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Consolidation des tats financiers apr s la date d acquisition

La consolidation des ?tats financiers est un processus de pr?sentation del'information financi?re.. RAPPEL. Cette forme de pr?sentation de l'information financi?re, exige que les ?tats financiers de lasoci?t? englobante (acqu?reur) incorporent les informations financi?res de la soci?t? acquise.

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Consolidation des tats financiers apr s la date d acquisition

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    1. Consolidation des états financiers après la date d’acquisition 32 906 02 Cours 4 31 janvier 2006

    2. La consolidation des états financiers est un processus de présentation de l’information financière. RAPPEL

    3. Cette forme de présentation de l’information financière, exige que les états financiers de la société englobante (acquéreur) incorporent les informations financières de la société acquise.

    4. Ce qui permet de présenter aux utilisateurs des états financiers l’ensemble du patrimoine économique sur lequel l’acquéreur est en mesure d’exercer un contrôle.

    5. Le processus de consolidation est un processus extra-comptable qui mènera à la présentation de l’information financière regroupée de plus d’une entité juridique.

    6. Les états financiers consolidés sont établis à partir des états financiers individuels des sociétés concernées (technique directe) ou des balances de vérification de celles-ci (technique du chiffrier)

    7. Équation de consolidation Société mère + Filiale ± Écart de consolidation ( +/- value) ± Matérialisation/dépréciation ± élimination des opérations intersociétés

    8. Les étapes du processus de consolidation 1- Répartition du prix d’achat 2- Matérialisation des écarts 3- Dépréciation de l’écart d’acquisition 4- Analyse et traitement des OIS À venir au prochain cours 5- Établissement de la PSC

    9. À la date d’acquisition des états financiers consolidés doivent être préparés Comme les activités de la société mère et de la filiale n’ont pas encore débuté, seul le bilan consolidé diffère du bilan individuel de la société mère Consolidation à la date d’acquisition

    10. Étapes de consolidation à l’acquisition 1- Ventilation du prix d’achat 2- Aucune matérialisation des écarts 3- Aucune dépréciation de l’ÉA 4- Opérations intersociétés: seuls les soldes réciproques du bilan sont éliminés 5- Calcul de la PSC pour le bilan seulement (si filiale non détenue à 100 %)

    11. La consolidation après la date d’acquisition Après la date d’acquisition, les activités économiques de la filiale doivent être intégrées à celles de la société mère puisque cette dernière exerce un contrôle sur la filiale. Les états financiers consolidés devront refléter ce fait

    12. Tous les états financiers devront être consolidés (EFT-EBNR-ER) Toutes les activités de la filiale seront présentées aux EF conso Si des transactions ont eu lieu entre la SM et sa filiale, elles devront être éliminées (prochain cours)

    13. Les actifs/passifs créés au conso seulement devront être matérialisés (amortis)

    14. Les étapes du processus de consolidation 1- Répartition du prix d’achat 2- Matérialisation des écarts 3- Dépréciation de l’écart d’acquisition 4- Analyse et traitement des OIS 5- Établissement de la PSC

    15. La matérialisation des écarts d’acquisition Cette étape du processus de consolidation n’est requise que pour la préparation des états financiers consolidés des exercices subséquents à l’acquisition.

    16. Cette étape exige l’analyse de chacune des plus ou moins value identifiées à l’acquisition en vue de déterminer la fraction matérialisée de celle-ci de même que l’impact de cette matérialisation sur les états financiers consolidés.

    17. Exemple d’application Matérialisation des écarts d’acquisition

    18. Le 1er janvier 2001, A acquiert 80 % des actions ordinaires de F pour la somme de 500 000 $. À cette date la valeur comptable de la filiale s’établissait à 400 000 $. La JVM de ses immobilisations était supérieure de 100 000 $ à leur valeur comptable Énoncé

    19. Les stocks affichaient quant à eux une JVM inférieure de 50 000 $ à la valeur comptable La dette à long terme était évaluée à 30 000 $ de moins que sa valeur comptable.

