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Accompagnement social et éducatif spécialisé  Module D :  « Vie sociale » 27/11/2013 17:35

Accompagnement social et éducatif spécialisé  Module D :  « Vie sociale » 27/11/2013 17:35. L’Institution "spécialisée"  Approche sociologique

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Accompagnement social et éducatif spécialisé  Module D :  « Vie sociale » 27/11/2013 17:35

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  1. Accompagnement social et éducatif spécialisé Module D :  « Vie sociale »27/11/2013 17:35 L’Institution "spécialisée"  Approche sociologique 2013 / 2014 Mohamed DARDOUR

  2. Système social global Sous-systèmes / micro-systèmes sociaux et interactions PAIO / Missions locales Hôpital famille Etat Syndicats Justice TS / institutions sociales et médico-sociales Formations politiques Église Régies de quartier Entreprise Associations sportives École

  3. III – Institution Un construit social « C’est un ensemble de formes, de modèles , de moules de conduites, admis dans une société donnée, et destinées à exercer certaines fonctions » Jean Stoetzel, La morphologie sociale.1978 Les sociologues : « Les institutions sont un ensemble d’actes ou (et) d’idées toutes instituées que les individus trouvent devant eux et qui s’imposent plus ou moins à eux ».

  4. A - Institution et organisation C’est « la mise en ordre d’un stock de ressources diverses pour en faire un instrument ou un outil au service d’une volonté poursuivant la réalisationd’unprojet ». Raymond Boudon, Dictionnaire critique de sociologie. Ed. du seuil, 1982. Elle désigne une organisation sociale fonctionnant selon des règles établies. L’institution est, donc, un système social organisé.

  5. Organigramme Foyer d’hébergementPersonnes handicapées mentales

  6. Association Gestionnaire Président de L ’association Conseil d’Administration Comité de Gestion Directeur Conseil d’Etablissment Médecin psychiatre Services généraux Sect. administratif Secteur des soins Sect. pédagogique Sect. Éducatif Secteur social • Agents serv. intérieur • Chauffeur - factotum • Comptable • Secrétaire • Aide comptable - Personnel Psychologique • Ed. Sp (6) • Et • - AMP Infirmière chargée de relations avec familles Instituteurs ou profes. des écoles spécialisées - Pers. Para médical Groupe F Instituteur spécialisé 1 Éducateur spécialisé Groupe E Instituteur spécialisé 1 Éducateur spécialisé Cycle 1 1AMP Groupe D Instituteur spécialisé 1 Éducateur spécialisé Groupe C Instituteur spécialisé 1 Éducateur spécialisé Cycle 2 Groupe BInstituteur spécialisé 1 Éducateur spécialisé Groupe A Instituteur spécialisé 1 Éducateur Technique spécialisé Cycle 3

  7. Division du travail La DT est une répartition et une spécialisation de tâches nécessaire à la production de biens ou de services entre les individus ou les groupes sociaux dans une institution, dans une société donnée.

  8. Stratification / différenciation / complémentarité Organigramme :

  9. Schéma Commandement Dimension politique Hiérarchie : Division sociale du travail + / - + / - + / - Prestige + qualifications + Axe hiérarchique Axe coopératif Pouvoir + Dimension technique et fonctionnelle Compétences Prestige - qualifications - + / - + / - + / - Pouvoir - Complémentarité : - Division technique du travail « Obéissance »

  10. Secteur spécialisé Dans la cadre du secteur de l’éducation spécialisée (social, socio-éducatif et médico-social), le terme institution est encadré par la définition de la Loi n°75 – 535 du Juin 1975. Il s’agit : « desorganismes publics ou privés qui, à titre principal et de manière permanente, prennent en charge des personnes qui requièrent une protection particulière »

