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ETUDE EN COUT CIBLE SUR LES ROSES DE PROVENCE - 2006

Introduction / Contexte . La consommation nationale et mondiale de ros? ne cesse d'augmenter ( 10 % - 02/05)Mais les ros?s de Provence (leader) tirent moins profit de cette embellie (-7 % - 02/05).Eloignement du c?ur de march? (prix plus ?lev?s)Concurrence de plus en plus forteManque de marques

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ETUDE EN COUT CIBLE SUR LES ROSES DE PROVENCE - 2006

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Presentation Transcript


    1. ETUDE EN COUT CIBLE SUR LES ROSES DE PROVENCE - 2006 L’étude présentée a été menée en 2006 par un élève ingénieur (Thomas ROSPARS) au sein de l’antenne viticole de la chambre d’agriculture, en partenariat avec le CIVP Cette étude est basée sur les données chiffrées de l’année 2005 (faite en 2006) L’étude se focalise sur les rosés AOC de Pce (CP, CVP, CAP), les autres vins (VDP et VDT) ne sont pas abordés du fait du manque d’information à l’époque Ce travail est le premier pont réalisé entre les données macro économiques CIVP (la connaissance du marché) et les données micro économiques de la Chambre d’Agriculture (connaissance des exploitations viticoles) En effet, depuis 12 ans, la Chambre d’Agriculture étudie les coûts de production des exploitations viticoles du Var. Ces études menées sur un échantillon à dominante « cave particulière », ont montré régulièrement des coûts de production élevés au regard des exigences des « circuits longs gros volumes » en terme de prix Le travail présenté a été pour nous l’occasion d’aborder plus précisèment les coûts des exploitations s’adressant à ces « circuits longs gros volumes » : en particulier la coopération L’étude présentée part d’un constat simple : L’étude présentée a été menée en 2006 par un élève ingénieur (Thomas ROSPARS) au sein de l’antenne viticole de la chambre d’agriculture, en partenariat avec le CIVP Cette étude est basée sur les données chiffrées de l’année 2005 (faite en 2006) L’étude se focalise sur les rosés AOC de Pce (CP, CVP, CAP), les autres vins (VDP et VDT) ne sont pas abordés du fait du manque d’information à l’époque Ce travail est le premier pont réalisé entre les données macro économiques CIVP (la connaissance du marché) et les données micro économiques de la Chambre d’Agriculture (connaissance des exploitations viticoles) En effet, depuis 12 ans, la Chambre d’Agriculture étudie les coûts de production des exploitations viticoles du Var. Ces études menées sur un échantillon à dominante « cave particulière », ont montré régulièrement des coûts de production élevés au regard des exigences des « circuits longs gros volumes » en terme de prix Le travail présenté a été pour nous l’occasion d’aborder plus précisèment les coûts des exploitations s’adressant à ces « circuits longs gros volumes » : en particulier la coopération L’étude présentée part d’un constat simple :

    2. Introduction / Contexte La consommation nationale et mondiale de rosé ne cesse d’augmenter (+10 % - 02/05) Mais les rosés de Provence (leader) tirent moins profit de cette embellie (-7 % - 02/05). Eloignement du cœur de marché (prix plus élevés) Concurrence de plus en plus forte Manque de marques fortes la consommation de vin rosé progresse au détriment des autres couleurs. Il existe une demande croissante pour ce type de vin paradoxalement, le vignoble provençal et son produit phare, le vin rosé, traversent une crise économique forte et profitent moins de cette embellie que les concurrents Plusieurs possibilités : - Prix - Concurrence accrue avec des vignobles opportunistes (LR, CdR, Bx …) - Manque de marques suffisamment fortes pour dégager des budgets de promotion suffisants (en particulier pour l’export) Conséquences : Des surstocks (conséquence ou origine ?) Baisse des cours, ex CdP passés de 130 €/hl en 2003 à moins de 90 €/hl en 2005 et 2006, puis à 100 €/hl actuellement D’où la question suivante :la consommation de vin rosé progresse au détriment des autres couleurs. Il existe une demande croissante pour ce type de vin paradoxalement, le vignoble provençal et son produit phare, le vin rosé, traversent une crise économique forte et profitent moins de cette embellie que les concurrents Plusieurs possibilités : - Prix - Concurrence accrue avec des vignobles opportunistes (LR, CdR, Bx …) - Manque de marques suffisamment fortes pour dégager des budgets de promotion suffisants (en particulier pour l’export) Conséquences : Des surstocks (conséquence ou origine ?) Baisse des cours, ex CdP passés de 130 €/hl en 2003 à moins de 90 €/hl en 2005 et 2006, puis à 100 €/hl actuellement D’où la question suivante :