    20. SOLUTION: Étape 1 (ventilation) Prix payé 500 000$ Moins:Valeur comptable de la filiale (80 % de 400 000) 320 000 Excédent du prix payé... sur la valeur comptable 180 000$

    21. Excédent du prix payé... sur la valeur comptable 180 000 *Plus value sur immo (80 % de 100 000) - 80 000 *Moins value des stocks (80 % de 50 000) 40 000 *Plus value sur la DLT (80 % de 30 000) - 24 000 Écart d’acquisition issu du regroupement 116 000 $

    22. Nous sommes de 31 décembre 2001. A est à préparer ses états financiers à vocation générale. Afin d’établir la matérialisation des plus ou moins value issues du regroupement vous obtenez les informations suivantes: 1 an après le regroupement Étape 2: La matérialisation écarts

    23. Les immobilisations de la filiale avaient une durée de vie résiduelle de 8 ans à la date du regroupement. Les stocks que possédait la filiale à la date du regroupement ont tous été vendus dans l’exercice subséquent au regroupement. La dette à long terme vient à échéance le 31 décembre 2004.

    24. Impact sur le processus de consolidation (technique directe) Immobilisation: La plus value de 80 000 $ identifiée à l’acquisition n’est pas inscrite aux états financiers individuels et par le fait même elle n’est pas amortie. Par ailleurs cette plus-value doit tout de même être matérialisée puisqu’elle ne peut être encore inscrite aux états financiers consolidés une fois l’immeuble sorti ou complètement amorti.

    25. Par conséquent: Matérialisation annuelle = 80 000 / 8 ans = 10 000 /an Immobilisation (plus value) (-) 10 000 Ou Amortissement cumulé immo (+) 10 000 BNR (début) ( ) S/O Dotation amortissement (E/R) (+) 10 000 BNR (fin) (- ) 10 000

    26. Qu’adviendrait-il après 3 ans ? 80 000 / 8 ans = 10 000 / année 31/12/03 = 3 ans = 30 000 Immobilisation (-) 30 000 Ou Am. Cumulé immo (+) 30 000 BNR (début)rattrapage 2 ans (-) 20 000 Dotation amortissement (E/R) (+) 10 000 BNR (fin) (-) 30 000

    27. Qu’est-ce que le rattrapage ??? Le processus de consolidation est un processus extra-comptable Les états financiers individuels ne conservent aucune trace de ce qui se passe au niveau des ajustements de consolidation

    28. À chaque année le processus est repris dans son ensemble et donc ce qui a été passé aux résultats consolidés antérieurs doit être reflété aux BNR conso du début

    29. Les stocks: La moins value de 40 000 $ identifiée à l’acquisition ne doit plus exister aux états financiers consolidés puisque ceux-ci ne sont plus présents aux états financiers individuels. La matérialisation de cette moins-value affectera le CMV de l’année ayant suivi l’acquisition.

    30. Par conséquent: (1 an après) Matérialisation (au moment dans l’année de la vente des stocks) = 40 000 $ Stock (+) 40 000 ( le signe + indique l’élimination de la moins-value) BNR (début) ( ) S/O CMV (stock début) (E/R) (-) 40 000 BNR (fin) (+) 40 000

    31. Qu’adviendrait-il après 3 ans ? La moins value n’existant plus depuis la fin de l’année 1, elle doit toujours être éliminée mais cette élimination n’étant que du rattrapage, elle n’affectera pas l’état des résultats Stocks (+) 40 000 BNR (début)rattrapage (+) 40 000 BNR (fin) (+) 40 000 Le signe (+) au BNR indique que la matérialisation de l’année 2001 a produit un impact positif sur les bénéfices (en réduisant le CMV)

    32. Dette à long terme: La plus value de 24 000 $ identifiée à l’acquisition n’est pas inscrite aux états financiers individuels et ne peut donc pas être « matérialisée ». Cette plus value correspond à un ajustement de la valeur de la dette à long terme qui a été effectuée au moment de l’acquisition afin de tenir compte du fait que les taux en vigueur sur le marché au moment de l’acquisition étaient différents de celui que portait alors la dette.

