Présentation aux entreprises du 03 décembre 2003

1. Serge Cravatte Formulaire unique « environnement »en particulier,Parcours de l’information : collecte, transmission, exploitation. Présentation aux entreprises du 03 décembre 2003

2. Présentation Serge CRAVATTE Direction informatique du Ministère de la Région wallonne Pilotage des développements du formulaire « au sens large » Objectif Exposer comment la Région entendconcrètement, à partir de 2005collecter les informations de la manière la plus pratique et la plus efficace possiblepour vous comme pour elleet comment elle entend les exploiter au mieux. Introduction

3. Contenu de la présentation • 1. La collecte des données auprès des industries • 2. La transmission des données à l’administration • 3. L’exploitation des données ainsi collectées • 4. Conclusion • 5. Pour les friands de technologie

4. 1. La collecte des données (1/3) • Via un formulaire, mais « moderne et intelligent » c ’est-à-dire : • électronique et « remplissable » sur internet(version unique, à jour, remplissable en ligne avec un simple navigateur internet) • d’accès sécurisé(login = numéro BCE, mot de passe fourni individuellement, HTTP(S)) • graphiquement conforme à la charte RW(aspects e-gouvernement) • sémantiquement adapté au public cible(pas de représentation organique, orienté catégories de données : dépenses environnementales, déchets industriels, émissions polluantes, déchets dangereux, LCP, …)

5. 1. La collecte des données (2/3) • pré-rempli (sources authentiques de données) • données signalétiques générales (BCE et/ou référentiel MRW) • données environnementales générales (référentiel environnemental) • données spécifiques (BDs locales) • Principes des sources authentiques de données : • pour chaque donnée, il y a un et un seul endroit où cette donnée est censée être la plus correcte et la plus à jour possible (…) • cet endroit doit être désigné et/ou reconnu par tous • évitons de dupliquer les données ou de les redemander aux entreprises/citoyens • consultons la source, en fonction des besoins (justifiés), de manière sécurisée et en utilisant un identifiant unique commun • tout le monde y gagne (gestion plus rationnelle des données, guichet « virtuellement » unique, …)

6. 1. La collecte des données (3/3) • dynamique(les entreprises ne sont interrogées que sur ce qui les concerne) • « dossier en ligne » plus que formulaire(volets avec statuts de remplissage propres, échéances multiples, sauvegardes intermédiaires, consultation des années antérieures, …) • last but not least « intelligent »(listes de valeurs statiques ou dynamiques, valeurs par défaut, fonctions de duplication ou de calcul, contrôle du remplissage obligatoire ou de l’ordre de remplissage, contrôle syntaxiques, …)

7. 2. La transmission des données (1/2) • Clôture du formulaire et « envoi » à l ’administration • envoi  envoi électronique(nécessite une signature électronique) • envoi = soumission électronique + envoi papier + récupération électronique • Soumission électronique • génération d’un identifiant de dossier unique et horodaté • formulaire plus modifiable par l’industrie • formulaire accessible par l’administration

8. 2. La transmission des données (2/2) • Envoi papier • impression du formulaire avec l’identifiant • signature manuscrite et envoi postal • Récupération électronique • vérification de la correspondance des identifiants • validation des données • récupération dans une base de données « tampon » • Objectif du double flux : «électronique» et «papier» • malgré l ’absence de signature électronique, éviter le temps et les erreurs liées à un réencodage des données

9. 3. L ’exploitation des données (1/3) • La base de données « tampon » •  une base de plus •  une future base unique • = une base (et une interface) pour l’encodage des dossiers qui viendraient uniquement sous forme papier • = une base de transit des données des dossiers électroniques vers • des bases de données spécifiques à des services particuliers • la base de données « référentiel environnemental »

10. 3. L ’exploitation des données (2/3) • La base de données « référentiel environnemental » • pilier du projet d’informatisation du formulaire • à concevoir et mettre en oeuvre en parallèle • utilisée en amont pour le pré-remplissage du formulaire et en aval pour l ’enregistrement des données collectées qui sont « transversales » à la DGRNE • destinée à devenir la source authentique des données à caractère environnemental de la DGRNE (accessible bien sûr également par d’autres services publics) • munie à cet effet d’une interface d ’accès (UME ou autre), d ’une interface de gestion, de possibilités de reporting, de statistiques, de datawarehousing, ….

11. 3. L ’exploitation des données (3/3) • Schématiquement :

12. 4. En conclusion (1/1) • Derrière l’informatisation « stricto sensu » du formulaire (déjà complexe en soi) : • recours à des sources authentiques de données de différents « niveaux » (aspects sémantiques et techniques) • recours à l’identifiant BCE unique comme élément fédérateur • création d’une source authentique de données(avec toutes les conditions à remplir que cela suppose) • re-engineering progressif de l’organisation des données, des applications « back-office » et des processus

13. 5. Aspects technologiques (1/1) • Accès au formulaire (3 tiers) • configuration client • windows 95, 98, millenium, NT4 ou 2000 • Navigateurs IE5, IE6 ou Netscape 5 • Java plug-in JRE 1.3 de SUN (téléchargeable) • configuration serveurs • serveur BD Oracle 8.i (sur NT ou Unix) • serveur Applicatif Microsoft Internet Information Server (sur NT) • respect de la norme J2EE (Apache, Jboss, Tomcat) • BD référentiel environnemental (2 tiers) • serveur BD Oracle 8.1.7 (sur NT) • powerbuilder v7 ou plus

14. F I N