    3. Problématique Devant ce contexte peu favorable et les conclusions de l’étude sur les coûts de production, la question qui se pose et à laquelle nous souhaitons répondre est : Existe-t-il une cohérence économique entre la réalité du marché (les caractéristiques de la demande) et les conditions de production de la viticulture provençale (les caractéristiques de l’offre amont)? Ou plus concrètement, la production viticole provençale est-elle capable de satisfaire les exigences des consommateurs tout en générant des marges suffisantes (équilibrées, durables) pour chacun des maillons de la chaine de production et de commercialisation (production et transformation, négoce, distribution) Pour cela nous avons utilisé la méthode suivante :Ou plus concrètement, la production viticole provençale est-elle capable de satisfaire les exigences des consommateurs tout en générant des marges suffisantes (équilibrées, durables) pour chacun des maillons de la chaine de production et de commercialisation (production et transformation, négoce, distribution) Pour cela nous avons utilisé la méthode suivante :

    4. Méthodologie Nous avons mené une étude en deux parties Nous nous sommes d’abord intéressés à l’aval de la filière où nous avons réalisé une étude en coût cible. Nous sommes partis des exigences du consommateur (quel prix accepte t-il pour tel ou tel type de vin rosé?) devant un linéaire en GD en France ou à l’étranger, chez un caviste … Nous avons alors « remonté » les principaux chemins suivis par nos produits pour arriver devant le consommateur, puis défini les marges des différents intermédiaires concernés En déduisant les marges de ces intermédiaires du prix accepté par le consommateur, on obtient un coût cible départ cave qui est le seuil à ne pas dépasser en prix départ cave, si l’on veut vendre sur le circuit visé au prix accepté par le consommateur Nous avons ensuite utilisé nos connaissance des exploitations viticoles pour effectuer une typologie des entreprises de la production. Nous avons pour cela brassé un échantillon de 60 exploitations et de 4 caves coopératives. Ce volet montre que la structure d’une exploitation ou le système auquel elle appartient, conditionne fortement ses coûts de production Enfin nous avons confronté les deux volets, coûts de revient selon les systèmes d’exploitation d’un côté, coût cible à ne pas dépasser pour se positionner sur tel marché de l’autre. Cela pour répondre à la question : quelles sont les structures d’exploitation les plus adaptées pour viser durablement tel marché, en dégageant une marge elle aussi durable pour chacun des intermédiairesNous avons mené une étude en deux parties Nous nous sommes d’abord intéressés à l’aval de la filière où nous avons réalisé une étude en coût cible. Nous sommes partis des exigences du consommateur (quel prix accepte t-il pour tel ou tel type de vin rosé?) devant un linéaire en GD en France ou à l’étranger, chez un caviste … Nous avons alors « remonté » les principaux chemins suivis par nos produits pour arriver devant le consommateur, puis défini les marges des différents intermédiaires concernés En déduisant les marges de ces intermédiaires du prix accepté par le consommateur, on obtient un coût cible départ cave qui est le seuil à ne pas dépasser en prix départ cave, si l’on veut vendre sur le circuit visé au prix accepté par le consommateur Nous avons ensuite utilisé nos connaissance des exploitations viticoles pour effectuer une typologie des entreprises de la production. Nous avons pour cela brassé un échantillon de 60 exploitations et de 4 caves coopératives. Ce volet montre que la structure d’une exploitation ou le système auquel elle appartient, conditionne fortement ses coûts de production Enfin nous avons confronté les deux volets, coûts de revient selon les systèmes d’exploitation d’un côté, coût cible à ne pas dépasser pour se positionner sur tel marché de l’autre. Cela pour répondre à la question : quelles sont les structures d’exploitation les plus adaptées pour viser durablement tel marché, en dégageant une marge elle aussi durable pour chacun des intermédiaires