    33. Le fait que la JV de la dette ait été considérée moindre au moment du regroupement indique que le taux de financement obtenu par la filiale était plus faible que ce qui était alors disponible sur le marché, ce qui a permis au vendeur de bonifier à la hausse le prix exigé pour la vente des actions de la filiale. Par ailleurs cette plus-value ne peut exister au-delà de l’existence de la dette à long terme au bilan de la filiale et doit tout de même être matérialisée.

    34. La matérialisation sera répartie sur la durée restante du financement soit 4 ans à la date du regroupement. La matérialisation affectera le poste Frais financiers à l’état des résultats consolidé

    35. Par conséquent: (1 an après) Matérialisation annuelle = 24 000 / 4 = 6 000/ année Dette à long terme (+) 6 000 ( le signe + indique l’élimination de la plus-value qui a pour effet de réduire la valeur du poste) BNR (début) ( ) S/O Fr. financiers (E/R) (+) 6 000 BNR (fin) (-) 6 000

    36. Qu’adviendrait-il après 3 ans ? Matérialisation annuelle = 24 000 / 4 6 000/ année X 3 ans = 18 000 $ Dette à long terme (+) 18 000 ( le signe + indique l’élimination de la plus-value qui a pour effet de réduire la valeur du poste) BNR (début)rattrapage (2 ans) (-) 12 000 Fr. financiers (E/R) (+) 6 000 BNR (fin) (-) 18 000

    37. Les étapes du processus de consolidation 1- Répartition du prix d’achat 2- Matérialisation des écarts 3- Dépréciation de l’écart d’acquisition 4- Analyse et traitement des OIS 5- Établissement de la PSC

    38. La dépréciation de l’écart d’acquisition Cette étape du processus de consolidation n’est requise que pour la préparation des états financiers consolidés des exercices subséquents à l’acquisition.

    39. Cette étape exige l’établissement du test de dépréciation en vue de savoir si l’écart d’acquisition issu du regroupement a subit ou non une dépréciation. Depuis 2002, les normes comptables excluent le recours à l’amortissement pour la matérialisation de l’écart d’acquisition et exige la dépréciation

    40. Test de dépréciation de l’ÉA L’objectif du test de dépréciation est de vérifier avec le marché s’il y a encore lieu de présenter à la même valeur l’écart d’acquisition résultant de l’acquisition de l’entreprise. Ce poste représente la « survaleur » attribuée aux actions de la filiale au moment du regroupement.

    41. La valeur de l’écart d’acquisition est sujette à des fluctuations lorsque l’environnement de la filiale acquise subit des modifications importantes qui risquent d’affecter sa rentabilité future

    42. Comment effectuer le test de dépréciation de l’ÉA ? Le paragraphe 3062.27 fournit les indications permettant d’effectuer en deux étapes un test de dépréciation qui permet de détecter si l’écart d’acquisition a subit une perte de valeur au niveau de l’unité d’exploitation. Ce test consiste principalement à :

    43. 1- Comparer la juste valeur d’une unité d’exploitation avec sa valeur comptable incluant l’écart d’acquisition.

    44. Lorsque cette comparaison indiquera un excédent de la juste valeur sur la valeur comptable,aucune dépréciation de l’écart d’acquisition n’aura à être constatée Il ne sera pas nécessaire de compléter la deuxième étape du test.

    45. 2- Lorsque la valeur comptable de l’unité d’exploitation excédera sa juste valeur, la juste valeur de l’écart d’acquisition devra être établie

    46. en procédant à une ventilation de la juste valeur de l’unité d’exploitation entre ses différentes composantes actifs et passifs et en attribuant l’excédent à l’écart d’acquisition en conformité avec le paragraphe 3062.32.

