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DEFICIENCES INCAPACITES HANDICAP

DEFICIENCES INCAPACITES HANDICAP. Dr Anne BLANCHARD Service MPR Hôpital Swynghedauw. CLASSIFICATIONS. Classification de Wood : 1980 CIDIH : Classification Internationale Déficiences Incapacités Handicap Déficiences

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DEFICIENCES INCAPACITES HANDICAP

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Presentation Transcript


  1. DEFICIENCES INCAPACITES HANDICAP Dr Anne BLANCHARD Service MPR Hôpital Swynghedauw

  2. CLASSIFICATIONS Classification de Wood : 1980 CIDIH : Classification Internationale Déficiences Incapacités Handicap Déficiences 1e niveau dans le processus qui aboutit au handicap = lésion (ex : hémiplégie) perte de substance ou altération d’une structure ou fonction (psychologique, physiologique ou anatomique)

  3. CLASSIFICATIONS Classification de Wood (CIDIH) : 1980 Incapacités 2e niveau = fonction (ex :perte de la marche) réduction partielle ou totale de la capacité d’accomplir une activité d’une façon normale ou dans les limites considérées comme normales

  4. CLASSIFICATIONS Classification de Wood (CIDIH) : 1980 Handicap = désavantage 3e niveau = situation = conséquence des déficiences ou des incapacités = social (ex : incapacité à faire ses courses) limitation ou interdiction d’accomplissement d’un rôle social normal obstacles dans les activités familiales, de loisirs, de formation, de travail ou dans toute activité sociale ou en relation avec l’environnement et le cadre de vie.

  5. CLASSIFICATIONS Classification de Wood (CIDIH) : 1980 Inconvénients : Met trop en avant l'aspect fonctionnel du handicap et pas assez son aspect social exclusion de la dimension environnementale Handicap considéré comme un phénomène individuel

  6. CLASSIFICATIONS Classification Internationale du Fonctionnement, du Handicap et de la Santé (CIF) ou CIH-2 Elaborée début 90, approuvée en 2001 par l’OMS Due à l’intervention des associations de malades ≠ classification des personnes

  7. CLASSIFICATIONS nouvelle typologie du handicap qui prend plus en compte les facteurs environnementaux handicap = rencontre d'une déficience avec une situation de la vie quotidienne Ces deux composantes sont soumises à l'influence de problèmes de santé (maladies, blessures, lésions) et de facteurs contextuels (environnement et facteurs personnels).

  8. CLASSIFICATIONS CIF s’applique à TOUS les individus Handicap : modèle créé par la Société, n’est plus uniquement du à l’individu et à sa pathologie lié aux facteurs environnementaux  Codage précis

  9. CLASSIFICATIONS Les précédents trois axes d'identification du handicap (les déficiences, les incapacités, les désavantages), sont remplacées par les quatre catégories suivantes : Fonction organique (fonction mentale, sensorielle, digestives etc.), c'est-à-dire le domaine de fonctionnement corporel Structure anatomique (structure du système nerveux, structure liée au mouvement...) qui situe l'organisation physique en jeu Activité et participation (activité de communication, de mobilité...) qui identifie les fonctionnements concernés Facteurs environnementaux (produit et système technique, soutien et relation...) qui relie aux facteurs extérieurs potentiellement handicapants.

  10. CLASSIFICATIONS FONCTIONS CORPORELLES ET STRUCTURES CORPORELLES CHAPITRE 1 FONCTIONS MENTALES CHAPITRE 2 FONCTIONS SENSORIELLES CHAPITRE 3 FONCTIONS DE LA VOIX ET DE LA PAROLE CHAPITRE 4 FONCTIONS DES SYSTÈMES CARDIO-VASCULAIRE, HÉMATOPOÏÉTIQUE, IMMUNOLOGIQUE ET RESPIRATOIRE CHAPITRE 5 FONCTIONS DES SYSTÈMES DIGESTIF, MÉTABOLIQUE ET ENDOCRINIEN CHAPITRE 6 FONCTIONS GÉNITO-URINAIRES ET REPRODUCTIVES CHAPITRE 7 FONCTIONS NEURO-MUSCULOSQUELETTIQUES ET RELIÉES AU MOUVEMENT CHAPITRE 8 FONCTIONS DE LA PEAU ET DES STRUCTURES ASSOCIÉES

