1 / 59

LOCALISATION DE NEERPEDE

LOCALISATION DE NEERPEDE. UNE MAISON VERTE ET BLEUE DANS LA VALLEE DE LA PEDE (BRUXELLES, ANDERLECHT, NEERPEDE) A L’INITIATIVE DE LA COMMUNE D’ANDERLECHT. ASSOCIES GREENLOOP ATELIER D’ARCHITECTURE BERTRAND TERLINDEN. GREENLOOP Biomim-Greenloop s.a.

Download Presentation

LOCALISATION DE NEERPEDE

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. LOCALISATION DE NEERPEDE

  2. UNE MAISON VERTE ET BLEUE DANS LA VALLEE DE LA PEDE(BRUXELLES, ANDERLECHT, NEERPEDE)A L’INITIATIVE DE LA COMMUNE D’ANDERLECHT

  3. ASSOCIESGREENLOOPATELIER D’ARCHITECTURE BERTRAND TERLINDEN

  4. GREENLOOP Biomim-Greenloop s.a. La société Biomim-Greenloop a été créée en octobre 2007 à Bruxelles.Elle occupe 6 personnes, toutes actives dans le domaine de l’environnement. C’est une société de services active dans la R & D et en consultance. Ses deux domaines de prédilection en consultance sont : le bilan carbone et la stratégie d’entreprise en durabilité. Par ailleurs, elle fait appel aux sciences du vivant pour répondre aux défis liés aux changements climatiques en appliquant le biomimétisme comme outil innovant, notamment en R & D. Ses clients sont aussi bien publics que privés. Ses services de consultance s’adresse à des clients situés essentiellement en Belgique tandis que la R & D se situe jusqu’au niveau européen. Le biomimétisme et les activités de recherche En résumé, le biomimétisme est une approche permettant d’identifier dans le monde vivant des fonctions particulières présentes chez des organismes ou des écosystèmes dont on pourra s’inspirer pour améliorer un procédé de production ou un produit en vue de le rendre plus durable. En effet, les organismes vivants travaillent par exemple, à température et pression ambiante et avec des substances soit non-toxiques, soit toxiques biodégradables. Le biomimétisme trouve son inspiration à 3 niveaux : la forme que l’organisme a pris au fil de son adaptation à son environnement ; les matériaux liés au type de métabolisme qu’il a mis en place pour survivre ; et les processus, inspirés des interactions qu’il entretient avec ses congénères au sein des écosystèmes. L’approche innovante de Greenloop trouve son origine dans l’expertise d’une équipe pluridisciplinaire composée d’ingénieurs, de biologistes et d’économistes. Greenloop est à la base de plusieurs projets de recherche.Le plus important est le projet CO2SolStock, financé dans le cadre du 7ème Programme Cadre européen de R & D, qui a débuté le 1er avril 2009 et porte sur la séquestration de CO2  à l’aide de micro-organismes sous forme de carbonate de calcium. L’entreprise monte des projets de recherche dont elle attend un retour important en termes de réduction des changements climatiques. Le bureau d’étude en consultance Ses activités de consultance ont débutés par le bilan carbone pour lequel plusieurs services sont offerts, destinés in fine à établir une véritable gestion du carbone au sein des collectivités et des entreprises. Après une phase de diagnostic permettant d’établir l’empreinte carbone de l’organisation, la société établit des objectifs et un plan d’action s’échelonnant dans le court, le moyen et le long terme.Les objectifs visent à réduire les coûts liés aux consommations d’énergie, au transport, aux achats, aux déchets. Parallèlement à la gestion du carbone, la société offre un accompagnement aux entreprises et aux pouvoirs publics dans leur transition vers un modèle de gestion durable. Pour ce faire, la société a développé une méthodologie unique avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale. Elle vise à définir une stratégie durable pour l’organisation cliente, le but étant de rendre les organisations plus résilientes face aux chocs économiques et environnementaux. Greenloop organise également des formations sur la stratégie d’entreprise en transition vers la durabilité, sur le biomimétisme, sur l’écologie industrielle, les éco-matériaux, etc… Biomim-Greenloop SA/NVAalststraat 7-11 Rue d’AlostB-1000 Brussels

