle desservie par Emploi-Québec.

  7. 2008 :- Réadaptation Optima - Consultant en réadaptation professionnelle - Entreprise privée Intervention en réadaptation professionnelle auprès de clients en assurance-salaire à la suite d’un arrêt de travail. Clientèle présentant des problématiques de santé mentale et de déficiences physiques. Clientèle provenant majoritairement de compagnies d’assurance.

  8. 2011 à 2014 : - IRDPQ - Conseiller d’orientation - Centre de réadaptation Intervention de counseling et d’orientation auprès de personnes atteintes de déficiences physiques. Clientèle MSSS, SAAQ, CSST.

  9. Depuis 2013 :- Pratique privée - Conseiller d’orientation et consultant en réadaptation professionnelle Clientèle majoritairement référée par la SAAQ et par CanVet (anciens combattants). Clientèle présentant des déficiences physiques et des troubles de santé mentale.

  10. Champ de pratique des conseillers d’orientation • « Évaluer le fonctionnement psychologique, les ressources personnelles et les conditions du milieu,intervenir sur l’identité ainsi que développer et maintenir de stratégies actives d’adaptation dans le but de permettre des choix personnels et professionnels tout au long de sa vie, de rétablir l’autonomie socioprofessionnelle et de réaliser des projets de carrière chez l’être humain en interaction avec son environnement ».

  11. Facteurs de l’intervention qui favorisent l’insertion socioprofessionnelle et la protection des clientèles vulnérables • La qualité de l’évaluation. • La définition du mandat et des objectifs de l’intervention. • La communication des recommandations et des pronostics.

  12. Facteurs de l’intervention qui favorisent l’insertion socioprofessionnelle et la protection des clientèles vulnérables • La qualité de l’évaluation : • L’évaluation doit être un processus continu tout au long de l’intervention. • L’évaluation doit absolument tenir compte du fonctionnement psychologique, des ressources personnelles et des conditions du milieu. • L’évaluation doit être un processus rigoureux peu importe le mandat et le contexte de l’intervention.

  13. La qualité de l’évaluation (avantages) • Permet d’évaluer les obstacles à l’insertion socioprofessionnelle. • Permet de se fixer des objectifs d’intervention réalistes en lien avec le mandat et le contexte de l’intervention. • Permet d’émettre des recommandations et des pronostics adaptés à la situation du client.

  14. Facteurs de l’intervention qui favorisent l’insertion socioprofessionnelle et la protection des clientèles vulnérables 2. La définition du mandat et des objectifs de l’intervention : • Le mandat et les objectifs d’intervention doivent êtres clairs. • Le mandat et les objectifs varient d’un contexte d’intervention et d’un milieu à l’autre. • Les objectifs de l’intervention doivent être adaptés au mandat et au contexte de l’intervention.

  15. La définition du mandat et des objectifs de l’intervention (avantages) • Permet un véritable consentement éclairé du client. • Favorise l’établissement de l’alliance client-intervenant. • Permet d’aider le client à faire des choix plus mobilisateurs.

  16. Facteurs de l’intervention qui favorisent l’insertion socioprofessionnelle et la protection des clientèles vulnérables 3. La communication de l’évaluation et des pronostics: • La communication doit être claire et sans ambiguïté. • La communication des recommandations et des pronostics doit tenir compte de l’évaluation faite au cours du processus. • Les recommandations et les pronostics doivent favoriser le développement et l’épanouissement personnels et professionnels du client.

  17. La communication des recommandations et des pronostics (avantages). • Permet d’aider le client à faire un choix plus éclairé. • Favorise chez le client une meilleure adaptation à sa réalité. • Affirme notre expertise. • Établit une relation de confiance avec les partenaires et organismes payeurs. • Ultimement, protège les clientèles vulnérables.

  18. Conclusion • En s’appuyant sur notre champ de pratique, sur notre expertise spécifique et sur notre identité, le conseiller d’orientation joue un rôle important de protection des clientèles à risque d’exclusion. Plus encore, il contribue à permettre à ses clients de faire des choix personnels et professionnels, à rétablir leur autonomie socioprofessionnelle et à réaliser des projets de carrière adaptés à leur situation spécifique, et ce, sans égard aux mandats octroyés et au contexte d’intervention dans lequel il pratique.