  11. CLASSIFICATIONS ACTIVITÉS CHAPITRE 1 ACTIVITÉS D'APPRENTISSAGE ET D'APPLICATION DES CONNAISSANCES CHAPITRE 2 ACTIVITÉS DE COMMUNICATION CHAPITRE 3 ACTIVITÉS LIÉES AU MOUVEMENT CHAPITRE 4 ACTIVITÉS DE SE DÉPLACER CHAPITRE 5 ACTIVITÉS D'ENTRETIEN PERSONNEL CHAPITRE 6 ACTIVITÉS DOMESTIQUES CHAPITRE 7 ACTIVITÉS INTERPERSONNELLES CHAPITRE 8 ACCOMPLIR DES TÂCHES ET ACTIVITÉS MAJEURES DE LA VIE

  12. CLASSIFICATIONS PARTICIPATION CHAPITRE 1 PARTICIPATION À L'ENTRETIEN PERSONNEL CHAPITRE 2 PARTICIPATION À LA MOBILITÉ CHAPITRE 3 PARTICIPATION À L'ÉCHANGE D'INFORMATION CHAPITRE 4 PARTICIPATION AUX RELATIONS SOCIALES CHAPITRE 5 PARTICIPATION À LA VIE DE FAMILLE ET À AIDER LES AUTRES CHAPITRE 6 PARTICIPATION À L'ÉDUCATION CHAPITRE 7 PARTICIPATION AU TRAVAIL ET À L'EMPLOI CHAPITRE 8 PARTICIPATION À LA VIE ÉCONOMIQUE CHAPITRE 9 PARTICIPATION À LA VIE COMMUNAUTAIRE, SOCIALE ET CIVIQUE

  13. CLASSIFICATIONS FACTEURSENVIRONNEMENTAUX CHAPITRE 1 PRODUITS ET TECHNOLOGIE CHAPITRE 2 ENVIRONNEMENT NATUREL ET CHANGEMENTS APPORTÉS PAR L'HOMME À L'ENVIRONNEMENT CHAPITRE 3 SOUTIEN ET RELATIONS CHAPITRE 4 ATTITUDES, VALEURS ET CROYANCES CHAPITRE 5 SERVICES CHAPITRE 6 SYSTÈMES ET POLITIQUES

  14. EPIDEMIOLOGIE Plus de 5 millions de personnes en France ont besoin d’une aide régulière pour accomplir certaines tâches de la vie quotidienne. Plus de 2 millions reçoivent une allocation ou une pension d’invalidité pour des handicaps dont la nature et les causes sont extrêmement variées. Beaucoup de « handicaps » sous-estimés

  15. EPIDEMIOLOGIE 3 sources principales : Accident : de la circulation, de sport, du travail = 12 % des handicaps Maladies génétiques : 1 handicap/10 lié à une maladie héréditaire ou complications périnatales (prématurité +++) Maladies chroniques : insuf cardiaque, respiratoire, diabète, polyarthrite, DMLA,… 1/4 des handicaps lié au vieillissement

  16. DIFFERENTS HANDICAPS Handicap mental Déficiences intellectuelles appréciées par différents tests de Quotient Intellectuel (QI)  déficience intellectuelle = QI inférieur à 69 1 à 3% de la population, H>F La mesure de QI ne permet pas de distinguer des déficiences plus spécifiques de certaines fonctions cognitives : langage ou autres troubles spécifiques d'apprentissage (dyscalculie, dyspraxies...). causes les plus fréquentes : trisomie 21 et syndrome de l’X fragile

