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LA CYBERADDICTION

LA CYBERADDICTION. PLAN. Introduction et motivation Qu’est ce que la cyberaddiction Prévention Prise en charge IV. Conclusion. DEFINITION. Dépendance, Manie, Accoutumance, Contrainte, Consommation abusive d’un produit et/ou d’une activité , « Esclavage », « Don de soi »,

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LA CYBERADDICTION

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Presentation Transcript


  1. LA CYBERADDICTION

  2. PLAN Introduction et motivation • Qu’est ce que la cyberaddiction • Prévention • Prise en charge IV. Conclusion

  3. DEFINITION Dépendance, Manie, Accoutumance, Contrainte, Consommation abusive d’un produit et/ou d’une activité, « Esclavage », « Don de soi », Jouissance, Enfermement autour d’un être ou d’une chose.

  4. La cyberaddiction prend diverses formes : l’outil informatique. jeux pathologiques, addictions sexuelles et pornographiques, achat compulsif. jeux d’argent et de hasard.

  5. ETYMOLOGIE • Le terme d’addiction est un vieux vocable latin « ad-dicere », désignant « dire à » au sens de donner, d’attribuer quelqu’un à quelqu’un d’autre en esclavage, si bien que l’esclave était « ad-dictus », « dit à » tel maître.

  6. EPIDEMIOLOGIE Il semblerait que les hommes de 17 à 35 ans seraient les plus touchés. • La « cyberdépendance aux nouveautés » concerne essentiellement 2 types de jeux : - jeux d'action - jeux de stratégie et de simulation.

  7. SIGNES CLINIQUESselon le DSM IV • Préoccupation par le jeu • Efforts répétés mais infructueux pour contrôler, réduire ou arrêter la pratique du jeu • Agitation ou irritabilité lors des tentatives de réductions ou l’arrêt de la pratique du jeu • Engagement dans des comportements de jeu pour échapper aux difficultés ou pour soulager une humeur dysphorique

  8. SIGNES CLINIQUESselon le DSM IV  (suite) • Tendance, à retourner jouer un autre jour pour recouvrer ses pertes, se refaire. • Mensonges à la famille, au thérapeute ou à l’autre pour dissimuler l’ampleur réelle des habitudes de jeu. • Mise en danger ou perte de relation affective importante, d’un emploi ,… • Tendance à compter sur autrui pour se sortir de situations financières désespérées dues au jeu.

  9. FACTEURS DE RISQUES • -Le jeu pathologique est plus fréquent chez les hommes que chez les femmes. • -Chez des personnes ayant des antécédents familiaux de conduites addictives. • -Isolement socio-affectif. • -La tendance à jouer fréquemment. • -Le fait de commencer à jouer de manière précoce, la pratique pendant l’adolescence • -La présence d’autres conduites addictives 

  10. FACTEURS DE RISQUES (suite) • -La surprotection parentale. • -L’exigence parentale trop ambitieuse. • -Un mode de vie particulièrement ennuyeux, routinier dont on cherche à se déconnecter. • -les « encouragements » émanant du groupe des consommateurs.

  11. FACTEURS PREDISPOSANTS • l’immaturité socio affective • le vide identificatoire • la frustration et incapacité à la surmonter • l’anxiété • les troubles du comportement • la dépendance affective • le sentiment d’isolement et le caractère solitaire • le vide émotionnel

  12. La prévention de la cyberaddiction Se donner les moyens de lutter • Se fixer des objectifs • Prévoir des moments de connexion • Se positionner par rapport à sa consommation • Consulter un médecin spécialiste

  13. La prévention primaire Éléments à prendre en compte • Savoir reconnaître les signes avant coureur d’une addiction • Privilégier le repos et les besoins nutritifs avant le jeu • Inclure dans les programmes de l’éducation nationale une sensibilisation sur les dérives liées à l’utilisation du multimédia

  14. Les moyens de prévention: • Sensibiliser les administrateurs de sites, afin de les inciter à développer les diffusions de messages préventifs sur les risques encourus. • Sensibiliser les utilisateurs à l’emploi de questionnaires disponibles sur Internet (test du Dr Young) cela permet aux internautes d’évaluer leur comportement

  15. Attitudes des parents : • Savoir mesurer la quantité et la qualité de présence qu’ils offrent à la maison • Avoir une réponse parentale adaptée • Connaître les conséquences sociales et économiques • privilégier le dialogue en y insérant leurs valeurs

  16. La prévention secondaire • Aider à la distanciation nécessaire pour permettre un retour à la réalité • Orienter vers un suivi éducatif pour une réinsertion scolaire • Aider à rompre avec la claustration par un suivi éducatif • Rechercher les signes d’une consommation associée de substances stimulantes

  17. PRISE EN CHARGE • Les champs d’intervention relèvent de la pluridisciplinarité • La difficulté de la prise en charge des cyber addicts est d'autant plus grande, que c'est une toxicomanie sans produit à effet pharmacologique, rendant difficile la reconnaissance de cette dépendance. • Le traitement est complexe il ne consiste pas seulement a l’arrêt du jeu. Mais il faut traiter les éventuels troubles psychologiques , relationnels, somatiques, sociaux et parfois judiciaires associés.

  18. PRISE EN CHARGE • Prise en charge actuelle : Elle s’articule autour de traitements composés de groupe du type Alcooliques Anonymes mais aussi d’une approche psychanalytique et thérapie cognitive et une meilleure connaissance du phénomène. Elle doit être centrée sur l’écoute active et la relation d’aide. • Approche motivationnelle • La thérapie cognitive, • La psychothérapie analytique • Approche médicamenteuse éventuelle

  19. CONCLUSION • La cyber addiction est un phénomène de société dont on a peu d’information car c’est un sujet encore peu abordé. • La frontière entre le normal et le pathologique est subjective. Ce qui, hier, était considéré comme anormal peut être aujourd’hui entré dans les mœurs et réciproquement • Le tabac…

  20. CONCLUSION • De plus, les spécialistes, en manque de recul, se remettent en question car ils se demandent si cette conduite est réellement une addiction. • Néanmoins, le besoin d’information est incontestable afin de faciliter une prise de conscience collective et la reconnaissance de ce phénomène comme étant un problème de santé publique. Ce n’est qu’a partir de cela qu’une prévention et une prise en charge adaptées pourraient être mises en place.

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