  5. ATELIER D’ARCHITECTURE BERTRAND TERLINDEN Créé en 2000, l’atelier d’architecture Bertrand Terlinden est une petite cellule d’étude indépendante à géométrie variable, et provocatrice d’associations momentanées ad hoc. Son objet social est l’identification et l’approfondissement des questions de morphologie territoriale, dans l’optique de la reconstruction d’un partage culturel des choix d’aménagement, et d’une reconnaissance de leur portée symbolique et donc politiquement fondatrice. Cette activité se poursuit conjointement par l’exercice de la description (l’analyse morphologique) et par celui de l’inscription (le “projet”). Notre investigation attache une importance cruciale : - au dépassement d’une conception exploitatrice de l’“aménagement” au profit de la reconstrution d’une visée élaboratrice à long terme (principe d’écologie culturelle) - au dépassement d’une interprétation pseudodarwinienne du progrès, suivant laquelle le fruit des modes issu(e)s de la plus récente “révolution technique” (fût-elle d’ailleurs fossile ou post-fossile) seraient destiné(e)s à se substituer purement et simplement aux fruits de l’élaboration issus des dynamiques culturales d’initiative antérieure - à la clarification d’une lecture “du” territoire comme structure complexe car stratifiée, sédimentaire, formellement déterminée comme “plusieurs territoires embrassés”, territoires à l’intérieur desquels et entre lesquels les questions d’économie – tant configurative qu’écologique - restent aujourd’hui irrésolues (un territoire fait de territoires aux économies différenciées, et actuellement en compétition inégale) - à l’étude des rapports entre les “niveaux logiques” de l’architecture de chaque sédiment, parmi lesquels le niveau “morphématique” (celui des “formes urbaines”), laissé largement en friche par le partage disciplinaire “architecture”/urbanisme encore en vigueur - à l’étude des configurations déterminées par lesquelles, dans chaque sédiment, “rural” et “urbain” atteignent l’équilibre écologique

  6. PARTENAIRES ET PARTENAIRES PRESSENTISPUBLICS COMMUNAUXSERVICE ENSEIGNEMENTSERVICE AIDE A LA JEUNESSESERVICE DES ESPACES VERTSSERVICE DU TOURISMEAUTRESECO-INNOVATION (PROJET VERT D’IRIS)CERIAECOLE D’HORTICULTURE DE LA PROVINCE DE BRABANT AUTRES ECOLESASSOCIATIONS DE JEUNES ET DE QUARTIER

  7. DOUBLE OBJET SOCIAL DE LA MAISON VERTE ET BLEUECOHESION SOCIALE encourager l’émancipation des populations les plus défavorisées de la commune en facilitant l’accès à un espace rural et à la nature et en y créant des activités à la découverte d’autres réalités que celles de leurs quartiersPRESERVATION ACTIVE protéger et affirmer le rôle nécessaire de l’espace rural de Neerpede, le plus grand fragment rural actuellement inclus dans l’aire administrative de la Région de Bruxelles-Capitale, en y promouvant une agriculture respectueuse de l’environnement

  8. PUBLIC ET MISSIONS DE LA MAISON VERTE ET BLEUEPHASE 1PUBLIC Les scolaires (de la maternelle à la fin du secondaire) Les familles et particuliers Les associations Les adultes suivant la formation en maraîchage d’Eco-InnovationMISSIONS L’éducation relative à l’environnement au sens large, depuis les approches les plus « naturalistes » jusqu’aux thématiques liées ou insérées dans le « développement durable », en passant par une approche plus attentiveaux paysages L’alimentation durable, dans un premier temps par le biais essentiellement des démonstrations/animations dans les potagers existants ou en lancement. La mise à disposition, de salles de cours, de conférences et d’exposition en faveur de plusieurs associations (candidats potentiels : Itinerart, la Boutique Culturelle, la bibliothèque Maurice Carême, Beeldenstorm, Eco-Innovation)

  9. PUBLIC ET MISSIONS DE LA MAISON VERTE ET BLEUEPHASE 2PUBLIC Les scolaires (de la maternelle à la fin du secondaire) Les familles et particuliers Les associations Les adultes suivant la formation en maraîchage d’Eco-InnovationMISSIONS L’éducation relative à l’environnement L’alimentation durable L’éco-construction (chantier-pilote de la ferme Tacqui) La mise à disposition plus professionnelle et constante d’espace de conférences et d’exposition, voire de lieux de séminaire ou de réunion La mise à disposition de terrains maraîchers (acquisition d’un petit terrain au bord de l’étang)