  17. DIFFERENTS HANDICAPS Handicap mental Déficiences psychiques Touchent 15 à 20 % de la population Bon nombre vont persister ou se reproduire tout au long de la vie, entraînant un handicap social et des difficultés professionnelles Atteignent principalement la vie relationnelle, la communication et le comportement. Ex : Autisme, schizophrénie, troubles obsessionnels compulsifs

  18. DIFFERENTS HANDICAPS Handicap physique 1,5 % de la population adulte est atteinte de troubles moteurs isolés trouble moteur + autres déficiences = 4 % de la pop Différents types : Para/tétra/hémiplégie ou parésie, atteinte articulaire,… Handicap sensoriel : vision, audition 1.5 millions de personnes malvoyantes (dont 77 000 aveugles). 3.5 Millions de personnes malentendantes

  19. DIFFERENTS HANDICAPS Handicap physique Déficiences viscérales ou générales Insuffisance cardiaque, respiratoire (1 personne / 10) Épilepsie sévère … Handicap esthétique

  20. Plusieurs handicaps Le polyhandicap = déficiences motrice + intellectuelle sévères entraînant une restriction extrême de l'autonomie. Souvent lié à des malformations et des maladies du foetus ou de l’embryon ou à une grande prématurité Le plurihandicapou multihandicap = association de plusieurs déficiences ayant approximativement le même degré de gravité. Ex : sourds-aveugles ou infirmes moteurs cérébraux sourds

  21. HANDICAP VISIBLE ET INVISIBLE Ne pas se fier aux apparences ! IMC tétraplégique dysarthrique ≠Traumatisé crânien Compensations (surdité) Ce qui ne se « voit » pas Troubles vésico-sphinctériens Troubles sexuels Lésions cutanées cachées Troubles cognitifs +++

  22. MISE EN PRATIQUE EN SERVICE DE MPR READAPTATION REEDUCATION PATHOLOGIE (AVC) Rééducation analytique DEFICIENCE (hémiplégie) Rééducation fonctionnelle INCAPACITES (perte de la marche) Aides techniques HANDICAP (dépendance pour courses) Aides humaines, financières

  23. CAS CLINIQUE Patiente de 71 ans présente un AVC sylvien profond d’origine ischémique responsable d’une hémiplégie droite massive avec aphasie, incontinence urinaire et troubles de déglutition. Quelles sont ses déficiences ?

  24. CAS CLINIQUE • Patiente de 71 ans présente un AVC sylvien profond d’origine ischémique responsable d’une hémiplégie droite massive avec aphasie, incontinence urinaire et troubles de déglutition. • Quelles sont ses déficiences ? • Atteinte motrice et sensitive hémicorporelle droite • Troubles du langage • Troubles vésico-sphinctériens • Troubles de l’alimentation • Escarres ?

  25. CAS CLINIQUE Patiente de 71 ans présente un AVC sylvien profond d’origine ischémique responsable d’une hémiplégie droite massive avec aphasie, incontinence urinaire et troubles de déglutition. Quelles sont ses incapacités ?

  26. CAS CLINIQUE • Patiente de 71 ans présente un AVC sylvien profond d’origine ischémique responsable d’une hémiplégie droite massive avec aphasie, incontinence urinaire et troubles de déglutition. • Quelles sont ses incapacités ? • Difficultés pour la toilette, l’habillage, l’utilisation des toilettes, la prise de repas • Perte de la marche, des possibilités de verticalisation et probablement de la station assise à la phase aigue • Difficultés de communication • …

  27. CAS CLINIQUE Patiente de 71 ans présente un AVC sylvien profond d’origine ischémique responsable d’une hémiplégie droite massive avec aphasie, incontinence urinaire et troubles de déglutition. Quel est son handicap ?

