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Session 3 Développement des projets Introduction du thème Guy MARBOEUF EDF – Membre du e8

Session 3 Développement des projets Introduction du thème Guy MARBOEUF EDF – Membre du e8. Atelier sur l'électrification Rurale 18-20 avril 2007 Yaoundé, Cameroun. Plan de la présentation. Aspects institutionnels Mode de financement Etude socio-économique Choix techniques Plan d’affaire

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Presentation Transcript


  1. Session 3Développement des projetsIntroduction du thèmeGuy MARBOEUFEDF – Membre du e8 Atelier sur l'électrification Rurale 18-20 avril 2007 Yaoundé, Cameroun

  2. Plan de la présentation • Aspects institutionnels • Mode de financement • Etude socio-économique • Choix techniques • Plan d’affaire • Evaluation des risques • Prise de décision • Le financement carbone • Conclusion

  3. Aspects institutionnels - 1 • Opérateur national ou PPP ? • Lorsque le taux d’électrification rurale est faible ou très faible, l’opérateur national aura du mal à concentrer ses efforts sur l’électrification rurale • Faire intervenir des opérateurs privés suppose un cadre institutionnel clair et porteur • L’électrification rurale n’est pas un « simple marché » • Garantir l’accès aux biens essentiels • Permettre un développement économique • Garantir une équité dans le pays • Quelle liberté tarifaire ?

  4. Aspects institutionnels - 2 • Un cadre clair • Qui définit ses priorités et ses objectifs (ODM…) • Sociaux (accès aux biens essentiels tout en évitant la gratuité) • Développement économique • Préservation de l’environnement • Etc. • Qui indique les règles du jeu • Qui est stable dans la durée • Un appel à la compétition raisonnée • Qui assure la pérennité des programmes • Une place aux petits projets d’initiative locale tout en faisant attention au « mitage » • Des projets de taille significative à la hauteur des besoins

  5. Aspects institutionnels - 3 • Un cadre porteur • Permet d’assurer la viabilité économique (pour l’Etat) et financière (pour l’opérateur) • Un appui fort sous forme de subvention ou équivalent • Voire des exonérations douanières, fiscales, etc. • Assure le financement de la vie complète du système électrique : investissement, exploitation, maintenance et renouvellement • Un appui financier limité à la phase d’investissement : c’est possible et cela assure mieux la pérennité • Permettre une rentabilité des investissements « raisonnable » pour les opérateurs privés

  6. Mode de financement • Un fonds dédié • Avec les mêmes règles du jeu quelques soient les bailleurs • Apporte des subventions d’investissement aux opérateurs et/ou des crédits concessionnels (avec un équivalent don) • Une contribution adaptée des bénéficiaires à l’investissement • Adapté à leur capacité de paiement • Montrant leur intérêt pour l’accès à l’énergie • L’appel aux financements « carbone » • Une bonne allocation des risques pour des garanties raisonnables

  7. Etude socio-économique • Indispensable pour évaluer : • Les attentes des populations • Leur capacité de paiement • Leur répartition géographique • La configuration des habitats • Les besoins communautaires, administratifs, commerçants, mais aussi aussi de type productif • Evaluer aussi : • Les ressources énergétiques locales disponibles • Leur accessibilité • Leur disponibilité

  8. Choix techniques • Au libre choix des opérateurs • Des financements incitatifs à l’utilisation des énergies propres • Eviter les dogmatismes • « On ne fait de solaire là où il n’y a pas de soleil » • Permettre l’accès à la « puissance » • Un rappel : • Remplacer un l’éclairage traditionnel par un éclairage électrique avec LBC et générateur diesel économise plus de 80 % du CO2 • Le contexte change, les équilibres économiques aussi • Tendance haussière durable des énergies fossiles • Des équipements à adapter au contexte • Le cas des interfaces clientèle notamment • Pouvoir utiliser l’ensemble des solutions, décentralisées ou non…

  9. Plan d’affaire • Il formalise et valorise les projets des opérateurs • Ce n’est pas seulement une évaluation financière • Il précise aussi le modèle d’affaire et les moyens mis en œuvre pour le « crédibiliser » • Il permet de comparer • Il permet de mesurer des risques • Il est dépendant des règles du jeu et des modes de sélection des candidats • Les critères de sélection ne sont pas neutres : • Ils doivent permettre à l’Etat de remplir « ses » objectifs • Ils doivent être simples

  10. Evaluation des risques • Une bonne évaluation, mais aussi une bonne allocation des risques • Ne faire porter aux opérateurs que les risques qui sont de leur ressort (risques métier) • Une bonne couverture des risques • Des outils variés • Peut-être des développements à faire ?

  11. Prise de décision • Elle est plus ou moins complexe selon la nature de l’opérateur • A intégrer dans le processus d’appel d’offre • En sus des critères Développement Durable (économie, environnement, social) sont examinés les risques liés au projet (risques pays, risques clientèle, risques climat, stabilité des règles et confiance dans les engagements, etc.

  12. Le financement carbone • Un outil supplémentaire qui pourrait compléter les autres outils de financement tout en privilégiant la préservation de l’environnement • Mais… • le domaine est encore emprunt d’incertitudes (valorisation de la tonne de CO2, avenir du protocole de Kyoto, etc.) • L’intérêt financier du CO2 est faible dans le cadre de petits programmes au regard des coûts dits de transaction… • La « base line » reconnue n’est pas forcément favorable aux projets…

  13. Conclusion • L’approche PPP est une solution qui marche • Elle nécessite un cadre institutionnel clair et porteur • Une approche ouverte technologiquement • Une réponse à l’ensemble des besoins énergétiques pour répondre aux objectifs des Etats • Des outils pour favoriser les solutions vertueuses • Une bonne allocation des risques • Des programmes ambitieux pour répondre aux attentes

  14. Elles vous attendent ! guy.marboeuf@edf.fr

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