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Circonscription Sidi Bouzid 1 Langue Française

Circonscription Sidi Bouzid 1 Langue Française . Ecole Taieb M’HIRI. Journée de formation Le 29 Janvier 2014. La pédagogie d ifférenciée. . . * La foi dans les potentialités de l’être humain . * L’idéal d’égalité des chances . Fondements. Centre National Pédagogique

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Presentation Transcript


  1. Circonscription Sidi Bouzid 1 Langue Française Ecole Taieb M’HIRI Journée de formation Le 29 Janvier 2014

  2. La pédagogiedifférenciée . *La foi dans les potentialités de l’être humain .*L’idéal d’égalité des chances . Fondements Centre National Pédagogique « Mes références professionnelles

  3. La pédagogie Différenciée… . Une pratique à mettre en œuvre... Réalisée et présentée par: Mme Leila MHADHEB & Mme Ismahen SABLAOUI

  4. Nos propos Cette présentation propose une réflexion didactique axée sur : Cette présentation a pour objectifs de : • S’entendre sur l’intérêt et la nécessité de mettre en place une pédagogie différenciée . • Identifier comment et quand différencier . • Mutualiser les pratiques pour se constituer « une boite à outils » • permettre ,par la suite ,à nos collègues de construire leurs propres stratégies . • Etre capable d’organiser une différenciation par une mise en place de différents dispositifs . Les stratégies et les méthodes d’enseignement

  5. Plan de la journée La pédagogie différenciée : *Définition (Vidéo) *Pourquoi différencier ? *Concept lié à la différenciation *Méthodologie de mise en œuvre Vidéo illustrant la mise en œuvre ( PRATIQUE) * Les obstacles à la différenciation ? *Les TICE au service de la différenciation pédagogique (Vidéo illustrant cette stratégie pédagogique *Conclusion et perspectives

  6. *Définition Qu’évoque pour vous « la pédagogie différenciée  »? Hétérogénité Varier diversifier procédure différerdiscriminerétablirdiscernerdistinguerindividualiser Démarche

  7. 1/ Définition • Qu’évoque pour vous «  pédagogie différenciée»? • Le terme de pédagogie différenciée veut désigner " un effort de diversification méthodologique susceptible de répondre à la diversité des élèves. • (Louis LEGRAND, La différenciation pédagogique, Scarabée, CEMEA, Paris 1984) La pédagogie différenciée est une démarche qui consiste à mettre en œuvre un ensemble diversifié de moyens et de procédures d'enseignement et d'apprentissage pour permettre à des élèves d'âge, d'aptitudes, de compétences, aux savoirs hétérogènes d'atteindre par des voies différentes des objectifs communs. (AUZELOUX)

  8. La ‘flexibilité méthodologique du maître est un facteur de la réussite des élèves dans la mesure où elle permet à chacun d'élaborer sa propre stratégie. " (L. DREVILLON, Pratiques pédagogiques et développement de la pensée opératoire, PUF, 1980)

  9. Quatre aspects de la différenciation Une situation d’apprentissage se construit ainsi autour de trois pôles étroitement imbriqués qui sont l’apprenant, l’enseignant et le savoir. Meirieu souligne que l’échec de certaines situations scolaires tient souvent au fait que l’on accorde de l’importance aux deux composantes qui sont le savoir et l’enseignant, au détriment de la troisième qui est pourtant la plateforme de tout l’édifice. La pratique d’une pédagogie différenciée se doit de tenir compte de chacun de ces trois pôles, et sa réussite dépend fortement de la façon dont ils sont mis en interaction.

  10. La différenciation n’engendre pas automatiquement une individualisation de l’enseignement. Il n’est pas question de planifier et de prendre en charge chaque élève individuellement, mais plutôt de varier ses méthodes et ses stratégies d’enseignement et d’organiser la classe afin que chacun puisse prendre l’itinéraire d’apprentissage qui lui convient. De ce fait, l’enseignant est le principal intervenant pour appliquer la différenciation. Pour pratiquer une pédagogie différenciée, il est indispensable de mettre en œuvre une méthodologie variée et diversifiée afin de conduire chaque élève aussi loin et aussi haut qu'il peut aller ou accéder.