  11. Principes Le respect de la dignité L’intégrité La vie privée L’intimité et la sécurité le libre choix entre les prestations à domicile ou en établissement Moyens Un accompagnement individualisé et de qualité respectant un consentement éclairé de la personne ou son représentant légal La confidentialité des données concernant la personne L’accès à l’information L’information de la personne sur ses droits fondamentaux et les voies de recours disponibles La participation directe au projet d’accueil et d’accompagnement Projet – valeurs fondamentales et fondatrice de l’accompagnement éducatif et social de la personne et, donc, de la relation éducative

  12. Principe juridiqueL’usager comme « sujet de droit »

  13. Principales loisrégissant le secteur social, médicosocial et sanitaire • Loi 2002-02 rénovant l’action sociale et médico-sociale • Loi de cohésion sociale du 18 janvier 2005 • Loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées • Lois du 05 mars 2007 : • « Enfance délinquante » • Protection de l’enfance • Protection des majeurs (tutelles / curatelles) • Loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé • Loi « Hôpital, Patients, Santé et Territoires » du 21 juillet 2009 • « Recommandations de bonnes pratiques » de l’ANESM (Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux)

  14. Règlement Intervenants sociaux /« usagers »Exemple : Maison d’enfants • Le règlement doit être connu de tous, les personnels et les enfants accueillis • Il fixe les droits et les devoirs de tous pour que chacun ait sa place au sein de l’institution. • Sa mise en œuvre est de la responsabilité de tous • Il repose sur le respect réciproque que nous nous nous devons : « ne fais pas à l’autre ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse • Il oppose à la loi de la jungle (du plus fort) l’application des règles (droit à être écouté et justement sanctionné) • Il est fondé sur la responsabilité particulière de l’adulte vis-à-vis des jeunes :tout adulte de l’Institution se doit de protéger le mineurs. Cette mission lui attribue une autorité particulière que l’enfant doit accepter.

  15. Les droitsSuite • Droit au respect • Droit à l’intimité • Droit d’avoir une vie sociale • Droit à la sécurité

  16. D – Activités

  17. Centre de Jour Public et problématique "L'atelier Resto" est le support professionnel du Centre de Jour créé au Centre d'Action Éducative de la ville du L. , à l'intention des jeunes sous protection judiciaire du département.Beaucoup de jeunes suivis dans le cadre du Centre de Jour se trouvent en échec scolaire ou professionnelIl accueille en permanence 5 jeunes faisant l'objet d'une mesure éducative ordonnée par un magistrat.

  18. Objectif Réinscrire les publics accueillis dans une dynamique d'insertion sous entend de leur proposer des activités suffisamment motivantes et valorisantes pour permettre dans un premier temps de les "accrocher" et les maintenir dans une action de formation.

  19. Le dispositif"Atelier Resto" • Le jeune est orienté sur l'atelier selon son souhait ou lorsqu'il apparaît impossible de déterminer à l'avance des objectifs précis et lorsque aucune solution éducative d'un autre type n'est envisageable • Chaque jeune a un emploi du temps personnalisé élaboré en concertation entre l'équipe du Centre de Jour et son référent éducatif.Il repose sur une pluralité de propositions qui peuvent varier selon les besoins:- remobilisation scolaire - atelier restaurant - activités sportives et culturelles - atelier thématique (découverte du chocolat)

  20. Objectifs de l’atelier A partir du restaurant ouvert au public 2 jours par semaine,il s'agit de:- sensibiliser les jeunes ou de se former aux métiers de la restauration- leur apporter des notions d'hygiène alimentaire et d'élargir leur connaissance du goût- utiliser leurs motivations pour les faire progresser individuellement dans un cadre sans un étiquetage dévalorisant.

