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0.42. 0.28. 0.47. 0.18. 0.25. 0.51. 0.28. 0.16. 0.15. 0.24. 0,88. (Valeurs t). (Valeurs t). Dépression. Dépression1. 0,85. 0.23. Signif. Non-signif. Signif. Non-signif. 0,74. Dépression2. 0.27. 0,13 ( 1.50 ). 0.45. Dépression3. 0,73. Désespoir. Désespoir1. 0.47.

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Presentation Transcript


  1. 0.42 0.28 0.47 0.18 0.25 0.51 0.28 0.16 0.15 0.24 0,88 (Valeurs t) (Valeurs t) Dépression Dépression1 0,85 0.23 Signif. Non-signif. Signif. Non-signif. 0,74 Dépression2 0.27 0,13 (1.50) 0.45 Dépression3 0,73 Désespoir Désespoir1 0.47 -0,00 (-0.05) 0,64 SUICIDE Désespoir2 0.59 0,78 0.39 Désespoir3 0,48 (6.82) Souffrance 0,89 Souffrance1 0.21 0,91 0.17 Souffrance2 0,82 Équation structurale: R² = 0.35 0.33 Souffrance3 Carence affective1 Carence affective 0.76 0.85 Carence affective2 Abandon .19 (2.54) 0.73 Abandon1 Abandon2 0.90 0.48 (10.66) .09 (1.27) SUICIDE Désespoir Méfiance et abus1 0.86 Méfiance /Abus -.03 (-.41) 0.70 Méfiance et abus2 .18 (2.25) Exclusion 0.85 Exclusion1 .35 (5.33) 0.92 Exclusion2 Équation structurale: R² = 0.23 0.92 Imperfection /Honte Imperfection∕Honte1 0.87 Imperfection∕Honte2 (Valeurs t) Carence affective1 Signif. Non-signif. 0.41 0,77 Carence affective Carence affective1 0.30 0,84 Abandon1 0.47 0,13 (2.16) Abandon 0,73 Abandon2 0.18 0,90 0.59 (16.30) 0,32 (5.79) Méfiance∕Abus1 SUICIDE 0.25 Souffrance 0,87 Méfiance /Abus Équation structurale: R² = 0.35 0,09 (1.46) 0.51 0,70 Méfiance∕Abus2 0,12 (1.89) 0.28 Exclusion1 0,85 Exclusion 0,92 0,27 (5.35) 0.16 Exclusion2 0,92 Imperfection/Honte2 0.15 Imperfection /Honte 0,87 0.24 Imperfection∕Honte2 Souffrance psychologique et désespoir dans la prédiction de comportements suicidaires chez une population de jeunes adultes universitaires Frédérick Dionne1,2,3, M.Ps., cand. Ph.D., Jacques Baillargeon1, Ph.D, Réal Labelle1,2 , Ph.D. 1Département de psychologie, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), Québec, Canada. 2Centre de recherche et d’intervention sur le suicide et l’euthanasie (CRISE). UQUAM, Québec, Canada. 3Correspondance: Frederick.Dionne@uqtr.ca Montréal, 17-19 mars 2006 Introduction Résultats Conclusions Aaron T. Beck et ses collaborateurs (1975) ont joué un rôle déterminant dans la compréhension des comportements suicidaires en démontrant que le désespoir est la variable la plus proche au suicide. Plus récemment, le suicidologue de renom Edwin S. Shneidman (1985; 2004) a mis l’emphase sur le rôle d’une autre variable, soit la souffrance psychologique (psymal) dans l’explication du suicide. Enfin, bien que le concept de souffrance psychologique ait été récemment opérationnalisé (Orbach, Mikulincer, Sirota, et Gilboa-Schechtman, 2003; Holden, Metha, Cunningham, et McLeod, 2001), on constate toujours que très peu d’études ont pu mettre ce concept à l’épreuve. La présente étude cherche donc à déterminer quelle variable entre la souffrance psychologique et le désespoir explique le mieux les comportements suicidaires dans un groupe de jeunes adultes étudiants universitaires. 1. Ces résultats corroborent d’autres études qui ont testé les concepts de dépression et de désespoir en relation avec la souffrance psychologique (Berlim et al., 2003; Orbach, Mikuliner, Gilboa-Schechtma, et Sirota, 2003; Orbach et al., 2003; Holden et al., 2001) et ils suggèrent d’ajouter le concept de souffrance psychologique, notamment avec la dépression et le désespoir. 2. D’un point de vue clinique, les résultats soulignent l’importance d’intervenir sur la souffrance psychologique, peut-être avant la dépression et le désespoir, particulièrement avec de jeunes adultes suicidaires. 