  11. POURQUOI DIFFERENCIER ? *Ils n’ont pas les mêmes expériences vécues . * Ils n’ont pas les mêmes habitudes éducatives. familiales (rigide, souple, laxiste) * Ils n’ont pas exactement le même âge (de début et de fin d’année civile) * Ils n’ont pas la même capacité à se mobiliser pour « la chose scolaire » - * Ils ont tous une histoire personnelle singulière : chaque élève est un « sujet ». Hétérogénéité des apprenants Les postulats de Burns Il n'y a pas deux apprenants qui : • apprennent à la même vitesse, • apprennent au même moment, • utilisent les mêmes techniques d'étude, • résolvent les problèmes de la même manière, • possèdent le même répertoire de comportements, • ont le même profil d'intérêts, • sont motivés par les mêmes buts. . Les élèves sont différents parce que * Ils n’ont pas le même style cognitif, les mêmes stratégies d’apprentissage * Ils n’ont pas les mêmes codes culturels .

  12. Hétérogénéité des apprenants Les élèves sont différents concernant : *les acquis pédagogiques ; *les modes de pensée (pensée convergente, divergente, créatrice ; intelligence verbale, intelligence pratique ; processus intellectuels opératoires : par tâtonnements, intuition, logique concrète, logique abstraite, …)  *les modes de communication et d’expression ; *l‘ environnement socioculturel : la culture, les croyances, les histoires familiales, les valeurs 

  13. lescaractéristiques psychologiques: personnalité, attention, volonté, curiosité, énergie, rythme, coordination motrice . *Certains ont une mauvaise image d’eux – mêmes (manque de confiance, estime de soi défaillante…), d’autres pensent qu’ils ne peuvent pas réussir, que c’est dû au hasard, à la bienveillance du maître, d’autres ont peur d’entrer dans les apprentissages, ont mis en place des mécanismes de défense . (évitement, refus, conflit, passivité..) d’autres ne peuvent accepter d’évoluer au sein du groupe, d’autres encore sont « fâchés » avec les règles et la loi . On peut donc difficilement enfermer les élèves dans «une identité unique »…

  14. Les styles d’apprentissage Un style d’apprentissage est une façon préférée ou habituelle de percevoir et d’organiser l’information, de penser et de résoudre des problèmes en situation d’apprentissage. Un concept similaire, qui se confond souvent avec le style d’apprentissage, est celui de style cognitif VISUEL AUDITIF La personne au profil préférentiel visuel apprend mieux en utilisant ses yeux et ses oreilles ensemble La personne au profil préférentiel auditif apprend mieux en utilisant ses yeux et ses oreilles ensemble, combiner les suggestions de « visuels »

  15. KINESTHESIQUE La personne au profil préférentiel kinesthésique apprend mieux lorsqu’elle touche à ce qu’elle étudie et lorsqu’elle est impliquée dans un genre de mouvement. Même si la typologie la plus connue est celle des auditifs, visuels et kinesthésiques (basée sur une préférence sensorielle), il existe des dizaines de typologies qui ont chacune leur façon différente de catégoriser les gens : notamment sur des aspects sensoriels, perceptuels, sur des aspects de mémoire, de traitement de l’information, voire parfois sur une combinaison de certains de ces aspects

  16. SCHEMA DES PRINCIPES GENERAUX DE DIFFERENCIATION PEDAGOGIQUE

  17. Les aspects de la différenciation Quatre aspects de la différenciation La différenciation des contenus Elle se définit comme suit : les élèves travaillent chacun ou en groupes sur des contenus différents, définis en termes de savoir ou savoir-faire, choisis dans un ensemble d’objectifs communs considérés par l’enseignant comme des étapes nécessaires pour que tous accèdent à un niveau de connaissance exigé par l’institution. Le programme scolaire décrit ce que les élèves doivent :  développer (compétences) • apprendre (notions) • connaître (faits) • comprendre (concepts et principes) • savoir faire (habilités) La différenciation doit porter sur ces éléments de base qui sont les objectifs ou concepts noyaux afin de pouvoir soumettre des contenus différents à des sous-groupes d'élèves différents.