  21. Activités sportives et culturelles

  22. Centre de Jour-PJJ - Stage FSE

  23. CAE suite Action de formationPermis de conduire (16 jeunes) • Objectif : Réinscription socialeImpliquer les jeunes dans une dynamique d'insertion enleur proposant des activités suffisamment motivantes et valorisantes pour permettre dans un premier temps de les "accrocher" et les maintenir dans une action de formation. • Moyen : Construire une action de formation d'une durée de 7 mois, autour de ce support, en partant des besoins des jeunes. Les modules suivants composent le stage "Permis de se Conduire"

  24. Formation : permis de conduire

  25. Suite Les possibilités Le support permis de conduire offre de nombreuses possibilités :- actions sur la citoyenneté,- support à l'apprentissage de base (français),- meilleure "employabilité",- plus de mobilité durant les stages,- grand intérêt des jeunes...

  26. ActivitésSéjour parents-enfants CAE

  27. Poteries et Travail de la Terre • Publics : 2 mères de familles et leurs enfants ( dont une a désisté). • Ont participé: • - une mère et ses trois jeunes enfants (7 mois, 5 et 8 ans) • - un adolescent de 14 ans, • deux adolescentes de 15 et 13 ans, - une pré adolescente de 10 ans • Cadre et conditions : • - calme de la campagne, la nature des habitations anciennes, la gentillesse des accueillants, autant d'éléments qui engendrent la détente. • - dépaysement total qui surprend le petit groupe qui trouve rapidement son rythme et ébauche ses relations. .

  28. Poteries et Travail de la Terre (Suite) Le travail de la terre s'est déroulé chaque matin de neuf heures à treize heures, avec une étonnante attention et une bonne accroche avec les pédagogues ; différentes techniques ont été abordées : - Modelage, sculpture, moulage, tournage.

  29. Poteries et Travail de la Terre (Suite 2) La mère de famille et les adolescents ont été, bien sûr, plus assidus que les petits, mais chacun, à la mesure de ses envies a produit ses oeuvres. Le bébé, ses empreintes de pieds, les petits des bonhommes, les adolescents des pots et des masques, la maman des pots.Le dernier jour, la découverte de la cuisson émaillée à 1300° représente surprises et fruits de l'imagination de chacun (valorisation compétences et restauration de l’estime de soi).

  30. Poteries et Travail de la Terre (Suite 3) • Les repas ont été parfois agités entre l'inhabitude des adolescents à dialoguer à table et l'instabilité des plus petits.La diversité des âges n'a pas constitué un handicap, les adolescents ont assisté la maman...qui a joué comme une adolescente. Les petits recherchant la compagnie des grands. • Notre rôle étant d'éviter les abus, les débordements afin que chacun profite du séjour (exemple: limiter le rôle d'une adolescente très « maternante » vis à vis du bébé).(Espace – cadre d’observation).

  31. Activités et rythme quotidiende l’accompagnement éducatif et social

  32. ACTIVITES ET RYTHME QUOTIDIENExemple CHRS Post-cureSocialisation normativePlanning des résidents

  33. ACTIVITES ET RYTHME QUOTIDIEN CHRS Post-cure Socialisation normativePlanning des résidents

  34. Activités Service Accueil et d’Activités de Jour (S.A.A.J.)Adultes en situation de handicap

  35. Activités éducatives et sociales • Un quotidien ritualisé • Un support à la relation et à l’accompagnement • Un soutien psychique

  36. F - Environnement social partenariat et réseau

  37. Environnement social et partenariat Depuis novembre …, date de l'ouverture de l'atelier, unevingtaine de jeunes ont participé à l'activité du restaurant.De plus nous avons réussi à fidéliser nos nos partenaires tels que:La Mission Locale, la Direction Départementale du Travail et de l'Emploi et de la Formation Professionnelle, l'Éducation Nationale, la Gendarmerie, la Police et les Magistrats...

