1 / 20

ORSEC MARITIME

ORSEC MARITIME. N. LE GALLO (I.A.D.E.), P. BARON (I.A.D.E.), Dr J.M. LETORT, Dr N. CHAHIR, Dr D. L’AZOU. La catastrophe maritime. Sinistre au large (50-80 milles), Plusieurs départements côtiers concernés, Flotteur sain et intègre mais non manoeuvrant, 135 personnes à bord.

malia
Download Presentation

ORSEC MARITIME

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. ORSEC MARITIME N. LE GALLO (I.A.D.E.), P. BARON (I.A.D.E.), Dr J.M. LETORT, Dr N. CHAHIR, Dr D. L’AZOU

  2. La catastrophe maritime • Sinistre au large (50-80 milles), • Plusieurs départements côtiers concernés, • Flotteur sain et intègre mais non manoeuvrant, • 135 personnes à bord.

  3. Le dispositif ORSEC MARITIME • Secours aux navires et à leurs passagers, • Organisation progressive et adaptable, • Assurer la médicalisation des secours, • Assurer un passage obligé des naufragés vers un PMA terre.

  4. Alerte CROSS CODIS PREMAR PREFET ORSEC MER ORSEC TERRE SCMM Moyens aériens Moyens nautiques Navire sinistré PMA Mer

  5. Les contraintes liées au milieumaritime • L’eau, • Les conditions météorologiques, • L’éloignement, • Les moyens de communication, • La barrière linguistique, • La naupathie, • L’exiguïté des lieux d’intervention.

  6. L’infirmier • Formé et entraîné, • Bon logisticien : connaître les matériels médicaux à disposition, • Bonne connaissance des vecteurs de transport maritime et aérien, • Compétence en urgence et dans la gestion des victimes du milieu maritime.

  7. Formations • Formation complémentaire aux premiers secours en milieu maritime, • D.U. de médecine d’urgence maritime, • Médecine de catastrophe, mention non-médecin, • IMP 1, • Information sur les aspects sécuritaires en vol héliporté, • N.R.B.C.

  8. Entraînements • Participation à un exercice Orsec maritime, • Exercices dits de « survie en mer ».

  9. L’hélicoptère • Manœuvre d’embarquement et de débarquement, • L’hélitreuillage : • Pour soi, • Pour la victime. • Comportement à bord.

  10. Rôle infirmier • Logistique : conditionnement et maintenance du matériel adapté aux contraintes du milieu, • Équipe médicale d’évaluation, • Équipe médicale d’intervention : PMA mer, • Évacuation : sanitaire ou médicalisée, • Fin de mission.

  11. 1. Logistique Tenue ad hoc

  12. 1. Logistique Matériel compact, léger, résistant aux chocs et miniaturisé si possible, Bonne connaissance du contenu des sacs, Vérification régulière et réajustement.

  13. 1. Logistique • Lot catastrophe de la Marine Nationale ou autre dotation adaptée, • L’oxygène.

  14. 2. L’équipe médicale d’évaluation • Aide à l’évaluation de la situation, • Évacuation vers un compartiment sain, • Comptage et tri des naufragés, • Début de la mise en condition des blessés avec l’infirmier du bord : • Position d’attente, • VVP, • Oxygénothérapie. • Prise en charge psychologique, • Anticipation des prescriptions médicales.

  15. 3. PMA mer (facultatif) • À bord, • Sur une autre plateforme de sauvetage : type remorqueur des Abeilles, • Sur un navire de commerce.

  16. 3. Équipe médicale d’intervention • Rester en binôme, • Se présenter au DSM mer puis au médecin chef PMA et écouter son affectation, • Étudier les lieux et visualiser les secteurs du PMA, • Reconnaître les équipes de secouristes et l’infirmier du bord,

  17. 3. Équipe médicale d’intervention • Participation à l’élaboration de la fiche médicale de l’avant, • Prendre en charge la douleur, • Mise en condition d’évacuation (bonne protection thermique).

  18. 4.Évacuation sanitaire ou médicalisée Bonne mise en condition de la victime

  19. 5. Fin de mission • Réarmement des lots médicaux, • Participation au débriefing • Retour d’expérience : réadaptation des pratiques.

  20. Conclusion Le rôle du SMUR en mer est renforcé avec la refonte du plan ORSEC : le traitement des victimes sur site est développé avec la mise en place d’un PMA mer. La projection en mer d’équipes dites « SMUR maritime » est intéressante à développer car il ne faut pas laisser de place à l’improvisation.

More Related