  18. Comment différencier les contenus ? • En établissant pour certains élèves des contrats d'apprentissage. • En utilisant des ressources audiovisuelles variées. • En proposant des recherchesautonomes. • En valorisant les projetspersonnels. La différenciation des structures (de travail) Cette différenciation commence dès que la classe hétérogène éclate afin de donner naissance à des groupes d'élèves répartis selon des critères définis. Il s’agit de répartir les élèves en sous-groupes dans la classe. Ce dispositif est nécessaire, mais non suffisant, à une pratique de pédagogie différenciée : on ne peut différencier les processus et les contenus sans une répartition des élèves en différents groupes ; en revanche, utiliser ce dispositif seul est sans effet sur la réussite des élèves. • Les regroupements devraient constituer, même pour de courtes périodes, de véritables groupes favorables aux échanges entre les élèves, à la coopération entre eux et à la présence de conflits sociocognitifs c’est-à-dire la rencontre entre conceptions et représentations mentales différentes verbalisées par différents élèves et créant ainsi un déséquilibre les poussant à en savoir plus et à adopter un code commun. Il est toutefois préférable de varier les modes de regroupement car aucun ne constitue un modèle unique

  19. Comment différencier les structures ? • les dyades spontanées sur base d'un choix réciproque et à caractère temporaire • les dyades structurées à partir de critères de formation de l'enseignant. A ce niveau, il faut veiller à ce que les écarts d'acquis ne soient pas trop grands entre les deux partenaires afin de permettre une véritable entraide • le travail en équipes spontanées déterminées par le choix des élèves ou par le hasard et qui cessent d'exister dès que la tâche est terminée • le travail en équipes structurées et permanentes construites par l'enseignant • le travail en groupe-classe • l'apprentissage coopératif où l'accent est mis non seulement sur le résultat, mais aussi sur les méthodes actives orientées vers l'interdépendance positive entre les membres d'une équipe et l'apprentissage des compétences sociales et intellectuelles (auto-socio-construction du savoir) La différenciation des processus • Différencier le processus, c'est varier les façons dont va se faire l’apprentissage des élèves. Pour ce faire, l'enseignant a recours à différentes stratégies d'enseignement. Dans ce cadre, les élèves travaillent individuellement sur un même objectif selon des pratiques diversifiées de travail autonome telles que le contrat, une grille d’auto-évaluation, etc. La mise en place de ce procédé de différenciation doit être précédée par une analyse poussée de l’hétérogénéité des élèves.

  20. Comment différencier les processus ? Avant l’apprentissage • A partir d'une liste d'élèves, relever les noms de ceux qui sont les plus oubliés dans la classe, de ceux qui ne vous demandent jamais rien, de ceux que les autres rejettent facilement. Choisir un élève dans cette liste et penser à des façons d'entrer en relation d'aide avec lui pour la semaine qui vient. En privilégier un autre la semaine suivante. • Se donner un outil structuré de consignation, comme un journal de bord de l'enseignant afin d'y noter toutes les informations pertinentes nous permettant de mieux connaître et d’accompagner chacun des élèves de la classe. • Déceler les intérêts personnels des élèves à risque et voir avec eux la pertinence d'entreprendre un projet personnel ou une recherche autonome sur un sujet signifiant. • Pendant l’apprentissage • Réduire spontanément la longueur ou la complexité d'une tâche d'apprentissage pour un élève motivé qui éprouve des difficultés à réaliser ce qui a été demandé. • Suggérer à un élève non-motivé par une tâche de changer l'ordre d'exécution pour l'orienter en premier lieu vers un travail qui rejoint davantage ses intérêts. • Prolonger la période de manipulation de matériel didactique pour un sous-groupe d'élèves qui sont encore au stade du concret, alors que les autres équipes de travail n'en ont plus besoin.