    47. Par la suite, une comparaison de la valeur comptable de l’écart d’acquisition avec sa juste valeur calculée précédemment fournira une indication du montant de la dépréciation.

    48. Le test de dépréciation doit être effectué sur une base annuelle, sauf lorsque tous les critères suivants sont en vigueur : 

    49. l’ensemble des actifs et passifs constituant l’unité d’exploitation n’a pas changé de manière significative depuis la dernière évaluation de leur juste valeur.

    50. lors de la dernière évaluation de la juste valeur, un substantiel excédent a été constaté comparativement à la valeur comptable.

    51. l’analyse des événements depuis la dernière détermination de la juste valeur nous permet de conclure qu’il est très improbable qu’une nouvelle évaluation de la juste valeur aboutisse à un montant inférieur à la valeur comptable.

    52. Exemple d’application Dépréciation de l’écart d’acquisition

    53. Nous sommes le 31 décembre 2003. A est à préparer ses états financiers à vocation générale. Jusqu’à présent l’écart d’acquisition n’a subit aucune dépréciation. Afin de pouvoir procéder au test annuel de dépréciation vous obtenez les informations suivantes: Données:

    54. La valeur marchande des actions de la filiale que détient A s’élève à 500 000 $. La valeur comptable de la filiale est de 490 000 $ à ce jour. L’immobilisation offre une juste valeur marchande supérieure de 90 000 $ à la valeur comptable.

    55. Tous les autres éléments de l’actif net ont une valeur comptable correspondant à la valeur marchande.

    56. Test de dépréciation: 1- Comparer la juste valeur d’une unité d’exploitation avec sa valeur comptable incluant l’écart d’acquisition.

    57. JVM 500 000 $ VC ( 80 % x 490 000) + 116 000 508 000 aucun excédent

    58. 2- Lorsque la valeur comptable de l’unité d’exploitation excédera sa juste valeur, la juste valeur de l’écart d’acquisition devra être établie en procédant à une ventilation de la juste valeur de l’unité d’exploitation entre ses différentes composantes actifs et passifs.

    59. JVM 500 000 $ VC ( 80 % x 490 000) 392 000 Excédent 108 000 Plus value immobilisation (80 % X 90 000) 72 000 Écart d’acquisition 36 000 $

    60. Par la suite une comparaison de la valeur comptable de l’écart d’acquisition avec sa juste valeur calculée précédemment fournira une indication du montant de cette dépréciation. Écart d’acquisition initiale 116 000 $ Nouvelle évaluation 36 000 Dépréciation 80 000 $

    61. Impact sur le processus de consolidation (technique directe) Écart d’acquisition: Écart d’acquisition (-) 80 000 Dépréciation écart d’acquisition (E/R) (+) 80 000 BNR (fin) (- ) 80 000

    62. Les étapes du processus de consolidation 1- Répartition du prix d’achat 2- Matérialisation des écarts 3- Dépréciation de l’écart d’acquisition 4- Analyse et traitement des OIS 5- Établissement de la PSC

    63. Établissement de la participation sans contrôle Cette étape finale permet d’obtenir les dernières informations nécessaires pour compléter les états financiers consolidés; les informations relatives à la Participation sans contrôle (PSC), lorsque la société mère ne détient pas le contrôle exclusif de la filiale (détention de moins de 100 % des actions)

    64. La participation sans contrôle BILAN représente la quote-part de l’actif net qui n’appartient pas à la société mère La participation sans contrôle RÉSULTATS représente la quote-part de l’actif net qui n’appartient pas à la société mère

    65. AU BILAN: Valeur comptable de la filiale X % détenu par les actionnaires sans contrôle + ajustements nécessaires pour des opérations intersociétés initiées par la filiale (en amont)

    66. À L’ÉTAT DES RÉSULTATS: Bénéfice réalisé par la filiale X % détenu par les actionnaires sans contrôle + ajustements nécessaires pour des opérations intersociétés initiées par la filiale (en amont)

    67. Exemple d’application Calcul de la participation sans contrôle

    68. Nous sommes le 31 décembre 2003 A est à préparer ses états financiers à vocation générale. Au cours de l’exercice la filiale a réalisé un bénéfice de 45 000 $. Toute les ventes de marchandises effectuées de la filiale à la société mère se sont conclues au coût d’origine. La valeur comptable de la filiale en date du 31 décembre 2003 est de 490 000 $.