    5. Plan

    6. Plan

    7. Plan

    8. I-1-Détermination des prix cibles Préambule : Les canaux de distribution des rosés de Provence 1-Détermination des prix cibles : A partir de panels de distributeurs sur différents canaux de distribution GMS, Hard discount, Restaurants et vente directe Sur les marchés nationaux et internationaux L’étude en coût cible débute par la détermination des prix cibles sur les différents canaux de distribution qui sont les suivants … Tous les circuits ont été abordés, on constate que GMS et HD constituent la majorité des débouchés pour nos vins rosés (presque la moitié) Les canaux courts vente directe et CHR représentent néanmoins 40% des débouchés, ce taux élevé résulte de l’attrait touristique de la Provence La détermination des prix cible a été réalisé avec le CIVP, selon les panels. Un panel est un recensement des achats enregistrés dans un échantillon de magasins ou de consommateurs représentatifs. Ils permmettent d’obtenir de multiples infos (prix, volume vendu, selon une catégorie de vin Nous observons une grande variabilité des prix selon les canaux avec les prix les plus élevés au caveau et les plus bas en HD Nous verrons ultérieurement s’il est intéressant d’investir tel ou tel canal à prix très bas Après la fixation des prix cible, nous avons déterminé les marges prises sur les canaux de distributionL’étude en coût cible débute par la détermination des prix cibles sur les différents canaux de distribution qui sont les suivants … Tous les circuits ont été abordés, on constate que GMS et HD constituent la majorité des débouchés pour nos vins rosés (presque la moitié) Les canaux courts vente directe et CHR représentent néanmoins 40% des débouchés, ce taux élevé résulte de l’attrait touristique de la Provence La détermination des prix cible a été réalisé avec le CIVP, selon les panels. Un panel est un recensement des achats enregistrés dans un échantillon de magasins ou de consommateurs représentatifs. Ils permmettent d’obtenir de multiples infos (prix, volume vendu, selon une catégorie de vin Nous observons une grande variabilité des prix selon les canaux avec les prix les plus élevés au caveau et les plus bas en HD Nous verrons ultérieurement s’il est intéressant d’investir tel ou tel canal à prix très bas Après la fixation des prix cible, nous avons déterminé les marges prises sur les canaux de distribution

    9. I-2-Détermination des marges des intermédiaires Marge durable qui assure la pérennité des intermédiaires présents dans la filière (? bénéfice) Distribution des rosés sur deux types de circuits : courts et longs Détermination des marges : informations difficiles à obtenir (nos propres enquêtes confrontées à d’autres études). Une marge durable est une marge qui permet le fonctionnement des structures, assure leur pérennité, leur possibilité d’investir, de promouvoir… attention une marge n’est pas un bénéfice, groso modo c’est la différence entre le prix d’achat et de vente par lintermédiaire La distribution des vins rosés se fait sur deux types de circuits : - Les circuits courts avec peu d’intermédiaires, concerne surtout les vignerons indépendants - Les circuits longs gros volumes qui concernent surtout le secteur coopératif Il est difficile d’obtenir des informations précises sur les marges. Nous avons réalisé nos propres enquêtes auprès des intermédiaires de la filière aval, nous avons validé les résultats obtenus avec les études existantes, puis affiner les premières fourchettes de marges obtenues Dans cette présentation, nous ne nous intéressons qu’aux circuits longs plus complexes et plus intéressants du fait des volumes concernésUne marge durable est une marge qui permet le fonctionnement des structures, assure leur pérennité, leur possibilité d’investir, de promouvoir… attention une marge n’est pas un bénéfice, groso modo c’est la différence entre le prix d’achat et de vente par lintermédiaire La distribution des vins rosés se fait sur deux types de circuits : - Les circuits courts avec peu d’intermédiaires, concerne surtout les vignerons indépendants - Les circuits longs gros volumes qui concernent surtout le secteur coopératif Il est difficile d’obtenir des informations précises sur les marges. Nous avons réalisé nos propres enquêtes auprès des intermédiaires de la filière aval, nous avons validé les résultats obtenus avec les études existantes, puis affiner les premières fourchettes de marges obtenues Dans cette présentation, nous ne nous intéressons qu’aux circuits longs plus complexes et plus intéressants du fait des volumes concernés