  21. Pour un même travail proposer différents niveaux : un exercice simple pour les plus faibles, un exercice intermédiaire pour certains autres et des pistes d'enrichissement aux plus motivés. • Confier à des élèves plus rapides le mandat de devenir prof-intérimaire. Au moment du contrôle des acquis • Introduire parfois une clé de correction dans la classe pour permettre à des élèves de se corriger personnellement. • Utiliser la correction collective où chacun conserve son cahier ou échange son cahier avec un camarade. • L'enseignant devient la clé de correction et se préoccupe non seulement de faire connaître les bonnes réponses, mais surtout de faire un retour sur les difficultés éprouvées, les démarches et les stratégies utilisées. • Proposer aux élèves qu'ils mettent par écrit le résumé de ce qu'ils ont retenu d'une séquence de leçons.

  22. La différenciation des productions II s'agit encore de permettre aux élèves de différencier leurs productions, et leurs réalisations. Comment différencier les productions ?  Le même apprentissage peut être abordé de différentes manières par l’élève. Par exemple : un élève appréciera le fait de prononcer une petite présentation sur le sujet de sa recherche autonome, tandis qu'un autre élève présentera le sujet sous la forme d'un schéma récapitulatif, un autre sous la forme de dossier , une scène dramatisée … Desgroupes évolutifs par période

  23. Stage T2: Intervention du mardi 3 novembre 2009 III)LES DISPOSITIFS DE DIFFERENCIATION 1) Les structures Les groupements d’élèves (groupes de besoin, de rythme, de niveau…) L’enseignant peut différencier: 4) Les contenus Les niveaux d’exigence par rapport à une tâche Les activités (leur complexité, leur longueur, leur durée…) Les outils (oral, écrit, manipulations, schémas, tableaux, textes…) Les supports (types de textes, longueur…) 3) Les processus Les formes différentes de guidance Différencier la pédagogie 2) Les productions Les projets d’équipe pour réaliser des productions 2) Les outils

  24. Les groupes de besoins Ce sont des groupes d’élèves dont les besoins sont identifiés. Ces groupes de besoin ont pour but d'aider des élèves qui éprouvent des difficultés dans des contenus disciplinaires tout en permettant aux autres enfants d'avancer à leur rythme. Pratiquement, à titre d’exemple, l'ensemble des élèves de la classe pourrait être réparti, selon les besoins, en groupes évolutifs par période et pouvant être de constitution différente selon la discipline : Par exemple : - groupe A : apprentissages à reprendre - groupe B : apprentissages à consolider - groupe C : apprentissages à approfondir. Du côté des enseignants : la composition des groupes doit se gérer dans le double souci de répondre aux besoins de l'enfant sans jamais le dévaloriser. Ces groupes doivent avoir une durée de vie limitée .

  25. Quels sont les obstacles à la différenciation ? Les obstacles à la différenciation Les effectifs Les locaux( Les établissements scolaires tunisiens fonctionnent encore suivant une logique d’homogénéité ) Le manque de moyens La lourdeur des programmes … Et aussi, l’absence de modèles « clés en main » Quand on est convaincu que l’on ne peut pas travailler tout le temps avec toute sa classe en même temps et que l’on souhaite mettre en place la pédagogie différenciée on se heurte souvent àdes obstaclesdivers. Les obstacles institutionnels Les établissements scolaires tunisiens fonctionnent encore suivant une logique d’homogénéité, de standardisation et de cloisonnement bureaucratique. Les emplois du temps des enseignants sont figés à jamais. L’administration construit d’avance, pour une année, un emploi du temps que l’enseignant doit impérativement respecter. (Il n’y a pas de) plages de temps mises à (la) disposition (des enseignants) pour décider des projets communs et aménager des aides personnalisés ».