  28. CAS CLINIQUE • Patiente de 71 ans présente un AVC sylvien profond d’origine ischémique responsable d’une hémiplégie droite massive avec aphasie, incontinence urinaire et troubles de déglutition. • Quel est son handicap ? • Impossibilité de préparer ses repas, de faire ses courses • Impossibilité d’utiliser son téléphone • Pas d’échange avec autrui, pas de sortie • Perte des possibilités de conduite automobile • Difficulté de déplacement dans son logement et dans son environnement habituel • …

  29. PRISE EN CHARGE EN MPR Différents intervenants : Médecin MPR IDE / AS Kinésithérapeute Ergothérapeute Orthophoniste Psychomotricien Educateur sportif Psychologue / neuropsychologue Assistante sociale

  30. PRINCIPES DE LA REEDUCATION Installation du patient confort maximum éviter l’installation de l’hypertonie et des positions vicieuses Décubitus dorsal (dès les premières heures) : membre supérieur position de fonction, main et doigts légèrement surélevés coussin ou une mousse taillée par l’ergothérapeute selon l’anatomie du malade éviter les mouvements de traction du membre supérieur qui pourraient favoriser l’algodystrophie membre inférieur dans une gouttière en mousse découpée évitant l’équin de la cheville et l’appui au niveau du talon arceau au pied du lit IDE ERGO

  31. PRINCIPES DE LA REEDUCATION Installation du patient En position assise (dès le 2e ou 3e jour) : membre supérieur Main dans la même position Accoudoir adapté ou mousse taillée par l’ergothérapeute Strapping de l’épaule paralysée ou orthèse de maintien de l’épaule (Omotrain) membre inférieur Hanche et genou fléchis à 90° et pied en position neutre (éviter l’équin+++) Adaptation de la hauteur des palettes du fauteuil roulant ou surélévation ou abaissement du fauteuil IDE ERGO

  32. PRINCIPES DE LA REEDUCATION Rééducation Membre supérieur Récupération rare (20 %) Objectif : indépendance pour les activités essentielles de la vie quotidienne Rééducation analytique : mobilisations passives douces restauration du schéma corporel par séances de mouvements imaginés associés à une mobilisation passive exercices sensitivo-moteurs selon récupération lutte contre la spasticité KINE

  33. PRINCIPES DE LA REEDUCATION Rééducation Membre supérieur travail de l’indépendance dans la réalisation des activités essentielles de la vie quotidienne (rééducation fonctionnelle) : ergothérapeute toilette : en position assise, manipulation des objets avec le membre sain (gant, savon, ...), travail des praxies et du schéma corporel, adaptations si nécessaire (glace inclinée, barres de maintien, fixe-savon, brosse à long manche) habillage : techniques d’habillage, de laçage, de fermeture des boutons, réapprentissage de l’équilibre, du schéma corporel repas : aides-techniques (couteau-fourchette, tapis antidérapant) IDE ERGO

  34. PRINCIPES DE LA REEDUCATION Rééducation Tronc contrôle postural du tronc en position assise avant d’envisager la position debout redressement maintien de la position assise sans aide au fauteuil maintien de la position malgré des poussées multidirectionnelles IDE KINE ERGO

  35. PRINCIPES DE LA REEDUCATION Rééducation Membre inférieur : Objectif : remise à la marche (80 % des cas) Rééducation analytique puis fonctionnelle : remise en charge, reprise de la marche (qualité puis quantité) Choix d’aide technique de marche (canne, déambulateur, orthèse de pied,…) KINE ERGO

  36. PRINCIPES DE LA REEDUCATION Rééducation Fonctions supérieures : Troubles du langage et de la parole Héminégligence Apraxie de l’habillage, de construction, troubles visuo-spatiaux,… IDE ORTHO NEUROPSY

  37. PRINCIPES DE LA REEDUCATION Rééducation Troubles de déglutition positionnement correct position assise, tête légèrement penchée vers l’avant choix des aliments des semi-liquides aux liquides des plus riches en goût aux plus insipides (eau) par petites quantités manoeuvres facilitatrices IDE ORTHO