3. Les résultats des Figures 2 et 3 font ressortir des chemins menant au suicide en y introduisant des construits de la théorie des schémas. Avec le désespoir comme variable médiatrice au suicide (Figure 2), les schémas imperfection/honte, carence affective et exclusion sont respectivement les facteurs de risque les plus puissants menant à la variable suicide. Avec la souffrance psychologique comme variable médiatrice au suicide, les schémas abandon,imperfection / honte et carence affective sont respectivement les facteurs de risque les plus puissants menant à la variable suicide (Figure 3). Cela est en concordance avec Freeman et Reinecke (1993) qui affirment que les schémas les plus souvent associés au suicide touchent à une vulnérabilité à la perte et à l’abandon et au sentiment d’être inadéquat. De plus, voici comment Shneidman (1998) résume les principaux besoins frustrés ou insatisfaits présents dans les suicides: «In general, we are talking about thwarted love, fractured control, assaulted self-image, excessive anger, a surfeit of shame, ruptured key relations and the attendand grief- and the inner pain of that turmoil. » 4. Pour de recherches futures, il serait utile d’examiner comment le coping, les évènements de vie, la perturbation et la tolérance à la souffrance psychologique interagissent avec le concept du psymal. Ainsi, cela permettrait d’avoir plus d’appuis empiriques sur le modèle tridimensionnel (pression, perturbation, psymal) de Shneidman (1987;1993) qui s’apparente à biens des égards à la perspective cognitive du suicide (Beck, 1996; Rudd, 2004). Il serait aussi intéressant d’explorer le modèle proposé par Holden et al. (2001) (depression  hopelessness psychache  suicide), encore une fois, avec des populations cliniques. Souffrance psychologique ou désespoir dans l’explication du suicide Figure 1.Modèle avec trois variables latentes comme prédicteurs (dépression, désespoir et souffrance psychologique) régressées simultanément sur la variable suicide. Les valeurs t sont fournies entre parenthèses. Les coefficients de régression standardisés des variables latentes, les erreurs de mesure des variables manifestes et la variance expliquée (R²) de l’équation structurale sont également fournis. Table 1. Les indices d’ajustement les plus populaires du modèle présenté à la Figure 1, en comparaison avec le modèle où les liens non-significatifs ont été éliminés. Objectifs de l’étude • Analyse principale: Les contributions relatives de la souffrance psychologique et du désespoir, tout en contrôlant le niveau de dépression des participants, seront examinées à l’aide d’une équation structurale réalisée avec LISREL 8.51 (Jöreskog et Sörbom, 2001). • Analyse secondaire: En introduisant des construits souvent associés au suicide liés à la «perte du lien interpersonnel» de la théorie des schémas (Young, Klosko, et Weishaar, 2003), la souffrance psychologique et le désespoir seront comparés sur la base de leurs indices d’ajustement et leur variance expliquée avec deux modèles d’équation structurale. Les schémas inadaptés de l’enfance, désespoir et suicide «Perte du lien interpersonnel» (disconnection and rejection): «The expectations that one’s needs for security, safety, stability, nurturance, empathy, sharing of feelings, acceptance, and respect will not be met in a predictable manner» (Young, Klosko, et Weishaar, 2003, p.14). Méthode Participants Six-cent dix-neuf jeunes adultes universitaires de divers départements ont été recrutés à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) en septembre 2003. Les participants ont été rencontrés dans leur groupe classe où on leur demandaient de répondre à une série de questionnaires pour une recherche en santé mentale. Les participants, âgés entre 18 et 30 ans (M = 21.82, É-T = 2.39), étaient à 31.5 % des hommes et 68.5 % des femmes. Ils ont été traités selon les normes d’éthique de l’UQTR. Instruments et variables Souffrance psychologique : L’échelle du psymal (Scale of Psychache); Holden et al., 2001; Dionne, Labelle, Daigle, et Baillargeon, 2004. Désespoir : L’échelle de désespoir (Beck Hopelessness Scale, BHS); Beck et al., 1974, 1985, 1990; Cottraux, J, 1985; Bouvard et al., 1992. Dépression : L’inventaire de dépression, 2e édition (Beck Depression Inventory, BDI-II) Beck et al.,1996. Schémas inadaptés de désaffiliation : Le Questionnaires des schémas (Young Schema Questionnaire, YSQ). Young, 1998; Mihaescu et al., 1997; Cousineau, 2000). Les schémas inadaptés retenus sont au nombre de cinq et portent sur la perte du lien interpersonnel (disconnection and rejection). Suicide : Une variable additive variant entre 1 et 7 a été créée avec l’item 9 du BDI-II et des questions issues de l’Enquête Santé Québec. Voici quelques stastistiques de fréquence : Item 9 du BDI-II: question 1 (13.4 %); question 2 (.5 %); question 3 (.2 %). Idéation sévère dans les 12 dernier mois (Oui: 6.3 %). Idéation sévère avec plan dans les 12 derniers mois (Oui: 2.6 %). Tentative de suicide dans les 12 derniers mois: 1 tentative (.1 %); 2 tentatives (.2 %). Figure 2.Analyse acheminatoire du modèle avec les schémas et le concept de désepoir comme variable médiatrice au «suicide». Les valeurs t sont fournies entre parenthèses. Les coefficients de régression standardisés des variables latentes, les erreurs de mesure des variables manifestes et la variance expliquée (R²)de l’équation structurale sont également fournis. Table 2. Les indices d’ajustement les plus populaires du modèle présenté à la Figure 2. Les schémas inadaptés de l’enfance, souffrance psychologique et suicide • Limites • Les questionnaires sont auto-rapportés. Ils portent sur des processus conscients et les résultats peuvent être influencés par la désirabilité sociale. • La variable suicide est majoritairement composée d’idéateurs suicidaires. • L’item suicide du questionnaire BDI-II a été statistiquement retiré, ce qui a pu modifier le construit de la dépression. • Même si les premiers résultats sur les propriétés psychométriques du questionnaire des schémas de Young sont encourageants (Lee, Taylor, et Dunn, 1999; Schmidt et al., 1995), en ce qui touche aussi à l’équivalence entre la version courte et la version longue (Waller, Meyer, et Ohanian, 2001), ce questionnaire est davantage un outil clinique et manque de support empirique, particulièrement au sein des populations francophones. • Le plan expérimental de la recherche ne permet pas d’établir des liens causes à effets entre les variables. Figure 3.Analyse acheminatoire du modèle avec les schémas et le concept de souffrance psychologique comme variable médiatrice au «suicide». Les valeurs t sont fournies entre parenthèses. Les coefficients de régression standardisés des variables latentes, les erreurs de mesure des variables manifestes et la variance expliquée (R²) de l’équation structurale sont également fournis. Table 3. Les indices d’ajustement les plus populaires du modèle présenté à la Figure 3. Conclusions Les résultats démontrent la prédominance de la souffrance psychologique sur le construit du désespoir dans la prédiction des comportements suicidaires chez une population de jeunes adultes. D’abord, (voir Figure 1), les résultats de la régression font ressortir la supériorité de la souffrance psychologique sur le désespoir. Lorsque nous contrôlons statistiquement pour ces deux variables en plus de la dépression, la souffrance psychologique demeure significative et rend à la fois le désespoir et la dépression non significatifs. Ensuite, la prééminence de la souffrance psychologique a été appuyée par deux modèles d’équation structurale en y ajoutant des schémas inadaptés de l’enfance (Young, 1998) issus de la catégorie «perte du lien interpersonnel». Le modèle avec la souffrance psychologique (voir Figure 3, Table 3) affiche de meilleurs indices d’ajustement et davantage de variance expliquée en comparaison au modèle avec le désespoir (voir Figure 2, Table 2). Les résultats appuient la théorie de Shneidman qui met l’emphase sur la souffrance psychologique comme variable clé dans la prédiction des comportements suicidaires. Références Se référer à l’adresse de correspondance pour les références

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