  26. Il semble difficile de développer des dispositifs pédagogiques différenciés sans une souplesse dans l’organisation du temps et dans les modes de groupements des élèves, dans l’usage des espaces et des ressources en fonction des besoins présumés des sujets apprenants

  27. Exemples de stratégies Avant la lecture 1. Je comprends l’intention de lecture. 2. Je fais des liens avec ce que je connais déjà. 3. J’utilise des indices (titre, illustrations, etc.) 4. Je fais des hypothèses sur le contenu du texte.

  28. Pendant la lecture 5. Je garde l’intention à l’esprit.  6. Je me fais des images de ce que je lis. 7. J’essaie de prévoir ce qui va suivre. 8. Je vérifie mes hypothèses. 9. Je retiens des informations. 10. Je surmonte les obstacles de compréhension.

  29. Après la lecture 11 Je retrouve les informations recueillies pendant ma lecture. 12. Je vérifie si je suis en mesure de répondre à mon intention de départ. 13 Je partage mon expérience.

  30. Le constat que nous voulons faire ici est qu’aujourd’hui, on a compris que chaque personne se constitue dans l’apprentissage et qu’il est donc primordial de différencier sa pédagogie afin de rejoindre chacun des apprenants de manière optimale La question que nous nous posons est donc de savoir si les TIC sont susceptibles de favoriser une pédagogie différenciée.

  31. Ce que nous adaptons Différencier son enseignement avec le numérique !

  32. Différencier son enseignement avec le numérique Les outils numériques sont souvent utiles pour apporter une réponse adaptée aux difficultés des élèves et ainsi différencier son enseignement. Certains élèves peuvent réaliser la même activité avec le même objectif que les autres élèves en utilisant des moyens différents d’y parvenir. Nous vous proposons quelques idées allant dans ce sens.

  33. les TIC sont susceptibles de favoriser une pédagogie différenciée : Le dispositif pédagogique est centré sur une organisation de la classe en ateliers avec des objectifs de travail spécifiques dans le domaine de la maîtrise de la langue française. Les activités de lecture et d'écriture sont conduites en autonomie ou guidées par le maître. La tablette tactile est l'outil de l'élève pour lire et pour écrire.

  34. CONCLUSION ET PERSPECTIVE La pédagogie différenciée peut creuser les écarts entre les élèves si l’on les enferme dans leur Singularité . Pour éviter ce piège, garder un objectif constant d’acquisition de compétences minimales communes pour tous est essentiel. Il est important de souligner qu’il ne s’agit donc pas de baisser ses objectifs mais bien de mettre en œuvre des moyens différents pour permettre à tous d’acquérir les compétences minimales prévues par le programme officiel . N’est-ce pas une situation paradoxale que de vouloir différencier les pédagogies dans un système fortement hiérarchisé et dont les acteurs se conçoivent paralysés. Il semble que le chemin à parcourir dans cette perspective est encore trop loin. Le projet de la différenciation est à la fois un enjeu didactique et sociopolitique. Cependant, il risque d’être une lettre morte sans une réflexion sur les moyens et les conditions de sa finalisation dans un contexte didactique et institutionnel qui ne se prête pas, semble-t-il, à l’accueilAprès avoir présenté le contexte, nous pourrons étudier la faisabilité de l’application de la pédagogie différenciée dans le système actuel. Nous sommes conscients des éventuelles répercussions que cela engendrera, car introduire la pédagogie différenciée dans l’ensemble des enseignements impliquerait des changements en bien des niveaux, comme par exemple au niveau du programme, de la structure, de la progression scolaire, de la formation des enseignants et chose importante, agirait sur la mentalité des gens et leur façon de concevoir l’école.

  35. MERCIDE VOTRE ATTENTION! Mme Leila MHADHEB & Mme Ismahen SABLAOUI

  36. Clés pour éveiller le cerveau Comprendre le fonctionnement du cerveau humain peut entraîner des changements nécessaires et radicaux directement au niveau scolaire Les émotions détiennent la clé de l’apprentissage « Un climat émotionnel sûr et prévisible commence par des relations positives entre enseignants et élèves. » Moyens à utiliser en classe Ce qui se produit à l’intérieur du cerveau Effets sur l’apprentissage de l’apprenant

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