  38. Environnement social et partenariat Centre de Jour Stage Permis de conduire (16 jeunes) Exemple :le stage "Permis de se Conduire - modules de base (remise à niveau en français et mathématiques)- interventions de personnes ressources dans différents domaines économiques, sociaux, médicaux et législatifs,- sport,- ateliers culturels et artistiques,- code de la route et conduite,- atelier manuel code de la route où les jeunes travaillent à la construction d'un manuel version bande dessinée,- stages en entreprises Ce stage a mobilisé de nombreux partenaires financiers. Le Fond Social Européen co-finance cette action à hauteur de 45%. Les autres fonds proviennent de la municipalité de Dijon, de la Préfecture, de la Protection Judiciaire d

  39. Environnement et partenariat (Suite ) Le stage « permis de conduire » a mobilisé de nombreux partenaires : - Partenaires financiers. Le Fond Social Européen co-finance cette action à hauteur de 45%. Les autres fonds proviennent de la municipalité, de la Préfecture, de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, du Contrat de Ville, la fondation MACIF. - Partenaires prenant en charge les jeunes sont l'Institut Régional de Formation pour Adultes, la Mission Locale, la Protection Judiciaire de la Jeunesse, la Sécurité sociale …, Associations et clubs sportifs..

  40. V – Institution spéciale : une typologie pour analyser et comprendre le fonctionnementinstitutionnel

  41. « INSTITUTION DÉMOCRATIQUE »Loi de 02 Janvier 2002 relative au secteur social et médico-social A notamment pour objectif de développer les droits des usagers accueillis dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux.

  42. LeLivretd’accueil : afin de garantir l’exercice de ses droits et notamment prévenir tout risque de maltraitances, lors de son accueil dans un établissement ou un service social ou médico-social, il est remis à la personne ou à son représentant légal. La Charte des droits et des libertés de la personne accueillie. Elle est annexée au livret d’accueil. Contrat de séjour et document individuel de prise en charge. Ces 2 documents définissent les objectifs et la nature de la prise en charge ou de l’accompagnement dans le respect des principes déontologiques et éthiques des recommandations de bonnes pratiques professionnelles et du projet d’établissement. Un conseil de vie sociale:(anciennement appelé conseil d’établissement) Conciliateur. C’est une personne qualifiée à laquelle toute personne prise en charge par un établissement peut faire appel en vue de l’aider à faire valoir ses droits. Un règlement de fonctionnement : il définira les droits de la personne accueillie et les obligation et devoirs nécessaires au respect des règles de vie collective au sein de l’établissement. Un projet d’établissement Outils préconisés pour la mise en œuvre

  43. La non discrimination liée aux caractéristiques physiques, génétiques, à l’orientation sexuelle, au handicap, à l’âge, aux opinions et convictions; Le droit à une prise en charge ou un accompagnement (individualisé et adapté Le libre choix , Droit à l’information Le consentement éclairé La participation Le droit au respect des liens familiaux Application Prévention et soutien (art. 9) prévenir les conséquences affectives et sociales qui peuvent résulter de la prise en charge ou de l’accompagnement; Droit à la protection et à la sécurité , y compris le respect de la confidentialité des informations concernant la personne accueillie; Droit à l’autonomie; droit à l’exercice des droits civiques; Droit à la pratique religieuse; Le respect de la dignité et de l’intimité de la personne accueillie. Droits des usagersLa charte des droits et des libertés des personnes accueilliesdans un établissement ou un service social ou médico-socialPrincipes et valeurs – Arrêté du 08 Septembre 2003

  44. Une instance qui opère à partir d’un principe fondamental : le déni de l’individu en tant que personne et de sa singularité, alors qu’il est en situation de fragilité, de vulnérabilité, de marginalité, d’exclusion. C’est la question de la dignité

  45. Les principes de la dignité - Droit au respect - Droit à l’intimité • Droit d’avoir une vie sociale • Droit à la sécurité (protection) • Respect des convictions religieuses ou philosophiques

  46. C - Institution « totale »

  47. Institution Ordres sociaux, rationalités - légitimités Une synthèse

  48. Institution : ordres sociaux - rationalités – légitimités Une synthèse Champ poli. Ch. Social Commande Publique Réponse éducative ‘’Spécialisée’’ Demande sociale