  19. Le rôle et les défis du conseiller d’orientation et réadaptation professionnellesà l’IUSMM Émilie Bégin, c.o Clinique des premiers épisodes psychotiques, IUSMM

  20. Le contexte et le rôle du c.o à l’IUSMM • 1974 = Discipline orientation et réadaptation • Conseillersd’orientation et psychologues en counseling vocationnel spécialistes de la double problématique --- Santé mentale-Orientation • La discipline est passéed’une douzaine de conseillers à 4 entre 1974-2014 • Intégrés au sein d’équipes multidisciplinaires (en voie de changement) Mandat: • Favoriser la réinsertion au travail de personnesvivantavec un trouble mental grave en leur offrant une démarchecentréesur l’évaluation, l’orientation, la réadaptationet le counseling; • Développer des projets et des partenariats avec la communauté.

  21. Portrait général de la clientèle référée au programme des troubles psychotiques • Adultes de 18 ans et plus • Plus grande proportion d’hommes • Diagnostic dans le spectre de la schizophrénie et des psychoses • Présence de comorbidité importante:abus de substances, troubles de la personnalité, présence d’éléments anxieux et dépressifs • Réseau social limité et peu diversifié • Beaucoup de clients issus de l’immigration • En bris de fonctionnement depuis plusieurs mois auplanscolaire, professionnel et social

  22. Les principaux DÉFIS 1. Établir et maintenir une alliance de travail avec ses clients 2. Assurer une fluidité dans la continuité de services avec l’équipe traitante 3. Bâtir des liens étroits avec nos partenaires de la première ligne (organismes communautaires/employeurs/personneldu milieu scolaire)

  23. Établir et maintenir une alliance de travail avec ses clients (Défi 1) Troiscomposantesde l’alliance de travail • Un accord sur les buts généraux poursuivis • Un accord sur les tâches, qui sont des activités spécifiques, visibles ou intérieures en séance ou entre les séances, que le client aura à accomplir pour que le traitement soit bénéfique • L’établissement d’un lien résidant dans la qualité affective et émotionnelle de la relation entre client et intervenant Corbière et Durand (2011), Du trouble mental à l'Incapactité au travail p.282 Institut universitaire en santé mentale de Montréal ▪ iusmm.ca

  24. Causes dedifficultésde l’alliance • Entrée dans nos services par l’hospitalisation (souvent contre leur gré) • Ordonnance de traitement • Antécédents judiciaires (TAQ) • Abus de substances • Symptômes de la maladie (ex.: difficulté à communiquer, perte de plaisir, manque d’autocritique, hallucinations, délires, déficits cognitifs…) • Refus de divulguer sa problématique de santé mentale (à l’école, à l’employeur…) • Deuils nonrésolus • Différences culturelles • Troubles relationnels • Histoire personnelle et familiale

  25. Établir et maintenir une alliance de travail avec ses clients (Défi 1) Dans le livre « Du troublementalà l’incapacité au travail », on retrouve un chapitre sur l’Alliance de travail (chapitre 10). Un constat important est soulevé : «L’analyse de la littérature amène à prendre conscience de l’extrême faiblesse du nombre d’études ayant porté sur la contribution de l’alliance de travail à la réadaptation au travail»(Lecomte et Savard, p.283)

  26. Établir et maintenir une alliance de travail avec ses clients (Défi 1) Parcontre il est possible de relever certains éléments de la littérature au niveau de la clientèle psychotique : • Le développement de la psychose serait lié à des expériences d’interactions et de communications invalidantes, distordues et chargées émotionnellement à l’excès • Les personnes souffrant de schizophrénie développeraient des formes de monologues avec elle-même et les autres alors que des dialogues sont observés chez les personnes ayant un échange émotionnel positif • Les personnes souffrant de troubles mentaux graves ont une grande sensibilité à toute fluctuation de l’alliance • Finalement, l’alliance de travail positive viendrait jouer un rôle des plus significatif(s) dans le processus de réadaptation au travail.

  27. Exemple de cas • Jeune femme de 25 ans née au Québec de parents d’origine haïtienne • Travaille au Walmart depuis plusde5 ans à temps partiel • Diagnostic de trouble psychotique non spécifié vs maladie affective bipolaire • Motif de consultation : soutien dans son retour aux études • Situation scolaire :échecsscolaires répétés depuis 2012 au cégep dans le cadre d’une technique d’éducation à l’enfance Corbière et Durand (2011), Du trouble mental à l'incapacité au travail Institut universitaire en santé mentale de Montréal ▪ iusmm.ca