  38. PRINCIPES DE LA READAPTATION Compensation des incapacités : AVQ : toilette, habillage, soins d’hygiène, repas : aides techniques adaptation des vêtements aménagement du logement aides humaines (entourage, auxiliaire de vie) ASS SOC ERGO

  39. PRINCIPES DE LA READAPTATION Compensation des incapacités : Déplacements : Choix des aides techniques de marche (cannes, déambulateur, FR,…) Appareillage des MI Aménagement logement Conduite automobile KINE ERGO

  40. PRINCIPES DE LA READAPTATION Compensation des incapacités : Communication Choix des aides techniques (tableau alphabétique/symbolique, ordinateur,…) ORTHO ERGO

  41. PRINCIPES DE LA READAPTATION Compensation du Handicap : Vie familiale Vie sociale : Associations de Malades,… Déplacements et sorties hors du domicile : adaptation du véhicule, « TLV » Reprise professionnelle : Médecine du Travail ASS SOC ERGO

  42. CAS CLINIQUE • Patient de 80 ans souffrant d’une démence sénile depuis 5 à 6 ans. Vit seul. • Quelles sont ses déficiences ? • Troubles mnésiques • Troubles de l’orientation visuo-spatiale • Troubles du jugement, de l’attention, du raisonnement • Troubles praxiques • Troubles de l’humeur

  43. CAS CLINIQUE • Patient de 80 ans souffrant d’une démence sénile depuis 5 à 6 ans. Vit seul. • Quelles sont ses incapacités ? • Difficulté d’organisation de la toilette, de l’habillage, des repas, des activités ménagères • Difficulté d’orientation dans son environnement (logement, quartier) • Inversion du rythme nycthéméral

  44. CAS CLINIQUE • Patient de 80 ans souffrant d’une démence sénile depuis 5 à 6 ans. Vit seul. • Quel est son handicap ? • Perte de sa vie sociale • Incapacité à gérer son budget, l’organisation des activités courantes de la maison • Vie autonome impossible

  45. CAS CLINIQUE • Rôle IDE • Déficiences • Surveiller l’évolution des troubles des fonctions supérieures (raisonnement, mémoire) • Evaluer l’état thymique (risques suicidaires) • Veiller à l’état nutritionnel (poids !) • Apprécier le contrôle sphinctérien (urines, selles) : surveillance transit, diurèse, sondages, infections urinaires • Rechercher les fausses routes et leurs conséquences (respiratoires, nutritionnelles) • Estimer le risque de plaie

  46. CAS CLINIQUE • Rôle IDE • Incapacités • Aide ou supervision pour la toilette, l’habillage, la prise des repas • Contrôle de la prise des médicaments

  47. CAS CLINIQUE • Rôle IDE • Handicap • Contact/relais avec médecin, assistante sociale, entourage • Signalement des risques • Accompagnement psychologique

  48. CAS CLINIQUE Mélodie, 7 ans, est atteinte d’une maladie génétique appelée Syndrome de Rett dont les 1e symptômes sont apparus à l’âge de 9 mois. On remarque chez elle : • une perte de l'utilisation volontaire des mains alors qu’elle présente des stéréotypies manuelles de torsion/pression, battement/tapotement. • un langage inexistant et des troubles de la communication majeurs. • un retard psychomoteur sévère : la marche a été perdue à l’âge de 18 mois et le tronc est très hypotonique. • Des crises convulsives fréquentes

  49. CAS CLINIQUE • Quelles sont ses déficiences ? • Mentales : troubles du raisonnement, de la mémoire, du calcul, troubles du comportement (autisme)… • Troubles du langage • Troubles neuro-moteurs : déficit position assise par hypotonie tronc, pas de mouvements volontaires des membres, hypertonie membres, • Troubles de la continence • Troubles digestifs : fausses routes, constipation, bavage • Troubles orthopédiques : scoliose, pieds varus équin

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