  49. Références bibliographiques • L’institution : entre le pire et le meilleur. Approche compréhensive d’un « espace potentiel institutionnel » dans un foyer pour personnes handicapées mentales. Forum. - Revue de recherche en travail social n°94 –Décembre 2000. • La sexualité en institution. Revue Le journal du droit des jeune n°227, Septembre 2003. • Loi n°2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale • Loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées • Castel Robert, 2004, L’insécurité sociale. Qu’est ce qu’être protégé? Editions PUF • Chapellier Jean-Louis, Zribi Gérard, Penser le handicap mental, Ed.Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique, 2005 , 264 p. • Chavaroche Philippe, Le projet individuel : Repères pour une pratique avec des personnes gravement handicapées mentales, Erès, 2006,134 p. • Crozier M. et Friedberg E., 2000, L’acteur et le système. Ed. Seuil • Dardour Mohamed, 2010, Corps de femme, regard d'homme. Une anthropologie des rapports sociaux.Du côté du corps. Revue Diversité. Ville, Ecole, Intégration N° 160, Mars, Centre national de documentation pédagogique. • Dardour Mohamed, 2009, « Quand la société se démarque de sa jeunesse ». Sous la direction de J. Cassagnaud, Le passage à l'âge d'Homme.Cultures et sociétés-Sciences de l'Homme n° 9, janvier • Dardour Mohamed, 2008, « Filles et garçons dans les territoires de relégation. De quelques propriétés du rapport de genre ». In Parité et différenciation : la question du genre?Forum, Revue de la recherche en travail social n°122, décembre, .

  50. Références bibliographiques • Dardour Mohamed, 2008, « Ange ou démon. Cosmogonie du handicap et de la personne handicapée ».  In  Monstres, chimères et handicapés.  Sous la direction de Jean-François Gomez. Revue Cultures & Sociétés. Sciences de l'Homme n° 8,  Octobre, • Dardour Mohamed, 2005, Formation et professionnalisation. Quelle place pour le projet dans la formation des travailleurs sociaux? Forum, Revue de Recherche en travail social N°109, Juin • Dardour M., 2005 : La notion de projet en travail social. Perspective socio-anthropologique. Centre de documentation , ERTS. • Dardour Mohamed, 2005, La prévention spécialisée à l’épreuve de la question sociale.Revue Sciences de l’Homme & Sociétés N° 76, Avril. • Dardour Mohamed, Le projet, enjeu pour l’intervention sociale. Quatre perspectives. A paraître. • Dubar Claude, 2010 : La socialisation. Construction des identité sociales et professionnelles. Ed. A. Colin • Dubet François, 2002, Le déclin de l’institution. Ed. Le Seuil • Durkheim E., 1985, Les règles de la méthode sociologique. Cf Chapitre 1 : « Le fait social ». Ed. PUF. • Gaberan Ph., Cent mots pour être éducateur : Dictionnaire pratique du quotidien, Erès, 2007, 158 p • Durkheim E.,2002, Le Suicide Ed. PUF • Foucault, 1975, Surveiller et punir. Ed. Gallimard. • Goffman Erwing, 1975. La mise en scène de la vie quotidienne. Ed. Le Seuil • Goffman E., 1975, Asiles. Ed. Ed. Le Seuil • Goffman E., 1975 , Stigmates. Lesusages sociaux du handicap. Ed. Minuit • Karsz S., Pourquoi le travail social ? Définitions, figures, clinique. Ed. Dunod, 2004. • Gomez JF. 2005, Anthropologie des rites. Handicaps et handicapés. Ed. Desclée. • Mucchielli Roger, Le travail en équipe : Clés pour une meilleure efficacité collective, ESF, 2009, 208 p. • Reynaud J. Ph., 1997 : La règle du jeu. L’action collective et la régulation sociale. Edition A. Colin. • Weber Max, 1968 : Economie et société. Chapitre 1 : « Sociologie comme activité sociale ». Ed. Plon.

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