    10. I-2-Exemple de décomposition des marges sur un circuit long Nous avons décomposé les marges de distribution d’un vin rosé CP vendu en GMS sous la catégories M&G via par un négociant TVA La marge du magasin GMS varie de 20 à 30% selon le type de circuit : mise en rayon, frais de fct Centrale d’achat : frais de manutention principalement, de l(ordre de 5% Frais de port 0,06€ pour une hypothèse de 800 km pour desservir les centrales d’achat La marge des négociants varie de 15 à 30% selon le type de produit et le marketing réalisé Les matières sèches varient de 0,26 à 0,80 €/bt La marge du courtier est constante 1% Cotisation CIVP et taxes douanes 0,022 € En partant d’un prix cible consommateur de 2,96 € en 2005, nous arrivons après déduction des marges au coût cible départ cave de 107 €/hl (les cours des CP passaient au même moment sous les 90 €/hl) En appliquant cette méthode et en adaptant les marges selon les produits et les intermédiaires, nous obtenons le schéma suivant :Nous avons décomposé les marges de distribution d’un vin rosé CP vendu en GMS sous la catégories M&G via par un négociant TVA La marge du magasin GMS varie de 20 à 30% selon le type de circuit : mise en rayon, frais de fct Centrale d’achat : frais de manutention principalement, de l(ordre de 5% Frais de port 0,06€ pour une hypothèse de 800 km pour desservir les centrales d’achat La marge des négociants varie de 15 à 30% selon le type de produit et le marketing réalisé Les matières sèches varient de 0,26 à 0,80 €/bt La marge du courtier est constante 1% Cotisation CIVP et taxes douanes 0,022 € En partant d’un prix cible consommateur de 2,96 € en 2005, nous arrivons après déduction des marges au coût cible départ cave de 107 €/hl (les cours des CP passaient au même moment sous les 90 €/hl) En appliquant cette méthode et en adaptant les marges selon les produits et les intermédiaires, nous obtenons le schéma suivant :

    11. I-3-Calcul des coûts cibles circuit long Coût cibles « départ cave » autour de 110 €/hl Marché exigeant en prix ? rentabilité pour la filière? Cohérence avec les cours du vrac de 2004 ? étude pertinente. Nous remarquons tout d’abord une grande disparités des coûts cibles départ cave pour les circuits longs Tout à l’heure nous nous posions la question de la rentabilité du circuit HD à prix de vente bas (au consommateur). Le coût cible de ce canal se situe dans la moyenne malgré les prix bas, les coûts des matières sèches et les marges des intermédiaires sont très faibles, peu ou pas de marketing sur ces produits Noter la cohérences des coûts cibles calculés avec les cours 2004-2005 Nous allons aborder le second volet de cette étude : le calcul des coûts de revient des exploitations viticolesNous remarquons tout d’abord une grande disparités des coûts cibles départ cave pour les circuits longs Tout à l’heure nous nous posions la question de la rentabilité du circuit HD à prix de vente bas (au consommateur). Le coût cible de ce canal se situe dans la moyenne malgré les prix bas, les coûts des matières sèches et les marges des intermédiaires sont très faibles, peu ou pas de marketing sur ces produits Noter la cohérences des coûts cibles calculés avec les cours 2004-2005 Nous allons aborder le second volet de cette étude : le calcul des coûts de revient des exploitations viticoles