  10. PUBLIC ET MISSIONS DE LA MAISON VERTE ET BLEUEPHASE 3PUBLIC Les scolaires (de la maternelle à la fin du secondaire) Les familles et particuliers Les associations Les adultes suivant la formation en maraîchage d’Eco-Innovation Les entreprisesMISSIONS L’éducation relative à l’environnement : thèmes nouveaux, en collaboration avec le CERIA et Eco- Innovation : les toits verts, le lagunage, la permaculture, l’agro-foresterie, etc. L’alimentation durable L’éco-construction(chantier-pilote de la ferme de Neerpede) La mise à disposition plus professionnelle et constante d’espace de conférences et d’exposition, voire de lieux de séminaire ou de réunion (fere Tacqui + ferme de Neerpede : espaces professionnels de conférences, d’exposition, de séminaire ou de réunion  La mise à disposition d’un espace d’hébergement pour des groupes scolaires permettra aulieu de s’ouvrir aux classes vertes, ce qui devrait augmenter considérablement l’attractivité du lieu pour les écoles  L’ouverture au public d’un restaurant de qualité (type Slow Food) élargira lavisibilité du projet. La mise à disposition de terrains maraîchers

  11. ECO-INNOVATION

  12. LE POTAGER MIXTE : UN MODELE D’AGRICULTURE URBAINE AU SERVICE DE LA POPULATION ET DE L’ECONOMIE BRUXELLOISE Si Bruxelles peut se prévaloir d’être une ville exceptionnellement verte (plus de 50% de son territoire), l’accessibilité aux nombreux espaces verts est un défi majeur de l’agriculture urbaine. Ce décalage explique certainement le succès actuel des jardins et potagers collectifs qui se multiplient ici et là au sein des 19 communes sous l’impulsion de divers acteurs dont Eco Innovation. Favorisant l’éducation à l’environnement, réhabilitant des coins de verdure au creux de lieux bétonnés, ou fournissant des produits frais pour l’alimentation, les potagers urbains suscitent aujourd’hui de nombreux intérêts. Plus souvent associés à des espaces d’animation et de rencontre entre acteurs associatifs et résidents passionnés de jardinage, ces parcelles agricoles éparpillées dans Bruxelles servent aussi de terreau à une forme d’entreprenariat durable qui prône la coexistence entre les fonctions sociale, environnementale et économique du sol bruxellois. Démonstration par les projets menés depuis 2009 par l’association Eco Innovation. Créée en Irlande par un groupe d’amis issus de la R&D en agriculture durable, l’association Eco Innovation fait ses 1ers pas dans les nouvelles technologies de l’information (http://eco-innovation.net/ecol) et l’éducation. C’est suite à son installation à Bruxelles en 2009 qu’émergera un projet d’agriculture urbaine. Son port d’attache : la pépinière d’entreprises Euclides à Anderlecht. Situé dans un quartier défavorisé, l’incubateur sera le point de départ d’un projet de potager « mixte » mené par Eco Innovation dans une perspective de développement local. Le contexte : un terrain en friche, le Contrat de Quartier Lemmens co-financé par la commune d’Anderlecht et la Région, un savoir-faire approprié et l’ambition d’Eco Innovation de créer une coopérative à finalité sociale ayant pour but de prendre en charge la mise en place et la gestion durable de potagers mixtes (http://vertdiris.eco-innovation.net). Le potager pilote de la Rosée voit ainsi le jour. La mise à disposition pour les habitants d’un espace d’auto-production est ainsi rendue possible, et s’articule à plusieurs activités commerciales telles que la vente de produits frais et d’équipements, et l’organisation de formations de jardiniers à l’agriculture biologique (http://www.eco-innovation.net/blog/formation-en-horticulture-ecologique-2011). A la clé de cette économie sociale, la coexistence entre un espace de récréation et d’éducation à l’environnement et une petite entreprise qui aura employé en 2010 près de cinq équivalents plein temps. Le succès de cette 1ère expérience permettra à Eco Innovation de proposer des projets similaires dans d’autres quartiers. Une suite logique selon Frédéric Morand, l’administrateur délégué d’Eco Innovation : « L’objectif de la future coopérative Vert d’Iris est de promouvoir à Bruxelles les potagers mixtes à vocation sociale et environnementale, mais aussi économique ». Si l’association a été épaulée administrativement et financièrement pour lancer ses activités, Frédéric Morand reste optimiste sur la viabilité de l’entreprise : « L’objectif est de consolider la durabilité économique de la coopérative afin d’atteindre un niveau d’autofinancement supérieur à 90%. Et c’est possible, des exemples en Belgique le prouvent. » Il existe probablement des centaines d’hectares potentiellement valorisables en potagers à Bruxelles, mais l’une des barrières à la production et à l’entreprenariat agricole est « l’accessibilité institutionnelle » des terrains tant publics que privés. En comparaison avec la situation des potagers urbains de villes plus denses comme Paris, ou de pays bien plus avancés comme la Suisse, l’Allemagne ou l’Angleterre, Bruxelles peut encore fortement augmenter son niveau d’auto-production agricole. Côté demande, Frédéric Morand précise que « toute la production d’Eco Innovation est écoulée en vente directe. A l’avenir, il est prévu de diversifier les filières d’écoulement des produits frais. Les nouvelles surfaces de production mises en valeur par Eco Innovation, comme celle de Neerpede (40 ares), s’avèrent déjà insuffisantes pour répondre à la demande. Ces projets pilotes rencontrent également des défis technologiques qui seront, pour Frédéric Morand, l’occasion de mobiliser les ressources des établissements de formation locaux. Parmi les innovations en vue, l’association souhaite « mettre au point des pompes à eau solaires et développer une méthode de culture en jardins suspendus ». Autant d’opportunités pour stimuler les jeunes pousses dans l’entreprenariat vert. Emmanuel d’Ieteren