  28. Exemple de cas Difficultés rencontrées : • Symptômes de la maladie (manque de motivation, manque d’autocritique par rapport à ses difficultés scolaires, difficultés de planification et de mémorisation, compréhension) • Mère qui exige qu’elle ait un diplôme du collégial et qui met la faute de ses difficultés sur la paresse de sa fille • Refus de la part de la cliente de faire une rencontre conjointe avec l’école pour mettre en place des aménagements pour l’aider dans son parcours scolaire Alliance de travail: • Nous nous sommes entendues pour cibler les obstacles et les aspects positifs de son choix de formation (buts) • Nous avons regardé les différentes options parrapport à son choix de profession • Madame est allée faire des visites dans les garderies (tâches) • Madame est allée à une séance d’information pour une formation intensive d’aide-éducatrice (tâches) • Rencontre conjointe avec la mère, la psychiatre et la cliente pour expliquer les difficultés scolaires • Formation plus concrète permettant une insertion directe sur le marché de l’emploi ou un tremplin vers les études secondaires (en stage présentement)

  29. Assurer une fluidité dans la continuité de services avec l’équipe traitante (Défi 2) • Peu de conseillers en orientation dans le réseau de la santé et des services sociaux • Des attentes de résultats rapides (épisodes de soins) • Des attentes irréalistes : difficultés à comprendre les exigences réelles du marché du travail oudumilieu scolaire • Interventions en orientation scolaire et professionnelle souvent faites en parallèle • Conflits de rôles entre différents professionnels • Absence de partenariat réel avec les organismes de la communauté (1ere ligne)

  30. Bâtir des liens étroits avec nos partenaires de la communauté et de lapremièreligne(Défi 3) • Maintenir une continuité de soins entre les services déjà offerts à l’IUSMM et ceux recherchés dans la communauté • Respecter l’apport de chacun • Définir des objectifs communs (entrele client et les professionnels impliqués) • Donner de l’information, exercer un rôle-conseil • Modifier l’environnement (principes des aménagements/accommodements)

  31. Causes des difficultés de partenariat • Des idéologies différentes,voirecontradictoires • La stigmatisation et l’autostigmatisation de la clientèle • L’invisibilité des incapacités • Le roulement du personnel • La brièveté et le manque de continuité dans les interventions proposées

  32. CONCLUSION Une fois atteint, le but que nous nous étions fixé nous servira de nouveau départ. CARLYLE

  33. Les défis de l’accompagnement auprès d’une clientèle universitaire en situation d’handicap Présenté par Marie Ducharme, c.o., jeudi le 5 juin 2014

  34. Lesdéfis universitaires Des efforts soutenus ; Une adaptation à de nouveaux apprentissages ; Une grande résistance face aux obstacles usuels : études exigeantes, transport, travail, budget, vie sociale et familiale, etc. Cadre de référence et des pratiques d’usage du conseiller aux étudiants en situation de handicap, 2013, AQICESH

  35. Les défis universitaires des étudiants en situation de handicap Pour l’étudiant en situation de handicap, s’ajoutent à ces obstacles d’autres difficultés qui peuvent souvent être difficilement visibles à l’œil nu, mais qui néanmoins, sont tout aussi pénibles. Les études universitaires présentent un défi important pour tous les étudiants. Cela correspond souvent à la consécration d’efforts soutenus et surtout à de grandes attentes face à la réalisation du projet professionnel rêvé. En effet, l’étudiant effectue un parcours parsemé de réussites et d’échecs. Cadre de référence et des pratiques d’usage du conseiller aux étudiants en situation de handicap, 2013, AQICESH

  36. Un grand désir d’autonomie Une confiance en soi ébranlée par des préjugés encore présents ; Un sentiment d’efficacité personnelle moins nourri par des réalisations à la hauteur de ses compétences ; Une insécurité plus importante face aux obstacles qui pourraient se présenter durant son parcours ; Une plus grande impression de ne pas toujours avoir accès à toutes les possibilités pour s’accomplir ; Plus souvent qu’autrement, un besoin de se dépasser qui se manifeste par une attitude d’autonomie au-delà de ce qui est attendu normalement. Ainsi pour cet étudiant, les difficultés à surmonter peuvent sembler omniprésentes. À chaque jour, les services d’accueil et de soutien et leurs conseillers se consacrent à la tâche de faire disparaitre les préjugés qui se pointent sur le parcours que l’étudiant veut réaliser et à le guider vers ce qui est à sa portée. Cadre de référence et des pratiques d’usage du conseiller aux étudiants en situation de handicap, 2013, AQICESH

  37. Des constats sur la participation universitaire • Tendance à la hausse: augmentation de 192,6% de 2005 à 2012 ; • Près de 70% des étudiants en situation de handicap qui font appel aux services d’aide et de soutien aux études, est composé de personnes ayant un TA, TDA/H, TSM, TSA ; • Ces étudiants sont plus présents en sciences humaines que les autres étudiants (42,1% par opposition de 19,1%) ; en sciences administratives, leur présence est moindre (12,3% par opposition à 24,0%) ainsi qu’en sciences de la santé (3% par opposition à 9%) Diagnostic, Formation des personnes handicapées, vue d’ensemble, janvier 2014, CAMO pour personnes handicapées.