    12. II-Typologie : détermination des coûts réels Objectifs : caractériser l’amont de la filière selon ses caractéristiques de production, de transformation et de commercialisation. - Stratégie 1 et 1 bis : coopérateurs + caves coopératives - Stratégie 2 : Vraqueurs - Stratégie 3 : vignerons indépendants mixtes (nombreux types de conditionnements et débouchés) - Stratégie 4 : vignerons indépendants spécialistes des bouteilles en vente au caveau - Stratégie 5 : vignerons indépendants spécialistes des bouteilles en vente hors caveau Pour vons tout d’abord réalisé une typologie des exploitations viticoles suivant les différents critères que sont … À partir de ces critères nous avons mis en évidence 5 groupes d’exploitations viticoles constituant des systèmes de production à coûts différents …Pour vons tout d’abord réalisé une typologie des exploitations viticoles suivant les différents critères que sont … À partir de ces critères nous avons mis en évidence 5 groupes d’exploitations viticoles constituant des systèmes de production à coûts différents …

    13. II-Typologie : détermination des coûts réels En effet, si nous nous intéressons par exemple au coût de revient du vrac (= coût de culture & de récolte + coût de vinification & élevage) selon les types d’exploitation, nous observons pour un même produit (un hl de vrac) des coûts différents résultant de niveaux de spécialisation, de mécanisation , des économies d’échelle Passons maintenant au dernier volet de cette étude qu’est la confrontation entre les coût cibles issus des marchés d’une part et les coûts de revient des exploitationsEn effet, si nous nous intéressons par exemple au coût de revient du vrac (= coût de culture & de récolte + coût de vinification & élevage) selon les types d’exploitation, nous observons pour un même produit (un hl de vrac) des coûts différents résultant de niveaux de spécialisation, de mécanisation , des économies d’échelle Passons maintenant au dernier volet de cette étude qu’est la confrontation entre les coût cibles issus des marchés d’une part et les coûts de revient des exploitations

    14. III-1-Confrontation circuit vrac avec négociant Tout d’abord observons cette confrontation pour un circuit long gros volume avec un négociant embouteilleur (produit = vin en vrac) D’un côté les coûts de production départ cave, de l’autre les coûts cibles selon les canaux de distribution On observe une cohérence certaine entre des marchés cibles en moyenne à 110 €/hl et deux systèmes de production On note par contre un décalage fort entre les exigences du marché néérlandais et les possibilités de nos systèmes de production viticolesTout d’abord observons cette confrontation pour un circuit long gros volume avec un négociant embouteilleur (produit = vin en vrac) D’un côté les coûts de production départ cave, de l’autre les coûts cibles selon les canaux de distribution On observe une cohérence certaine entre des marchés cibles en moyenne à 110 €/hl et deux systèmes de production On note par contre un décalage fort entre les exigences du marché néérlandais et les possibilités de nos systèmes de production viticoles

    15. Le système coopérateurs + caves coopératives est adapté aux marchés gros volume en vrac vendu au négoce Les systèmes vignerons indépendants semblent difficilement pouvoir s’adresser durablement à ces canaux longs La fourchette de prix départ cave en vrac de 110-120 €/hl permet des marges durables pour toute la filière On observe la présence de la Provence sur des canaux non rentables

    16. III-2-Confrontation circuit gros volume Bouteilles

    17. Le système coopérateurs + caves coopératives ne peut pas satisfaire tous les canaux (premier prix) sur les circuits gros volumes vendus en bouteilles Manque d’efficacité sur le poste conditionnement par rapport aux négociants et unions qui traitent des volumes plus importants (économie d’échelle) Les vignerons indépendants de notre échantillon sont non rentables sur ces canaux longs car leurs coûts de production sont élevés ? difficulté à écouler via ces canaux III-2-Confrontation circuit gros volume Bouteilles

    18. III-3-Confrontation / Synthèse Différence importante entre les coûts cibles et la réalité du marché ? où est passé la marge? Équilibre du système coopérateurs – cave coopérative sur les marchés gros volume / circuits longs (GMS, HD…) ? cohérence économique certes, mais pas pour tous Le spécialisation des acteurs permet un gain de marge sur ces canaux Viticulteurs indépendants adaptés aux marchés relatifs aux circuits courts (vente directe + restaurants) mais ils manquent d’efficacité sur les autres canaux ? coût de production trop élevé

    19. Commentaires

    20. Conclusion

    21. Merci de votre attention

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