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SOMMET 2009 SUR LES COMMOTIONS LONDON, ONTARIO JANVIER 2009

SOMMET 2009 SUR LES COMMOTIONS LONDON, ONTARIO JANVIER 2009. Points importants abordés par les intervenants lors du sommet. Dr Charles Tator Dr Margot putukian Dr Michael Czarnota Dr Kevin Guskiewicz Dr robert Cantu Dr Marcus Moore. Dr Charles Tator.

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SOMMET 2009 SUR LES COMMOTIONS LONDON, ONTARIO JANVIER 2009

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  1. SOMMET 2009 SUR LES COMMOTIONSLONDON, ONTARIOJANVIER 2009

  2. Points importants abordés par les intervenants lors du sommet • Dr Charles Tator • Dr Margot putukian • Dr Michael Czarnota • Dr Kevin Guskiewicz • Dr robert Cantu • Dr Marcus Moore

  3. Dr Charles Tator • Les commotions sont les blessures sportives les plus communes (Cantu. 1996) • Les dix activités causant des traumatismes crâniens sévères en Ontario (décembre 2008) 1-Cyclisme 6-Ski 2-Motoneige 7-Hockey 3-Véhicule tout terrain 8-Baseball 4-Glissade 9-Bâteau 5-Cour de récréation 10-Patinage

  4. Définition d’une commotion Altération immédiate et temporaire du fonctionnement mental du à un traumatisme. Le traumatisme peut ne pas être à la tête

  5. Symptômes Immédiat (un ou plus) • Amnésie • Perte de conscience • Mal de tête • Vertiges • Nausée • Perte de concentration • Perte de vision

  6. Symptômes Après quelques heures/jours • Pertes de mémoire • Fatigue • Vision floue • Vertige • Sensibilité à la lumière • Silement dans les oreilles • Insomnie • Irritabilité • Changement de personnalité • Vision double • Crise (seizure) Si ces symptômes persistent, on parle de syndrome post commotion

  7. Symptômessemaines mois • Démence • Dépression • Suicide • Homicide

  8. Prévention des blessures à la tête au hockey • Attitude des entraîneurs, stratégies de prévention • Entraînement • Arbitrage • Changement des règles (coup à la tête, mise en échec par derrière) • Équipement- Casques, protège dents • Sortir le joueur du jeu

  9. Gestion des commotions aujourd’hui NE JAMAIS RETOURNER UN JOUEUR AU JEU AVANT QUE LES SYMPTÔMES AIENT COMPLÈTEMENT DISPARU LORS D’UN TEST D’EXERCICE PROVOQUÉ

  10. Test d’exercice provoqué Étape 1: Aucune activité. Repos complet (mental et physique) Procéder à l’étape 2 lorsque les symptômes au repos auront disparu Étape 2: exercice aérobique léger comme la marche ou vélo stationnaire. Porter attention aux signes et symptômes. Aucun entraînement en résistance ou avec des poids Étape 3: Activité spécifique au sport et à l’entraînement. Ex; patiner

  11. Test d’exercice provoqué Étape 4: Exercices sans contact physique Le temps de passage aux exercices avec contact physique dépend de la sévérité de la commotion et de l’état du joueur. On ne doit pas passer à l’étape 5 avant d’avoir eu l’accord médical. Si les symptômes se manifestent à n’importe quelle étape, on revient à l’étape précédente • Étape 5: Début des exercices avec contact • Étape 6: Retour au jeu

  12. Conclusion • Les commotions sont des blessures sérieuses, elles peuvent provoquer des dommages permanent au cerveau • Elles peuvent être prévenues • La majorité des blessures à la tête peuvent être prévenues • Les effets à long terme des commotions peuvent être réduites • La prévention est la seule et unique cure

  13. Dr Margot Putukian Progression du retour au jeu • Lorsque le joueur est asymptomatique • Après qu’il ait été confronté à l’exercice cardiovasculaire • Après qu’il ait fait des exercices spécifiques au sport • Après qu’il ait fait des exercices lié à son sport avec contact limité • Après qu’il ait fait des pratiques sans limites spécifiques • Retour au jeu • En combien de temps cette progression se fait?

  14. Progression du retour au jeu • La progression d’une étape à l’autre devrait prendre au moins 24h • Si le joueur échoue l’étape, on revient à l’étape précédente • Il n’y a pas de temps désigné pour chaque étape • Le retour au jeu est une progression individualisée • Si l’expertise est disponible (neuro, posturo) la progression pourrait être plus rapide chez un adulte

  15. Dr Michael Czarnota Les blessures au cerveau sont différentes • On ne peut y mettre de la glace • On ne peut y faire un bandage • On ne peut pas y faire un attelle • On ne peut y faire une arthroscopie • On ne peut le réparer chirurgicalement

  16. Barrières au signalement Football scolaire (mcCrae, et al. 2004) • 47,3 % ont rapporté la blessure à l’entraîneur ou au thérapeute sportif • 66,4% C’est pas assez sérieux pour en parler • 41% On peur d’être mis à l’écart du jeu • 36,1 % ne sont pas assez informés, alors ne pensent pas être blessés • 19% Ne veulent pas laisser tomber leur coéquipiers

  17. Facteurs à considérer • Les athlètes plus jeunes ayant eu une commotion peuvent avoir été soumis à une plus grande force • Les joueurs de hockey de 14-15 ans frappent avec une force équivalente aux joueurs de football collégiaux (mihalic, et al, 2008) • Les athlètes d’âge de l’école secondaire prennent typiquement plus de temps à récupérer que des athlètes collégiaux et professionnel • Comportement à risque des jeunes (se frapper ds les casiers) (Gordon et al. 2006)

  18. Dr Kevin Guskiewicz Est-ce que les TBI peuvent être des facteurs de risque pour la dépression clinique? La pathophysiologie d’une dépression suivant TBI n’est pas très bien comprise, mais on croit qu’elle est influencée par un ensemble de facteurs: • Neurobiologique • Neuroanatomique • Neurochimique • Psychologique

  19. Revue de la littérature 1972-1998 • 42-77 % des patients ayant eu TBI ont vécu des périodes de dépression dans l’année suivant la blessure • Le groupe ayant eu un TBI léger ont expérimenté une proportion significativement plus élevé de cas impliquant une période de dépression comparativement au groupe ayant subi un TBI sévère (alexander et al. 1992) • Les symptômes de dépression sont associés à des sous groupes spécifiques de cas de TBI étant probablement lié à un degré de sévérité de blessure demandant une récupération de 8 mois.

  20. Dr Robert Cantu Risque d’un retour au jeu le jour même • Commotion répétée avec un syndrome post commotion prolongé • Syndrome du second impact • Encéphalopathie traumatique

  21. Commotions • Peuvent être causées par un coup direct à la tête ou ailleurs sur le corps avec une force impulsive transmise à la tête • entraîne habituellement l'apparition rapide et de courte durée de troubles neurologiques disparaissant spontanément • Peut causer des modifications neuropathologiques, mais les symptômes aigus reflètent des troubles fonctionnel de base plutôt que de blessures structurelles

  22. Commotions (suite) • n'aboutit pas à une anomalie sur des études d’images neurologiques standard (MRI, CT) • la résolution des symptômes suit généralement une séquence mais parfois peut être prolongée ou permanente

  23. Références • L’ensemble des affirmations et des données ont été recueillies lors sommet de London sur les commotions au hockey du 17 janvier 2009. • www.thinkfirst.ca est un site donnant beaucoup d’informations sur la gestion des commotions pour les parents, les athlètes et les entraîneurs

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