  38. Loi 21 : 4 activités réservées au c.o. • Évaluer un personne atteinte d’un trouble mental ou neuropsychologique attesté par un diagnostic ou par une évaluation effectuée par un professionnel habilité à le faire ; • Évaluer les troubles mentaux, lorsqu’une attestation de formation lui est délivrée pas l’Ordre ; • Évaluer le retard mental ; • Évaluer un élève handicapé ou en difficulté d’adaptation dans le cadre d’un plan d’intervention selon l’application de la loi sur l’instruction publique.

  39. L’étudiant Parcours vers un plan d’action, un aménagement ou un accommodement Cadre de référence et des pratiques d’usage du conseiller aux étudiants en situation de handicap, 2013, AQICESH

  40. L’importance d’établir une alliance avec l’étudiant • Discuter ouvertement du problème ; • Accorder du temps ; • Établir clairement les attentes respectives en début de démarche et les répéter au besoin ; • Maintenir les mêmes exigences académiques ; • Éviter les traitements de faveur en raison de la problématique ; • Et surtout, reconnaître les capacités de l’étudiant.

  41. Un capital humain Considérant qu’il y a un manque criant de futurs diplômés, peut-on se permettre d’exclure une catégorie de citoyens désireux de travailler et d’ainsi se priver d’un potentiel humain tout en sachant que : • Les préjugés sont reconnus comme le principal obstacle à l’insertion des personnes atteintes de maladie mentale* ; • Les préjugés sont surtout attribuables à la méconnaissance de la problématique de la personne atteinte de maladie mentale*. *Santé mentale au Québec, 2002, vol. 27, no. 1

  42. Les défis pour les professionnels • Mieux connaître les problèmes associés aux troubles ; • Briser l’isolement des différents professionnels, réduire le sentiment d’impuissance et d’incompétence ; • Mieux définir les rôles et responsabilités ; • Consolider la collaboration à l’université ; • Maintenir un partenariat avec le réseau de la santé et des services sociaux ; • S’assurer de la pertinence des services et des aménagements choisis ; • Assurer un soutien aux enseignants.

  43. Conclusion « L’Ordre des conseillères et des conseillers d’orientation du Québec valorise lui aussi l’ajout de l’évaluation «clinique » du fonctionnement cognitif et affectif, au rôle plus classique de l’évaluation des aptitudes et intérêts de la personne et du contexte scolaire ou socioprofessionnel . La persistance de l’évaluation des situations scolaires et professionnelles distingue toutefois le conseiller d’orientation des autres professions de la relation d’aide plus cliniques, comme la psychologie.» Tiré de : Enjeux 2.4-Le rôle des orthopédagogues et des conseillers d’orientation. CAPRES, novembre 2013 .

  44. Les plaisirs de l’orientation en réadaptation Lynda Tessier, c.o. Conseillère d’orientation et conseillère clinique SDEM SEMO Montérégie Congrès AIOSP 2014

  45. Le client • Importante de créer une alliance de travail • Éviter fausses attentes ou attentes irréalistes • Expliquer la démarche pour obtenir un consentement éclairé

  46. Le client (suite) • Explication de mon mandat • Clarification de l’objectif du client • Clarification de la problématique • Proposition de démarche d’orientation - consentement • Exploration des solutions tentées • Exploration des ressources du clients • Scolarité et expériences professionnelles • Qualités, forces, loisirs • Réseau

  47. Partenaires • Agent référent : • Emploi Québec • Conseiller en main-d’œuvre • Conseiller à l’accueil • Milieu scolaire • Support médical : • Médecin • Psychologue • Psychiatre • Intervenant clinique externe

  48. Partenaires (suite) • Support social : • Travailleur social • Éducateur spécialisé • Intervenant maison d’hébergement • Superviseur de milieu de stage / bénévolat • Intervenant d’organisme de gestion de crise • Ressources du milieu / contacts • Centres de travail adapté (CTA) • Employeurs • Programmes / subventions

  49. Partenaires (suite) • Présentation et échange de coordonnées • Clarification des rôles / mandats / organismes • Échange d’informations concernant le client • Attentes respectives • Présence aux rencontres • En présence du client

  50. Avantages • Émerveillée par l’humain • Relations riches • Travail d’équipe interne et externe • Valorisation • Stimulation intellectuelle continue : • Maladies • Dossiers médicaux • Études de cas

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