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2ième Cursillo, Bénin 2004. Cliquez pour débuter. www.chezserenite.com. Liste des participants. Florent Dansou Germain Grenon Gaétan Gbeto Clothilde Fortier Bertille Fadegnon Eugénie A. vignikin

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Presentation Transcript


  1. 2ième Cursillo, Bénin 2004 Cliquez pour débuter www.chezserenite.com

  2. Liste des participants Florent Dansou Germain Grenon Gaétan Gbeto Clothilde Fortier Bertille Fadegnon Eugénie A. vignikin Huguette Gagnon Mireille Amouzou Virginie Missanon Gisèle Aimée Honfo Blanche Sonounarmeto Ninan Sogo Madeleine Akoutey M. Sévérine Fanou Sandrine M. Aholoukpe Huguette Duclos Patient Cheou Hypolite Degro Ferdinand Ahonon Jean-Baptiste Kadja Joseph Mensah Georges I. Houinsou Thomas Fafolahan Louis Aholoukpe Antoine Chicou Roland Akakpo Janvier-Odilon Avocetien Henri Segbaya Justin Awounso Léandre Fadegnon Sylvarus Daboni Alex (vi) Galambode Jean-Olivier Cheou Robert Kpotor Gilbert Ajavon Yolande Samson Marguerita Essilivi

  3. Porte d’entrée du Bénin. Porte d’entrée du cursillo en Afrique. Antoine Chikou, premier africain Béninois à demander l’implantation du cursillo en Afrique et Germain Grenon, m.s.a.

  4. Récit de voyage: Huguette Gagnon Comme nous partions du Canada, il était logique que nous arrivions au Bénin en avion. Voilà qu’un jour nous visitons Ouidah, petit village situé sur le bord de la mer. Et là, nous y découvrons la porte d’entrée du Bénin. Quel beau monument érigée en l’an 2000. Il rappelle le débarquement de 1861 et 1877 ou des Pères et des religieuses sont arrivés au pays comme messagers de la Bonne Nouvelle. En regardant le monument et ces gens démontrer leur joie, je me suis rappelée l’accueil que nous avons reçu le soir de notre arrivée à l’aéroport de Cotonou. Je résumerais cette joie par la parole d’évangile de (Luc 24, 32) ‘Notre cœur n’était-il pas tout brûlant au-dedans de nous’.

  5. Cotonou, ville au milliers de motos. Les jaunes sont les taxis-motos.

  6. Nous arrivons au Centre Paul VI. Nous rencontrons le Père Delfin Vingen, responsable des œuvres diocésaines.

  7. Un petit tour sur la rue commerciale. Petit commerce familial.

  8. Salle de catéchèse, paroisse Ste-Famille. À la sortie de la messe.

  9. Qui aurait dit! Jamais j’aurais pensé qu’un jour j’irais porter un message d’évangile chez mes sœurs et frères africains. Une porte s’est ouverte et je l’ai franchie. Dans ce pays, bien loin de chez moi, j’ai regardé, j’ai écouté, j’ai aimé ce pays et ses gens. J’ai constaté un fait évident, que l’on naisse sous le soleil d’Afrique ou celui du Canada, la nature humaine reste la même. Ce qui change c’est le milieu. Chez mes frères et sœurs d’Afrique, j’ai trouvé un pays ou la pauvreté est le sort de nombreuses personnes. Chez nous, je trouve un grand nombre de personnes étouffées par le matérialisme. Lors de la fin de semaine du cursillo qui s’est déroulée à merveille, la messe du dimanche a été pour moi une fête que je n’ai jamais vécue ailleurs. Tout d’abord, il fallait une chorale, en un rien de temps un groupe s’est réuni et voilà, la chorale est formée. Le talent étant là, on apprend très vite et l’air et les mots, d’ailleurs j’avais remarqué que le chant fait partie de la vie. On chante souvent, on trouve toutes les occasions bonnes pour chanter et on commence toujours par des louanges à Dieu. Le recteur a proposé qu’en action de grâce, on chante et on danse. C’est donc dans la joie exprimée visiblement dans tout notre être que l’on a vécu la messe du cursillo. Un béninois converti est un béninois convaincu et quand il dit « mon Dieu » ça vient du cœur.

  10. Centre St-Jean-Eudes Atrokpocodji, où nous séjournons. Nous prenons le temps de reviser nos rollos.

  11. Salle des rollos. Quelle belle chorale!

  12. Si on rendait grâce à Dieu en dansant! Nos cœurs sont en fête!

  13. Équipe du 2ième cursillo au Bénin. Les candidats et l’équipe. Premier à gauche, Florent, recteur.

  14. La cafétéria. Une sucrerie (liqueur) accompagne bien nos mets.

  15. Mgr. Lucien Monsi Agboka, Évêque émérite d’Abomey et Antoine. Ensemble, bâtissons l’Église.

  16. Rencontre avec Mgr Lucien Agboka Lorsque nous sommes allés à Ouidah nous avons fait un petit détour pour rendre une courte visite à Mgr Lucien Agboka. Mgr Agboka a été celui qui après le Concile Vatican ll s’est donné pour mission, ‘travailler à la libération de la femme’ dans son pays. Il est reconnu pour sa participation à la promotion de la femme au Bénin et dans l’Église. Antoine, celui qui nous a guidé tout au long de notre séjour à Cotonou, a vécu son cursillo en Belgique. Alors étudiant à l’université il était non seulement un chercheur en science mais aussi ‘chercheur de Dieu’. La joie que lui a apportée la rencontre de Jésus-Christ en vivant une fin de semaine de cursillo, a suscité en lui le désir que d’autres vivent cette belle expérience de la rencontre de Jésus-Christ. C’est pourquoi il a demandé que le cursillo soit implanté en Afrique. Suite…

  17. Mgr Agboka et Antoine ont refait connaissance. Antoine s’est souvenu du désir de l’évêque de construire une église dans son village d’origine ‘Adingnigon. Il dit donc à Monseigneur : ‘Cette église que vous vouliez bâtir, une partie de la population du village naïvement s’y était opposée pour des intérêts personnels, voir égoïstes, ne prenant toujours pas en compte le développement socio-économique du village. Je n’avais pas d’éléments de conviction. Aujourd’hui, après mon cursillo je découvre que c’était un don, une grande bénédiction que Dieu nous avait fait. À présent, j’ai les éléments qu’il faut pour convaincre les uns et les autres afin que soit effectivement réalisé ce grand projet que Dieu nous avait envoyé et pour lequel vous vous êtes battu corps et âme.’ Monseigneur l’écoutait attentivement. Puis le Père Grenon explique à l’évêque ce qu’est le cursillo. Il lui dit que la finalité du mouvement est de: « Devenir ferment d’évangile dans son milieu. » Alors Mgr de répondre à Antoine « Aujourd’hui, tu bâtis mon Église. »

  18. De Colores! Montage: Dany (Sérénité)

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