  13. INITIATIVES CONJOINTES“VENTRE DE BRUXELLES” AUX ABATTOIRS DE CUREGHEMCONTRAT DE QUARTIER “CANAL-MIDI”PORT-SUD – CENTRE D’INTERPRETATION

  14. ‘VENTRE DE BRUXELLES’ AUX ABATTOIRS DE CUREGHEM

  15. CONTRAT DE QUARTIER CANAL-MIDI Des potagers au pied des Goujons et du square Albert Le projet mené au cœur d’Anderlecht consiste à assainir un quartier urbain pollué et d’y tenir la gageure d’implanter des potagers collectifs dans un environnement social réputé difficile. Le contrat de quartier dans son ensemble va y mobiliser 14,9 millions d’euros, dont 3,8 consacrés au projet pilote. A partir d’une expérience locale réussie à Cureghem, l’objectif est de développer dans le périmètre retenu 3.500 m2 de potagers urbains au pied des grands ensembles de logements sociaux des Goujons et du square Albert. « C’est la preuve qu’on ne part pas de rien mais des forces qui existent dans le quartier pour passer à la vitesse supérieure », commente Evelyne Huytebroeck. « Et ça marche ! Les gens sont demandeurs ». Ces potagers pour amateurs et pour professionnels ont pour vocation d’allier objectifs économiques (production de légumes), sanitaires (fournir une alimentation saine) et de cohésion sociale (via l’animation des potagers). En complément de cette démarche, il est prévu la construction d’un restaurant social au bas des Goujons, où seront servis les légumes produits sur place. Un plan de gestion des eaux de pluie figure également au programme, ainsi que l’assainissement et le réaménagement des espaces verts. (source : DUBOIS, Francis, “Le Soir” Vendredi 4 février 2011, p. 24)

  16. PORT-SUDANDERLECHT - Le projet PORT SUD, qui consiste en la création d'un espace d'accueil pour une dizaine de PME et l'ouverture d'un centre mettant en valeur le patrimoine immatériel du quartier situé le long du canal à Anderlecht coûtera quelque 9,5 millions d'euros. Il devrait accueillir les premiers visiteurs et les entreprises début 2014, ont précisé les initiateurs du projet, la commune d'Anderlecht et ses partenaires, lundi au cours d'une conférence de presse..La zone concernée est située entre le Quai de Bistebroeck et l'écluse de Molenbeek, dans un quartier où les bâtiments industriels sont nombreux. Le projet porte sur la rénovation des anciennes meuneries d'Anderlecht, au Quai Demets.Le bâtiment, implanté sur un terrain de 20 ares, a été acquis pour un peu moins de 2 millions d'euros, avec l'aide de la SDRB (Société de Développement pour la Région de Bruxelles-Capitale).Le solde (7,6 millions d'euros) est fourni par l'Union européenne, dans le cadre du programme FEDER."Il s'agit d'un projet de zone, prenant en compte une vision intégrale du développement du quartier, en impliquant au maximum les acteurs locaux", a expliqué Jose Menendez, président du Centre Euclides dont l'objectif est de "faciliter l'installation et la réussite d'activités socio-économiques intéressantes" dans le quartier.Les anciennes meuneries proposeront un espace de 3.000 m2 à une dizaine de PME, et un centre d'interprétation de 1.000 m2. Ce dernier mettra en valeur le patrimoine et le potentiel de la zone, sur les thèmes de la vie du quartier, la mobilité, la faune, la flore dans les environs et l'évolution industrielle.

  17. CARTE DE REPERAGE MANUSCRITE DE LA VALLEE DE LA PEDE

  18. CARTE DE REPERAGE MANUSCRITE DE LA VALLEE DE LA PEDE (EXTRAIT 1)

More Related