    69. Impact le processus de consolidation (technique directe) Cette étape du processus nous amène à calculer directement les postes de la Participation sans contrôle qui paraîtront tant au bilan consolidé qu’à l’état des résultats consolidés. Pour ce faire les équations précédemment démontrées seront utilisées. PSC (bilan) (20 % x 490 000) (+) 98 000 PSC (E/R) (20 % x 45 000) (+) 9 000

    70. Rien de mieux qu’un petit exercice pour s’assurer que tout est bien assimilé. (FA4 déc 2002)

    71. Jeu complet d’états financiers consolidés

    72. La société qui doit présenter des états financiers consolidés doit présenter TOUS ses états financiers sous la forme consolidée Alors que le bilan et l’E/R consolidés sont le résultats de l’addition des postes existants aux états financiers individuels (+ certains ajustements)

    73. Ceci n’est cependant pas nécessairement le cas en ce qui concerne l’EFT et l’EBNR

    74. L’état des flux de trésorerie La préparation de l’état des flux de trésorerie se fait à partir du bilan, de l’E/R et de l’EBNR consolidé. Il s’agit d’effectuer le même travail que lorsque nous préparons l’EFT dans un contexte de « non consolidation »

    75. L’état des bénéfices non répartis La préparation de l’état des bénéfices non répartis se fait à partir du solde de BNR consolidé du dernier exercice. À ce solde s’ajoute le BN conso Duquel sont déduit les dividendes versés par la société mère seulement

    76. La valeur de consolidation Liens avec la consolidation des É/F)

    77. Lorsque la consolidation des états financiers n’est pas requise Lorsque la société mère désire intégrer à ses registres une trace de la performance économique de la filiale Comptabilisation du placement dans la filiale selon la méthode de la valeur de consolidation

    78. La méthode de la valeur de consolidation permet d’intégrer au poste PLACEMENT tous les effets de la consolidation.

    79. La méthode de la valeur de consolidation est également nommée; Consolidation sur une ligne

    80. Lorsque cette méthode est utilisée, le bénéfice net de la société mère ainsi que ses bénéfices non répartis présentent des soldes identiques à ceux obtenus par le processus de la consolidation.

    81. Calcul du poste placement à la valeur de consolidation Prix d’acquisition + % de la variation des BNR de la filiale depuis son acquisition + matérialisation cumulée des écarts d’acquisition - Dépréciation cumulée de l’écart d’acquisition + Élimination des profits/pertes non matérialisés sur OIS

    82. Le poste Placement mesuré à la valeur de consolidation représente ainsi toujours :

    83. Le % détenu de la valeur comptable de la filiale + Le solde non amorti des écarts d’acquisition + Élimination des profits/pertes non matérialisés sur OIS

    84. Produit financier à la valeur de consolidation % des bénéfices net de la filiale pour l’exercice + matérialisation de l’exercice des écarts d’acquisition - Dépréciation de l’exercice l’écart d’acquisition + Élimination des profits/pertes non matérialisés sur OIS + Matérialisation des profits/pertes sur OIS des exercices précédents.

    85. Devoirs: Calculez la valeur de consolidation du placement dans Été que présentera Pastel à son bilan individuel du 31 décembre 2002 si elle décide d’avoir recours à la valeur de consolidation. Selon cette même hypothèse qu’elle sera le revenu de participation qui apparaîtrait à son état des résultats de la même période Complétez les 3 premières étapes du processus de consolidation de l’exercice d’apprentissage (Mère- Fille)

    86. Bonne semaine

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